Le Conseil du Trésor mène le Sondage auprès des fonctionnaires fédéraux tous les ans. En 2019, un total de 182 306 employés de 86 ministères et organismes fédéraux y ont répondu, soit soixante-deux pour cent des fonctionnaires.
Le harcèlement reste un grave problème dans la fonction publique fédérale. Les résultats du Sondage de 2019 indiquent que le niveau de harcèlement au travail est demeuré généralement inchangé.
Plus inquiétant encore, il demeure très élevé dans le cas des personnes ayant diverses identités de genre. Vingt-neuf pour cent d’entre elles affirment avoir déjà été victimes de harcèlement au travail, soit plus de deux fois plus que les personnes s’identifiant comme des femmes ou des hommes.
C’est inacceptable. Tous méritent un lieu de travail qui les met à l’abri du harcèlement, et le gouvernement fédéral devrait montrer l’exemple au secteur privé.
Seulement 51 % des répondants sont satisfaits de la manière dont leur ministère s’occupe des cas de harcèlement. C’est le cas de 32 % des répondants ayant diverses identités de genre.
Quelque 45 % des personnes ayant diverses identités de genre affirment que leur milieu de travail n’est pas favorable à leur bien-être psychologique.
Nous tirons la sonnette d’alarme : les fonctionnaires ayant diverses identités de genre méritent une meilleure protection et des lieux de travail sûrs.
Le Conseil du Trésor mène ce sondage tous les ans. En 2019, un total de 182 306 employés de 86 ministères et organismes fédéraux y ont répondu, soit soixante-deux pour cent des fonctionnaires.
D’année en année, nous mettons en lumière les principales tendances concernant le harcèlement au travail, le bien-être et Phénix.
Harcèlement au travail
Le harcèlement dans la fonction publique fédérale est un grave problème persistant auquel on ne donne à peu près pas suite. Nous sommes très préoccupés par les niveaux élevés de harcèlement signalés par les personnes non cisgenres. Vingt-neuf pour cent des personnes de diverses identités de genre interrogées dans le cadre du sondage affirment avoir été victimes de harcèlement au travail.
Dans l’ensemble, les signalements de harcèlement diminuent, mais très lentement.
Année |
Cas signalés au travail |
2014 |
19 % |
2017 |
18 % |
2018 |
15 % |
2019 |
14 % |
Seulement 51 % des répondants sont satisfaits de la manière dont leur ministère s’occupe des cas de harcèlement.
Bien-être psychologique
Soixante et un pour cent des répondants soutiennent que leur lieu de travail est propice à leur bien-être psychologique et que leur employeur s’efforce de protéger leur santé psychologique. Il s’agit d’une augmentation de 3 % par rapport à 2018.
Cela signifie que 39 % des fonctionnaires ne trouvent pas que leur lieu de travail est favorable à leur bien-être psychologique, ce qui est choquant.
Il est révélateur que 45 % des personnes ayant diverses identités de genre affirment que leur milieu de travail n’est pas favorable à leur bien-être psychologique.
Phénix
Les nouvelles concernant le système de paye Phénix demeurent mauvaises.
Par rapport à l’année précédente, les fonctionnaires sont quatre pour cent plus nombreux à avoir été touchés par Phénix l’année dernière. Ainsi, 74 % des fonctionnaires ont été touchés par les problèmes de Phénix en 2019.
Plus de la moitié des répondants qui ont subi des torts causés par Phénix attendent toujours que leur cas soit résolu. Seulement 44 % des répondants affirment que leurs problèmes de rémunération et d’indemnisation ont tous été réglés. Cela représente une amélioration de 9 % par rapport à 2018.
Soixante pour cent des répondants ne sont pas satisfaits du soutien qu’ils reçoivent en matière de rémunération.
Comparez les résultats de cette année avec notre analyse du sondage de 2018.
Nous sommes fiers de collaborer avec onze syndicats ontariens représentant plus de 250 000 employés du secteur public provincial dans le cadre d’une contestation judiciaire coordonnée du projet de loi 124, en vertu de la Charte.
« Le projet de loi 124 s’attaque directement à nos membres et aux droits des travailleurs en Ontario, s’insurge la présidente Debi Daviau. Nous nous opposerons à cette loi et au dangereux précédent qu’elle crée pour les droits des travailleurs au Canada ».
Le projet de loi 124, nommé par euphémisme la Loi de 2019 visant à préserver la viabilité du secteur public pour les générations à venir, viole le droit à la négociation collective libre et équitable, garanti par la Charte. Elle permet au gouvernement provincial d’imposer des plafonds salariaux, y compris les pensions et les avantages sociaux, à divers milieux de travail syndiqués et non syndiqués du secteur public.
Les travailleurs touchés par le projet de loi 124 comprennent les employés du gouvernement provincial, des organismes de la Couronne, des conseils scolaires, des universités et des collèges, des hôpitaux, des foyers de soins de longue durée à but non lucratif, des sociétés d’aide à l’enfance, des organismes de services sociaux et des secteurs de l’électricité et de l’énergie, dont les membres de l’IPFPC des groupes suivants :
- Physiciens médicaux de l’Ontario (MP)
- Technologues en mécanique et en électronique de Sunnybook (TME-SUN)
- Radiothérapeutes de Sunnybrook (RT-SUN)
- Radiothérapeutes – Juravinski – Centre des sciences de la santé (JCC)
- Radiothérapeutes – Centre régional des sciences de la santé, Thunder Bay
- Radiothérapeutes de l’Hôpital régional de Windsor (RT-HRW)
- Professionnels en TI de l’Université d’Ottawa (UOITP)
Les dirigeants syndicaux de l’Ontario sont déterminés à mettre fin au projet de loi 124.
Le mouvement syndical ontarien, en collaboration avec Power of Many, lancera une campagne publique pour abroger le projet de loi 124.
La Fédération du travail de l’Ontario (FTO) mène l’offensive. « La FTO est solidaire des syndicats de l’enseignement qui ont récemment contesté l’application du projet de loi 124 au secteur de l’éducation, et nous redoublons d’efforts pour contrer les attaques continuelles de ce gouvernement visant des droits garantis par la Charte à tous les Ontariens. Ensemble, nous lançons une campagne vigoureuse pour exiger que le gouvernement conservateur Ford abroge cette loi inconstitutionnelle », déclare Patty Coates, présidente de la FTO.
« Nous voulons défendre les droits des travailleurs protégés par la Charte canadienne des droits et libertés, poursuit Fred Hahn, président du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) de l’Ontario. Quand le gouvernement Ford exige que nous fassions tous notre part, il devrait imposer les sociétés rentables et les plus riches de nos communautés au lieu de cibler les travailleurs. La Charte est importante, les droits de la personne sont importants, et les droits des travailleurs le sont aussi ».
« Pour les travailleurs des groupes visés par l’équité – des personnes racisée, handicapées ou autochtones et les femmes – les conventions collectives jouent un rôle essentiel pour assurer l’équité au travail, explique Sharleen Stewart, présidente de SEIU Healthcare. Les limites à la négociation imposées par le gouvernement minent les droits des travailleurs qui sont déjà victimes de discrimination systémique ».
Au cours des dernières années, les syndicats ont réussi à coordonner leurs efforts pour contester les lois qui violent les droits des travailleurs, comme le projet de loi 115 des libéraux, qui a fait obstacle à la négociation collective dans le secteur de l’éducation. Les tribunaux ont conclu que le projet de loi 115 violait les droits des travailleurs, des droits garantis par la Charte. Grâce aux contestations judiciaires, à une campagne de résistance coordonnée et à l’opposition publique, le projet de loi a été abrogé.
La contestation conjointe en vertu de la Charte annoncée aujourd’hui est présentée par une coalition de syndicats des secteurs public et privé représentant des travailleurs du secteur public élargi, dont :
- Le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP);
- Le Service Employees International Union (SEIU Healthcare);
- Le Syndicat des Métallos;
- L’Alliance de la Fonction publique du Canada (AFPC);
- La Society of United Professionals (IFPTE), section locale 160;
- Le Syndicat canadien des employées et employés professionnels et de bureau (SEPB Ontario);
- AMAPCEO;
- La Fraternité internationale des ouvriers en électricité (FIOE);
- L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC)
- Le Travailleurs Unis de l'Alimentation et du Commerce (TUAC), section locale 175;
- l’Association des infirmières et infirmiers de l’Ontario (AIIO).
D’autres syndicats et organisations représentant les travailleurs du secteur public de l’Ontario devraient participer à cette contestation coordonnée ou entreprendre leur propre contestation judiciaire du projet de loi 124 dans les prochaines semaines.
3,6 millions de Canadiens n’ont pas les moyens d’acheter les médicaments qui leur sont prescrits. Nos amis et voisins sont forcés de choisir entre l’épicerie et les médicaments.
Malheureusement, le Canada est le seul pays développé dont le régime de soins de santé universel ne couvre pas les médicaments d’ordonnance.
Nous unissons notre voix à celle de 150 organismes d’un peu partout au Canada pour demander au nouveau gouvernement fédéral de mettre en place immédiatement un régime d’assurance-médicaments universel.
Lisez le protocole d’accord L’Assurance-médicaments maintenant
L’assurance-médicaments nationale devrait faire partie intégrante du système de soins de santé universel du Canada, qui couvre les services médicaux et hospitaliers nécessaires et est harmonisé avec la Loi canadienne sur la santé.
Nous ne pouvons plus continuer à utiliser cette façon incohérente, dysfonctionnelle, injuste, inadéquate et dispendieuse de couvrir les médicaments : le Canada compte plus de 100 régimes publics d’assurance-médicaments et 113 000 régimes privés! Et nos médicaments sont les troisièmes plus chers du monde.
Cette situation est contraire aux principes et aux valeurs qui sous-tendent notre régime universel de soins de santé et elle n’est pas viable du point de vue économique.
Un régime national et universel d’assurance-médicaments donnera l’égalité d’accès et de couverture à tous les Canadiens.
Il permettra d’économiser des milliards de dollars parce que les gouvernements combineront leur pouvoir d’achat en gros pour négocier des prix plus bas et des rabais de volume avec les compagnies pharmaceutiques.
Les Canadiens sont fiers de leur régime universel de soins de santé, qui est fondé sur les besoins et non sur la capacité de payer. Il est temps de développer ce fier héritage et de faire un grand pas en avant en créant un régime national et universel d’assurance-médicaments.
C’est pourquoi nous nous rallions aux fournisseurs de soins de santé, aux organismes à but non lucratif, aux syndicats, aux travailleurs, aux aînés, aux patients et aux universitaires de partout au pays pour exhorter toutes les parties à s’employer ensemble à mettre en place un régime d’assurance-médicaments national avant les prochaines élections.
C’est avec beaucoup de tristesse et de regret que l’Institut vous informe du décès de notre ami et collègue, Ed Sweet.
Ed est décédé le 17 novembre 2019.
Ed était pleinement engagé envers les membres de l'Institut. Il nous manque.
Il faisait partie des vérificateurs qui sont devenus membres de l’Institut professionnel en 1990.
Ed a servi les membres de l’Institut avec brio à divers postes, pendant de nombreuses années, notamment à titre de délégué syndical.
Pendant de nombreuses années, Ed a siégé au comité exécutif du Groupe VFS, du Sous-group VFS d’Halifax, du Chapitre d’Halifax, et du Groupe Vérification de l'Agence des douanes et du revenu du Canada, et il a agi à titre de délégué à l’Assemblée générale annuelle depuis de nombreuses années.
L’Institut présente ses condoléances à la famille de Ed et aux nombreux amis qui ont eu le privilège de le connaître.
Pour des condoléances ou témoignages personnels en ligne
Jusqu’en 2017, les participants au Régime de retraite de la fonction publique recevaient un relevé de pension annuel.
En raison des ratés du système de paye Phénix, le Centre des pensions n’a pas été en mesure d’émettre ces relevés.
Nous sommes conscients de ce problème et nous collaborons activement avec le Conseil du Trésor et le Centre des pensions pour atténuer cet inconvénient.
Malheureusement, comme Phénix n’est pas fiable, le Centre des pensions ne peut confirmer l’exactitude des renseignements sur les participants et ne transmettra pas de relevés de pension annuels avant que les dossiers soient corrigés. Le Centre pourrait faire face à de graves conséquences juridiques s’il donne des renseignements inexacts sur les pensions.
Il est important de noter que le problème n’est pas attribuable au Centre des pensions, mais bien à Phénix. Les fonctionnaires — comme tous les Canadiens — méritent de recevoir une paye à temps, au bon montant. Nous faisons pression sur le gouvernement pour qu’il remplace Phénix et nous insistons pour que des syndicats comme le nôtre soient consultés au sujet du travail à faire pour le remplacer. Les travaux sont en cours.
Si vous approchez de la retraite, veuillez consulter les ressources en ligne sur les pensions.
Si vous avez des questions au sujet de votre cas particulier, veuillez communiquer avec le centre des pensions.
Pour en savoir plus concernant la position du Conseil du Trésor sur les relevés de pension : https://www.canada.ca/fr/secretariat-conseil-tresor/services/regime-retraite/nouvelles-annonces-pensions-avantages-sociaux/renseignements-pensions-prestations-assurance.html
La fonction publique est un moteur important de l’économie canadienne.
Partout dans le monde, les gouvernements font des compressions dans la fonction publique essentiellement pour réduire les déficits ou équilibrer les budgets, mais le résultat escompté n’est jamais au rendez-vous. En réalité, investir dans la fonction publique profite à l’économie.
Un rapport récent de l’IRIS (Institut de recherche et d’information socioéconomiques), un institut de recherche québécois, montre en effet que chaque dollar investi dans la fonction publique canadienne augmente le PIB de 1,22 M$ et profite aux économies des provinces.
Chaque dollar investi dans la fonction publique fédérale produit des retombées économiques. Au fédéral, pour chaque million de dollars investis dans la fonction publique fédérale, les retombées sont de l’ordre de 1,77 million de dollars.
Et le plus intéressant, chaque million de dollars investis dans la fonction publique fédérale de l’Alberta et de la Nouvelle-Écosse rapporte 2,26 M$ et 2,07 M$ respectivement en retombées économiques.
Le rapport relève les tendances de l’emploi dans le secteur public depuis l’après-guerre et indique clairement que l’économie canadienne bénéficierait d’une hausse des embauches dans la fonction publique fédérale, car les 25 000 emplois supprimés par le gouvernement Harper en 2011 n’ont pas été remplacés.
Les compressions de l’ère Harper étaient malavisées, car, dollar pour dollar, les dépenses dans les services publics génèrent plus d’emplois et de croissance résiduels que les dépenses dans d’autres secteurs.
L’existence d’un grand nombre d’emplois permanents stabilise la volatilité du secteur privé et atténue la gravité des soubresauts inévitables dans les secteurs industriels tels que la transformation et l’extraction des ressources.
« Le secteur public offre un levier aux gouvernements pour atteindre le plein emploi en fournissant des emplois de qualité qui ont des effets bénéfiques sur la croissance économique en général et sur la résilience des régions moins diversifiées en particulier. »
Dans son dernier budget, le gouvernement de l’Alberta a annoncé une réduction de 7,7 % des effectifs de la fonction publique provinciale d’ici quatre ans. Cela se traduira par la perte de 1588 emplois.
Une stratégie inefficace à l’ère Harper ne sera pas plus efficace aujourd’hui en Alberta. Dans une économie déjà volatile et tributaire des ressources naturelles, les compressions dans la fonction publique exacerberont les difficultés économiques et contribueront peu à l’équilibre budgétaire.
Nous sommes solidaires des fonctionnaires de l’Alberta. Nous sommes contre l’austérité à tous les paliers de gouvernement. Et nous voulons une prospérité économique qui profite à tous les Canadiens.
Ottawa, 5 novembre 2019 — L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) tiendra sa 100e assemblée générale annuelle les 8 et 9 novembre prochains à Gatineau.
Cette AGA aura pour thème À l’avant-garde du progrès. L’Institut soulignera son centenaire en célébrant le leadership qu’exercent ses membres pour faire avancer le Canada sur la voie du progrès.
« Quel jalon incroyable à célébrer! Nous sommes à l’avant-garde du progrès depuis 100 ans, et c’est en nous appuyant sur un siècle de réalisations que nous continuons de progresser, déclare Debi Daviau, présidente de l’Institut. Nos membres s’attendent à nous voir travailler fort, en première ligne, pour leur donner satisfaction. Et c’est exactement ce que nous faisons, aujourd’hui comme hier. »
L’Institut est fier d’accueillir Hassan Yussuff, président du Congrès du travail du Canada, qui agira à titre de conférencier principal; David Coletto, chef de la direction d’Abacus Data, présentera quant à lui les résultats du sondage réalisé auprès des membres de l’Institut.
Événement : 100e assemblée générale annuelle
Lieu : Hilton Lac-Leamy — Centre des congrès Gatineau (Québec)
Dates : 8 et 9 novembre 2019
Événements médiatiques : Vendredi 8 novembre
- 8 h 40 : Discours de Debi Daviau, présidente de l’IPFPC
- 9 h 15 : Discours de David Coletto, PDG d’Abacus
- 9 h 50 : Discours de Hassan Yussuff, président du CTC
Suivez-nous sur Facebook et Twitter.
- 30 -
Pour plus d’information :
Johanne Fillion : 613‑228‑6310, poste 4953 (bureau) ou 613-883-4900 (cell.), jfillion@pipsc.ca
REMARQUES
- Les discours prononcés à l’AGA pourront être visionnés en direct sur la page Facebook de l’Institut : https://www.facebook.com/PIPSC.IPFPC/.
- Pour en savoir plus sur la 100e AGA de l’Institut professionnel, consultez la page https://www.pipsc.ca/fr/a-propos/gouvernance/aga/2019.
- Mot-clic : #IPFPCAGA
Les 8 et 9 octobre 2019, l’équipe de mobilisation a tenu deux séances d’information en français et deux en anglais pour les militants de l’Institut, afin de leur faire connaître les nouveaux outils et les autres ressources disponibles sur le site enaction.ipfpc.ca.
L’équipe de mobilisation a créé une trousse d'outils Bien mieux ensemble. Cet outil numérique est conçu pour aider les membres, peu importe leur niveau d’engagement, à organiser une activité de sensibilisation réussie dans leur milieu de travail.
Nos webinaires ont donné aux membres l’occasion de visiter le site, de discuter avec l’équipe de mobilisation et d’examiner des outils créés pour eux.
Si malheureusement vous les avez manqués, vous pouvez toujours regarder les enregistrements ici :
Si vous avez des questions au sujet de la trousse ou des suggestions pour améliorer la trousse et la rendre encore plus utile, veuillez écrire à Andria Desjardins (adesjardins@pipsc.ca).
L’équipe de mobilisation et recrutement, IPFPC
Cette année marque notre 100e anniversaire comme syndicat à l’avant-garde du progrès.
Pour célébrer le rôle que des membres comme vous jouent dans la protection et le soutien des communautés, nous avons invité l’artiste Ryan Smeeton d’Ottawa à illustrer la diversité de votre travail dans sa fresque.
Ryan a travaillé un mois durant pour peindre un centenaire de progrès. Dans cette œuvre, il fait ressortir l’importance du travail des membres et de la mission de l’IPFPC.
« Je veux créer une murale qui illustre la mission de l’Institut : bâtir une communauté qui unit ses efforts pour améliorer la vie de ses membres. C’est ce que j’intègre dans mon design : une composition linéaire à trois silhouettes. La première silhouette sème des graines, la paume ouverte, la deuxième tient une pousse d’arbre, et la troisième porte son regard vers l’avenir ».
Cory Conty, photographe d’Ottawa, a collaboré avec Ryan pour produire une chronovidéo de la murale, de sa conception à sa réalisation, ce qui a littéralement donné vie au projet.
À l’Institut, nous sommes heureux d’amorcer un nouveau siècle de réalisations avec une murale qui rend hommage aux contributions de nos membres des 100 dernières années.
Nous continuerons à célébrer ce siècle de belles victoires à notre prochaine AGA, en novembre.
Nous remercions Ryan de nous avoir aidés à insuffler vie à cette murale, Cory pour les magnifiques images, et nos voisins de Dustbane pour leur appui à ce projet.