« L’écrasante majorité de nos membres affirme que Phénix ne peut pas être réparé et qu’il faut s’en débarrasser, alors investir 16 M$ dans la recherche d’un système de paye pour le remplacer, c’est faire un pas dans la bonne direction, selon Debi Daviau, présidente de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC). Il est essentiel que le nouveau système soit développé et exploité par nos professionnels fédéraux de la technologie de l’information », poursuit-elle.