L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Votre équipe de négociation a rencontré la partie patronale en petit comité les 5 et 6 juin dans l’espoir de conclure une entente de principe. Les pourparlers se sont poursuivis le lundi 12 juin, et les parties continuent de tenter de conclure une entente.

Le jeudi 15 juin, notre équipe s’est réunie toute la journée pour évaluer nos options et continuer à travailler à l’obtention de la meilleure convention collective possible pour tous les membres de l’Institut.

Nous vous ferons bientôt connaître les dates de nos prochaines rencontres avec la partie patronale.

À tous les membres du groupe SP,

Nous avons reçu la note de l’employeur ci-dessous concernant Phénix et un problème technique qui pourrait toucher la paye de certains membres. Même si l’employeur nous assure que tous les membres seront informés de ce problème et que toute erreur sera corrigée à la prochaine paye (28 juin 2017), nous voulons nous assurer que tous les membres SP sont au courant du problème et qu’ils vérifient qu’il n’y a pas d’erreur sur leur paye.

L’Institut est fier d’annoncer que son bureau national du 250, chemin Tremblay, à Ottawa, a obtenu la prestigieuse certification argent de BOMA BEST (Association des propriétaires et des administrateurs d'immeubles du Canada), qui reconnaît l’excellence en matière de performance énergétique et de gestion environnementale d’immeubles à usage commercial. BOMA BEST est le programme d’évaluation et de certification environnementale d’immeubles le plus important du Canada.

Chris Paul and Dennis Britt
Chris Paul, de Colonnade Bridgeport (gestionnaire immobilier du bureau national) et Dennis Britt, directeur des Services généraux de l’Institut.

Le bureau national de l’Institut avait déjà obtenu la certification de bronze par le passé. Ces certifications de BOMA BEST confirment non seulement la qualité de l’immeuble, mais également le soin avec lequel l’Institut gère ce précieux actif au nom de ses membres. Les professionnels de l’immobilier, dont ceux qui sont employés au gouvernement fédéral, prennent le programme BOMA BEST comme référence lorsqu’ils évaluent des immeubles pour des locataires potentiels.

Le Conseil des délégués syndicaux de la Région de l’Ontario a eu lieu les vendredi et samedi 15 et 16 septembre 2017 à l’hôtel Westin Prince situé au 900, rue York Mills, à Toronto. Le Conseil durera un jour et demi, soit à compter du vendredi à 13 h; les inscriptions se feront à partir de midi ce jour-là. L’assemblée se poursuivra toute la journée du samedi, soit de 9 h à 17 h. Aucune activité organisée n’est prévue le samedi soir.

Chaque jour, les professionnels de calibre mondial de la fonction publique canadienne font face à des défis en constante évolution sur le plan de l’environnement, de l’économie, de la sécurité et de la santé.

Ces défis, ils les relèvent avec brio, ce qui leur attire le respect du monde entier.

On reconnaît les professionnels canadiens comme des chefs de file dans les domaines suivants :

À tous les membres du groupe VFS,

Bonjour,

Nous avons rencontré les présidents respectifs du sous-groupe VFS et de la zone CS, qui nous ont confirmé qu’ils appuient sans réserve la poursuite de notre combat pour une réforme majeure de la classification. Nous pouvons aller de l’avant forts d’un mandat clair.

Les recommandations relatives à Services partagés Canada (SPC) d’un récent rapport, encore une fois préparé par des consultants, montrent que le secteur privé n’est jamais avare de conseils en matière de sous-traitance au gouvernement du Canada. L’Examen de l’harmonisation des ressources de Services partagés Canada (SPC), entamé l’an dernier au coût de 1,35 M$ par Gartner Canada Inc., critique le gouvernement pour avoir largement sous-estimé « la taille, l’échelle et la complexité » de ses projets de TI. Gartner Canada entreprend ensuite de recommander plusieurs changements, dont la création d’un groupe de travail multidisciplinaire sur la transition de SPC formé de représentants de l’industrie et de cadres supérieurs du gouvernement, qui ferait office de « soupape de sécurité » en permettant aux ministères de trouver des solutions de rechange quand SPC ne suffit pas à la tâche, et la nécessité d’envisager de donner une nouvelle structure à SPC, telle que celle d’une agence, d’une société de la Couronne, d’un partenariat stratégique ou d’une entreprise commune. Toutes ces « solutions », si elles étaient adoptées, favoriseraient encore plus la sous-traitance des services que maintenant.

Il me semble qu’hier encore la ministre des Services publics et de l’Approvisionnement se levait à la Chambre des communes pour soutenir que SPC ne serait pas autorisé à externaliser près du tiers de ses effectifs, en dépit des recommandations du rapport de PricewaterhouseCoopers de 2014, commandité par SPC. Ce rapport-là mérite lui aussi de rester sur une tablette.

Après avoir réussi à négocier un libellé plus explicite pour protéger les membres CS des répercussions de la sous-traitance, quelle cruelle ironie de voir suggérer dans ce rapport l’externalisation encore plus généralisée par SPC des services de la fonction publique, plus encore que ce que le gouvernement Harper proposait! Et tout cela à la suite de la promesse de 2015 du gouvernement libéral de réduire ses dépenses en consultants externes à leurs niveaux de 2005-2006...

Le fait que le rapport Sommaire de gestion (le rapport complet n’a pas été rendu public) mentionne pas moins de 34 cas où l’information a été censurée est également troublant. Le gouvernement ne fait donc pas connaître la totalité de l’information et des recommandations sur lesquelles le rapport est fondé. L’Institut a déposé une demande d’accès à l’information pour en savoir plus.

Cette révélation suit de peu la diffusion d’un autre rapport, tiré d’un sondage auprès des employés de SPC mené en 2016 par Ipsos Affaires publiques, qui conclut notamment que la sous-traitance a contribué à fortement démoraliser les employés du Ministère, corroborant ainsi les conclusions de notre propre sondage de 2015.

La sous-traitance s’avérait un échec à cette époque et en est toujours un maintenant. Les dépassements de coûts chroniques, les retards et les autres problèmes liés notamment au regroupement des systèmes de courriel, au site Web canada.ca et au projet de transformation de la paye sont toujours là pour nous le rappeler.

Quand on pense « sous-traitance », un nouveau fiasco Phénix n’est jamais bien loin.

Le gouvernement devrait arrêter de recourir excessivement à la sous-traitance et commencer à écouter ses employés, notamment en investissant dans leur perfectionnement professionnel et dans les ressources dont ils ont besoin pour rendre SPC efficace. Le succès se trouve à l’interne et non dans des compagnies externes.

L’Institut écrira au président du Conseil du Trésor, Scott Brison, pour lui expliquer en détail ses préoccupations et prendra tous les moyens possibles pour que le rapport Gartner ne se réalise jamais.

Bien mieux ensemble!

Debi Daviau

Présidente