L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Jusqu’en 2017, les participants au Régime de retraite de la fonction publique recevaient un relevé de pension annuel. 

En raison des ratés du système de paye Phénix, le Centre des pensions n’a pas été en mesure d’émettre ces relevés.

Nous sommes conscients de ce problème et nous collaborons activement avec le Conseil du Trésor et le Centre des pensions pour atténuer cet inconvénient.

Malheureusement, comme Phénix n’est pas fiable, le Centre des pensions ne peut confirmer l’exactitude des renseignements sur les participants et ne transmettra pas de relevés de pension annuels avant que les dossiers soient corrigés. Le Centre pourrait faire face à de graves conséquences juridiques s’il donne des renseignements inexacts sur les pensions.

Il est important de noter que le problème n’est pas attribuable au Centre des pensions, mais bien à Phénix. Les fonctionnaires — comme tous les Canadiens — méritent de recevoir une paye à temps, au bon montant.  Nous faisons pression sur le gouvernement pour qu’il remplace Phénix et nous insistons pour que des syndicats comme le nôtre soient consultés au sujet du travail à faire pour le remplacer. Les travaux sont en cours.

Si vous approchez de la retraite, veuillez consulter les ressources en ligne sur les pensions.

Si vous avez des questions au sujet de votre cas particulier, veuillez communiquer avec le centre des pensions.

Pour en savoir plus concernant la position du Conseil du Trésor sur les relevés de pension : https://www.canada.ca/fr/secretariat-conseil-tresor/services/regime-retraite/nouvelles-annonces-pensions-avantages-sociaux/renseignements-pensions-prestations-assurance.html 

 

 

La fonction publique est un moteur important de l’économie canadienne.

Partout dans le monde, les gouvernements font des compressions dans la fonction publique essentiellement pour réduire les déficits ou équilibrer les budgets, mais le résultat escompté n’est jamais au rendez-vous. En réalité, investir dans la fonction publique profite à l’économie.

Un rapport récent de l’IRIS (Institut de recherche et d’information socioéconomiques), un institut de recherche québécois, montre en effet que chaque dollar investi dans la fonction publique canadienne augmente le PIB de 1,22 M$ et profite aux économies des provinces.

Chaque dollar investi dans la fonction publique fédérale produit des retombées économiques. Au fédéral, pour chaque million de dollars investis dans la fonction publique fédérale, les retombées sont de l’ordre de 1,77 million de dollars.

Et le plus intéressant, chaque million de dollars investis dans la fonction publique fédérale de l’Alberta et de la Nouvelle-Écosse rapporte 2,26 M$ et 2,07 M$ respectivement en retombées économiques.

LIRE LE RAPPORT

Le rapport relève les tendances de l’emploi dans le secteur public depuis l’après-guerre et indique clairement que l’économie canadienne bénéficierait d’une hausse des embauches dans la fonction publique fédérale, car les 25 000 emplois supprimés par le gouvernement Harper en 2011 n’ont pas été remplacés.

Les compressions de l’ère Harper étaient malavisées, car, dollar pour dollar, les dépenses dans les services publics génèrent plus d’emplois et de croissance résiduels que les dépenses dans d’autres secteurs.

L’existence d’un grand nombre d’emplois permanents stabilise la volatilité du secteur privé et atténue la gravité des soubresauts inévitables dans les secteurs industriels tels que la transformation et l’extraction des ressources.

« Le secteur public offre un levier aux gouvernements pour atteindre le plein emploi en fournissant des emplois de qualité qui ont des effets bénéfiques sur la croissance économique en général et sur la résilience des régions moins diversifiées en particulier. »

Dans son dernier budget, le gouvernement de l’Alberta a annoncé une réduction de 7,7 % des effectifs de la fonction publique provinciale d’ici quatre ans. Cela se traduira par la perte de 1588 emplois.

Une stratégie inefficace à l’ère Harper ne sera pas plus efficace aujourd’hui en Alberta. Dans une économie déjà volatile et tributaire des ressources naturelles, les compressions dans la fonction publique exacerberont les difficultés économiques et contribueront peu à l’équilibre budgétaire.

Nous sommes solidaires des fonctionnaires de l’Alberta. Nous sommes contre l’austérité à tous les paliers de gouvernement. Et nous voulons une prospérité économique qui profite à tous les Canadiens.

Ottawa, 5 novembre 2019 — L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) tiendra sa 100e assemblée générale annuelle les 8 et 9 novembre prochains à Gatineau.

Cette AGA aura pour thème À l’avant-garde du progrès. L’Institut soulignera son centenaire en célébrant le leadership qu’exercent ses membres pour faire avancer le Canada sur la voie du progrès. 

« Quel jalon incroyable à célébrer! Nous sommes à l’avant-garde du progrès depuis 100 ans, et c’est en nous appuyant sur un siècle de réalisations que nous continuons de progresser, déclare Debi Daviau, présidente de l’Institut. Nos membres s’attendent à nous voir travailler fort, en première ligne, pour leur donner satisfaction. Et c’est exactement ce que nous faisons, aujourd’hui comme hier. »

L’Institut est fier d’accueillir Hassan Yussuff, président du Congrès du travail du Canada, qui agira à titre de conférencier principal; David Coletto, chef de la direction d’Abacus Data, présentera quant à lui les résultats du sondage réalisé auprès des membres de l’Institut.  

Événement : 100e assemblée générale annuelle

Lieu
 : Hilton Lac-Leamy — Centre des congrès Gatineau (Québec)

Dates : 8 et 9 novembre 2019

Événements médiatiques : Vendredi 8 novembre

  • 8 h 40 : Discours de Debi Daviau, présidente de l’IPFPC
  • 9 h 15 : Discours de David Coletto, PDG d’Abacus
  • 9 h 50 : Discours de Hassan Yussuff, président du CTC 

Suivez-nous sur Facebook et Twitter.

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Pour plus d’information :

Johanne Fillion : 613‑228‑6310, poste 4953 (bureau) ou 613-883-4900 (cell.), jfillion@pipsc.ca

REMARQUES

  1. Les discours prononcés à l’AGA pourront être visionnés en direct sur la page Facebook de l’Institut : https://www.facebook.com/PIPSC.IPFPC/.
  2.  Pour en savoir plus sur la 100e AGA de l’Institut professionnel, consultez la page https://www.pipsc.ca/fr/a-propos/gouvernance/aga/2019.
  3. Mot-clic : ‪#‎IPFPCAGA

Les 8 et 9 octobre 2019, l’équipe de mobilisation a tenu deux séances d’information en français et deux en anglais pour les militants de l’Institut, afin de leur faire connaître les nouveaux outils et les autres ressources disponibles sur le site enaction.ipfpc.ca.

L’équipe de mobilisation a créé une trousse d'outils Bien mieux ensemble. Cet outil numérique est conçu pour aider les membres, peu importe leur niveau d’engagement, à organiser une activité de sensibilisation réussie dans leur milieu de travail. 

Nos webinaires ont donné aux membres l’occasion de visiter le site, de discuter avec l’équipe de mobilisation et d’examiner des outils créés pour eux. 

Si malheureusement vous les avez manqués, vous pouvez toujours regarder les enregistrements ici :
 



Si vous avez des questions au sujet de la trousse ou des suggestions pour améliorer la trousse et la rendre encore plus utile, veuillez écrire à Andria Desjardins (adesjardins@pipsc.ca).

L’équipe de mobilisation et recrutement, IPFPC

Cette année marque notre 100e anniversaire comme syndicat à l’avant-garde du progrès.

Pour célébrer le rôle que des membres comme vous jouent dans la protection et le soutien des communautés, nous avons invité l’artiste Ryan Smeeton d’Ottawa à illustrer la diversité de votre travail dans sa fresque.

Ryan a travaillé un mois durant pour peindre un centenaire de progrès. Dans cette œuvre, il fait ressortir l’importance du travail des membres et de la mission de l’IPFPC.

« Je veux créer une murale qui illustre la mission de l’Institut : bâtir une communauté qui unit ses efforts pour améliorer la vie de ses membres. C’est ce que j’intègre dans mon design : une composition linéaire à trois silhouettes. La première silhouette sème des graines, la paume ouverte, la deuxième tient une pousse d’arbre, et la troisième porte son regard vers l’avenir ».

Cory Conty, photographe d’Ottawa, a collaboré avec Ryan pour produire une chronovidéo de la murale, de sa conception à sa réalisation, ce qui a littéralement donné vie au projet.

À l’Institut, nous sommes heureux d’amorcer un nouveau siècle de réalisations avec une murale qui rend hommage aux contributions de nos membres des 100 dernières années.

Nous continuerons à célébrer ce siècle de belles victoires à notre prochaine AGA, en novembre.

Nous remercions Ryan de nous avoir aidés à insuffler vie à cette murale, Cory pour les magnifiques images, et nos voisins de Dustbane pour leur appui à ce projet.

Le 22 octobre 2019

Le très honorable Justin Trudeau, C.P., député
Premier ministre du Canada
Chambre des communes
Ottawa (Ontario)  K1A 0A6

Justin.Trudeau@parl.gc.ca

Monsieur le Premier Ministre,

Au nom des 60 000 membres de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada, j’aimerais vous féliciter sincèrement pour votre réélection à titre de premier ministre de notre pays.

Travailler en collaboration sera la clé de notre succès. Le travail que nous avons accompli ensemble pour remplacer Phénix a été productif, et nous espérons que ce dossier redeviendra prioritaire pour le gouvernement.

En quatre ans, votre gouvernement a reconstitué les rangs des scientifiques du secteur public et nous comptons beaucoup sur les investissements continus nécessaires pour faire face à la crise climatique. Nous souhaitons également faire avancer l’équité fiscale et la réduction de la sous-traitance au gouvernement.

Le taux de participation électoral élevé dans la région de la capitale nationale témoigne de l’engagement de l’électorat, et beaucoup de nos membres ont voté pour un gouvernement qui va investir dans les services publics. L’Institut et ses membres sont convaincus que nous pouvons continuer à collaborer efficacement pour aider la fonction publique fédérale à répondre aux besoins et aux aspirations croissants de tous les Canadiens.

Pour ce faire, le gouvernement doit :

  1. Veiller à ce que les fonctionnaires soient payés correctement et à temps, en mettant en place un système de paye entièrement financé et fonctionnel, élaboré en collaboration avec les informaticiens du gouvernement fédéral – nos membres CS – pour remplacer le désastreux système Phénix.
  2. Garantir que les scientifiques publics du Canada disposent des ressources nécessaires pour aider notre pays à relever les grands défis touchant la santé et l’environnement;
  3. Réduire les dépenses inutiles en sous-traitance de consultants surpayés au gouvernement à leurs niveaux de 2005-2006, comme vous aviez promis aux élections de 2015;
  4. Donner à l’Agence du revenu du Canada et à nos membres les ressources dont ils ont besoin pour percevoir les milliards de dollars que les échappatoires fiscales font perdre au trésor public chaque année. Il faut financer adéquatement l’infrastructure et les services publics sur lesquels les Canadiens comptent tous les jours.

Encore une fois, toutes nos félicitations pour votre victoire électorale et meilleurs vœux de succès dans le respect des engagements que vous avez pris à l’endroit des Canadiens. Soyez assuré que nous sommes prêts à travailler avec vous et votre gouvernement.

Veuillez agréer, Monsieur le Premier Ministre, l’expression de mes sentiments distingués.

Debi Daviau
Présidente de l’IPFPC

Chaque dollar investi dans les professionnels de la fiscalité de la fonction publique générera quatre dollars de recettes publiques selon une analyse du directeur parlementaire du budget (DPB).

« Les gens ordinaires paient leur juste part d’impôts. Cependant, les grandes entreprises et les particuliers fortunés peuvent se payer des équipes de spécialistes à prix élevé pour abuser le code des impôts », a déclaré la présidente de l’Institut, Debi Daviau. L’IPFPC représente près de 12 000 fiscalistes de l’Agence du revenu du Canada qui se consacrent principalement à la vérification institutionnelle.

L’analyse du DPB, publiée dans le cadre d’un exercice visant à établir les coûts des programmes électoraux, est un rapport crédible et non partisan. L’analyse montre clairement qu’investir dans l’ARC générera des fonds publics qui pourront financer les services dont dépendent les Canadiens.

Le budget fédéral que le gouvernement Harper avait adopté en 2012 a considérablement miné la capacité de l’ARC d’empêcher les sociétés et les particuliers les plus fortunés d’esquiver leur juste part d’impôt. Même si l’ARC a reçu du financement grandement nécessaire depuis 2015, les fonds qui y ont été investis totalisent 500 millions de dollars de moins que le niveau réduit de 2012.

Dans le cadre d’un sondage Environics de 2018 auprès des Canadiens, près de 80 % des répondants étaient d’avis qu’il était plus facile pour les entreprises et les particuliers fortunés d’éluder ou d’éviter l’impôt que pour la moyenne des gens. Lorsque l’IPFPC a posé la même question aux vérificateurs, aux économistes, aux actuaires et aux autres professionnels de l’ARC, le niveau d’accord était encore plus élevé : 90 % ont dit qu’il est plus facile pour les riches de contourner les impôts que pour les autres.

« Il est injuste que tout le monde doive souffrir pendant que les personnes et les entreprises les plus riches du pays contournent les règles du jeu pour éviter de payer leur juste part », a déclaré Mme Daviau. « Il est temps d’investir dans le personnel de vérification de l’ARC pour qu’il puisse rétablir l’équité dans notre régime fiscal. »

Compte tenu des élections fédérales en cours, le gouvernement est maintenant en mode d’intendance, ce qui se répercute sur la mise en œuvre de notre entente d’indemnisation.

Les employés actuels auront déjà reçu jusqu’à cinq jours de congé payé à titre de compensation. Pour en savoir plus sur ce processus, cliquez ici.

Le processus d’indemnisation des anciens employés (et de leurs représentants, de même que les successions de ceux qui sont décédés) a été finalisé. Vous recevrez l’équivalent salarial des jours de congé. Toutefois, ce processus n’a pu être mis en œuvre avant le déclenchement des élections fédérales; il faut maintenant attendre qu’un nouveau cabinet fédéral soit en place.

Nous participons activement aux autres étapes de l’entente d’indemnisation. L’employeur travaille actuellement à la mise au point du processus de réclamation pour les pertes, les intérêts et les dommages. On s’attend à ce que le processus d’examen de ces réclamations soit mis en œuvre en deux phases à compter de 2020.

Ce nouveau processus de traitement des demandes d’indemnisation permettra de dédommager les nombreuses personnes qui ont déposé des griefs. L’IPFPC a accepté d’examiner ces griefs et de les retirer dans les 150 jours suivant la signature de l’entente. Comme les élections fédérales compromettent la capacité de l’employeur de mettre en œuvre une grande partie de l’entente, l’IPFPC demandera une prolongation du délai de 150 jours pour retarder le retrait des griefs jusqu’à ce que le processus de réclamation soit terminé. Pour de plus amples renseignements sur l’entente d’indemnisation, rendez-vous à l’adresse suivante.

Nous continuerons d’utiliser la procédure de règlement des griefs jusqu’à ce que le processus d’octroi des jours de congé soit complètement mis en place.

Lisez notre FAQ pour en savoir plus sur l’entente d’indemnisation.

Cette semaine, des étudiants de tous les continents nous ont amenés à descendre dans la rue pour réclamer des mesures climatiques.

Les grèves ont été déclenchées en août 2018 par la jeune militante suédoise de 16 ans, Greta Thunberg. Ces grèves étudiantes du #vendredipourlavenir ont maintenant lieu un peu partout dans le monde, y compris au Canada.

Nous sommes solidaires des grèves mondiales pour l’action climatique.

Nos scientifiques fédéraux confirment que le changement climatique est une crise qui nécessite une action immédiate, car seulement 20 % d’entre eux croient que le Canada en fait assez.

« Nous devons écouter la science. Nous devons mettre à profit les excellents travaux de nos scientifiques fédéraux. Comme syndicalistes, nous devons être solidaires des étudiants du monde entier et réclamer nous aussi des mesures pour le climat », plaide Debi Daviau, présidente de l’IPFPC.

En cette journée d’action mondiale, en marge du Sommet Action Climat du secrétaire général de l’ONU, nous encourageons chaque Canadien et Canadienne à participer à la grève étudiante dans sa collectivité.

Ce n’est pas tout le monde qui pourra aller marcher et manifester, mais il existe bien d’autres moyens de manifester sa solidarité et son appui à cet appel à l’action si important, notamment en exprimant sa solidarité dans les médias sociaux, en participant aux activités à l’heure du dîner, en lançant une conversation sur les réductions de l’empreinte carbone au bureau ou en sensibilisant les candidats locaux à l’action climatique avant les élections fédérales.

Les personnes qui participent aux grèves devraient d’abord en discuter avec leur syndicat et consulter les lois pertinentes pour comprendre les conséquences juridiques de leurs actions.

L’IPFPC tient à apporter sa contribution pour souligner le 50ème anniversaire de l’entrée en vigueur de la Loi sur les langues officielles au Canada, le 7 septembre 1969, et les 10 ans de la Journée de la dualité linguistique dans la fonction publique fédérale, célébrée le deuxième jeudi de septembre de chaque année.

La Loi sur les langues officielles revêt une importance considérable pour les communautés linguistiques puisqu’elle confère l’égalité de statut du français et de l’anglais. En conséquence, elle énonce les grands principes qui sont chers à l’IPFPC relativement au respect des langues officielles dans la fonction publique fédérale

Nous sommes en faveur du bilinguisme, tant dans notre organisation, comme en fait foi notre politique interne, que dans la fonction publique du Canada.

À cet égard plus précisément, nous appuyons :

  • la protection des deux langues officielles et des langues autochtones;
     
  • le droit pour tous les travailleurs de travailler dans la langue officielle de leur choix, y compris les fonctionnaires à temps plein et à temps partiel et les sous-traitants du gouvernement;
  • l’obligation de fournir des services dans les bureaux désignés du gouvernement dans les deux langues officielles, que la prestation des services soit assurée par des fonctionnaires à temps plein ou à temps partiel ou par des sous-traitants du gouvernement;
  • les travaux du Conseil national mixte (CNM) sur la réouverture prochaine de la Directive sur la prime au bilinguisme, pour mieux favoriser l’utilisation des deux langues officielles dans la fonction publique fédérale.

Au printemps dernier, le gouvernement fédéral a entrepris un exercice de consultation en vue de moderniser la Loi sur les langues officielles (LLO) et c’est ce message que l’IPFPC lui a transmis de même que des demandes de modifications à la loi.

Des membres du personnel et vos représentants syndicaux ont également participé à un formum, aux séances de consultation et au Symposium sur le 50e anniversaire sur la Loi sur les langues officielles.

Pour être épaulé dans ses efforts, l’Institut peut maintenant compter sur les services de son nouveau Comité permanent sur les langues officielles. Son mandat sera établi définitivement lors de l’Assemblée générale annuelle de l’IPFPC en novembre prochain.

D’ici là, sachez qu’en tout temps, il fera plaisir au Groupe de travail sur les langues officielles de l’IPFPC d’accueillir vos commentaires et vos questions. Il ne suffit que de transmettre un courriel à gtlo_tfol@pipsc.ca.