L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Minutes of the Lethbridge AFS Subgroup Annual General Meeting

December 1, 2016

New Dynasty Restaurant

Attendees:  Shayne Baker, Robert Beggs, Chelsey Butler, Tyler Clark, Brent Clifton, Mary Cousins, Richard Desjardins, Kim Forsyth, Tony Pierson, Brent Rodgers, John Tyreman, Curtis Zwingli, Todd McCoy, Mary-Ann Isaac, Mark Marynowski, and Kim Mclean

Minutes:

Motion to accept the December 1, 2015 minutes made by Robert Beggs, seconded by Curtis Zwingli.

Halifax Branch AGM

Please join your Halifax Branch executive for our Annual General Meeting.

When: Thursday, December 7th, 2017

Time: 6:00 pm

Where: East Coast Hospitality

7071 Bayers Road

Bayers Road Shopping Center

(Next to the CGI Building)

AGENDA:

1. Call to order

2. Roll Call of the Branch Executive

3. Adoption of the Agenda

4. Minutes of Previous AGM -- Loren

Appel de candidatures pour 2018

Comités permanents du Conseil d’administration


Les membres qui souhaitent agir à titre de président, membre ou ami d’un comité permanent du Conseil d’administration en 2018 sont invités à exprimer leur intérêt en remplissant le formulaire prescrit et en l’envoyant à committeevolunteers@pipsc.ca avant la date limite, soit le vendredi 17 novembre 2017.

Comités du Conseil d’administration (CA)

Note 1 :  Article 17.1.3 des Statuts  Composition - Tous les comités sont composés de cinq (5) à sept (7) membres et, à moins d’indication contraire, ils comprennent un (1) membre de chaque Région. Lorsqu’un vice-président sert d’agent de liaison à un comité, ce vice-président ne compte pas comme membre du comité.

Note 2 :  Un appel de candidatures ne sera pas fait pour le Comité de la rémunération des cadres et le Comité d’apprentissage et de formation car, selon les statuts de l’Institut, les membres de ces comités sont choisis parmi les membres du Conseil d’administration et/ou les personnes désignées par les présidents des comités de formation régionaux.

Note 3 :  Seuls les bénévoles qui ont dûment respecté le processus d’appel de candidatures, comme les délais prescrits pour présenter leur candidature, sont des candidats admissibles.

Modalités de participation

Vous pouvez vous porter candidat à un maximum de deux (2) comités, à l’exception du Comité des services aux membres (voir la note 2).

Remplissez dûment le formulaire prescrit comme suit :

  • Nommez clairement le comité par son nom. Si vous souhaitez siéger à deux comités, veuillez préciser votre premier et deuxième choix.
  • Indiquez votre groupe et votre Région.
  • Indiquez si vous visez un poste de président, de membre ou d’ami.

Note 4 :  Si vous n’êtes pas désigné président, vous serez considéré comme un membre ou un ami.

Note 5 :  Un « Ami » du comité est normalement un membre de l’Institut qui s’intéresse aux activités du comité sans être en mesure d’y participer activement. Il est à noter qu’il n’y a pas d’« amis » au Comité des élections.

  • Indiquez tous les comités du Conseil auxquels vous avez siégé au cours des cinq dernières années.
  • Pour chaque comité auquel vous postulez, vous devez expliquer brièvement (sur le formulaire prescrit) pourquoi vous souhaitez y siéger et ce que vous apporteriez à ce comité. 
  • Exprimez votre intérêt avant la date limite à committeevolunteers@pipsc.ca.

Date limite

Les mises en candidatures sont acceptées au plus tard le vendredi 17 novembre 2017.

Renseignements

Veuillez consulter l’information sur le processus et les critères de sélection en suivant les liens suivants :

Comités du Conseil dans les statuts de l’Institut ainsi que dans la Politique sur les comités du Conseil d’administration.

Pour toute question, veuillez nous contacter à committeevolunteers@pipsc.ca.

Invitation Brunch familial – 2 décembre 2017

Pour reconnaître l’excellent travail accompli par les membres, honorer l’engagement pris par l’Institut à l’égard de l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée et permettre aux membres d’élargir leurs cercles professionnel et familial dans un contexte décontracté, le chapitre Santé Canada (RCN) invite ses membres et leur PROCHE FAMILLE à participer à un dîner familial. Pour cette édition, la priorité sera donnée à ceux qui n’ont pas pu y assister la dernière fois.

Pour diffusion immédiate

Laissons tomber Phénix et créons un nouveau système de paye fédéral qui fonctionne, déclare la présidente de l’IPFPC

Ottawa, le 14 novembre 2017 – L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC), qui représente plus de 50 000 employés fédéraux, est d’avis que le système de paye Phénix doit être remplacé par un système qui fonctionne et qui a été conçu par les informaticiens professionnels du gouvernement.

« Après presque deux ans de problèmes avec le système de paye d’IBM, nos membres ne croient pas aux promesses d’arranger Phénix, explique la présidente de l’IPFPC, Debi Daviau. Malgré tous les efforts de correction du système, le nombre de cas problématiques a grimpé à 330 000 en octobre 2017. C’est sans espoir. Assez, c’est assez! »

Dans sa proposition, l’IPFPC réclame l’établissement de processus parallèles pour endiguer immédiatement la crise de la paye qui lèse les fonctionnaires et répondre aux besoins à long terme du gouvernement.

Pour satisfaire aux besoins immédiats, l’IPFPC demande au gouvernement d’embaucher plus de personnel qui aidera les employés touchés par le fiasco Phénix. L’IPFPC préconise que le gouvernement charge ses informaticiens professionnels de développer un nouveau système avec la dernière version de PeopleSoft, un système de gestion des ressources humaines très populaire, et de l’adapter aux besoins complexes en matière de paye du gouvernement du Canada. Nous croyons qu’il sera plus rapide de créer un nouveau système que de tenter de corriger Phénix, et que cette solution se révélera plus durable.

« Le gouvernement doit arrêter de jeter l’argent par les fenêtres et commencer à investir dans un système qui marche, soutient la présidente Daviau. Justement, à la fonction publique fédérale, il a déjà des employés qualifiés capables de concevoir et de développer un système efficace. Il doit juste lui donner la chance de s’atteler à la tâche. Plus le gouvernement tarde à investir dans un système de paye bien conçu, plus il va continuer à gaspiller des dizaines de millions de dollars en contrats privés pour rafistoler un système qui était mauvais dès le départ. Et ses tergiversations se font aux dépens des employés fédéraux, qui ont assez souffert ».

Suivez-nous sur Facebook et Twitter (@pipsc_ipfpc).

-30-

Pour de plus amples renseignements :   

Johanne Fillion, 613-228-6310, poste 4953 ou 613-883-4900 (cell.)

L’Institut se réjouit de la présentation du projet de loi C-65, au début de la semaine. C’est une mesure législative fédérale qu’on attendait depuis longtemps pour régler les problèmes de harcèlement et de violence au travail. En effet, l’Institut réclamait depuis des années que le gouvernement reconnaisse ce problème d’une importance capitale pour tous les Canadiens et qu’il passe à l’action.

Ce projet de loi tombe vraiment à pic pour nos membres, car selon le dernier sondage annuel de la fonction publique, le harcèlement au travail est en hausse et le stress professionnel à un niveau inacceptable. Ainsi, le tiers (34 %) des travailleurs de la fonction publique ont indiqué avoir un niveau de stress professionnel « élevé » ou « très élevé ». Presque autant de répondants (27 %) estimaient aussi que leur lieu de travail n’était pas « psychologiquement sain ». Le pourcentage de travailleurs qui se disent harcelés au travail est passé de 19 % en 2014 à 22 % en 2017. Ces résultats étaient même pires dans les groupes visés par l’équité en matière d’emploi, où 40 % des travailleurs handicapés se disent harcelés. Le taux de harcèlement est également très élevé (33 %) chez les travailleurs autochtones.

Cette nouvelle mesure législative s’applique aux lieux de travail assujettis à la réglementation fédérale, y compris la fonction publique. Les modifications proposées au Code canadien du travail comprennent l’abrogation des dispositions inefficaces et l’obligation pour les employeurs de prendre des mesures visant à prévenir le harcèlement et à protéger les employés des comportements harceleurs, de réagir aux problèmes de harcèlement quand ils se produisent et d’offrir un soutien aux employés qui en sont victimes.

Le gouvernement compte également lancer une campagne de sensibilisation pour mettre en échec les idées fausses et les stéréotypes, élaborer des modèles de politiques pour les employeurs et aider les employés et les employeurs à s’y retrouver dans le processus.

Même si ce projet de loi avance dans la bonne direction, l’Institut collaborera avec le gouvernement pour s’assurer que la future loi répond aux préoccupations de ses membres et leur garantit un lieu de travail exempt de harcèlement ainsi que des recours efficaces pour que les plaintes des victimes de harcèlement soient traitées rapidement et équitablement.

De plus, la loi doit contenir une définition inclusive du harcèlement sous toutes ses formes. Si les inspecteurs du travail sont sollicités dans le processus, ils doivent être suffisamment nombreux et formés. Enfin, la loi doit donner aux personnes touchées le droit de se faire représenter et d’être informées de l’état d’avancement de leur plainte.

Nous vous tiendrons informés de la progression du projet de loi C-65 dans le processus législatif.

Aux directeurs de l’information et aux agents des affectations

Avis aux médias

Pour diffusion immédiate

Déclaration à venir de l’IPFPC à propos de Phénix, le système de paye déficient du gouvernement fédéral

Ottawa, le 10 novembre 2017Le mardi 14 novembre, Debi Daviau, présidente de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC), tiendra une conférence de presse sur la Colline du Parlement à propos du fiasco Phénix et présentera une demande importante au gouvernement.

Depuis la mise en œuvre du nouveau système de paye Phénix, en février 2016, plus de la moitié des fonctionnaires ont éprouvé des problèmes de paye : certains ne sont pas assez payés tandis que d’autres sont trop payés ou ne sont pas payés du tout. Le gouvernement libéral s’est engagé à régler le problème une fois pour toutes d’ici la fin d’octobre 2016, mais a dépassé depuis longtemps l’échéance qu’il s’était lui-même imposée.

Date : Le mardi 14 novembre 2017

Heure : 11 h

Lieu :  Amphithéâtre national de la presse, 150, rue Wellington

Conférenciers :

  • Debi Daviau, présidente de l’IPFPC
  • Stéphane Aubry, vice-président de l’IPFPC

L’IPFPC représente près de 55 000 scientifiques et professionnels du secteur public dans l’ensemble du pays, pour la plupart employés par le gouvernement fédéral.

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Pour de plus amples renseignements :   

Johanne Fillion, 613-228-6310, poste 4953 ou 613-883-4900 (cell.)