Vidéo du Conseil régional de l'Atlantique abordant les problèmes liés à Phénix
En mai 2018, j’ai parlé du système de paye Phénix lors du Conseil régional de l’Atlantique. La meilleure façon de rendre compte de la situation est de laisser les membres décrire les répercussions du fiasco dans leur propre vie.
Voici une courte vidéo produite sur cette rencontre. Je pense qu’elle résume bien la situation. Que se passe-t-il dans votre cas? Dites-le-nous à https://enaction.ipfpc.ca/finiphenix.
La Fondation Héritage vous rappelle que la date limite de présentation des demandes de bourses d'études est le 13 juillet 2018.
En 2018, la Fondation décernera les bourses suivantes :
Série de commanditaires
- 1 bourse d’études de 5 000 $
- 15 bourses d’études de 1500 $
Fonds des fondateurs
- 2 bourses d’études de 1 500 $
- 2 bourses d’études de 1 000 $
- 1 bourse d’études de 500 $
Admissibilité
Sont admissibles à une bourse d’études, les enfants et petits-enfants de membres titulaires et retraités de l’Institut qui sont en règle ou étaient en règle au moment de leur décès. Les enfants et petits-enfants de cotisants RAND ne sont pas admissibles.
Les candidats doivent entrer en première année à temps plein d’un programme d’études postsecondaires dans un établissement scolaire qui comprend les cégeps au Canada ou à l’extérieur du Canada.
Critères de selection
Les critères de sélection sont les mêmes pour toutes les bourses. Une seule bourse sera remise à chacun des lauréats.
Un comité de sélection indépendant octroiera les bourses en se fondant sur les critères suivants :
- Réalisations académiques (relevé de notes requis).
- Déclaration attestant les qualités de meneur et de l’engagement dans la communauté accompagnée d’au moins 2 lettres de référence et autres documents pertinents.
- Dissertation de 750 à 1000 mots sur le « professionnalisme ». Le sujet pourrait être « Que signifie être un professionnel dans le cadre de votre carrière? », mais d’autres sujets sur le professionnalisme seront acceptés. Les dissertations seront jugées d’après le contenu, la grammaire, l’orthographe, la structure et la présentation.
- Énoncé expliquant pourquoi le candidat pense mériter une bourse et énonçant ses objectifs académiques et son cheminement de carrière éventuel. La lettre sera évaluée d’après son contenu, la grammaire, l’orthographe, la structure et la présentation des objectifs.
Pour obtenir plus d’information et un formulaire officiel de demande, vous pouvez consulter le site web (www.pipsc.ca/legacy) ou communiquez par courriel à bourses@pipsc.ca.
Inscription au programme
Toutes les demandes doivent inclure les documents suivants :
- formulaire officiel de demande de bourses d’étude (Voir www.pipsc.ca/portal/page/portal/website/legacy/scholarship/app_form)
- copie du relevé de notes officiel du dernier établissement scolaire fréquenté
- déclaration expliquant pourquoi vous pensez mériter une bourse et énonçant vos objectifs académiques et votre cheminement de carrière éventuel
- déclaration attestant vos qualités de meneur et votre engagement dans la communauté accompagnée d'au moins 2 lettres de référence et autres documents pertinents.
- dissertation de 750 à 1 000 mots sur le professionnalisme
Veuillez envoyer la demande, accompagnée des documents à l’appui, par courriel à bourses@pipsc.ca, ou par la poste, ou télécopieur au :
Jury de sélection
La Fondation Héritage de l’Institut professionnel
250, chemin Tremblay
Ottawa (Ontario) K1G 3J8
Téléphone : 613 228-6310 / 1 800 267-0446
Télécopieur : 613 228-9048 / 1 800 465-7477
Qu’ils soient retenus ou non, les candidats seront informés par le comité de sélection. Les bourses s’appliqueront à l’année scolaire commençant en septembre 2018.
Les lauréats seront avisés à la mi-septembre 2018 au plus tard. Un chèque sera remis à l’heureux candidat sur confirmation de son inscription à un programme offert par un établissement d’enseignement postsecondaire.
La Fondation se réserve le droit d’utiliser les photos et les noms des lauréats dans son matériel promotionnel.
Comme il est indiqué dans le communiqué conjoint que le président du Conseil du Trésor Scott Brison et moi-même venons de publier, nos démarches pour en finir avec le fiasco Phénix portent des fruits.
Le gouvernement et l’Institut se sont mis d’accord pour « explorer ensemble les solutions possibles afin d’offrir à la fonction publique le meilleur système de paye qui soit ». Le gouvernement confirme ainsi son engagement ferme de remplacer Phénix. Il laisse espérer qu’un système qui marche sera mis en place plus vite que prévu et que les membres du syndicat auront sûrement un rôle à jouer dans le processus.
Même si nous savons que la proposition du groupe VFS accélérerait la conversion vers un système moins coûteux, plus précis et plus fiable, le gouvernement persiste à vouloir des preuves. Cela ne nous empêchera pas de continuer à promouvoir la proposition de nos membres (et d’encourager les autres membres à faire de même), tout en prêtant main-forte au gouvernement en étudiant avec lui les solutions offertes sur le marché.
Au lendemain de la publication du dernier rapport du vérificateur général sur « l’échec incompréhensible » de Phénix (qui confirme notre propre opinion), je me permets de croire que la nouvelle permet de terminer en beauté les célébrations de la Semaine nationale de la fonction publique.
Bien mieux ensemble!
Debi Daviau
Présidente
Le combat pour défendre les pensions aux Laboratoires nucléaires canadiens
La protection des pensions de nos membres est une priorité absolue à l’Institut. C’est pourquoi, au cours de la dernière année, nous nous sommes battus si fort pour que nos membres des Laboratoires nucléaires canadiens (LNC) continuent de participer au Régime de retraite de la fonction publique. Le gouvernement Harper a exclu les travailleurs du nucléaire du Régime de pension de retraite de la fonction publique sans mener de discussions ou de consultations.
Chers membres,
La Semaine nationale de la fonction publique est une excellente occasion de reconnaître et de souligner la contribution du corps professionnel de la fonction publique – vous! – à la société canadienne.
Quel privilège pour moi de participer à l’héritage syndical de la Semaine nationale de la fonction publique! C’est d’ailleurs l’Institut qui a lancé l’idée de cette semaine en 1992. Depuis 26 ans déjà, rien ne nous empêche de la célébrer, pas même le fiasco Phénix.
Au nom de l’Institut professionnel, je salue vos belles réalisations. Merci de votre professionnalisme. Merci de votre dévouement. Merci de continuer à travailler pour la population canadienne, même sans savoir ce qui se passera avec votre paye.
J’en profite pour vous remercier aussi de votre solidarité. Le dépassement, ça vous connaît. Depuis deux ans, les membres de l’Institut continuent de faire leur travail sans l’assurance d’avoir une paye à temps, au bon montant.
Je suis fière de notre démarche des deux dernières années. Nous ne cessons de marteler que le gouvernement doit trouver une solution et créer un autre système. Dans son dernier budget, il affecte 16 M$ au développement d’un nouveau système qui garantira aux fonctionnaires de recevoir une paye à temps, au bon montant. C’est bien, mais ce n’est qu’un début.
Nous devons continuer de faire pression pour que nos membres participent au processus de création, de mise en place et de maintenance du nouveau système.
Le gouvernement peut faire mieux… et la population canadienne mérite encore bien mieux!
Lisez nos courriels tout au long de la Semaine. Je vous y annoncerai les prochaines étapes prévues par l’Institut pour en finir avec Phénix.
Célébrez vos accomplissements et profitez-en pour soutenir notre campagne en arborant le macaron et l’auto-collant Fini Phénix. Passez votre commande à bienmieuxensemble@pipsc.ca. Indiquez le nombre de macarons et d’auto-collants dont vous avez besoin et n’oubliez pas d’inclure votre adresse postale. Pensez à partager des photos de vos activités locales dans Facebook et Twitter!
Merci encore une fois et bonne Semaine nationale de la fonction publique!
Bien mieux ensemble!
Debi Daviau
Présidente de l’IPFPC
https://enaction.ipfpc.ca/finiphenix
L’échec du système de paye Phénix n’aurait jamais dû être « incompréhensible ». C’est pourtant ce qu’il est selon le deuxième et dernier rapport rendu public hier par le vérificateur général, Michael Ferguson. Selon le vérificateur général, « le projet Phénix a été un échec incompréhensible de gestion et de surveillance de projet ». La Presse explique ainsi que le système « n’a pas été testé avant sa mise en œuvre pour savoir s’il était prêt à être utilisé ».
En effet, malgré tous les signaux d’alarme et toutes les recommandations d’abandonner le projet (de la part de l’Institut et d’autres syndicats), on s’est obstiné à lancer Phénix. Cela dit, peut-on vraiment qualifier l’échec des hauts fonctionnaires (Ferguson en nomme trois en particulier) « d’incompréhensible »? Il ne fait aucun doute que le climat de peur entretenu par l’ancien gouvernement Harper y est pour quelque chose — sans compter les années de compressions draconiennes, de méfiance à l’égard des fonctionnaires, d’aversion pour les syndicats et de dépendance excessive à la sous-traitance.
Dans ce contexte, il semble évident qu’un gouvernement ouvert aux propositions et à la participation de ses fonctionnaires et non enclin à externaliser à outrance aurait de meilleures chances non seulement de créer un système de paye plus efficace, mais aussi de changer sa culture, comme le propose le vérificateur général.
Justement! C’est ce que l’exécutif national du groupe VFS de l’Institut a déjà proposé au gouvernement.
Bien mieux ensemble!
Debi Daviau
Présidente
Bonjour,
Le mois dernier, j’ai eu l’occasion de représenter l’Institut et le mouvement syndical canadien au Sommet du L7 à Ottawa. Il s’agissait d’une rencontre de deux jours organisée par le Congrès du travail du Canada (CTC) en préparation du Sommet du G7, qui aura lieu cet été à Québec. Comme je suis l’une des vice-présidentes du CTC, on m’a invitée à prendre part à ces importantes discussions sur ce que nous pourrions faire pour relever les défis du monde du travail d’aujourd’hui et de demain. Parmi les thèmes à débattre, nous avons étudié les moyens à prendre pour que le programme d’innovation soit inclusif, assure l’égalité des genres et s’adapte à l’évolution technologique.
J’ai eu le privilège de rencontrer des dirigeants d’organisations syndicales des pays du G7 (Canada, France, Allemagne, Italie, Japon, Royaume-Uni et États-Unis) et de discuter de nos enjeux avec le premier ministre Justin Trudeau et quelques membres de son Cabinet. Nous avons pu échanger ouvertement et franchement avec le premier ministre. En plus de cela, nous avons eu la chance d’avoir des discussions productives avec les ministres Patty Hadju (Emploi, Développement de la main-d’œuvre et Travail), Maryam Monsef (Condition féminine) et Chrystia Freeland (Affaires étrangères).
Les deux photos ci-dessous ont été prises au Sommet; on m’y voit en compagnie du premier ministre et d’un impressionnant groupe de femmes, que j’ai eu le privilège de rencontrer.
Bien mieux ensemble!
Debi Daviau


Vous êtes maintenant syndiqué(e ) : voici vos trois avantages immédiats
Bonjour,
J’ai d’excellentes nouvelles pour vous : vous avez enfin un syndicat!
La Commission des relations de travail et de l’emploi dans le secteur public fédéral a accepté notre demande de représentation de près de 1400 membres civil(e)s de la Gendarmerie royale du Canada (GRC). Vous êtes donc maintenant membre de l'Institut et vous bénéficiez de nos services et du pouvoir collectif de 55 000 professionnel(le)s de la fonction publique.
Comme tous les Canadiens et les Canadiennes, les membres de l'IPFPC sont choqué(e)s par l’absurdité des pertes de vie et des horribles blessures infligées hier après-midi à Toronto. Nos pensées vont aux victimes et à leur famille.
Cet événement tragique s'est déroulé devant un important immeuble de bureaux de la fonction publique, situé au 4900 de la rue Yonge. Nous ne savons pas encore si l'un(e) de nos membres a été blessé(e), et l’enquête de la police de Toronto est en cours à proximité de cet immeuble, dont l’accès pourrait s’en trouver restreint aujourd’hui. Nous vous tiendrons au courant de tout nouveau développement.
Debi Daviau
Présidente