L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Avec la triple menace que constituent la grippe, la COVID-19 et le virus respiratoire syncytial (VRS) qui remplit les salles d’urgence et les hôpitaux pour enfants de tout le pays, l’IPFPC rappelle au Conseil du Trésor de donner la priorité à la santé et à la sécurité de ses travailleuses et travailleurs.

La semaine dernière, The Ottawa Citizen et Options Politiques faisaient état de plans visant à mettre en place une formule unique, pour le retour au bureau des fonctionnaires fédéraux·les. Cette nouvelle est tombée malgré les préoccupations qui émergent actuellement, en matière de santé publique, et malgré le fait que le Conseil du Trésor s’était engagé à continuer de consulter les syndicats et à mettre en œuvre des plans  adaptés à chaque ministère.

Nous sommes l’un des plus importants agents négociateurs du Conseil du Trésor, et nous avons été surpris d’entendre des rumeurs selon lesquelles il voudrait imposer un plan unique de retour de nos membres sur leur lieu de travail.

En effet, selon les spéculations, un mandat de deux à trois jours de travail au bureau serait exigé pour tous les fonctionnaires fédéraux·les.

Depuis, le Conseil du Trésor a confirmé qu’aucune annonce n’est à venir. C’est néanmoins inquiétant, car il semble que cette approche ait été envisagée, et nous ignorons quels seront les plans à plus long terme du Conseil du Trésor.

L’IPFPC continue de surveiller ce dossier de près et de solliciter les commentaires de ses membres pour savoir ce qu’elles et ils aimeraient avoir comme plan de retour sur le lieu de travail. Les membres sont d’avis que toute politique qui les obligerait à travailler en présentiel pendant un certain nombre de jours se doit d’avoir un objectif clair. Beaucoup de membres de l’IPFPC sont également préoccupé·es par leur santé et leur sécurité et par le fait qu’il n’y a pas assez d’espace pour répondre adéquatement à un ordre de retour massif au travail.

Outre les préoccupations en matière de santé et de sécurité, nos membres ont déterminé que le travail à distance était un enjeu majeur qu’il fallait négocier lors des rondes de négociations actuelles et à venir. L’IPFPC a des propositions à cet égard et s’attend à ce que le Conseil du Trésor et d’autres employeurs s’engagent dans des négociations collectives à ce sujet.

Nos membres ont prouvé, au cours des deux dernières années et demie, que le fait de travailler à domicile en toute sécurité ne diminue en rien leur productivité et leur engagement. L’IPFPC continue de plaider en faveur de l’adoption de politiques de retour sécuritaires et flexibles pour l’ensemble des membres.

Nous invitons les membres qui doivent retourner sur leur lieu de travail et qui ont des inquiétudes à consulter cette page Web pour obtenir de plus amples renseignements. En outre, les membres qui ont des préoccupations propres à leur lieu de travail devraient communiquer avec un·e délégué·e syndical·e ou leur comité de la santé et de la sécurité au travail.

Ottawa, le 8 décembre 2022 — L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC), un syndicat représentant plus de 70 000 fonctionnaires fédéraux et provinciaux, a déployé des panneaux publicitaires dans des endroits stratégiques pour exhorter le gouvernement Ford à respecter les travailleuses et travailleurs de première ligne et à abroger la loi 124. La circonscription de Sylvia Jones, ministre de la Santé, fait partie des espaces ciblés puisque cette dernière a défendu la loi 124, malgré l’opposition générale du public et l’invalidation du tribunal, en vertu de dispositions inconstitutionnelles. 

Billboard - Repeal Bill 124. A message to Doug FordLes panneaux publicitaires ont été affichés dans la foulée de la décision du 29 novembre de la Cour supérieure de l’Ontario, qui a invalidé la loi. La Cour a conclu que cette loi, qui plafonnait à 1 % les augmentations de salaires et d’avantages sociaux des infirmiers et infirmières autorisées, des infirmiers et infirmières praticiennes, des professionnel.le.s de la santé et des autres fonctionnaires, constituait une « atteinte substantielle » aux droits de négociation collective garantis par la Charte des droits.

« Il s’agit d’un jugement important », déclare Jennifer Carr, présidente de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada. « Cette décision représente une victoire historique pour les fonctionnaires et renforce le fait que nos droits à la négociation collective libre et équitable ne peuvent pas simplement être supprimés par des gouvernements qui ne veulent pas négocier ou donner des salaires décents à leur personnel de première ligne, épuisé de surcroît. » 

L’IPFPC, ainsi que d’autres syndicats et la Fédération du travail de l’Ontario, qui représentent ensemble des centaines de milliers de membres affectés par cette loi anticonstitutionnelle, intensifient la pression sur le gouvernement Ford dans l’espoir de l’empêcher de faire appel de cette décision historique.

« Depuis trop longtemps, le premier ministre Doug Ford et la ministre de la Santé Sylvia Jones ont ignoré les appels à l’aide du personnel de la santé surchargé de travail et sous-payé en forçant l’adoption de la loi 124 », poursuit la présidente Carr. « Ces affiches publicitaires rappellent que non seulement le public soutient le personnel de première ligne contre cette loi irrespectueuse qui les appauvris, mais que c’est aussi le cas des tribunaux. Compte tenu de la décision de la Cour, du travail que font ces travailleuses et travailleurs pour assurer le bon fonctionnement de la province et de l’appui massif de la population, le gouvernement Ford doit renoncer à faire appel et abroger le projet de loi 124. » 

L’IPFPC représente plus de 70 000 membres à travers le Canada. En Ontario, l’IPFPC représente des centaines de professionnel.le.s de la santé travaillant dans les centres anticancéreux du Sunnybrook Health Sciences Centre à Toronto, du Juravinski Cancer Centre à Hamilton, du Walker Family Cancer Centre à Niagara, de l’hôpital régional de Windsor et du Thunder Bay Regional Health Sciences Centre. Notre syndicat représente également les physicien.ne.s médicaux de tout l’Ontario et les professionnel.le.s des TI de l’Université d’Ottawa, qui sont touché.e.s par la loi 124. 

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Pour plus d’information : Johanne Fillion, 613-883-4900 (cellulaire), jfillion@pipsc.ca

Le 29 novembre 2022, la présidente du Conseil du Trésor, Mona Fortier, a annoncé la nomination d’un groupe d’experts chargé de revoir la Loi sur la protection des fonctionnaires divulgateurs d’actes répréhensibles (LPFDAR).

L’IPFPC se félicite de cette révision et demande depuis longtemps des améliorations à la loi existante. Nous avions précédemment fait part de nos commentaires sur la mise à jour de la LPFDAR au Comité permanent des opérations gouvernementales et des prévisions budgétaires de la Chambre des communes en février 2017; il a fallu beaucoup de temps au gouvernement pour avancer sur cette question essentielle.

Les gens comptent sur les services fournis quotidiennement par nos membres pour rendre leur vie plus sûre, plus saine et plus prospère. Bien que rare, la divulgation d’actes répréhensibles doit également être considérée comme un service rendu à nos concitoyens. Lorsqu’un professionnel de la fonction publique a essayé toutes les autres voies possibles pour résoudre un problème important, mais que ses préoccupations sont rejetées par les autorités supérieures, il agit avec intégrité et honnêteté, conformément à son engagement à protéger et à servir le bien collectif.

Malheureusement, pour un trop grand nombre de scientifiques, dénoncer, c’est aussi sacrifier sa carrière pour le bien collectif.  Il ne devrait pas en être ainsi. Nous devons veiller à ce qu’il n’y ait pas d’obstacles insurmontables sur la route de ces professionnels courageux et éthiques de la fonction publique.

Nous sommes également très fiers que le directeur des Relations du travail de l’Institut, David Yazbeck, ait été nommé au sein du groupe d’experts. David apporte des dizaines d’années d’expérience en droit du travail et une connaissance approfondie des questions en jeu, et nous sommes très heureux qu’il ait été reconnu comme un véritable expert en la matière par le gouvernement.

Nous sommes impatients de collaborer avec le groupe d’experts pour réviser la loi en vue de la mise en œuvre de recommandations qui protégeront non seulement les dénonciateurs lorsqu’ils se manifestent, mais aussi les intérêts du public canadien en général.

OTTAWA, le 28 novembre 2022 – Dans le projet de loi déposé le 24 novembre, le gouvernement conservateur de Blaine Higgs s’en prend aux membres de la fonction publique et à leur droit de mener des négociations collectives équitables et d’exercer des moyens de pression au travail. Ce projet de loi entérine des règles injustes concernant l’annonce de moyens de pression, donne au gouvernement la possibilité de faire appel à des briseurs de grève non syndiqués et lui donne plus de pouvoir pour modifier les horaires de travail du personnel occupant des postes essentiels.

« Ce projet de loi est une attaque directe contre les membres de la fonction publique », déclare  Jennifer Carr, la présidente de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC). « Ces gens ont travaillé sans relâche pour assurer la prestation de services essentiels à la population du Nouveau-Brunswick, en particulier au cours de la pandémie. »

Ce texte législatif intervient quelques semaines seulement après que le premier ministre conservateur de l’Ontario, Doug Ford, ait fait adopter puis rapidement abroger un projet de loi controversé et contestable sur le plan constitutionnel en Ontario. Le projet de loi 28 a tenté non seulement d’effacer les droits durement acquis par les éducatrices et les éducateurs du SCFP, mais aussi de les forcer à accepter une entente injuste.

« Les gouvernements conservateurs de tout le pays s’attaquent aux droits constitutionnels des travailleuses et travailleurs, et ils commencent par celles et ceux de la fonction publique. Nous savons que toute attaque contre les droits d’un groupe est le signe que d’autres vont suivre », ajoute Mme Carr. « Nous devons nous lever, dénoncer ce projet de loi, et pousser le gouvernement à abandonner ce programme anti-travailleurs. »

Au Nouveau-Brunswick, l’IPFPC représente des procureur(e)s de la Couronne, des avocat(e)s de la Couronne, des employé(e)s des services d’aide juridique, des agronomes et des agrologues, des ingénieur(e)s, des architectes, des arpenteurs(-teuses) ainsi que des vétérinaires et des pathologistes vétérinaires.  

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Pour plus d’information : Johanne Fillion, 613-883-4900 (mobile), jfillion@pipsc.ca

Remise de 2 Coupes Héritage

La présidente de l’IPFPC et de la Fondation Héritage, Jenn Carr, remercie les membres de toutes les régions pour la collecte de fonds destinés à la Fondation.

Cette compétition amicale entre régions de l’IPFPC a été lancée à l’AGA de 2014 pour récompenser la région qui recueille le plus d’argent par personne pour les bourses d’études de cette année-là.

La région gagnante reçoit la « Coupe Héritage », en plus d’une bourse supplémentaire à accorder à un étudiant local.

Un gros merci aux membres de toutes les régions d’avoir relevé le défi encore une fois et contribué généreusement à cette noble cause.

La présidente Carr et la directrice Stacy McLaren ont remis la Coupe Héritage de cette année à Dean Corda, directeur par intérim de la Région de la C.-B. et du Yukon.

BC/Yukon Region

Au nom de sa Région, Dean Corda lance un défi aux autres régions : tenter d’amasser assez de fonds pour reprendre la Coupe à la Région de la C.B. et du Yukon à l’AGA 2023.

Pour la première fois, la « Coupe Héritage » a été décernée au groupe de négociation -- le groupe ACIA-S&A -- pour avoir collecté le plus d'argent lors de la compétition des groupes de négociation. Fred Jamieson, président du groupe ACIA-S&A, a accepté la Coupe de l'héritage au nom de son groupe.  Une bourse d'études supplémentaire sera attribuée à l'enfant d'un membre du groupe ACIA-S&A en 2023.

CFIA-S&A

Nous faisons une différence dans la vie des jeunes Canadiens. Ils représentent l’avenir de ce pays.

Nous sommes Bien mieux ensemble.

Tous les détails au www.ipfpc.ca/heritage.

 

 

 

La Fondation Héritage et le programme de bourses d’études 

Les délégués visionnent une vidéo sur les nouvelles de la Fondation Héritage de l’Institut et qui comporte un aperçu des profils des lauréats des bourses d’études de cette année.  

Pendant plus de 20 ans, l’Institut a recueilli des fonds pour aider les enfants de partout au pays. Il donne les moyens à des enfants de réaliser leurs rêves, finance des programmes qui changent la vie d’enfants amputés et, surtout, décerne des bourses d’études à des enfants méritants.

Cette année, nous avons remis 35 bourses d’études d’une valeur totale de 55 000 $. 

À ce jour, 577 étudiants ont reçu plus de 1 105 000 $ en bourses.

Nos bourses d’études sont financées par des dons généreux de membres individuels, d’organismes constituants et de commanditaires.

Nous pouvons tous venir en aide à une nouvelle génération de jeunes professionnels et marquer leur vie de façon positive.

FAITES UN DON

Bourses d'études du Fonds des fondateurs

Bourse d'études de 1 500 $ offerte par le groupe Technologies de l’information (TI)

  • Tharun Ganeshram, Ottawa, ON (Vahini Ganeshram, VFS-CS), Université de Waterloo

Bourse d'études de 1 500 $

  • Lucie Yang, Edmonton, AB (May Zhou, VFS-LS), Université de Toronto

Bourses d'études de 1 000 $

  • Heidi Elder, Ottawa, ON (Amy Elder, SP), Université d'Ottawa
  • Beatrice Mowat, Ottawa, ON (Suzanne L’Heureux, SP), Université de Victoria

Bourses d'études de la Séries des commanditaires

Bourse d'études de 5 000 $

  • Morgan Shusterman, Ottawa, ON (Allan Shusterman, BSIF-retraité), Université du Cap-Breton

Bourses d'études de 1 500 $

  • Shariq Ahmed, Calgary, AB (Shah Ahmed, NEB), Université de Calgary
  • Serena Chen, Ottawa, ON (Sharon Deng, IT), Université de l'Ontario de l'ouest
  • Stephen Dunbar, Longview, AB (Rob Dunbar, VFS), Université d'Ottawa
  • Sophie Feng, Port Moody, C.-B. (Marie Wu, CP), Carnegie Mellon
  • Dacian Filipescu, Victoria, C.-B. (Cosmin Filipescu, RE), Collège Camosun
  • Félix Lafortune, Candiac, QC (Yves Lafortune, RE-retraité), Cégep de l'Outaouais
  • Cameron MacDonald, Surrey, C.-B. (Robert MacDonald, SP), Collège Dartmouth
  • Brook Motty, Corner Brook, T.-N. (David Motty, IT), Queen's
  • Stella Murphy, Halifax, N.-É. (Charles Murphy, IT), Queen's
  • Veronika Podobed, Ottawa, ON (Serguei Podobed, NUREG), Université de Toronto
  • Anjali Singh, Saint Andrews, N.-B. (Rabindra Singh, SP), Université de Nouveau-Brunswick
  • Austin Wang, Ottawa, ON (Huili Li, IT), Université de l'Ontario de l'ouest
  • Kelly Wang, Toronto, ON (Xihong Wang, SP), Université de Waterloo
  • Sherilyn Wen, Ottawa, ON (Mrs. Rui Mao, IT), Queen's
  • Debbie Zhao, Ottawa, ON (Yong Guang, IT), Université de Western Ontario

Lauréats des Repaires jeunesse du Canada

Bourses d'études de 1 500 $

  • Kayley Baker (Mississauga, ON), Université de Toronto, commerce
  • Stephen Brown (Halifax, N.-É.), Université Dalhousie, ingénierie
  • Alyssa Cook (St. John’s, T.-N), Université Memorial de Terre-Neuve, B.A.
  • Gavin D’Souza (Lethbridge, AB), Université de Lethbridge, sciences
  • Samuel Foster (Victoria, C.-B.), Université de Victoria, sciences en santé
  • Vincent Garneau (Laval, QC), Collège Dawson, comptabilité
  • Manal Hamid (Ottawa, ON), Collège Algonquin, sciences en santé
  • Isaac Howe (Fredericton, N.-B.), Université du Nouveau-Brunswick, sciences
  • Patrick Kemp (Toronto, ON), Université York, sciences en santé
  • Blerta Kurti (Winnipeg, MB), Université de Manitoba, sciences   
  • Anita Lee (London, ON), Université de l'Ontario de l'ouest, commerce
  • Trevor Poirier (Orleans, ON), Université de Québec en Outaouais, sciences
  • Teresa Talbot (Vancouver, C.-B.) Université Simon Fraser, psychologie
  • Danait Tekle (Orleans, ON), Université Carleton, informatique
  • Justin Thériault (Montréal, QC) Université de Montréal, commerce

 

 

Le Prix du délégué syndical de l’année récompense ceux et celles qui se sont dévoués de manière exceptionnelle pour aider les membres et qui ont contribué de façon remarquable aux activités de l’Institut. Les délégués syndicals de l'année 2020 et 2021 se sont adressés aux délégués de l'AGA par vidéo.

Les directeurs régionaux ont présenté leurs délégués syndicaux de l’année sur vidéo. La Présidente Carr a également présenté à l'AGA la toute première déléguée syndicale nationale : Judith LeBlanc.

 

Déléguée syndicale en chef nationale

 

Judith LeBlanc
Judith LeBlanc

Délégués syndicaux de l’année 2022

Tony Chubbs
Tony Chubbs

Région de l’Atlantique : Tony Chubbs (SP)

Karine Régimbald
Karine Régimbald

Région du Québec : Karine Régimbald (SH)

Fred Jamieson
Fred Jamieson

Région de la capitale nationale : Fred Jamieson (ACIA-S&A)

Kevin Jacobs
Kevin Jacobs

Région des Prairies et des Territoires du Nord-Ouest : Kevin Jacobs (SP)

Phil Johnson
Phil Johnson

Région de la C.-B. et du Yukon : Phil Johnson (SH)

 

 

 

Hommage à des membres exceptionnels

Jennifer Carr, présidente de l’Institut, a remis des prix à des membres méritants de l’Institut qui ont fait preuve d’un leadership exemplaire et inspirant; elle a également remercié les membres du jury — Bert Crossman (président), Ralph Herman et Nita Saville — d’avoir évalué les candidatures et recommandé ces lauréats.

N'oubliez pas de consulter la liste des lauréat·e·s du Prix du délégué syndical de l’année 2022.

Prix de service de l’Institut

Le Prix de service de l’Institut récompense un service exceptionnel donné sur une longue durée et qui dépasse de loin ce qu’on attend d’un membre dévoué ayant siégé à de nombreux exécutifs d’organismes constituants.

Joanne Bouchard
Joanne Bouchard (SH)
Prashila Chand
Prashila Chand
Bureau d'Edmonton de l'IPFPC

 

Prix de membre à vie

Ce prix reconnaît les services exceptionnels d’une valeur durable pour l’Institut qui ont été rendus par un membre titulaire ou retraité ayant fait preuve de leadership pendant au moins 10 ans.

La présidente Jenn Carr a remis les prix de membre à vie à ces membres exceptionnels.

Waheed Khan
Waheed Khan (SP)
Mark Muench
Mark Muench (AFS)

 

Discours d'ouverture de la présidente

Jennifer Carr

Lors de la 103e AGA, la présidente Jenn Carr s'est adressée aux délégués, abordant le thème de l'AGA "Reconnecté" et exposant les objectifs pour l'année à venir.

Le discours a porté sur tous les sujets : de la négociation à la protection des pensions en passant par la communication avec les autres membres et les Canadiens. Nous poursuivrons notre travail pour faire de l'Institut une organisation inclusive et diversifiée. Nous avons beaucoup de travail devant nous.

Texte intégral du discours de la présidente.