L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

D'un océan à l'autre, les membres de l'IPFPC ont planté des centaines d'arbres pour célébrer notre 100e anniversaire.  Les membres de l'Institut sont fiers de promouvoir la gérance de l'environnement, ce qui est plus important que jamais alors que nous tentons de faire face à la crise climatique en réduisant notre empreinte carbone.

L'Institut s'est associé à Arbres Canada, un organisme sans but lucratif qui se consacre à la plantation et à l'entretien des arbres. Depuis 25 ans, cet organisme engage les collectivités, les gouvernements, les entreprises et les particuliers dans la recherche d'un milieu de vie plus vert et plus sain pour les Canadiens.

Depuis 1920, les membres de l'Institut ont joué un rôle essentiel dans la collecte de données qui ont confirmé que nous sommes confrontés à une crise climatique. Qu'il s'agisse de surveiller la santé de nos forêts, de cartographier les étoiles ou de protéger la vitalité de nos écosystèmes marins, les services fournis par les membres de l'IPFPC sont des services sur lesquels tous les Canadiens comptent.

Coquitlam, BC
Membres de la Région de la C.-B./Yukon à Coquitlam (Colombie-Britannique)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quebec
Membres du Québec au CHUL (Centre hospitalier de l'Université Laval)

 

Beaverbank, NS
Membres de la Région de l'Atlantique à Beaverbank (Nouvelle-Écosse)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Paradise, NL
Membres ont aidé à planter 500 arbres à Paradise (Terre-Neuve)

 

Le processus fédéral d’équité salariale est en cours. Il vise à garantir que les travailleuses et travailleurs qui occupent des emplois à prédominance féminine reçoivent un salaire égal pour un travail de valeur égale.

Depuis le 31 août 2021, tous les milieux de travail sous réglementation fédérale sont assujettis à la nouvelle Loi sur l’équité salariale. Visant l’équité salariale par des moyens proactifs, cette loi remplace un modèle d’équité salariale inefficace fondé sur les plaintes.

L’IPFPC a travaillé en collaboration avec Emploi et Développement social Canada (EDSC) pour élaborer le règlement qui mettra en œuvre la législation.

En vertu de la loi, les employeurs et les syndicats doivent collaborer pour créer un comité d’équité salariale qui développera et mettra en œuvre un plan d’équité salariale d’ici 2024. Les agents de classification de l’IPFPC coordonneront les projets d’équité salariale et représenteront vos intérêts tout au long du processus.

Processus d’équité salariale

Dans un premier temps, les employeurs doivent afficher un avis énonçant leur obligation en matière d’équité salariale au plus tard le 1er novembre 2021. Des comités mixtes employeurs-syndicats élaboreront ensuite des plans d’équité salariale afin de vérifier que les employé·e·s reçoivent un salaire égal pour leur travail et de combler tout écart salarial.

Un commissaire à l’équité salariale apportera son soutien aux comités et offrira des services de règlement des différends en cas de besoin.

Enfin, les plans seront revus et mis à jour au moins tous les 5 ans, afin de veiller à ce que les politiques de rémunération de l’employeur restent dénuées de tout préjugé sexiste.

Vous voulez vous impliquer?

Si vous avez des préoccupations ou si vous souhaitez nous informer de l’évolution de la situation sur votre lieu de travail, veuillez envoyer un courriel à remuneration@ipfpc.ca. Nous vous tiendrons au courant de l’évolution du processus.

C’est avec tristesse que l’Institut a appris le décès de Marie-Claude Lavigne le 18 novembre 2021. Marie-Claude travaillait comme psychologue au Service correctionnel du Canada au Québec. Elle était une employée dévouée et une déléguée syndicale active de l'Institut de 1985 à 1996 à l'Établissement Leclerc à Laval.

Marie-Claude veillait au bien-être de ses collègues et les défendait avec passion. Marie-Claude a relevé de nombreux défis et était une grande source d'inspiration.

Au moment de sa retraite en 2007, Marie-Claude travaillait pour l'Office des libérations conditionnelles. Elle nous manquera énormément. Nous offrons nos plus sincères condoléances à sa famille et à ses amis.

Les condoléances et les souvenirs peuvent être exprimés en ligne.

Le 16 novembre 2021, la présidente Debi Daviau a rencontré la présidente du Conseil du Trésor récemment nommée, Mona Fortier, pour discuter de la voie à suivre concernant les enjeux clés de nos membres.

La discussion a porté sur l’intégrité scientifique, l’équité et la diversité, les améliorations du Régime de soins de santé de la fonction publique et la reprise éventuelle des négociations sur le Programme de soutien au bien-être des employés.

Même si elle n’a pas encore reçu son mandat du PM, la ministre Fortier a identifié ses trois principales priorités dans ses nouvelles fonctions :

  • négociations de bonne foi
  • communications ouvertes
  • collaboration

La ministre s’est montrée très élogieuse à l’égard du travail que l’Institut a accompli avec le gouvernement et les présidents précédents du Conseil du Trésor, et elle a fait savoir qu’elle avait reçu beaucoup de commentaires positifs de ses collègues à notre sujet.

Nous nous réjouissons de poursuivre les discussions avec la ministre Fortier sur ces enjeux et sur d’autres questions importantes pour nos membres, comme les modalités de travail flexibles, les lieux de travail sécuritaires et la prochaine ronde de négociations collectives.

Par John Anderson, Contributeur

Cet article a été originellement publié le 11 octobre 2021. Cliquez ici pour voir l'article originale dans le journal Toronto Star. 

La pandémie a mis en lumière de nombreuses choses que nous ignorions jusque là. Nous avons appris que la gestion et les conditions déplorables dans les résidences pour retraités et les foyers de soins de longue durée en ont fait des cibles faciles pour le virus de la COVID-19, et que c’est dans ces établissements que sont survenus environ les trois quarts de tous les décès dus à la pandémie au Canada.

Nous avons constaté que les foyers de soins de longue durée à but lucratif présentent les pires bilans en matière de maladies et de décès, suivis par les foyers sans but lucratif, tandis que les meilleurs bilans sont ceux des foyers municipaux publics.

Enfin, nous avons découvert avec étonnement que le gouvernement fédéral possède l’entièreté de Revera, le deuxième groupe de foyers de soins de longue durée et de résidences pour retraités en importance au Canada. Il possède Revera en détenant 100 % d’Investissements PSP, le fonds d’investissement pour les régimes de retraite de la fonction publique, des Forces armées canadiennes, de la Gendarmerie royale du Canada et de la Force de réserve. Investissements PSP possède quelque 170 milliards de dollars d’actifs. Ses investissements privés, comme Revera, ont généré un profit de 28 % l’an dernier. Cela signifie qu’en fin de compte, vous et moi sommes également propriétaires de Revera.

Comme Revera est une propriété publique, on aurait tendance à penser que son bilan en matière de soins de longue durée (SDL) serait parmi les meilleurs. Toutefois, ce n’est pas le cas. Revera, en tant que chaîne à but lucratif, a l’un des pires bilans au Canada, avec à ce jour plus de 800 morts dans ses établissements de SLD et résidences pour retraités. Revera possède des résidences comme le Carlingview à Ottawa, qui a enregistré 61 morts en août 2020, le Maples à Winnipeg (55 morts) et le Forest Heights à Waterloo (51 morts). Et pourquoi donc en a-t-il été ainsi?

Revera est une chaîne à but lucratif qui génère d’importants profits des foyers de SLD sans les réinvestir suffisamment dans la rémunération du personnel ou la modernisation des établissements. Au début de la pandémie, encore beaucoup de chambres contenaient quatre lits!

Le 28 septembre 2021, j’ai assisté au webinaire d’Investissements PSP, où le président de la société, Neil Cunningham, n’a pas répondu directement aux questions des participants comme il était censé le faire, mais a plutôt parlé d’autres sujets, notamment de Revera. Il a dit que la société PSP était désolée pour tous les décès, mais qu’elle attendait que la politique publique décide de ce qu’il fallait faire au sujet du maintien des SLD. Il a également mentionné que si des capitaux privés étaient nécessaires, la société était toujours prête.

En outre, il a dit que PSP voulait moderniser ses vieux foyers, comme ceux qui contenaient quatre lits pour une chambre, mais que cela coûtait beaucoup d’argent et qu’il se demandait qui allait payer.

M. Cunningham a aussi déclaré qu’il n’y avait rien de mal à investir dans Pretium, l’entreprise américaine de location de maisons unifamiliales qui, selon un article du Star, a expulsé de nombreux résidents racialisés pendant la pandémie. Selon M. Cunningham, il n’y a pas eu beaucoup d’expulsions. Il n’a pas dit un mot au sujet du retrait d’Investissements PSP des prisons privées américaines, qui a eu lieu cette année sous la pression du public.

En fin de compte, comme Revera est une société privée, nous ne savons toujours pas quels sont ses profits ni si elle paie des impôts au Canada, puisqu’elle n’est pas tenue de publier un rapport annuel!

Une étude récente du Centre for International Corporate Tax Accountability and Research, basé en Australie, a montré que Revera, au Royaume-Uni, où elle est copropriétaire de nombreux établissements de SLD avec son partenaire Welltower, a déclaré des pertes combinées de 12,6 millions de dollars américains tandis que Welltower a enregistré un revenu net de 84,8 millions de dollars de son partenariat avec Revera. Serait-ce une évasion fiscale abusive de Revera? Tant que nous ne verrons pas les états financiers transparents et complets des activités de Revera, nous ne connaîtrons pas le fond de l’histoire.

Revera est le deuxième investissement mondial en importance d’Investissements PSP. De plus, Revera gère quelque 22 500 unités au Canada, ce qui en fait la deuxième plus grande société de gestion d’établissements de SLD et de résidences pour retraités au pays. Elle a aussi un statut d’acteur mondial puisqu’elle gère 24 000 unités aux États-Unis et 4 000 unités au Royaume-Uni.

Le gouvernement fédéral nouvellement élu devrait céder Revera aux provinces en tant que société publique sans but lucratif de SLD. Il nomme le conseil d’administration du Fonds d’Investissements PSP par l’entremise du ministre du Conseil du Trésor. Si le gouvernement fédéral veut faire de Revera un véritable organisme public à but non lucratif, il peut s’y mettre demain matin sans problème.

Nous condamnons l’interdiction imposée par le gouvernement du Nouveau-Brunswick aux fonctionnaires qui souhaitent faire des reconnaissances territoriales.

Qu’il s’agisse d’appuyer le Mois de l’histoire autochtone, la Journée des Autochtones en direct ou le Caucus des membres autochtones de l’IPFPC, nos membres passent régulièrement à l’action en faveur de la réconciliation avec les Premières Nations, les Inuits et les Métis.

Les reconnaissances territoriales sont une part importante de cette action. Nous demandons à Hugh Fleming, ministre de la Justice du Nouveau-Brunswick, d’annuler immédiatement cette décision. Les membres syndiqués devraient être autorisés à reconnaître le territoire autochtone sur lequel ils travaillent.

Contactez votre délégué·e syndical·e si vous faites face à des mesures disciplinaires pour avoir fait des reconnaissances territoriales.

Nous sommes solidaires des peuples autochtones du Nouveau-Brunswick. Nous nous joignons à la Fédération des travailleurs du Nouveau-Brunswick pour demander au gouvernement du Nouveau-Brunswick de faire marche arrière concernant cette directive.

Le 26 octobre 2021, le premier ministre Justin Trudeau a présenté son nouveau cabinet. Nous tenons à féliciter l’honorable Mona Fortier pour sa nomination à la présidence du Conseil du Trésor du Canada.

En tant que députée de la circonscription d’Ottawa-Vanier, la ministre Fortier comprend bien les expériences et les défis auxquels sont confrontés les employés professionnels de la fonction publique, dont beaucoup sont ses électeurs. Lorsque le fiasco Phénix a commencé à faire la une des journaux, elle nous a contactés pour voir comment elle pouvait nous aider à corriger la situation. Nous avons salué son engagement à l’époque, et nous continuerons à l’informer sur les enjeux de la fonction publique du point de vue de nos membres.

Après les élections à la présidence de l’IPFPC, nous convoquerons une réunion pour discuter des priorités actuelles de notre syndicat : des modalités de travail flexibles pour nos membres, des lieux de travail sûrs et les négociations (qui pourraient commencer dès février 2022).

Nous sommes impatients d’établir des relations productives, dans un souci de consultation, avec la ministre Fortier.

Point-de vue / Il y a beaucoup de leçons à tirer de la pandémie de Covid-19, mais la plus grande d’entre elles, c’est certainement la nécessité de mieux se préparer à la prochaine crise. Qu’elle concerne une atteinte à la cybersécurité, une crise sanitaire ou une crise climatique, notre fonction publique doit y être prête.

Une lettre d'opinion de Debi Daviau

Pour la surmonter et être en mesure d’affronter les changements sociétaux omniprésents, le Canada a besoin d’une fonction publique bien formée et résiliente. La fonction publique du Canada a été reconnue comme l’une des plus efficaces du monde, mais nous devons continuer à améliorer les compétences des fonctionnaires pour être prêts, la prochaine fois qu’une crise surviendra. En réalité, la plupart des employeurs, y compris le gouvernement du Canada, n’ont pas encore commencé à relever sérieusement les défis posés par l’évolution rapide des lieux de travail et des technologies, comme l’automatisation et l’intelligence artificielle (IA). La fonction publique doit se préparer dès maintenant et mieux comprendre quelles sont les compétences requises pour les emplois de demain et quel type de formation les fonctionnaires doivent suivre.

Le changement, c’est maintenant la norme dans nos milieux de travail et la fonction publique du Canada ne fait pas exception. Il y a deux ans, qui aurait pu imaginer que les dizaines de milliers de fonctionnaires qui travaillent normalement au pré Tunney, à la Place du Portage et à l’édifice Harry Hays à Calgary, travailleraient maintenant dans leur salon, dans leur chambre à coucher ou sur leur table de cuisine? Anticiper l’évolution des marchés du travail et doter les travailleurs des compétences dont ils ont besoin pour s’adapter aux lieux de travail en mutation rapide est l’un des défis de notre époque.

Pour relever ces défis, les employeurs, les travailleurs, les gouvernements et les syndicats doivent collaborer pour trouver ensemble des solutions innovantes, nouvelles et à long terme.

Pour sa part, l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) cherche à utiliser les dernières technologies de pointe pour aider la fonction publique professionnelle du Canada à se préparer à faire face avec succès aux bouleversements technologiques, sociaux, environnementaux et économiques. Nous voulons aider nos membres à obtenir les conseils et les compétences dont ils ont besoin pour s’épanouir professionnellement et offrir des services exceptionnels aux Canadiens.

Grâce à un nouvel investissement de 2,6 M$ du gouvernement fédéral, l’Institut est en train de mettre au point un outil novateur pour aider à former les fonctionnaires professionnels, le Centre des Compétences futures (CCF). À l’heure où les lieux de travail et les emplois évoluent, notre nouvelle plateforme permettra aux professionnels d’accéder à des recherches novatrices, d’obtenir des informations précieuses sur l’impact des changements sociétaux sur leur travail et d’avoir des possibilités de développement professionnel qui peuvent les aider à faire progresser leur carrière.

Nos membres nous ont dit à maintes reprises qu’ils souhaitaient améliorer leurs compétences et se préparer aux changements technologiques, comme l’automatisation croissante et l’IA. Nos recherches ont montré qu’une majorité écrasante, soit 70 % de nos membres, souhaite ardemment avoir de meilleures possibilités de formation et de développement professionnels. Les fonctionnaires professionnels cherchent de l’aide pour commencer à développer aujourd’hui les compétences qui leur permettront de réussir dans le monde du travail de demain.

L’IPFPC cherche à amener le gouvernement à collaborer à la planification du monde du travail de l’avenir et à relever le défi pressant de la requalification et de l’amélioration des compétences des fonctionnaires. Le travail que nous accomplissons aidera la fonction publique professionnelle du Canada à avancer et à faire face sans difficulté à la prochaine crise.

N’oublions pas que lorsque notre fonction publique réussit, c’est que le gouvernement du Canada réussit à fournir aux Canadiens les services dont ils ont besoin. Aujourd’hui, demain et à l’avenir. Nous devrions tous appuyer ce projet.

Debi Daviau
Présidente de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC)

Cette lettre d'opinion a été publiée dans Le Droit, dans l'édition du 13 octobre 2021.

Ces 19 derniers mois, les Canadiennes et les Canadiens ont pu constater à quel point les professionnels de la fonction publique sont essentiels en période d’urgence nationale. Pour gérer les crises futures et faire face à l’évolution rapide du monde du travail, le Canada a besoin d’une fonction publique bien formée. 

Pour répondre à ces besoins, l’IPFPC est heureux d’annoncer son partenariat avec le Centre des Compétences futures (CCF). Le CCF contribuera à hauteur de 2,5 M$ sur 3 ans à une initiative innovante visant à aider les professionnelles et les professionnels de la fonction publique à acquérir les compétences nécessaires pour s’épanouir dans leur carrière. 

LIRE LE COMMUNIQUÉ

« Anticiper l’évolution des marchés du travail et doter les fonctionnaires des compétences dont ils ont besoin pour s’adapter aux lieux de travail en mutation rapide est l’un des défis de notre époque, explique la présidente de l’IPFPC, Debi Daviau. Nous sommes ravis de travailler avec Centre des Compétences futures pour aider les membres de la fonction publique professionnelle à se préparer pour l’avenir et à continuer de fournir à la population canadienne les services publics essentiels sur lesquels elle compte ».

C’est avec beaucoup de tristesse et de regret que l’Institut vous informe du décès de notre ami et collègue, Harry Walker.   Harry a décédé le 15 septembre 2021, entouré de sa famille, après une longue maladie.

Harry a a été membre de l'exécutif national du groupe VFS depuis sa création en 2001 jusqu'en 2016 en tant que représentant VFS CS de la consultation nationale. 

Il était pleinement engagé envers les membres.  Harry a été réconnu pour son travail exceptionnel au sein de la communauté CS.

En 2016, à l'assemblée générale annuelle, l’Institut a présenté le Prix de service à Harry.

Nous nous souviendrons de lui avec respect pour son engagement et son professionnalisme envers les membres. 

Harry était également un passionné de Harley Davidson et assistait régulièrement, avec son épouse bien-aimée Terry, au rallye annuel de motos Sturgis dans le Dakota du Sud.  Une dernière randonnée pour Harry aura lieu à Kelowna, en Colombie-Britannique, à une date ultérieure.

L’Institut présente ses condoléances à la famille de Harry et aux nombreux amis qui ont eu le privilège de le connaître.