L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada
Nous sommes heureux d’annoncer que le groupe ACIA-IN a ratifié sa convention collective. Tout comme nous venons de le faire, l’employeur est en train de mener à bien son propre processus de ratification.
L’élection SP de 2018 s’est terminée le 19 avril 2018 à midi, heure de l’Est. Voici les résultats comptabilisés après le dépouillement des bulletins de vote électroniques :

Le 17 avril 2018, Debi Daviau, présidente de l’Institut, et Eddie Gillis, administrateur en chef des opérations et secrétaire exécutif, ont exposé les grandes lignes du plan pour remplacer Phénix.

Les membres de l'Institut ont eu l'occasion de poser des questions sur le travail de leur syndicat et les dernières annonces budgétaires fédérales et d'écouter parler des professionnels de la fonction publique capables de créer un nouveau système.

Après avoir visionné la vidéo, n'oubliez pas d'envoyer un courriel au groupe de travail sur Phénix à enaction.ipfpc.ca/phenix.

 

Les membres de l’équipe de négociation du groupe SH se sont réunis à Ottawa du 11 au 13 mars 2018 pour se préparer à la prochaine ronde de négociations. Le sondage sur la négociation sera distribué aux membres SH le 19 avril 2018 et doit être rempli au plus tard le 3 mai 2018.

Ottawa, le 17 avril 2018 – Dans le cadre de l’assemblée publique tenue aujourd’hui avec les membres du deuxième syndicat d’employés fédéraux en importance, la présidente de l'Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC), Debi Daviau, a exhorté les membres à exiger que le Groupe de travail ministériel sur Phénix fasse participer les informaticiens fédéraux « à toutes les étapes » de la création d'un nouveau système.

« Le gouvernement ne peut s’attendre à ce que les fonctionnaires patientent encore sept ou huit ans avant d’être débarrassés de Phénix », déclare la présidente Daviau. « Les professionnels de la fonction publique sont prêts à diriger le développement d'un nouveau système qui marche ».

« Le fiasco Phénix est directement causé par la sous-traitance à tout va. On a choisi d’ignorer complètement les compétences et le savoir-faire de notre fonction publique professionnelle et voilà le résultat », explique Mme Daviau.

L'automne dernier, l'IPFPC a demandé au gouvernement de laisser tomber Phénix, un système configuré par IBM Canada, et de le remplacer par un nouveau système efficace. En février, le gouvernement s'est engagé à affecter 16 M$ sur deux ans à la recherche d’un système de remplacement, mais il dit qu'il faudra attendre encore six ans pour le mettre en œuvre.

« Cela fait deux ans que nous ne sommes pas payés correctement et il nous demande d'attendre encore six ans, s’insurge Mme Daviau. Ça ne va pas du tout et nous n’attendrons pas si longtemps ».

L'IPFPC soutient que si on leur en donne la chance, les informaticiens fédéraux pourraient réduire considérablement le temps nécessaire à la mise en place d'un nouveau système.

« Nous devons nous assurer que le gouvernement envisage toutes les options possibles et que nos professionnels de la TI participent à toutes les étapes du processus », conclut la présidente Daviau.

L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada représente quelque 55 000 professionnels de la fonction publique un peu partout au pays, dont 13 000 informaticiens, employés pour la plupart au gouvernement fédéral.

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Source :

Johanne Fillion, 613-228-6310, poste 4953, ou 613-883-4900 (cell.), jfillion@pipsc.ca