L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Des manifestations de solidarité avec le peuple Wet'suwet'en ont lieu partout au pays. Elles sont de plus en plus nombreuses en Colombie-Britannique et à Ottawa.

Nous respectons pleinement le droit de manifester garanti par la Charte, et nous tenons également à cœur la sécurité et le bien-être de nos membres.

Si vous travaillez dans un endroit où une manifestation a lieu, voici ce que vous devez savoir en tant que membre de l’IPFPC :

  • Vous avez le droit de refuser de travailler ou de franchir une ligne de piquetage si vous ne pouvez accéder à votre lieu de travail ou exercer vos fonctions en toute sécurité.
  • Ne défiez pas les manifestants et ne mettez pas votre sécurité en danger.
  • Si vous vous inquiétez pour votre sécurité, veuillez contacter immédiatement votre superviseur ainsi qu’un délégué syndical de l’IPFPC qui travaille au même endroit pour obtenir des informations précises sur la marche à suivre.
  • Si vous ne pouvez accéder à votre lieu de travail ou exercer vos fonctions en toute sécurité et que votre employeur refuse de vous payer les heures manquées, veuillez contacter un délégué syndical.

Si vous avez des questions, votre délégué syndical est là pour vous aider. Si vous ne trouvez aucun délégué syndical, appelez un agent des relations du travail.

Nous sommes solidaires de l’Association des enseignantes et des enseignants franco-ontariens, de la Fédération des enseignantes et des enseignants de l’élémentaire de l’Ontario, de l’Association des enseignantes et des enseignants catholiques anglo-ontariens et de la Fédération des enseignantes-enseignants des écoles secondaires de l’Ontario.

Les coupes irresponsables du gouvernement Ford dans l’enseignement public se répercutent déjà dans les salles de classe :

  • réduction de l’aide aux élèves ayant des besoins éducatifs spéciaux et des problèmes de santé mentale;
  • salles de classe surpeuplées;
  • cours d’apprentissage en ligne obligatoires pour les élèves du secondaire.

Tout comme nous l’avons vu dans le système de santé publique, le gouvernement Ford retire des ressources du système d’enseignement public et prépare le terrain pour que des intérêts privés puissent tirer profit de l’éducation de nos enfants. Nous devons contre-attaquer.

Debi Daviau sur le piquet de grève

Nous encourageons les élèves, les parents et tous les militants syndicaux à rejoindre les enseignants syndiqués sur les piquets de grève afin d’envoyer un message fort au gouvernement Ford : les coupes budgétaires nuisent aux enfants.

Les quatre syndicats d’enseignants de l’Ontario, qui représentent près de 200 000 enseignants et travailleurs de l’éducation, organisent une grève d’un jour dans toute la province le 21 février. Près de 200 000 enseignants et travailleurs de l’éducation de 72 conseils scolaires seront en grève pour protester contre les coupes budgétaires du gouvernement dans l’éducation, touchant ainsi près de 5 000 écoles de la province.

Nous devons repousser l’attaque du gouvernement Ford contre les travailleurs.

Nous sommes fiers de collaborer avec huit syndicats ontariens représentant plus de 250 000 employés du secteur public provincial dans le cadre d’une contestation judiciaire coordonnée du projet de loi 124, en vertu de la Charte. Cette loi anticonstitutionnelle permet au gouvernement provincial d’imposer des plafonds salariaux et de limiter les pensions et les avantages sociaux à divers employés syndiqués et non syndiqués du secteur public.

Nous devons nous battre en solidarité avec les syndicats d’enseignants pour protéger l’éducation publique.

Au cours des derniers jours, les médias ont rapporté que certains employés fédéraux travaillant au complexe des Terrasses de la Chaudière, à Gatineau, sont malades. Le gouvernement a fait appel aux services d’une société d’ingénierie pour enquêter sur les nombreux problèmes de qualité de l’air et de l’eau, de moisissures et d’insectes signalés par les employés de la fonction publique qui y travaillent.

Outre les risques pour la santé qui font actuellement l’objet d’un examen minutieux, on trouve aussi de l’amiante dans de nombreux édifices fédéraux construits il y a longtemps. On sait qu’il y a aussi des problèmes dans les bâtiments plus récents, comme des fuites.

« L’état inexcusable des immeubles fédéraux est un problème très préoccupant qui ne peut être corrigé que par un engagement gouvernemental coûteux et de longue durée », a déclaré Debi Daviau, présidente de l’IPFPC.

Nous avons participé aux consultations patronales sur l’état des lieux du complexe des Terrasses et nous continuerons à suivre la situation de très près.

« Quel que soit l’endroit où ils se trouvent, les membres de l’IPFPC ne doivent en aucun cas être exposés à des environnements de travail malsains et dangereux », a-t-elle ajouté.

« J’attends du gouvernement qu’il prenne des mesures immédiates et décisives pour résoudre ces problèmes, quel qu’en soit le coût. Il pourrait s’agir de déplacer les employés dans des endroits non contaminés pendant la rénovation de leur bureau ou de leur donner la possibilité de travailler à domicile jusqu’à ce que les problèmes soient résolus. J’en ai assez des solutions à court terme et je veux que le gouvernement élabore un plan détaillé dès maintenant ».

Au fur et à mesure que les consultations se poursuivent, nous tiendrons les membres informés des dernières nouvelles.

Eddy Carmack est un membre retraité de l’IPFPC qui a reçu de nombreux prix pour son travail en océanographie, notamment en lien avec le changement climatique et la science climatique du Nord. Il a reçu le prix d’officier de l’Ordre du Canada pour 2020.

L’Ordre du Canada fait partie du Régime canadien de distinctions honorifiques qui reconnaît les contributions exceptionnelles des Canadiens à leur communauté et leur service à la nation. Les officiers de l’Ordre du Canada sont des individus qui ont contribué de façon plus que remarquable à leur pays.

En tant qu’océanographe et expert en science climatique pour le Nord, Eddy a apporté de nombreuses connaissances et recherches qui nous aident à comprendre les tendances climatiques actuelles. Au cours de sa carrière, il a participé à plus de 90 expéditions sur le terrain en Antarctique, en Arctique, au Yukon et en Sibérie, où il a collaboré avec d’autres chercheurs du monde entier.

Parmi les nombreux prix et réalisations d’Eddy figurent la médaille Massey de la Société géographique royale du Canada dont il est lauréat en 2007 et la médaille Tully de la Société canadienne de météorologie et d’océanographie en 2010.

Maintenant à la retraite, il continue ses travaux de recherche dans le passage du Nord-Ouest et dans les eaux de la Colombie-Britannique à la barre de son propre navire.

Nous sommes fiers des membres de l’IPFPC comme Eddy.

Chaque jour, les fonctionnaires donnent leur maximum au travail pour améliorer concrètement la vie des Canadiens, et ils méritent qu’on le leur rende. Que ce soit en alimentation ou en agriculture, en océanographie ou en science climatique, c’est grâce à des gens comme Eddy que nos services publics contribuent à la création d’un monde meilleur.

EN SAVOIR PLUS SUR LES MEMBRES DE L’IPFPC

 

Votre syndicat célèbre son 100e anniversaire! Cela signifie 100 ans d’histoire, de progrès et de dur labeur au service des Canadiens.
 
Nous savons que chaque jour, vous vous donnez à 100 %. Vous faites partie d’une communauté unique de 60 000 membres qui sont à l’avant-garde du progrès : lutte pour l’égalité des salaires et les droits de la personne, protection des dénonciateurs, garantie de pensions sûres, protection de l’intégrité scientifique, équité fiscale, sécurité publique, etc. Nous sommes fiers de défendre les services sur lesquels comptent les Canadiens.
 
Dites-nous pourquoi vous êtes fier d’être membre de l’IPFPC (50 mots minimum).
 
Tous les membres titulaires ou retraités de l’IPFPC peuvent participer au tirage au sort et courir la chance de gagner une carte-cadeau de 250 $ des magasins The Brick par l’entremise de ServicePlus.
 
Le concours est maintenant terminé.

Le Conseil du Trésor mène le Sondage auprès des fonctionnaires fédéraux tous les ans. En 2019, un total de 182 306 employés de 86 ministères et organismes fédéraux y ont répondu, soit soixante-deux pour cent des fonctionnaires.

Le harcèlement reste un grave problème dans la fonction publique fédérale. Les résultats du Sondage de 2019 indiquent que le niveau de harcèlement au travail est demeuré généralement inchangé.

Plus inquiétant encore, il demeure très élevé dans le cas des personnes ayant diverses identités de genre. Vingt-neuf pour cent d’entre elles affirment avoir déjà été victimes de harcèlement au travail, soit plus de deux fois plus que les personnes s’identifiant comme des femmes ou des hommes.

C’est inacceptable. Tous méritent un lieu de travail qui les met à l’abri du harcèlement, et le gouvernement fédéral devrait montrer l’exemple au secteur privé.

Seulement 51 % des répondants sont satisfaits de la manière dont leur ministère s’occupe des cas de harcèlement. C’est le cas de 32 % des répondants ayant diverses identités de genre.

Quelque 45 % des personnes ayant diverses identités de genre affirment que leur milieu de travail n’est pas favorable à leur bien-être psychologique.

Nous tirons la sonnette d’alarme : les fonctionnaires ayant diverses identités de genre méritent une meilleure protection et des lieux de travail sûrs.

Le Conseil du Trésor mène ce sondage tous les ans. En 2019, un total de 182 306 employés de 86 ministères et organismes fédéraux y ont répondu, soit soixante-deux pour cent des fonctionnaires.

D’année en année, nous mettons en lumière les principales tendances concernant le harcèlement au travail, le bien-être et Phénix.

Harcèlement au travail

Le harcèlement dans la fonction publique fédérale est un grave problème persistant auquel on ne donne à peu près pas suite. Nous sommes très préoccupés par les niveaux élevés de harcèlement signalés par les personnes non cisgenres. Vingt-neuf pour cent des personnes de diverses identités de genre interrogées dans le cadre du sondage affirment avoir été victimes de harcèlement au travail.

Dans l’ensemble, les signalements de harcèlement diminuent, mais très lentement.

Année

Cas signalés au travail

2014

19 %

2017

18 %

2018

15 %

2019

14 %

Seulement 51 % des répondants sont satisfaits de la manière dont leur ministère s’occupe des cas de harcèlement.

Bien-être psychologique

Soixante et un pour cent des répondants soutiennent que leur lieu de travail est propice à leur bien-être psychologique et que leur employeur s’efforce de protéger leur santé psychologique. Il s’agit d’une augmentation de 3 % par rapport à 2018.

Cela signifie que 39 % des fonctionnaires ne trouvent pas que leur lieu de travail est favorable à leur bien-être psychologique, ce qui est choquant.

Il est révélateur que 45 % des personnes ayant diverses identités de genre affirment que leur milieu de travail n’est pas favorable à leur bien-être psychologique.

Phénix

Les nouvelles concernant le système de paye Phénix demeurent mauvaises.

Par rapport à l’année précédente, les fonctionnaires sont quatre pour cent plus nombreux à avoir été touchés par Phénix l’année dernière. Ainsi, 74 % des fonctionnaires ont été touchés par les problèmes de Phénix en 2019.

Plus de la moitié des répondants qui ont subi des torts causés par Phénix attendent toujours que leur cas soit résolu. Seulement 44 % des répondants affirment que leurs problèmes de rémunération et d’indemnisation ont tous été réglés. Cela représente une amélioration de 9 % par rapport à 2018.

Soixante pour cent des répondants ne sont pas satisfaits du soutien qu’ils reçoivent en matière de rémunération.

Comparez les résultats de cette année avec notre analyse du sondage de 2018.

Nous sommes fiers de collaborer avec onze syndicats ontariens représentant plus de 250 000 employés du secteur public provincial dans le cadre d’une contestation judiciaire coordonnée du projet de loi 124, en vertu de la Charte.

« Le projet de loi 124 s’attaque directement à nos membres et aux droits des travailleurs en Ontario, s’insurge la présidente Debi Daviau. Nous nous opposerons à cette loi et au dangereux précédent qu’elle crée pour les droits des travailleurs au Canada ».
 
Le projet de loi 124, nommé par euphémisme la Loi de 2019 visant à préserver la viabilité du secteur public pour les générations à venir, viole le droit à la négociation collective libre et équitable, garanti par la Charte. Elle permet au gouvernement provincial d’imposer des plafonds salariaux, y compris les pensions et les avantages sociaux, à divers milieux de travail syndiqués et non syndiqués du secteur public.

Les travailleurs touchés par le projet de loi 124 comprennent les employés du gouvernement provincial, des organismes de la Couronne, des conseils scolaires, des universités et des collèges, des hôpitaux, des foyers de soins de longue durée à but non lucratif, des sociétés d’aide à l’enfance, des organismes de services sociaux et des secteurs de l’électricité et de l’énergie, dont les membres de l’IPFPC des groupes suivants : 

Les dirigeants syndicaux de l’Ontario sont déterminés à mettre fin au projet de loi 124.

Le mouvement syndical ontarien, en collaboration avec Power of Many, lancera une campagne publique pour abroger le projet de loi 124.

La Fédération du travail de l’Ontario (FTO) mène l’offensive. « La FTO est solidaire des syndicats de l’enseignement qui ont récemment contesté l’application du projet de loi 124 au secteur de l’éducation, et nous redoublons d’efforts pour contrer les attaques continuelles de ce gouvernement visant des droits garantis par la Charte à tous les Ontariens. Ensemble, nous lançons une campagne vigoureuse pour exiger que le gouvernement conservateur Ford abroge cette loi inconstitutionnelle », déclare Patty Coates, présidente de la FTO.

« Nous voulons défendre les droits des travailleurs protégés par la Charte canadienne des droits et libertés, poursuit Fred Hahn, président du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) de l’Ontario. Quand le gouvernement Ford exige que nous fassions tous notre part, il devrait imposer les sociétés rentables et les plus riches de nos communautés au lieu de cibler les travailleurs. La Charte est importante, les droits de la personne sont importants, et les droits des travailleurs le sont aussi ».
 
« Pour les travailleurs des groupes visés par l’équité – des personnes racisée, handicapées ou autochtones et les femmes – les conventions collectives jouent un rôle essentiel pour assurer l’équité au travail, explique Sharleen Stewart, présidente de SEIU Healthcare. Les limites à la négociation imposées par le gouvernement minent les droits des travailleurs qui sont déjà victimes de discrimination systémique ».
 
Au cours des dernières années, les syndicats ont réussi à coordonner leurs efforts pour contester les lois qui violent les droits des travailleurs, comme le projet de loi 115 des libéraux, qui a fait obstacle à la négociation collective dans le secteur de l’éducation. Les tribunaux ont conclu que le projet de loi 115 violait les droits des travailleurs, des droits garantis par la Charte. Grâce aux contestations judiciaires, à une campagne de résistance coordonnée et à l’opposition publique, le projet de loi a été abrogé.

La contestation conjointe en vertu de la Charte annoncée aujourd’hui est présentée par une coalition de syndicats des secteurs public et privé représentant des travailleurs du secteur public élargi, dont :

  • Le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP);
  • Le Service Employees International Union (SEIU Healthcare);
  • Le Syndicat des Métallos;
  • L’Alliance de la Fonction publique du Canada (AFPC);
  • La Society of United Professionals (IFPTE), section locale 160;
  • Le Syndicat canadien des employées et employés professionnels et de bureau (SEPB Ontario);
  • AMAPCEO;
  • La Fraternité internationale des ouvriers en électricité (FIOE);
  • L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC)
  • Le Travailleurs Unis de l'Alimentation et du Commerce (TUAC), section locale 175;
  • l’Association des infirmières et infirmiers de l’Ontario (AIIO).

D’autres syndicats et organisations représentant les travailleurs du secteur public de l’Ontario devraient participer à cette contestation coordonnée ou entreprendre leur propre contestation judiciaire du projet de loi 124 dans les prochaines semaines.
 

3,6 millions de Canadiens n’ont pas les moyens d’acheter les médicaments qui leur sont prescrits. Nos amis et voisins sont forcés de choisir entre l’épicerie et les médicaments.

Malheureusement, le Canada est le seul pays développé dont le régime de soins de santé universel ne couvre pas les médicaments d’ordonnance.

Nous unissons notre voix à celle de 150 organismes d’un peu partout au Canada pour demander au nouveau gouvernement fédéral de mettre en place immédiatement un régime d’assurance-médicaments universel.

Lisez le protocole d’accord L’Assurance-médicaments maintenant

L’assurance-médicaments nationale devrait faire partie intégrante du système de soins de santé universel du Canada, qui couvre les services médicaux et hospitaliers nécessaires et est harmonisé avec la Loi canadienne sur la santé.

Nous ne pouvons plus continuer à utiliser cette façon incohérente, dysfonctionnelle, injuste, inadéquate et dispendieuse de couvrir les médicaments : le Canada compte plus de 100 régimes publics d’assurance-médicaments et 113 000 régimes privés! Et nos médicaments sont les troisièmes plus chers du monde.

Cette situation est contraire aux principes et aux valeurs qui sous-tendent notre régime universel de soins de santé et elle n’est pas viable du point de vue économique.

Un régime national et universel d’assurance-médicaments donnera l’égalité d’accès et de couverture à tous les Canadiens.

Il permettra d’économiser des milliards de dollars parce que les gouvernements combineront leur pouvoir d’achat en gros pour négocier des prix plus bas et des rabais de volume avec les compagnies pharmaceutiques.

Les Canadiens sont fiers de leur régime universel de soins de santé, qui est fondé sur les besoins et non sur la capacité de payer. Il est temps de développer ce fier héritage et de faire un grand pas en avant en créant un régime national et universel d’assurance-médicaments.

C’est pourquoi nous nous rallions aux fournisseurs de soins de santé, aux organismes à but non lucratif, aux syndicats, aux travailleurs, aux aînés, aux patients et aux universitaires de partout au pays pour exhorter toutes les parties à s’employer ensemble à mettre en place un régime d’assurance-médicaments national avant les prochaines élections.

C’est avec beaucoup de tristesse et de regret que l’Institut vous informe du décès de notre ami et collègue, Ed Sweet.

Ed est décédé le 17 novembre 2019.

Ed était pleinement engagé envers les membres de l'Institut. Il nous manque.

Il faisait partie des vérificateurs qui sont devenus membres de l’Institut professionnel en 1990.

Ed a servi les membres de l’Institut avec brio à divers postes, pendant de nombreuses années, notamment à titre de délégué syndical.

Pendant de nombreuses années, Ed a siégé au comité exécutif du Groupe VFS, du Sous-group VFS d’Halifax, du Chapitre d’Halifax, et du Groupe Vérification de l'Agence des douanes et du revenu du Canada, et il a agi à titre de délégué à l’Assemblée générale annuelle depuis de nombreuses années.

L’Institut présente ses condoléances à la famille de Ed et aux nombreux amis qui ont eu le privilège de le connaître.

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