L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

C’est avec beaucoup de tristesse et de regret que l’Institut vous informe du décès de notre ami et collègue, Ed Sweet.

Ed est décédé le 17 novembre 2019.

Ed était pleinement engagé envers les membres de l'Institut. Il nous manque.

Il faisait partie des vérificateurs qui sont devenus membres de l’Institut professionnel en 1990.

Ed a servi les membres de l’Institut avec brio à divers postes, pendant de nombreuses années, notamment à titre de délégué syndical.

Pendant de nombreuses années, Ed a siégé au comité exécutif du Groupe VFS, du Sous-group VFS d’Halifax, du Chapitre d’Halifax, et du Groupe Vérification de l'Agence des douanes et du revenu du Canada, et il a agi à titre de délégué à l’Assemblée générale annuelle depuis de nombreuses années.

L’Institut présente ses condoléances à la famille de Ed et aux nombreux amis qui ont eu le privilège de le connaître.

Pour des condoléances ou témoignages personnels en ligne

 

Punaises des lits dans les immeubles gouvernementaux

Comme vous le savez certainement compte tenu de l’importante couverture médiatique des derniers jours, on a trouvé des punaises des lits dans au moins six édifices du gouvernement fédéral situés dans la région de la capitale nationale. On en a également trouvé dans des édifices gouvernementaux à Montréal et à Winnipeg. Il se peut qu’il y en ait dans d’autres immeubles gouvernementaux sans qu’on les ait officiellement détectés.

Les deux conférenciers invités à la 100e AGA étaient David Coletto, directeur général d’Abacus Data, chargé de mener notre sondage auprès des membres 2019, et Hassan Yussuff, président du Congrès du travail du Canada et un champion bien connu des travailleurs canadiens.

David Coletto a examiné en détail les résultats du sondage auprès des membres, y compris l’augmentation importante du taux de satisfaction générale de nos membres et leurs priorités. Il a exploré divers scénarios qui pourraient arriver à l’IPFPC si les cotisations syndicales n’étaient plus obligatoires ou, pire, si l’existence même de l’IPFPC prenait fin. Bonnes nouvelles : nos membres sont fiers d’être membres de l’Institut et bon nombre d’entre eux appuieraient encore notre syndicat. Ce sondage a permis de recueillir beaucoup de commentaires positifs et a été très instructif. Nous sommes dans la bonne voie.

Le président Hassan Yussuff a ensuite pris la parole pour témoigner de son soutien indéfectible à la fonction publique. Il a souligné l’excellent travail des syndicats et les progrès réalisés dans la dernière année et a parlé de l’année qui vient. Il a également salué la fin du projet de loi C-27, les nouvelles protections juridiques pour les victimes de violence familiale et les progrès que nous avons réalisés dans le dossier de l’assurance-médicaments.

Ces deux discours inspirants nous rappellent tout ce qui fait de nous un syndicat à l’avant-garde du progrès.

Regardez les vidéos des deux discours dans leur intégralité.
 


 

 

« Nous sommes des membres de toutes les régions du pays et d’une multitude d’employeurs, et personne ne peut nous arrêter quand nous sommes unis ».
 

À la 100e AGA, Debi Daviau s’est adressée aux délégués en évoquant le thème de l’AGA, À l’avant-garde, du progrès et en présentant les objectifs de l’Institut pour la prochaine année.

Regardez la vidéo ci-dessous pour découvrir nos grands objectifs : de la protection des services publics à la réduction du recours à la sous-traitance à ses niveaux de 2005‑2006 en passant par notre travail sur l’équité salariale, notamment en ce qui concerne les postes traditionnellement non ouverts aux femmes. Nous avons encore beaucoup de défis à relever pour rester à I’avant-garde du progrès.


Texte intégral du discours de la présidente.

Le 23 octobre, la présidente Daviau a rencontré la Commissaire Brenda Lucki de la GRC. Cette rencontre a été constructive, et la Commissaire s’est dite préoccupée par le bien-être de nos membres et s’est engagée à retarder le transfert de la paye des membres civils de la GRC dans Phénix jusqu’à ce que le système soit stable.

La présidente Daviau a soutenu qu’il faudra sans doute des années avant que Phénix soit stable et que l’Institut s’oppose au transfert de la paye des membres civils de la GRC dans Phénix. Elle a également exposé la position de l’Institut à cette dernière rencontre, puis de nouveau dans un courriel de suivi :

Le 6 novembre 2019

Brenda Lucki
Commissaire de la Gendarmerie royale du Canada (GRC)
Quartier général de la GRC
73, chemin Leikin
Ottawa (Ontario)  K1A 0R2

Par courriel : Brenda.Lucki@rcmp-grc.gc.ca

Madame la Commissaire,

La présente fait suite à notre rencontre du 23 octobre 2019, où vous m’avez demandé une note d’information qui résume la position et les préoccupations de l’Institut au sujet de l’éventualité du transfert de la paye de nos membres civils dans Phénix, le système de paye défectueux. Vous trouverez ci-dessous notre position à cet égard.

Nous avons eu une discussion constructive, qui augure bien pour nos futures relations de travail. Je crois que le bien-être de nos membres vous préoccupe sincèrement et que vous êtes déterminée à attendre que Phénix soit stable avant d’effectuer le transfert de leur paye. Je respecte votre position, mais je dois réitérer avec nos membres informaticiens du gouvernement que le système mettra peut-être des années à atteindre la stabilité, le cas échéant.

Au plaisir de reprendre le dialogue avec vous, peu importe le sujet.

Cordialement,

Debi Daviau
Présidente
L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Position de l’Institut :

Cela fait trois ans que nous nous battons pour aider des dizaines de milliers de membres victimes de Phénix. Il n’y a aucune raison d’exposer les membres civils (MC) de la GRC aux mêmes problèmes.

Nos membres méritent mieux et comptent sur le leadership de la Commissaire pour prendre la bonne décision, une décision logique : il ne faudrait en aucun cas transférer la paye d’autres membres de la GRC dans le système Phénix, étant donné son instabilité inhérente et son incapacité actuelle à fonctionner.

Les faits

(1) Les niveaux de performance continuent d’être bien inférieurs à la norme.

Malgré l’optimisme qu’a suscité plus tôt cette année l’amélioration du pourcentage de transactions traitées conformément à la norme de service, le niveau de performance du Centre de paye stagne à 64 % depuis six mois. La norme de service cible reste 95 %. Cela signifie qu’un mouvement de paye sur trois n’est pas traité conformément à la norme de service.

De plus, l’application des nouvelles conventions collectives imposera un fardeau supplémentaire au système de paye en difficulté. Nous prévoyons une hausse des arriérés dans les semaines et les mois à venir.

(2) Les mesures mises en place par la GRC confirment que de graves problèmes sont à prévoir.

Entre autres, des mesures sont prises pour modifier le système de paye actuel et ainsi faciliter le traitement de la paye rétroactive après l’entrée en vigueur de ces ententes, dont l’élaboration d’un script spécial qui facilite le traitement des cotisations de retraite. L’intégration des MC devrait également exiger la mise en place d’un ensemble complexe de processus et de procédures.

Malgré tous ces efforts extraordinaires, la GRC n’est pas en mesure de remédier à l’instabilité du système et à son incapacité persistante à répondre aux demandes quotidiennes les plus courantes.

(3) Phénix a déjà fait endurer beaucoup de problèmes aux fonctionnaires de la GRC.

La GRC a recensé une pointe d’arriérés de 32 840 cas en août 2018, qui était tombée à 14 867 cas le 18 septembre 2019. Avec 6 670 fonctionnaires employés par la GRC en 2018, il y a eu en moyenne cinq problèmes de paye par employé. Après un an de travail pour éliminer ces arriérés, il reste encore 14 867 problèmes de paye en souffrance, soit une moyenne de 2,25 par employé.

Ces statistiques ne reflètent pas fidèlement les implications humaines des erreurs de paye sur les employés, et nos membres civils craignent à juste titre que Phénix ne mette en péril leur sécurité financière.

La fonction publique est un moteur important de l’économie canadienne.

Partout dans le monde, les gouvernements font des compressions dans la fonction publique essentiellement pour réduire les déficits ou équilibrer les budgets, mais le résultat escompté n’est jamais au rendez-vous. En réalité, investir dans la fonction publique profite à l’économie.

Un rapport récent de l’IRIS (Institut de recherche et d’information socioéconomiques), un institut de recherche québécois, montre en effet que chaque dollar investi dans la fonction publique canadienne augmente le PIB de 1,22 M$ et profite aux économies des provinces.

Chaque dollar investi dans la fonction publique fédérale produit des retombées économiques. Au fédéral, pour chaque million de dollars investis dans la fonction publique fédérale, les retombées sont de l’ordre de 1,77 million de dollars.

Et le plus intéressant, chaque million de dollars investis dans la fonction publique fédérale de l’Alberta et de la Nouvelle-Écosse rapporte 2,26 M$ et 2,07 M$ respectivement en retombées économiques.

LIRE LE RAPPORT

Le rapport relève les tendances de l’emploi dans le secteur public depuis l’après-guerre et indique clairement que l’économie canadienne bénéficierait d’une hausse des embauches dans la fonction publique fédérale, car les 25 000 emplois supprimés par le gouvernement Harper en 2011 n’ont pas été remplacés.

Les compressions de l’ère Harper étaient malavisées, car, dollar pour dollar, les dépenses dans les services publics génèrent plus d’emplois et de croissance résiduels que les dépenses dans d’autres secteurs.

L’existence d’un grand nombre d’emplois permanents stabilise la volatilité du secteur privé et atténue la gravité des soubresauts inévitables dans les secteurs industriels tels que la transformation et l’extraction des ressources.

« Le secteur public offre un levier aux gouvernements pour atteindre le plein emploi en fournissant des emplois de qualité qui ont des effets bénéfiques sur la croissance économique en général et sur la résilience des régions moins diversifiées en particulier. »

Dans son dernier budget, le gouvernement de l’Alberta a annoncé une réduction de 7,7 % des effectifs de la fonction publique provinciale d’ici quatre ans. Cela se traduira par la perte de 1588 emplois.

Une stratégie inefficace à l’ère Harper ne sera pas plus efficace aujourd’hui en Alberta. Dans une économie déjà volatile et tributaire des ressources naturelles, les compressions dans la fonction publique exacerberont les difficultés économiques et contribueront peu à l’équilibre budgétaire.

Nous sommes solidaires des fonctionnaires de l’Alberta. Nous sommes contre l’austérité à tous les paliers de gouvernement. Et nous voulons une prospérité économique qui profite à tous les Canadiens.

Braver cette tempête Phénix est difficile, nous le savons. Nous sommes tous dans le même bateau et nous travaillons très fort pour mettre diverses ressources à votre disposition.

Nous avons révisé les mesures que vous pouvez prendre pour faire corriger les erreurs de Phénix.

Aide relative à Phénix

Nous progressons. La nouvelle entente d’indemnisation a permis aux membres de recevoir jusqu'à cinq jours de vacances payées supplémentaires. L’entente prévoit aussi une procédure d’indemnisation qui sera bientôt mise à votre disposition. Nous vous aiderons à récupérer chaque dollar qui vous est dû.

Si vous avez du mal à boucler vos fins de mois, il vous est toujours possible de demander une paye d'urgence à votre employeur. Nous sommes prêts à vous aider à l’obtenir. Nous offrons également des prêts aux membres les plus durement touchés par le fiasco Phénix.

Nous savons combien il est stressant de composer avec Phénix et combien les problèmes de paye bouleversent une vie. Votre syndicat est avec vous.

Nous voulons que vous ayez les ressources dont vous avez besoin.

Si vous vivez une crise, nous vous prions d’appeler Services de crises du Canada au

1-833-456-4566

Vous pourrez obtenir de l’aide en français et en anglais.

C’est normal de se sentir mal dans les circonstances. Il existe des services de soutien pour vous aider à corriger les erreurs de Phénix, à présenter une réclamation et à récupérer l'argent qui vous est dû, à obtenir une paye d'urgence et à parler à quelqu’un des conséquences de tous ces problèmes. Vous méritez tout le soutien dont vous avez besoin. L’aide est là, pour vous.

Nous continuerons de nous serrer les coudes pour mettre le fiasco Phénix derrière nous. Et nous continuerons de célébrer les contributions incroyables que vous apportez à notre pays malgré ces épreuves! Nous sommes bien mieux ensemble!

Discours d’ouverture de la présidente de l’IPFPC  

 

President-Debi

 

La présidente de l’Institut Debi Daviau a prononcé un discours dynamique dans les deux langues. 

 

Cette 100e AGA est un grand jalon à célébrer.  

 

Au cours de la dernière année, les membres de l’IPFPC ont multiplié les réalisations :

Nous avons conclu une nouvelle convention collective pour la plupart des membres; 

  • Nous avons obtenu un congé payé historique pour les survivants et les victimes de violence familiale; Nous avons réussi à bonifier le congé parental;Nous avons fait modifier le libellé de nos conventions collectives pour que notre droit de travailler dans un milieu exempt de harcèlement soit reconnu; Nous avons obtenu des augmentations salariales;
  • Nous avons obtenu une indemnité de 400 $ par membre pour le retard de mise en œuvre des conventions.Nous avons réussi à susciter la création du Centre de coordination des services infirmiers pour les professionnels des soins infirmiers travaillant en régions éloignées;
  • Nous avons conclu une entente sur Phénix qui accorde une semaine supplémentaire de vacances payées à chaque membre rémunéré par ce système défectueux.Nous avons fait en sorte que le gouvernement s’engage à mettre en place une nouvelle procédure qui remboursera à nos membres chaque cent qu’ils ont perdu à cause de Phénix;
  • 117 millions de dollars seront consacrés à la mise en place d’un nouveau système de paye fonctionnel;
  • L’IPFPC copréside le comité directeur chargé de superviser l’élaboration d’un nouveau système de paye;
  • Un récent sondage auprès des membres indique qu’ils sont de plus en plus satisfaits de l’Institut.

 

La présidente Daviau a cerné plusieurs priorités pour l’année à venir :

  • Appuyer les groupes qui sont toujours en négociation;
  • S’attaquer à la sous-traitance en ciblant une cause fondamentale : la dotation en personnel dans la fonction publique;
  • Assurer l’équité salariale; 
  • Lutter pour la protection des retraites en lançant une nouvelle campagne; 
  • Intégrer un bon régime de congés de maladie dans le cadre du nouveau Programme de soutien et de mieux-être des employés;
  • Travailler fort pour récupérer chaque cent dû aux membres en raison de Phénix;
  • Analyser l’incidence de l’intelligence artificielle sur l’emploi. 

 

Les membres de l’IPFPC ont 100 ans de progrès à leur actif, et nous entrons dans le siècle prochain plus forts que jamais. 

 

Maintenant, au travail!

 

Ottawa, 5 novembre 2019 — L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) tiendra sa 100e assemblée générale annuelle les 8 et 9 novembre prochains à Gatineau.

Cette AGA aura pour thème À l’avant-garde du progrès. L’Institut soulignera son centenaire en célébrant le leadership qu’exercent ses membres pour faire avancer le Canada sur la voie du progrès. 

« Quel jalon incroyable à célébrer! Nous sommes à l’avant-garde du progrès depuis 100 ans, et c’est en nous appuyant sur un siècle de réalisations que nous continuons de progresser, déclare Debi Daviau, présidente de l’Institut. Nos membres s’attendent à nous voir travailler fort, en première ligne, pour leur donner satisfaction. Et c’est exactement ce que nous faisons, aujourd’hui comme hier. »

L’Institut est fier d’accueillir Hassan Yussuff, président du Congrès du travail du Canada, qui agira à titre de conférencier principal; David Coletto, chef de la direction d’Abacus Data, présentera quant à lui les résultats du sondage réalisé auprès des membres de l’Institut.  

Événement : 100e assemblée générale annuelle

Lieu
 : Hilton Lac-Leamy — Centre des congrès Gatineau (Québec)

Dates : 8 et 9 novembre 2019

Événements médiatiques : Vendredi 8 novembre

  • 8 h 40 : Discours de Debi Daviau, présidente de l’IPFPC
  • 9 h 15 : Discours de David Coletto, PDG d’Abacus
  • 9 h 50 : Discours de Hassan Yussuff, président du CTC 

Suivez-nous sur Facebook et Twitter.

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Pour plus d’information :

Johanne Fillion : 613‑228‑6310, poste 4953 (bureau) ou 613-883-4900 (cell.), jfillion@pipsc.ca

REMARQUES

  1. Les discours prononcés à l’AGA pourront être visionnés en direct sur la page Facebook de l’Institut : https://www.facebook.com/PIPSC.IPFPC/.
  2.  Pour en savoir plus sur la 100e AGA de l’Institut professionnel, consultez la page https://www.pipsc.ca/fr/a-propos/gouvernance/aga/2019.
  3. Mot-clic : ‪#‎IPFPCAGA

Le tout premier atelier d’apprentissage de l’initiative Les femmes en sciences a réuni des femmes et des personnes non binaires qui occupent des postes à vocation scientifique dans la fonction publique fédérale. Des membres de l’ensemble des groupes et des régions se sont rencontrés pour relever les défis auxquels ces personnes sont confrontées en milieu de travail.

Cette collaboration de 30 scientifiques sur trois jours a permis de créer une nouvelle boîte à outils et quelques microprojets stratégiques.

Dès le début de l’événement, les personnes suivantes ont livré des témoignages illustrant leurs qualités de leader :

  • Rumina Velshi, présidente et chef de la direction de la Commission canadienne de sûreté nucléaire
  • Nancy Hamzawi, sous-ministre adjointe, Environnement et changement climatique Canada
  • Norma Domey, vice-présidente national à temps plein, Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Les personnes participantes ont privilégié l’emploi de solutions systémiques visant à éliminer les obstacles auxquels se heurtent les femmes dans le domaine des sciences pour créer des microprojets dans leur propre milieu de travail. Ces projets sont axés sur les priorités suivantes :

  • moderniser les politiques sur la parentalité dans la fonction publique;
  • cerner les préjugés sexistes dans le financement interne de la recherche;
  • créer un outil pour mettre en place un réseau de femmes en sciences dans les divers milieux de travail;
  • aménager des laboratoires d’apprentissage régionaux et veiller à leur développement;
  • changer la culture de l’intégrité scientifique dans une perspective d’équité, de diversité et d’inclusion;
  • plaider pour des toilettes neutres dans les lieux de travail publics;
  • mettre en œuvre un programme de mentorat Les femmes en science.

Les personnes participant au Laboratoire d’apprentissage ont également élaboré une trousse d’outils Les femmes en sciences qui donne accès à des ressources, des outils pour se faire des personnes alliées en milieu de travail et des liens vers des programmes de mentorat existants. Cette trousse d’outils répond aux obstacles répertoriés dans le rapport que l’Institut a publié en 2018, qui s’intitule Les femmes en science dans le secteur public : de l’analyse à l’action.

Restez à l’affût des mises à jour alors que l’initiative Les femmes en science lancera plusieurs microprojets dans les mois à venir!