L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Le 21 juin, nous marquerons la Journée nationale des peuples autochtones — une occasion pour nous tous de célébrer les cultures des Premières nations, des Inuits et des Métis.

De nombreux groupes autochtones célèbrent leur culture et leur héritage durant le solstice d’été. Cette journée nous donne la chance de mieux connaître les difficultés uniques qu'ils ont dû surmonter au fil des ans.

Nous vous encourageons à agir dès maintenant pour soutenir les peuples autochtones :

  • Faites des recherches pour déterminer à qui appartiennent les terres sur lesquelles vous vous trouvez : l’outil Whose Land (en anglais seulement) vous indiquera quelles terres colonisées vous occupez.
  • Soutenez les entreprises et les services autochtones : trouvez un commerce local où vous pouvez faire vos achats en ligne ou en personne, en respectant les règles de distanciation physique.
  • Assistez aux célébrations virtuelles de la Journée nationale des peuples autochtones : avec votre famille, vos amis et vos collègues. Consultez le site summersolsticefestivals.ca (en anglais seulement); vous y trouverez de bonnes idées.
  • Renseignez-vous sur l’histoire et la culture des peuples autochtones : découvrez leur histoire, leur langue, leurs pratiques culturelles et leurs croyances spirituelles uniques.

Le Canada s’est engagé dans un processus de vérité et réconciliation avec les peuples autochtones, et cet engagement nécessite que nous mettions tous la main à la pâte.

Pour en savoir plus, contactez Greg Scriver, représentant autochtone du Congrès du travail du Canada, à gscriver@pipsc.ca.

Les communautés LGBTQ2+ et leurs organismes alliés ont commencé à organiser des événements en ligne pour marquer la Fierté 2020 – et nous voulons élever vos voix.

Les célébrations de la Fierté dans tout le pays ont été déplacées de nos rues vers l’internet, mais nous sommes toujours aussi fiers. Et lorsque le moment sera venu, nous nous retrouverons tous ensemble, côte à côte, pour lutter en faveur de communautés inclusives et sûres.

Partagez vos photos avec nous en utilisant notre mot-clic #FierteIPFPC sur Facebook et Twitter ou envoyez-nous un courriel à bienmieuxensemble@ipfpc.ca d'ici le 25 juin.

Nous les partagerons de nouveau pour élever votre voix, diffuser votre message ou faire connaître votre activité de la Fierté! 

Le nom d'une personne qui aura partagé ses photos sera tiré au sort pour gagner une œuvre d’art d’un(e) artiste LGBTQ2+ du Canada.

Avec autant de réunions se déroulant maintenant en ligne, vous pouvez afficher votre fierté et votre solidarité en utilisant notre arrière-plan numérique de la fierté ou notre affiche de la fierté. Nous avons également créé des pages à colorier de la Fierté pour toute la famille.

Nous vous recommandons également de jeter un coup d’œil sur ce que fait le Congrès du travail du Canada pour les communautés LGBTQ2+.

Cliquez ici pour en savoir plus sur notre Comité des droits de la personne et de la diversité.

Nous ne sommes pas pressés de voir nos membres retourner à leur lieu de travail tant que toutes les précautions n’auront pas été prises et que les autorités sanitaires n’auront pas donné leur aval.

Depuis plusieurs semaines, l’IPFPC est en discussion avec le Secrétariat du Conseil du Trésor concernant les lignes directrices qui régiront le retour au travail de ses membres. La date de ce retour n’a toujours pas été fixée.

Nous ne voyons pas de raison de jeter la prudence aux orties et de renvoyer les gens dans leurs lieux de travail alors qu’ils ont été si productifs à domicile. Nous vivons dans un monde virtuel et les fonctionnaires ont prouvé leur capacité à demeurer productifs tout en travaillant à distance.

En aucune circonstance n’allons-nous permettre que votre sécurité soit compromise; il faudra donc peut-être attendre encore quelque temps avant de retourner à votre lieu de travail. Les ministères doivent faire preuve de transparence et collaborer avec nos représentants pour mener à bien leurs projets de réouverture des lieux de travail.

Nous ne sommes pas encore convaincus que des mesures de santé et de sécurité adéquates ont été mises en place, notamment pour assurer la distanciation des employés et l’assainissement des espaces communs tels que les salles de bain et les cuisines, ou même la sûreté des systèmes de ventilation et de la circulation d’air dans les espaces de travail.

Nous allons maintenir la pression pour que ceux et celles qui ont continué de travailler en première ligne dans leurs lieux de travail habituels reçoivent de l’équipement de protection individuelle (EPI) adéquat et puissent refuser de travailler si leur sécurité est compromise.

Pour les parents, l’équilibre entre le travail et la garde des enfants est une source énorme de stress. Pour alléger le fardeau des familles, le code de congé 699 doit leur être accessible lorsque les garderies et les écoles sont fermées, à participation volontaire ou ouvertes à un nombre limité d’enfants.

Là où les écoles et les garderies ont rouvert leurs portes, les familles qui ne sont pas à l’aise d’y envoyer leurs enfants devraient continuer de bénéficier de ce congé. Nous demandons que les fonctionnaires puissent utiliser le code de congé 699 jusqu’au début de la prochaine année scolaire afin de faciliter toutes les négociations requises.

Nous nous battrons pour que le congé dont vous avez besoin soit mis à votre disposition. Vous ne devriez pas avoir à choisir entre un chèque de paye et vous occuper de vos enfants!

Il va sans dire que l’employeur doit respecter les conventions collectives et toutes les lois applicables. Nous allons également déterminer les mesures temporaires qui pourraient être nécessaires, en plus des dispositions des conventions collectives actuelles, pour nous adapter à la nouvelle réalité de la COVID-19.

Il faudra peut-être trouver des occasions de mettre à l’essai des solutions novatrices d’assouplissement des horaires de travail. Il se peut qu’il n’y ait pas de solution unique pour tous à l’avenir. Une solution appropriée à un endroit peut ne pas convenir à toutes les situations, car les exigences en matière d’installations varient grandement selon les régions, les professions et les lieux de travail. Quelle que soit votre situation, nous serons là pour vous aider!

Philippe a toujours voulu être chimiste quand il était petit. Changer des particules et expérimenter des solutions ont toujours suscité son intérêt.

Mais il ne se doutait pas qu’il deviendrait ingénieur à l’Agence spatiale canadienne (ASC) et qu’il participerait à des innovations spatiales passionnantes. Même s’il ne fait pas de chimie tous les jours, il adore son travail.

« Je suis surtout chargé d’examiner les projets spéciaux à l’ASC pour que tous les paramètres de projet soient respectés, explique-t-il. Ça me permet de garantir aux Canadiens que tous les projets répondent à leurs besoins ».

 

Philippe travaille souvent sur des projets spatiaux de lancement et de surveillance de satellites qui nous fournissent d’importantes données de navigation. Grâce à ces satellites, les systèmes GPS et autres systèmes radars deviennent encore plus précis, aussi bien pour la randonnée pédestre ou à vélo que pour les déplacements quotidiens en voiture.

Il aime travailler avec son équipe pour veiller à ce que la science publique améliore la qualité de la technologie spatiale.

Philippe est également un délégué syndical de l’Institut. Il aide ses collègues à comprendre leur convention collective et il est là pour les soutenir lorsqu’ils our elles ont des problèmes au travail.

Selon lui, l’un des grands privilèges d’être membre d’un syndicat, c’est d’avoir accès à la technologie et aux ressources qui optimisent ses capacités.

« À l’agence spatiale, nous sommes privilégiés, car nous avons accès aux programmes spéciaux et aux ressources dont nous avons besoin ».

Au chapitre de l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle, Philippe apprécie également la sécurité que procure l’adhésion à un syndicat.

« Faire partie d’une institution comme l’IPFPC nous permet d’être bien représentés pour avoir de bonnes conditions de travail, explique-t-il. À la dernière ronde de négociations, le syndicat a réussi à négocier un programme de mieux-être qui porte sur la violence au travail. Cette sécurité, nous ne l’aurions pas sans l’IPFPC ».

Travailler dans un environnement sain et sécuritaire permet à Philippe et à son équipe d’accomplir avec confiance le travail que les Canadiens et Canadiennes trouvent important.

Il reconnaît que la recherche joue un rôle important pour asseoir notre leadership en technologie spatiale. Plus précisément, la mission de la Constellation RADARSAT de l’ASC sert à améliorer la navigation et la détection des navires pour la Défense nationale du Canada.

« Ma plus grande fierté en carrière, c’est d’avoir été affecté au centre d’exploitation de satellites de l’agence spatiale. C’est un projet dont la réalisation a pris des années. Nous avons entrepris de nombreuses opérations et lancé des satellites qui, ensemble, ont amélioré notre travail sur la mission de la Constellation RADARSAT ».

Tous les jours, Philippe et son équipe travaillent dans l’intérêt public au développement des innovations spatiales qui créeront un plus bel avenir à tous les Canadiens et Canadiennes, et leur donneront un meilleur accès aux technologies fiables.

OTTAWA, le 5 juin 2020 — L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) demande au gouvernement de l’Ontario de corriger les erreurs flagrantes de son programme de prime de pandémie et d’y inclure les radiothérapeutes de première ligne qui traitent des patients vulnérables dans les centres de cancérologie de l’Ontario pendant la crise.

« Nous sommes très fiers de nos radiothérapeutes qui travaillent en première ligne pendant cette pandémie, déclare Debi Daviau, présidente du syndicat. Ils sont exposés à la COVID-19 au travail. Ils risquent non seulement leur propre vie, mais aussi celle de leurs proches. »

Les radiothérapeutes sont soumis aux mêmes exigences de l’état d’urgence de l’Ontario que les autres travailleurs de la santé considérés comme admissibles à la prime de pandémie. Ces travailleurs essentiels ne peuvent pas refuser de traiter des patients soupçonnés d’avoir contracté la COVID-19, ou dont l’infection est confirmée. Ils prennent toutes les précautions possibles et portent en tout temps un équipement de protection individuelle (EPI). 

L’Association des hôpitaux de l’Ontario, de nombreux chefs de la direction d’hôpitaux ainsi que des organisations d’employeurs et d’employés ont demandé au gouvernement d’élargir la prime de pandémie à tous les travailleurs hospitaliers de première ligne, mais ces demandes sont restées lettre morte.

« Ce n’est pas uniquement une question de rémunération, poursuit Mme Daviau. Il s’agit aussi de respect et de reconnaissance pour les services essentiels exécutés par ces travailleurs pendant la crise. Les patients atteints de cancer constituent une population d’autant plus vulnérable que nous sommes en temps de pandémie. Cette décision est plus que décevante — elle est carrément bouleversante pour nos membres qui ont traité des patients à risque tout au long de cette crise. Ils méritent la même reconnaissance que les autres professionnels de la santé qui touchent cette prime. »

L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada représente quelque 60 000 fonctionnaires professionnels partout au Canada, dont des radiothérapeutes travaillant au Juravinski Cancer Centre, au Walker Family Cancer Centre ainsi que dans les hôpitaux de Sunnybook, Thunder Bay et Windsor. Suivez-nous sur Facebook et Twitter.

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Source : Johanne Fillion, 613-883-4900 (cellulaire), jfillion@pipsc.ca

Le Caucus des employés fédéraux noirs (CEFN) souhaite répondre aux préoccupations des fonctionnaires concernant le racisme anti-Noir et le manque d’avancement professionnel. L’IPFPC a participé aux activités du Caucus et aux efforts de sensibilisation pour cerner et supprimer les obstacles qui empêchent tout fonctionnaire de s’investir pleinement dans son travail et d’atteindre ses objectifs.

Le Caucus a décidé de mener un sondage pour mieux comprendre les expériences des fonctionnaires noirs. Il s'inspirera des résultats pour éclairer ses travaux visant à accroître la diversité et l’inclusion sur le plan de l’avancement professionnel dans les lieux de travail fédéraux. Norma Domey, BSc, MSc, DTM, et vice-présidente nationale de l'IPFPC, représente nos membres de par ses fonctions avec le comité-conseil syndical du CEFN.

C’est la première fois qu’un sondage s’adresse exclusivement aux employés de la diaspora noire et africaine au sein de la fonction publique fédérale canadienne.

Si vous êtes un fonctionnaire fédéral noir ou issu de la diaspora africaine, nous vous encourageons à y répondre.

RÉPONDRE AU SONDAGE

Vous avez jusqu’au 30 juin 2020 pour le remplir.

Vos réponses demeureront anonymes et tous les renseignements recueillis seront strictement confidentiels.

Si vous avez des questions, adressez-les à members@fbec-cefn.ca.

 

Nous sommes à la fois surpris et déçus par la  décision (en anglais seulement) du gouvernement Ford de ne pas élargir l’accès à la prime de pandémie versée aux fonctionnaires considérés comme admissibles. Cette décision contredit complètement la déclaration faite le 14 mai 2020 par Christine Elliott, ministre de la Santé, lorsqu’elle a dit aux Ontariens que le ministère s’appliquait à dresser la liste complète des personnes admissibles pour s’assurer que « tous ceux et celles qui devraient toucher la prime de pandémie la recevront ».

Nous sommes très fiers de nos radiothérapeutes qui travaillent en première ligne pendant cette crise. Vous êtes soumis aux mêmes exigences de l’état d’urgence de l’Ontario que les autres travailleurs de la santé considérés comme admissibles à la prime de pandémie. En tant que travailleurs essentiels, vous ne pouvez pas refuser de traiter des patients soupçonnés d’avoir contracté la COVID-19. Vous prenez toutes les précautions possibles, triez les patients et portez un équipement de protection individuelle (EPI). À l'instar des autres travailleurs de la santé, les radiothérapeutes sont exposés à la COVID-19 au travail.

À la suite de l’annonce de la prime de pandémie, Debi Daviau, présidente de l’IPFPC, a (seulement en anglais) écrit à Doug Ford, premier ministre de l’Ontario, à Christine Elliott, sa ministre de la Santé, et à Peter Bethlenfalvy, président du Conseil du Trésor. Des appels ont également été passés à leurs bureaux et à des responsables clés du gouvernement.

Nous avons également pris contact avec d’autres groupes et syndicats représentant des travailleurs hospitaliers de l’Ontario qui n’ont pas été sélectionnés pour recevoir la prime, notamment le Syndicat des employés de la fonction publique de l’Ontario (SEFPO) et l’Ontario Association of Medical Radiation Sciences (OAMRS).

Le 6 mai 2020, l’IPFPC a lancé une campagne d'envoi de courriels au premier ministre (en anglais seulement). Les membres ont été invités à écrire au premier ministre et aux principaux ministres de son cabinet afin d'exprimer leurs préoccupations quant au fait qu'ils sont exclus du programme de versement de la prime. Merci à tous ceux et celles qui l'ont fait.

De nombreux présidents d’hôpitaux, directeurs généraux et organisations d’employeurs se sont aussi prononcés en faveur de l’octroi de la prime de pandémie aux radiothérapeutes et à d’autres travailleurs de la santé :

  • Jean Bartkowiak, président et directeur général du Centre régional des sciences de la santé de Thunder Bay, a écrit au premier ministre (en anglais seulement) pour lui demander d'élargir le versement de la prime de pandémie à tous les employés des hôpitaux, à l’exception des directeurs généraux.
  • David Musyj, président et directeur général de l’hôpital régional de Windsor, a lui aussi écrit au premier ministre et s’est prononcé publiquement (en anglais seulement) en faveur du versement de la prime de pandémie à tous les travailleurs de la santé de première ligne.
  • Les huit directeurs généraux des hôpitaux de Hamilton, Niagara, Haldimand, Brant et Burlington ont publié une lettre publique (en anglais seulement) pour que la prime « s’applique à tous les employés des hôpitaux afin d’assurer une reconnaissance équitable de leur travail ».

L’Association des hôpitaux de l’Ontario et plusieurs organisations œuvrant dans le domaine de la santé ont envoyé une lettre publique (en anglais seulement) au premier ministre, avec copie à la ministre de la Santé, au président du Conseil du Trésor et aux responsables clés, pour exhorter la province à accélérer et élargir le versement de la prime de pandémie à tout le personnel de première ligne qui n’exerce pas de fonctions de gestion « pour reconnaître les services essentiels fournis et l’effort collectif requis dans la lutte contre la COVID-19 ».

Malgré tous les soutiens en faveur de l’élargissement de la prime de pandémie, les demandes adressées au gouvernement Ford sont restées lettre morte.

Cette décision est plus que décevante — elle est carrément bouleversante pour nos membres qui ont fait un travail d’une grande importance dans les centres de cancérologie de l’Ontario tout au long de cette crise. Vous méritez la même reconnaissance que les autres professionnels qui touchent cette prime dans votre hôpital. Nous ferons tout pour faire valoir nos arguments à cet égard dans le cadre des prochaines négociations collectives.

Depuis la mi-mars, l’équipe de l’IPFPC travaille d’arrache-pied pour défendre les intérêts de tous les membres à la lumière des changements brusques provoqués par la COVID-19.

Dans cette vidéo, Debi Daviau, présidente de l’IPFPC, informe les membres de la fonction publique fédérale de tout ce que nous avons fait pour défendre leurs intérêts à ce jour.

Elle explique également comment l’IPFPC s’est adapté pour servir ses membres à distance, en plus de faire brièvement le point sur les activités syndicales.

Nous tenons à remercier nos membres de tout le travail remarquable qu’ils ont accompli au nom des Canadiens dans ces circonstances extraordinaires.

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Cette semaine, nous avons été témoins de l’effet dévastateur du racisme anti-Noir.

Trop de personnes et de communautés au Canada demeurent aux prises avec le racisme et l’injustice. Notre Comité des droits de la personne et de la diversité (CDPD) s’efforce de régler les problèmes de la communauté noire dans la fonction publique.

L’IPFPC doit être un lieu sûr et propice à l’inclusion. Cela ne peut se produire que si nous prenons individuellement et collectivement des mesures nécessaires pour perturber et démanteler les systèmes qui perpétuent le racisme et l’oppression.

L’IPFPC et le CDPD sont déterminés à mener à bien cette entreprise et à s’investir activement dans l’écoute, l’apprentissage et la collaboration nécessaires pour tracer ensemble une meilleure voie vers l’avenir.

« Les membres noirs de l’IPFPC m’ont contacté pour me faire part de leur expérience du racisme, tant au travail que dans notre syndicat. Ils ont été choqués quand je leur ai fait part de toutes les années où j’ai dû faire face au racisme anti-Noir. Nous devons nous épauler mutuellement et savoir que nous ne sommes pas responsables de cette injustice », a déclaré Jennie Esnard, présidente du CDPD. « Nous sommes une communauté compatissante et nous ne devons pas oublier qu’il est important de se tendre la main et de se soutenir mutuellement; nous devons reconnaître que la situation actuelle est inacceptable et nous engager à dénoncer le racisme sous toutes ses formes. »

Nous sommes tous très attachés à l’équité et à l’inclusion. Nous reconnaissons que nous avons du travail à faire au sein de notre système. Nous nous sommes engagés à relever le défi d’examiner les privilèges et de déterminer comment susciter des changements qui permettront d’éliminer le racisme dans notre organisation. Nous nous sommes engagés à créer des milieux de travail où chacun a la possibilité d’apprendre et de travailler dans le respect et d’avoir un sentiment d’appartenance.