L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Présentées à la 104 assemblée générale annuelle de l’IPFPC

B-3 — Composition du Comité des finances (A)

Auteur : Conseil consultatif | Décision : Rejetée 

Attendu que l’Institut s’identifie ainsi dans sa déclaration sur sa gouvernance : « L’Institut fonctionne selon une structure parallèle divisée par groupe et par région. La structure par groupe permet à chaque unité de négociation de déterminer ses priorités et ses stratégies de négociation et de s’attaquer aux problèmes particuliers à la profession qu’elle représente »;

Attendu que la structure par région permet à l’Institut de tenir compte des préoccupations et des intérêts particuliers à une région géographique pour refléter les préoccupations générales de l’Institut;

Attendu que les comités ont pour objet d’étudier les questions qui leur sont soumises par le Conseil ou de donner des conseils et de l’information sur des questions particulières; Les comités soumettent des recommandations au Conseil d’administration;

Attendu que le Comité des finances établit la feuille de route fiscale de l’Institut et que, dans le cadre de ce processus, il examine les budgets des régions, des groupes et des équipes de consultation;

Et attendu qu’aucune des personnes représentant le Comité des finances n’est sélectionnée par les groupes ou les équipes de consultation;

Il est proposé d’ajouter deux postes au Comité des finances et de les confier à un·e représentant·e d’équipe de consultation et à un·e représentant·e de groupe, comme le recommande le Conseil

consultatif;

Il est de plus proposé de modifier les articles 17.1.3 et 17.6.1 des statuts comme suit :

ARTICLE 17 — COMITÉS DU CONSEIL

17.1 Généralités

17.1.3 Composition — Tous les comités sont composés de cinq (5) à sept (7) membres, sauf le Comité

des Finances, qui est composé de sept (7) à neuf (9) membres et, à moins d’indication contraire, ils comprennent un(e) membre de chaque Région. Le Comité des finances comprend aussi deux membres recommandés par le Conseil consultatif : un·e représentant·e d’équipe de consultation et un·e représentant·e de groupe. Le/la vice-président(e) qui sert d’agent(e) de liaison à un comité ne compte pas comme membre du comité. Le/la président(e) d’un comité ne compte pas comme membre d’une Région.

17.6 Comité des finances

17.6.1 Composition — Le comité du Conseil appelé Comité des finances se compose de cinq (5) à sept (7) membres se compose de sept (7) à neuf (9) membres. Le/la président(e) du Comité n’est pas signataire autorisé(e) de l’Institut.

Commentaire des Finances : L’incidence budgétaire maximale serait de 32 456 $.

SCM : Pas de commentaire

B-4 — Composition du Comité de formation de l'Institut (A)

Auteur : Conseil consultatif | Décision : Retirée

Attendu que l'Institut indique dans sa déclaration sur la gouvernance que « L'Institut a une structure parallèle par groupe professionnel et par région. La structure par groupe permet à chaque unité de négociation de déterminer ses priorités et stratégies de négociation, et de traiter les préoccupations actuelles propres à la profession de ses membres »; et

Attendu que la structure par région permet aux questions et aux intérêts propres à une région géographique particulière de se refléter dans les préoccupations plus larges de l'Institut; et

Attendu que les comités étudient les questions qui leur sont soumises par le Conseil d'administration ou dispensent des conseils et des informations sur des questions spécifiques. Les comités formulent des recommandations à l'intention du Conseil d'administration; et

Attendu que le Comité de la formation établit la feuille de route de l'Institut en matière de formation et que, dans le cadre de ce processus, il examine les besoins de formation des régions, des groupes et des équipes de consultation; et

Et attendu qu'aucun des représentants du Comité de la formation n'est choisi par les groupes ou les équipes de consultation;

Il est proposé d’ajouter trois postes au Comité de la formation et que ces postes soient pourvus par un·e représentant·e de l'équipe de consultation, un représentant du groupe des employeurs distincts et un représentant du groupe du Conseil du Trésor, tel que recommandé par le Conseil consultatif.

Il est de plus proposé que l’article 17.8.1 des statuts (Composition) soit modifié comme suit :

ARTICLE 17 — COMITÉS DU CONSEIL

17.8 Comité d’apprentissage, de formation et de mentorat

AGA 2020 (e)

17.8.1 Composition Le comité du Conseil appelé Comité d’apprentissage, de formation et de mentorat se compose de cinq (5) à sept (7) membres de huit (8) à dix (10) membres. Le (la) président(e) du Comité de formation de chaque région doit être la personne désignée pour siéger à ce comité. Chaque région doit désigner un(e) remplaçant(e) au cas où le (la) président(e) du Comité de formation ne pourrait pas assister à la réunion.

AGA 2020 (e)

17.8.2 Mandat Le Comité d’apprentissage, de formation et de mentorat donne au Conseil d’administration des avis, des conseils et des recommandations sur les questions touchant le recrutement, l’apprentissage, la formation et le mentorat des délégué(e)s syndicaux(-ales) et des membres ainsi que sur le programme de formation de l’Institut.

SCM : Pas de commentaire

Commentaire des Finances : Incidence financière de 8 685 $

B-5 - Conseil consultatif/conseil sectoriel (A)

Auteur : Conseil consultatif | Décision : Retirée 

10.4.6 Conseil sectoriel Le Comité directeur du Conseil consultatif (CC) supervise et assure le suivi de toutes les activités des conseils sectoriels, et, en vertu de l’application de l’énoncé de politique sur les conseils sectoriels, fait des recommandations au CC et au Conseil d’administration sur ces activités.
 

 Les responsabilités du Comité directeur du CC sont:

a) conseiller le CC sur toutes les propositions de nouveaux conseils sectoriels,

b) faire des recommandations au CC pour ou contre l’établissement de nouveaux conseils sectoriels et sur les activités de suivi des conseils sectoriels déjà établis,

c) viser et obtenir une décision du CC pour approuver ou refuser la permission de présenter au CA les propositions de financement,

d) offrir des recommandations au CA relativement à la formation et au financement des conseils sectoriels.

10.4.6 (nouveau) Le Conseil consultatif (CC) dispose d’entités chargées de répondre aux besoins particuliers de ses membres. Le Comité directeur (CD) du CC supervise toutes les activités de ces entités et en assure le suivi.

10.4.6.1 (nouveau) Groupe de travail sur la consultation

10.4.6.1.1 (nouveau) Mandat du Groupe de travail sur la consultation

Le Groupe de travail sur la consultation a pour mandat de faciliter le travail de ses équipes de consultation, d’exposer une vision unifiée à l’employeur sur les positions de l’Institut et d’améliorer les capacités de consultation de l’Institut.

10.4.6.1.2 (nouveau) Membres

Le Groupe de travail sur la consultation est composé des président(e)s des équipes de consultation du gouvernement fédéral, lesquel(le)s sont nommé(e)s par le/la président(e) de l’IPFPC ou par son/sa représentant(e).

10.4.6.2 (nouveau) Groupe des employeurs distincts

10.4.6.2.1 (nouveau) Mandat du Groupe des employeurs distincts

Le mandat du groupe des employeurs distincts consiste à fournir une tribune permettant de déterminer et d’examiner les questions qui ont une incidence sur les employeurs distincts.

10.4.6.2.2 (nouveau) Membres

Les membres du Groupe des employeurs distincts sont les président(e)s des groupes d’employeurs qui relèvent de la partie I du Code canadien du travail ou d’un code du travail provincial, ou leurs représentant(e)s.

10.4.6.3 Conseil sectoriel (anciennement 10.4.6) Le Comité directeur du CC supervise et assure le suivi de toutes les activités des conseils sectoriels, et. en vertu de l’application de l’énoncé de politique sur les conseils sectoriels, fait des recommandations au CC et au Conseil d’administration sur ces activités. Les responsabilités du Comité directeur du CC sont :

a) conseiller le CC sur toutes les propositions de nouveaux conseils sectoriels,

b) faire des recommandations au CC pour ou contre l’établissement de nouveaux conseils sectoriels et sur les activités de suivi des conseils sectoriels déjà établis;

c) demander au CC s’il accepte ou refuse que ses propositions soient soumises au CA à des fins de financement;

d) formuler des recommandations au CA relativement à la formation et au financement des conseils sectoriels.

DÉFINITIONS

Consultation (nouveau) S’entend d’une consultation syndicale-patronale entre l’IPFPC et les représentant(e)s de l’employeur. La consultation avec le ministère ou l’organisme fédéral, lorsqu’il y a de multiples groupes de négociation, est gérée par le/la président(e) de l’équipe de consultation. Dans les cas où il n’y a qu’un seul groupe de négociation, la consultation avec l’employeur est gérée par le/la président(e) de ce groupe au nom de l’Institut.

Président(e) de l’équipe de consultation (nouveau) Personne nommée par le/la président(e) de l’Institut à titre de représentant(e) officiel(le) de l’Institut auprès d’un ministère ou organisme fédéral dans le but de mener la consultation syndicale-patronale au nom de l’Institut.

Équipe de consultation nationale (nouveau) Équipe centrée sur un ministère ou un organisme, créée conformément à la Politique sur la consultation et au mandat interne de chaque équipe de ministère ou d’organisme, dans le but de soutenir le/la président(e) de l’équipe de consultation dans l’exécution des activités de consultation au nom de l’Institut.

B-6 - Comité directeur du CC (A)

Auteur : Conseil consultatif | Décision : Retirée 

10.4 CONSEIL CONSULTATIF (CC)

10.4.3 Comité directeur Le Conseil consultatif est doté d’un comité directeur formé du/de la président(e), du/de la vice-président(e), du/de la directeur(-trice) du CC, d’un(e) (1) représentant(e) de chacune des trois (3) catégories d’employeurs, élu(e) parmi les représentant(e)s de groupe et d’équipe de consultation employés(e)s par chaque catégorie d’employeurs, soit un(e) (1) représentant(e) du Conseil du Trésor, un(e) (1) représentant(e) des organismes du gouvernement fédéral autres que ceux du Conseil du Trésor et un(e) (1) représentant(e) des employeurs distincts.

AGA 2015

10.4.3 Comité directeur (nouveau) Le Conseil consultatif (CC) est doté d’un Comité directeur composé du/de la président(e), du/de la vice-président(e), du/de la directeur(-trice) du CC, du/de la président(e) du Groupe de travail sur la consultation, du/de la président(e) du Groupe des employeurs distincts et d’un(e) représentant(e) des président(e)s de groupe de la fonction publique fédérale.

10.4.3.1 Fonctions du comité directeur Le Comité directeur rédige l’ordre du jour et convoque les réunions du Conseil consultatif; il fixe les objectifs du CC, fait la promotion des conseils de secteur qui sont amenés au CC, revoit les présentations du réseau des équipes de consultation nationale et formule des recommandations au sujet de ces présentations, à l’intention du Comité exécutif et par l’entremise du Comité des finances.

AGA 2006 (e)

 

10.4.3.1 Fonctions du Comité directeur (nouveau) Le Comité directeur est chargé d’établir l’ordre du jour et d’organiser les réunions du Conseil consultatif (CC), de fixer les objectifs du CC, de parrainer les conseils sectoriels proposés au CC et de faire des recommandations sur ces propositions au Comité exécutif par l’intermédiaire du Comité des finances, ainsi que de veiller à l’efficacité générale du CC et de ses sous-entités.

10.4.4 Élections

10.4.4.2 Élection à l’exécutif du CC [à l’exception du/de la directeur(-trice) du CC] Tous les ans, une élection a lieu pour élire les dirigeant(e)s du Conseil consultatif. Les dirigeant(e)s nouvellement élu(e)s entrent en fonction immédiatement après la réunion suivant leur élection. Le/la président(e), le/la représentant(e) du Conseil du Trésor et le/la représentant(e) des organismes du gouvernement fédéral sont normalement élu(e)s les années paires; le/la vice-président(e) et le/la représentant(e) des employeurs distincts sont normalement élu(e)s les années impaires.

AGA 2015

10.4.4.2 Élection au Comité directeur du CC [à l’exception du/de la directeur(-trice) du CC] (nouveau) La même année que l’élection du/de la directeur(-trice) du Conseil consultatif (CC), tous les postes du Comité directeur du CC sont soumis à élection pour un mandat de trois ans lors des réunions précédant l’AGA de l’IPFPC. Le/la président(e), le/la vice-président(e), le/la représentant(e) des président(e)s de groupe de la fonction publique fédérale, le/la président(e) du Groupe de travail sur la consultation et le/la président(e) du Groupe des employeurs distincts sont élu(e)s lors de la réunion du CC ou lors de leurs réunions respectives. Les dirigeant(e)s nouvellement élu(e)s entrent en fonction immédiatement après la réunion au cours de laquelle ils/ils ont été élu(e)s.

10.4.4.5 Postes vacants — Comité directeur du CC Si un poste autre que celui de président(e) ou de directeur(-trice) du CC devient vacant en cours de mandat, les autres membres du comité directeur du CC doivent prendre les mesures nécessaires pour pourvoir le poste vacant jusqu’à l’expiration du mandat initial. Si la présidence devient vacante, le/la vice-président(e) en assume les fonctions. Si le poste de directeur(-trice) du CC devient vacant, il doit être pourvu conformément aux présents statuts.

AGA 2015

10.4.4.5 Postes vacants — Comité directeur du CC (nouveau) Si un autre poste que celui de directeur(-trice) du CC devient vacant en cours de mandat, les autres membres du Comité directeur du CC prennent les mesures nécessaires pour le pourvoir jusqu’à la prochaine réunion au cours de laquelle un(e) membre sera élu(e) pour terminer le mandat du poste vacant. Si le poste de directeur(-trice) du CC devient vacant, il est pourvu conformément aux présents statuts. 

Si un(e) membre du Comité directeur du CC n’est plus éligible à titre de membre du CC, son poste devient automatiquement vacant.

Présentées à la 104 assemblée générale annuelle de l’IPFPC

F-1 — États financiers vérifiés (A)

Auteur : Conseil d’administration | Décision : Adoptée

Il est proposé que l’AGA 2023 approuve les états financiers vérifiés de l’exercice se terminant le 30 juin 2023.

SCM :  Pas de commentaire

F-2 — Désignation de la firme de vérification comptable (A)

Auteur :Conseil d’administration | Décision : Adoptée

Il est proposé que la société BDO LLP soit désignée comme firme de vérification comptable de l’IPFPC et de ses entités affiliées pour l’exercice financier de 2024-2025.

SCM :  Pas de commentaire

F-3 — Budget (A)

Auteur : Conseil d’administration | Décision : Adoptée

Il est proposé que l’AGA 2023 approuve le budget pour la période allant du 1er juillet 2024 au 30 juin 2025.

SCM :  Pas de commentaire

B-1 — Comité national des élections (A)

Auteur : Conseil d’administration | Décision

Attendu qu’il existe un comité du Conseil d’administration, généralement connu sous le nom de Comité des élections;

Attendu qu’il existe aussi des comités d’organismes constituants, qui s’appelle également des comités des élections; 

Attendu que les deux comités pourraient être impliqués dans les processus électoraux d’organismes constituants;

Et attendu que les statuts de l'Institut n'identifient pas clairement le Comité des élections auquel il est fait référence à l'article 17.3.

Il est proposé que les mentions du Comité des élections figurant dans l’article 17.3 des statuts de l'Institut soient modifiées pour lire « Comité national des élections », comme il se doit.

17.3 Comité national des élections

17.3.1 Composition – Le comité du Conseil appelé Comité national des élections est composé de cinq (5) à sept (7) membres. Les administrateurs(-trices) et les directeurs(-trices) de l’Institut ne sont pas membres du Comité national des élections. Le Conseil nomme les membres pour une période de deux (2) ans à compter de janvier 2021, et les mandats suivants seront de trois (3) ans à compter de janvier 2023.

AGA 2020 (a)

17.3.1.1 Membres inéligibles aux élections de l’Institut En acceptant une nomination au Comité national des élections, les membres renoncent irrévocablement au droit de poser leur candidature à l’élection que le Comité est chargé de conduire ou d’occuper un poste d’administrateur(-trice) ou de directeur(-trice) de l’Institut jusqu’après cette élection. 

AGA 2006 (e)

17.3.2 Tenue des élections Le Comité national des élections est responsable de la tenue des élections de l’Institut pour les postes d’administrateur(-trice) et de directeur(-trice), autres que celui du (de la) directeur(-trice) du CC, conformément aux statuts et politiques de l’Institut. Il établit les procédures administratives nécessaires à la tenue des élections. Il est également chargé de : 

 AGM 2019

1. vérifier l’exactitude de toutes les notes biographiques des candidat(e)s, dans la mesure du possible

2. mener une enquête et statuer sur le caractère approprié des activités des candidat(e)s ou des personnes qui agissent en leur nom. Sous réserve de l’article 24 des statuts, s’il détermine qu’il y a eu des activités irrégulières ou non appropriées, le Comité prend les mesures correctives qu’il juge nécessaires. Celles-ci peuvent comprendre les suivantes, sans toutefois s’y limiter :

AGM 2015

i. déclarer nulle l’élection ou une candidature à cette élection;

ii. retirer le droit de voter à cette élection.

AGM 2007 (e)

17.3.2.1 Le Comité national des élections peut aussi agir en tant que tel pour d’autres élections, si la demande vient:

a. du Comité des élections de l’organisme constituant, ou

b. de l’exécutif de l’organisme constituant, ou

c. du Conseil d’administration

AGM 2017

17.3.3 Infractions présumées Les infractions présumées à l’égard des présents statuts et politiques doivent être signalées au Comité national des élections dans les trente (30) jours suivant l’élection. Le Comité national des élections doit aviser les personnes affectées par une telle action.

SCM :  Pas de commentaire

B-2 — Mandat du Comité de la rémunération des cadres (A)

Auteur : Conseil d’administration | Décision

Attendu que le poste d’administrateur en chef des opérations a été supprimé de l'organigramme de l'Institut;
Il est proposé que l’article 17.5.2 des statuts soit modifié comme suit pour refléter ce changement :

17.5.2 Mandat Le Comité de la rémunération des cadres revoit les recommandations faites au Conseil et formule des recommandations concernant toutes les questions touchant la rémunération et les conditions d’emploi du (de la) président(e), des vice-président(e)s ainsi que du personnel exclu. de l’administrateur(-trice) en chef des opérations et secrétaire exécutif(-ive). 

b) revoit les recommandations faites au Conseil et formule des recommandations concernant la rémunération pour tout le personnel exclu à mettre en œuvre par l’administrateur(-trice) en chef des opérations et secrétaire exécutif(-ive).

SCM :  Pas de commentaire

P-1 — Réinstallation des vice-président·es à temps plein (A)

Auteur : Conseil d’administration | Décision

Attendu que les vice-président·es à temps plein actuel·les sont tenu·es de s’installer dans la Région de la capitale nationale dès leur élection;

Attendu que l’obligation de déménager dans la Région de la capitale nationale peut constituer un obstacle pour les membres qui souhaiteraient poser leur candidature à un poste de vice-président·e à temps plein;

Attendu que la position de l’Institut sur la « présence justifiée » auprès de l’employeur devrait également inclure le personnel de l’Institut ainsi que les dirigeant·es élu·es;

Et attendu que la réinstallation dans la Région de la capitale nationale peut constituer un fardeau financier important pour l’Institut;

Il est proposé que les politiques de l’Institut permettent au/à la vice-président·e à temps plein qui vient d’être élu·e de décider de se réinstaller ou non dans la Région de la capitale nationale en lui laissant un délai de six (6) mois à compter de son élection pour prendre cette décision et en n’admettant qu’une seule réinstallation au cours de son mandat.

SCM :  Pas de commentaire

Présentées à la 104 assemblée générale annuelle de l’IPFPC

F-11 Mesures d’adaptation inclusives pour les membres handicapé·es lors des AGA (A)

Auteure : Jennie Esnard, membre (avec l’appui de Stacy McLaren) | Décision : Irrecevable

Attendu que l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) reconnaît l’importance de promouvoir l’inclusivité, l’accessibilité et la diversité au sein de l’organisation;

Attendu que les droits et les besoins des membres handicapé·es doivent être respectés et pris en compte afin de garantir leur participation pleine et égale à tous les aspects de l’Institut, dans TOUTES les réunions, y compris les assemblées générales annuelles (AGA);

Attendu que la Convention des Nations Unies relative aux droits des personnes handicapées souligne la nécessité de prévoir des mesures d’adaptation raisonnables pour permettre aux personnes handicapées

de participer activement aux processus décisionnels; 

Et attendu que l’Institut a des obligations légales en vertu des lois et réglementations applicables en matière de droits des personnes handicapées, afin de leur garantir l’accessibilité et des mesures d’adaptation raisonnables.

Il est proposé que l’Institut adopte les mesures suivantes pour garantir que les membres handicapé·es soient accommodé·es lors des AGA :

  1. Vérification de l’accessibilité : L’Institut procède à une vérification complète de l’accessibilité des lieux de l’AGA afin de cerner les obstacles potentiels auxquels sont confronté·es les membres handicapé·es. La vérification porte sur l’accessibilité physique, les modes de communication et tout autre aspect pertinent.
  2. Mesures d’adaptation raisonnables : L’IPFPC s’engage à prendre des mesures d’adaptation raisonnables pour les membres handicapé·es lors des AGA afin d’assurer leur participation effective. Ces mesures d’adaptation peuvent inclure, sans s’y limiter, des interprètes en langue des signes, des dispositifs d’aide à l’écoute, des sièges accessibles, des documents de formats différents et toute autre aide nécessaire, y compris des ascenseurs adaptés aux fauteuils roulants.
  3. Accès aux communications : L’Institut veille à ce que toutes les communications pendant les AGA soient accessibles aux membres ayant un handicap auditif, visuel ou un autre handicap lié à la communication. Il pourrait s’agir de fournir un sous-titrage en direct ou une interprétation en langue des signes et d’utiliser des formats de présentation accessibles.
  4. Préavis : L’IPFPC demande aux membres d’indiquer leurs besoins en matière de mesures d’adaptation au moment de s’inscrire à l’AGA ou plus tôt. Les membres sont encouragé·es à fournir des détails précis sur les mesures d’adaptation requises afin que l’organisation ait le temps de prendre les dispositions qui s’imposent.
  5. Formation et sensibilisation : L’IPFPC proposera des formations aux organisateurs, aux bénévoles et au personnel de l’AGA afin d’améliorer leur compréhension de l’étiquette face au handicap, du langage approprié et de la manière d’offrir un soutien efficace aux membres handicapé·es.
  6. Examen et évaluation : L’IPFPC procédera à un examen après l’AGA afin d’évaluer l’efficacité des mesures d’adaptation prises et de cerner les points à améliorer. Les réactions des membres du Caucus des personnes handicapées et du CDPD seront activement sollicitées et prises en compte pour l’organisation des futures réunions et assemblées générales annuelles.
  7. Déclaration publique : L’Institut publiera son engagement en faveur de mesures d’adaptation inclusives sur son site Web et dans les communications liées à l’AGA afin de sensibiliser les gens et de favoriser une culture d’accessibilité et d’inclusion dans l’organisation.

Il est de plus proposé que le Conseil d’administration et la direction de l’Institut soient chargés de la mise en œuvre et du suivi des mesures décrites dans la présente motion.

Commentaire des Services juridiques :Les Services juridiques recommandent que le président d'assemblée déclare cette motion irrecevable.

L'IPFPC est un organisme à but non lucratif en vertu de la Loi canadienne sur les organisations à but non lucratif (LCOBNL), est légalement mandaté pour fournir des accommodements raisonnables comme l'exigent les lois sur les droits de la personne et pour adhérer aux lois fédérales et provinciales sur les droits de la personne.

L'IPFPC dispose d'un certain pouvoir discrétionnaire en vertu de la loi lorsqu'il s'agit de prendre des mesures d'adaptation pour les personnes handicapées, car l'approche et les mesures particulières qu'il prend peuvent varier en fonction des circonstances individuelles ainsi que de la nature de l'organisation.

Les organisations ont le pouvoir discrétionnaire de déterminer les mesures d'adaptation les plus appropriées et les plus réalisables dans les limites de ce qui est considéré comme «raisonnable». Les mesures d'adaptation particulières dépendront des circonstances uniques et peuvent être discutées avec les personnes concernées pour trouver les solutions les plus adaptées.

Selon le point 3, la responsabilité incombe à l'Institut.

SCM : Les mesures auraient un impact sur toutes les AGA des organismes constituants.

Commentaire des Finances : Des coûts supplémentaires sont prévus, mais il n'est pas possible de les chiffrer.

B-9 — Modification des statuts concernant le CDPD (A) 

Auteure : Stacy McLaren, membre (avec l’appui de Jennie Esnard, membre) | Décision

Il est proposé que les statuts de l’IPFPC soient modifiés comme suit :

17.7.2 Mandat — Le Comité des droits de la personne et de la diversité donne au Conseil des avis et lui fait des recommandations sur les questions liées aux droits de la personne et à la diversité touchant nos membres. Pour mener à bien son mandat, le Comité :

AGA 2016

a. Assure le suivi des questions relevant du grand domaine des droits de la personne et de la diversité, y compris, sans s’y limiter, les questions relatives au genre, à la race, à l’ethnicité, à la classe, à la santé mentale et à l’âgisme;

AGA 2016

b. Se porte à la défense des groupes victimes de discrimination et de harcèlement, tels que les femmes, les Autochtones, les minorités visibles, les personnes handicapées et les LGBTQ2S+, grâce à des sous-comités;

AGA 2016

c. Coordonne et distribue l’information et les dernières nouvelles touchant au domaine des droits de la personne et de la diversité.


17.7.3 NOUVEAU — Le mandat des membres du Comité des droits de la personne et de la diversité (CDPD) est de trois ans.

SCM : Pas de commentaire

B-10 Durée limitée des mandats des membres À TEMPS PLEIN du Conseil d’administration et d’exécutifs de groupes (A)

Auteure : Jennie Esnard, membre | Décision

Attendu que les membres à temps plein du Conseil d’administration et des exécutifs de groupes jouent un rôle crucial dans la gouvernance et le processus décisionnel de l’IPFPC;

Attendu qu’il est essentiel de veiller à ce que les membres à temps plein du Conseil d’administration et des exécutifs de groupes restent dynamiques, diversifiés et attentifs aux besoins en constante évolution de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada ainsi qu’aux défis que ce dernier doit relever;

Attendu que l’instauration de limites à la durée des mandats des membres à temps plein du Conseil d’administration et des exécutifs de groupes peut ouvrir la voie à de nouvelles perspectives, favoriser le développement du leadership et renforcer la responsabilisation au sein du Conseil d’administration;

Attendu que les meilleures pratiques de gouvernance recommandent souvent de limiter la durée des mandats des membres du Conseil d’administration afin d’éviter la stagnation et de promouvoir l’apport de nouveaux talents ainsi que de nouvelles idées;

Et attendu que l’absence actuelle de limite de la durée des mandats des membres du Conseil d’administration risque de compromettre la réalisation de ces objectifs;


Il est proposé que les membres à temps plein du Conseil d’administration et d’exécutifs de groupes de l’IPFPC approuvent l’adoption de limites à l’égard de la durée des mandats des membres du Conseil d’administration, à compter de ce jour;

Il est de plus proposé que ces limites soient les suivantes :

  • Chaque membre à temps plein du Conseil d’administration ou d’un exécutif de groupe ne peut exercer plus de deux (2) mandats consécutifs;
  •  À l’issue de deux mandats consécutifs, le/la membre à temps plein du Conseil d’administration peut redevenir éligible  au Conseil après une interruption d’au moins un (1) mandat;
  • La personne qui est actuellement membre du Conseil d’administration et dont le mandat a déjà dépassé la limite prévue peut terminer ce mandat en cours, mais elle n’est pas éligible à un autre mandat;

Il est de plus proposé que les membres du Conseil d’administration et d’exécutifs de groupes établissent un plan de transition pour mettre en œuvre ces limites de mandat, notamment un calendrier pour l’introduction progressive de ces limites, afin d’assurer la continuité des activités et une transition ordonnée;

Il est de plus proposé de confier au Comité consultatif la responsabilité de superviser la mise en œuvre des limites de mandat et d'élaborer et de suivre une procédure transparente de nomination et de renouvellement du mandat des membres du Conseil d'administration à temps plein, dans le respect de ces limites;

Il est de plus proposé de communiquer la présente motion à l’ensemble des membres et de l’incorporer dans les statuts de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada dès que possible;

Il est de plus proposé de réexaminer la présente motion périodiquement afin d’en évaluer l’efficacité et, au besoin, de la modifier ou de l’abroger au moyen d’un vote majoritaire de l’AGA;

Il est de plus proposé que la présente motion entre en vigueur immédiatement après son adoption.

SCM : Le sous-comité recommande au président d'assemblée de déclarer cette motion irrecevable. Elle tente de limiter des droits fondamentaux. Il n'y a pas de définition de «membres du Conseil d'administration à temps plein».

Le terme «membres du Conseil d'administration à temps plein» n’est pas défini dans les statuts de l'Institut. La motion ne le définit pas non plus. Par conséquent, la motion est incompréhensible.

Elle est également incompatible avec les statuts de l'Institut (p. ex., articles 7.1 et 22.2) et les politiques (p. ex., la Politique sur les conditions de travail du (de la) président·e et des vice-président·e·s, dans laquelle il est question des vice-président·es à temps partiel . La motion ne propose pas d'ajout, de modification ou d'abrogation à un article des statuts pour inclure des limites de mandat sans enfreindre les statuts existants.

P-12 Amélioration de la transparence des élections (A)

Auteur : Steve Anderson, membre | Décision

Attendu que certains organismes constituants de l’IPFPC ne divulguent pas les résultats des élections de leur exécutif, à l’exception du nom des personnes qui ont été élues;

Attendu que l’IPFPC considère la démocratie et la transparence comme des idéaux à atteindre;

Attendu qu’un nombre toujours plus important d’élections organisées au sein de l’IPFPC le sont par voie électronique;

Attendu qu’il est de plus en plus facile de compiler les résultats des élections, notamment des éléments tels que le nombre total de bulletins de vote et le nombre de voix obtenues par chaque candidat·e;

Attendu que certains organismes constituants ont décidé de ne pas divulguer les résultats complets de leurs élections parce que cela pourrait être embarrassant pour les candidat·es qui n’ont pas été élu·es et que cela pourrait décourager certaines personnes de présenter leur candidature à l’avenir;

Attendu que cette mesure plutôt paternaliste peut avoir l’effet inverse lorsque les mêmes membres d’exécutif sont élu·es à maintes reprises, année après année, et que les autres candidat·es ne peuvent que se demander s’ils/si elles se sont relativement bien débrouillé·es à l’élection et combien de voix supplémentaires il leur manquait pour obtenir un poste;

Attendu que certain·es membres de l’IPFPC bien placé·es finissent par réussir à connaître le total approximatif et relatif des voix obtenues par l’ensemble des candidat·es ou par certain·es d’entre eux/elles, tandis que d’autres sont laissé·es dans l’ignorance;

Attendu que la distribution informelle des résultats des élections ouvre inutilement la porte au doute et à la méfiance à l'égard des élections de l'Institut;

Attendu que la solution suggérée par au moins un organisme constituant est qu’un·e membre tente de faire adopter une motion visant à modifier la pratique qui consiste à n’annoncer que les gagnant·es, à l’assemblée générale annuelle de l’organisme constituant visé, l’année suivante;

Et attendu qu’il serait plus simple, cohérent et équitable pour l’ensemble des membres que l’AGA de l’Institut adopte une motion modifiant la politique selon laquelle tous les organismes constituants divulguent les résultats complets de leurs élections, c’est-à-dire le nombre total de bulletins de vote ainsi que le nombre de voix obtenues par chaque candidat·e, à toutes les personnes présentes, dès que le résultat des élections est connu;

Il est proposé de modifier le sixième point de l’article 3 (Procédures) de l’annexe A (Lignes directrices sur les élections des organismes constituants) de la Politique sur la structure et la fonction des organismes constituants comme suit :

Version actuelle :

« Le Comité des élections est responsable de la compilation de tous les bulletins de vote (y compris de la vérification) et communique les résultats à l’organisme constituant qui tient les élections. »

Version proposée :

« Le Comité des élections est responsable du dépouillement ainsi que de la vérification de tous les bulletins de vote et annonce à toutes les personnes présentes à l’assemblée le nombre total de bulletins de vote validés ainsi que le nombre de voix obtenues par chaque candidat·e. »

SCM : Pas de commentaire

P-13 — Retrait du processus d’élection d’une personne ayant commis une inconduite électorale (A) 

Auteure : Jennie Esnard, membre | Décision

Attendu que des élections équitables sont essentielles à l’intégrité de nos processus démocratiques et qu’il est primordial de préserver la confiance et la crédibilité de ces élections;

Attendu que les irrégularités électorales peuvent saper les principes démocratiques sur lesquels notre organisation est fondée, éroder la confiance dans le processus électoral et entraver l’expression légitime de la volonté de l’électorat;

Attendu qu’il est essentiel de protéger l’équité, la transparence et la légitimité de nos élections et de dissuader les gens de se livrer à des comportements frauduleux ou contraires à l’éthique pendant les élections;

Il est proposé que l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) établisse par la présente une politique claire et sans équivoque selon laquelle toute personne reconnue coupable d’inconduite électorale au cours d’un processus d’élection nationale, de comité ou de groupe sera immédiatement exclue du processus électoral et fera l’objet d’une sanction appropriée conformément aux statuts concernant le Comité des élections.

Il est proposé que la faute électorale soit définie comme toute tentative délibérée de porter atteinte à l’intégrité du processus électoral, y compris, mais sans s’y limiter :

  1. Falsification des bulletins de vote ou des systèmes de vote.

  2. Intimidation ou coercition des électeurs.

  3. Usurpation d’identité ou fausse déclaration.

  4. Diffusion de fausses informations ou participation à des campagnes de désinformation en rapport avec l’élection.

  5. Toute autre action considérée par le Comité des élections ou l’autorité compétente comme étant une inconduite électorale.

Il est de plus proposé que le Comité des élections ou toute autorité désignée responsable de la supervision du processus électoral établisse des procédures transparentes et équitables pour enquêter sur les allégations d’inconduite électorale, et que les personnes accusées de tels actes aient droit à un examen équitable et impartial de leur cas;

Il est de plus proposé que les conséquences pour les personnes reconnues coupables de fraude ou d’inconduite électorale peuvent inclure, sans s’y limiter, la disqualification de l’élection en cours, la disqualification des élections futures pour une période déterminée ou l’expulsion de l’Institut, selon ce que le Comité des élections ou l’autorité compétente jugera approprié;

Il est de plus proposé que la présente motion soit communiquée aux membres et aux candidat·es aux élections de l’Institut et qu’elle figure en bonne place dans tous les documents et communications liés aux élections;

Il est de plus proposé que la présente motion soit intégrée aux statuts de l’Institut et aux procédures électorales en tant que politique applicable, et qu’elle prenne effet immédiatement après son adoption;

Il est de plus proposé que la présente motion soit réexaminée périodiquement afin de s’assurer qu’elle est efficace pour dissuader la fraude ou l’inconduite électorale et qu’elle pourra être modifiée, le cas échéant, par un vote à la majorité de l’AGA de l’Institut.

SCM : Le sous-comité recommande au président d'assemblée de déclarer cette motion irrecevable. Elle va à l'encontre des statuts existants.

Telle qu’elle est rédigée, la motion est en contradiction avec les articles 17.3.2. et 24.1.1 L), qui prévoient respectivement que le Comité des élections n’est habilité qu’à adopter des « procédures administratives » et non à imposer des mesures disciplinaires. La motion ne propose aucune modification pour résoudre cette incohérence. Accorder au Comité des élections le pouvoir d’imposer des « mesures disciplinaires » comme le propose la motion (disqualification des élections futures pour une période déterminée) irait également à l’encontre de l’article 17.3, y compris l’article 17.3.1.1, dont l’objectif est d’empêcher les membres du Comité des élections d’influer sur la conduite des élections en cours et futures. Conformément à la Politique sur la conduite, un panel des pairs indépendant est seul habilité à imposer des mesures disciplinaires, car il n’est pas impliqué dans les élections.

En outre, le Comité des élections est responsable de la conduite des élections et peut déjà adopter des procédures administratives, y compris le retrait d’un candidat du processus électoral, comme le propose la motion.

Enfin, les membres du panel des pairs peuvent déjà (en respectant les procédures et les principes de justice naturelle) imposer toute mesure disciplinaire décrite dans la motion.

P-14 Politique de protection des employé·es qui opposent un refus à des traitements médicaux en raison de leurs valeurs éthiques (A)

Auteur : Rémi Parent, membre | Décision

Attendu que des précédents jurisprudentiels récents ont mis en évidence l’importance cruciale du respect des libertés individuelles protégées par la Charte, par exemple, la décision de la Cour de l’Alberta d’annuler des ordonnances de santé publique qui violaient ces droits fondamentaux (source en anglais seulement : https://www.jccf.ca/alberta-court-strikes-down-public-health-orders-that-violated-charter-freedoms);

Attendu que des événements récents survenus dans les Forces armées canadiennes (FAC) ont entraîné l’examen de leur politique sur la vaccination contre la Covid-19, que cet examen a révélé des inquiétudes à l’égard d’expérimentations médicales non consensuelles ayant des incidences sur les libertés fondamentales, que ces inquiétudes concernent le droit à la liberté et à la sécurité de la personne, qui est protégé par l’article 7 de la Charte canadienne des droits et libertés, que cet examen a permis de conclure que les droits des plaignant·es protégés par l’article 7 ont été violés et que les dispositions contestées de la politique sur la vaccination des FAC étaient inconstitutionnelles et donc invalides (source : https://www.canada.ca/fr/externe-examen-griefs-militaires/services/covid19-politique-vaccination-analyse/annexe-i-constitutionnalite.html); 

Attendu que l’intégrité des pratiques médicales éthiques est primordiale, comme en témoigne le retrait des accusations d’inconduite professionnelle à l’encontre d’une infirmière qui avait courageusement révélé des cas de blessures causées par les vaccins administrés dans des cliniques de vaccination de masse contre la Covid-19, y compris des cas ayant nécessité de multiples interventions d’une ambulance (source en anglais seulement : https://www.jccf.ca/court_cases/withdrawn-professional-misconduct-accusations-withdrawn-against-nurse-who-shared-information-about-covid-19-vaccinations/); 

Attendu que des problèmes de santé graves sont associés aux vaccins contre la Covid-19, notamment des troubles de la coagulation sanguine, des urgences cardiaques, des myocardites, le syndrome de Guillain-Barré, des maladies auto-immunes, des avortements spontanés, des troubles neurologiques et bien plus encore (rapports du VAERS et demande d’AIPRP de l’Agence de la santé publique du Canada disponibles sur demande);

Attendu qu’au moins un suicide est survenu en raison d’un refus d’accommodement dans le cadre de ces mandats;

Et attendu que le principe du consentement éclairé constitue un élément fondamental des pratiques médicales éthiques et qu’il respecte l’autonomie des patient·es, et que la transparence et la prise de décisions en connaissance de cause sont essentielles pour préserver la santé publique et mettent en évidence les inquiétudes suscitées par le fait que le CDC a reconnu les limites de son vaccin pour prévenir la transmission de la maladie visée et l’omission, par Pfizer, d’effectuer des tests complets concernant l’arrêt de la transmission, ce qui a entraîné la dissimulation d’informations essentielles au public, notamment au sujet d’événements indésirables connus; 

Il est proposé que le présent syndicat mette en œuvre rapidement une politique de protection des employé·es qui opposent un refus à des traitements médicaux en raison de leurs valeurs éthiques, et ce, dans le but de bien protéger les droits des employé·es syndiqué·es à cet égard;

Il est de plus proposé que cette politique protège pleinement les droits des employé·es syndiqué·es et empêche catégoriquement toute forme de mesure discriminatoire ou punitive associée au refus d’un traitement médical;

Il est de plus proposé que l’objectif premier et primordial de cette politique soit d’empêcher catégoriquement qu’en raison de mandats contraires à l’éthique, d’autres préjudices soient causés, et de promouvoir des pratiques médicales éthiques ainsi que la préservation de l’autonomie individuelle;

Il est de plus proposé que la présente motion entre en vigueur immédiatement après son approbation et soit diffusée dans l’ensemble du syndicat, y compris aux membres et aux parties prenantes, à titre d’engagement clair en faveur du bien-être et des principes éthiques de nos effectifs, conformément au mandat et aux valeurs du syndicat.

Article I : Droit d’opposer un refus à des traitements médicaux 

Tout·e employé·e syndiqué·e a le droit, sans équivoque, de refuser toute forme de traitement médical, y compris les vaccins et autres actes médicaux, et ce, sans exception. Il/elle peut faire respecter ce droit sans crainte de représailles, de discrimination, de suspension, de licenciement ou de toute incidence négative sur sa situation professionnelle.

Le syndicat défend et protège le droit de la personne de prendre des décisions au sujet de ses traitements médicaux, conformément à ses convictions religieuses ou éthiques. Le syndicat s’opposera fermement à toute tentative de coercition ou de pression à l’égard de traitements médicaux, ou d’imposition de traitements médicaux, contre la volonté d’un·e employé·e.

Article II : Protection contre les humiliations et les mesures punitives

Le syndicat et l’employeur collaboreront pour mettre en place des mécanismes afin que les employé·es syndiqué·es ne soient pas soumis·es à des situations gênantes ou embarrassantes parce qu’ils/elles opposent un refus, pour un motif religieux ou éthique, à des traitements médicaux. Il peut s’agir de protéger leur information personnelle, de leur offrir d’autres modalités de travail ou de faciliter l’ouverture des canaux de communication.

Le syndicat s’opposera activement à la prise de toute mesure punitive à l’encontre des employé·es syndiqué·es qui choisissent d’opposer un refus à des traitements médicaux. Il s’efforcera d’empêcher que leur soient imposées des pénalités, des sanctions et toute autre conséquence négative découlant d’un tel refus.

Article III : Communication et éducation

Le syndicat et l’employeur communiquent ensemble et informent les employé·es syndiqué·es de leur droit indéfectible de refuser des traitements médicaux, un droit qui est protégé par la présente politique. Ils communiqueront ces informations par des moyens accessibles et dans les deux langues officielles.

Le syndicat entreprendra des initiatives de sensibilisation de ses membres et de ses dirigeant·es à l’importance de respecter les refus de leurs collègues qui sont motivés par leurs valeurs éthiques. Le syndicat s’efforcera de favoriser une culture professionnelle inclusive et empathique, qui respecte les diverses croyances et valeurs.

Article IV : Soutien par le syndicat des employé·es touché·es

L’employé·e qui subit des conséquences négatives ou des représailles parce qu’il/elle refuse un traitement médical bénéficie d’un soutien et d’une défense indéfectibles de la part du syndicat. Ce dernier s’engage à utiliser ses ressources, son expertise et son pouvoir de négociation collective pour que les droits de l’employé·e touché·e soient respectés et pour que ses intérêts soient sauvegardés.

La présente motion entre en vigueur immédiatement après son approbation et est diffusée à l’ensemble du syndicat, y compris aux membres et aux parties prenantes. L’objectif premier de la présente politique est de renforcer la protection des employé·es syndiqué·es qui opposent un refus à des traitements médicaux pour un motif religieux ou éthique, tout en promouvant un lieu de travail harmonieux et équitable.

Commentaire du SCM : Le sous-comité recommande au président d'assemblée de déclarer cette motion irrecevable.

Les statuts de l'Institut précisent que, sous réserve des lois pertinentes sur le travail, les principales fonctions de l'Institut sont la négociation collective, la représentation individuelle et la consultation avec les employeurs des membres. L'IPFPC ne peut pas imposer les politiques des employés.  

Une telle mesure enfreindrait le  Code canadien du travail.

https://laws-lois.justice.gc.ca/fra/lois/l-2/page-16.html

https://pipsc.ca/fr/a-propos/raison-detre-mandat-valeurs

La hiérarchie des documents de gouvernance est la suivante

1. Articles de continuation (y compris les objectifs)

2. Statuts

3. Politiques et procédures

P-15 — Retrait progressif du Régime de retraite de la fonction publique (RRFP) des investissements dans les combustibles fossiles (A)

Auteure : Norma Domey, membre | Décision

Attendu que le secteur du pétrole et du gaz est l’un des secteurs les moins performants du marché boursier mondial (voir le graphique en annexe ci-dessous) :  Institute for Energy Economics and Financial Analysis (Institut pour l’économie de l’énergie et l’analyse financière) [août 2023];

 

Attendu que les nouvelles technologies vertes rendent progressivement certains secteurs fortement producteurs de carbone de plus en plus obsolètes ou non rentables;

 

Attendu que si le Régime de retraite de la fonction publique avait exclu le pétrole et le gaz de son portefeuille d’actions publiques il y a 10 ans, il aurait obtenu des rendements nettement plus élevés (voir le tableau de l’annexe ci-dessous); 

Attendu que le Régime de retraite de la fonction publique a une stratégie climatique déficiente qui n’est pas conforme à l’objectif de l’Accord de Paris, qui consiste à limiter l’augmentation de la température mondiale à 1,5°C, et qui contribue à miner les engagements climatiques nationaux et internationaux du Canada;

Attendu que de nombreux grands fonds de pension canadiens et internationaux à prestations déterminées référencés ont déjà intégré des politiques financièrement prudentes d’exclusion des combustibles fossiles, sans que cela ait une incidence statistiquement importante sur le rendement du Régime;

Attendu que des consultants indépendants ont cerné d’autres possibilités d’investissements qui réduiraient l’incidence financière de l’exclusion des entreprises procédant à l’exploitation de combustibles fossiles;

Et attendu que l’Institut prend des mesures pour réduire son empreinte écologique (par exemple, en n’utilisant plus de bouteilles d’eau en plastique). 

Il est proposé que l’Institut envoie, avant la fin de l’année 2023, une lettre ouverte à l’Office d'investissement des régimes de pensions du secteur public lui demandant d’éliminer progressivement tous les investissements dans les combustibles fossiles d’ici à 2026;

Il est de plus proposé que cette lettre soit accompagnée d'un communiqué de presse demandant à l'Office d'investissement des régimes de pensions du secteur public d'élaborer des plans de transition crédibles fondés sur des données scientifiques pour tous les actifs fortement générateurs de carbone, d'adopter un objectif de réduction des émissions de carbone de 50 % d'ici 2030 et de s'engager à ce que le portefeuille de pensions soit carboneutre d'ici 2040, y compris un plan d'accompagnement visant à garantir la décarbonisation financièrement prudente du portefeuille, qui sera publié sur le site Web de l'Institut.

Annexe

Graphiques montrant que l’OIRPSP a généré des rendements inférieurs sur 10 ans en conservant ses investissements dans le pétrole et le gaz, qui sont en sous-performance financière chronique.

 

graph

Le graphique ci-dessus montre les résultats d’un contrôle ex post de Capital IQ sur les grands fonds de pension canadiens, comparant le rendement réel cumulé sur 10 ans du portefeuille d’actions publiques de chaque fonds au rendement cumulé sur 10 ans si les fonds s’étaient désengagés du pétrole et du gaz 10 ans plus tôt. Dans tous les cas, y compris celui de l’OIRPSP, les fonds de pension auraient généré des rendements nettement plus élevés s’ils s’étaient désengagés dix ans plus tôt.

Source : Corporate Knights, Smart Prosperity Institute and Natural Step Canada. (Novembre 2021). Tableau de bord des investissements responsables des régimes de retraite canadiens P.22 

 

graph

Le secteur de l’énergie est en sous-performance financière chronique. Le secteur du pétrole et du gaz est l’un des moins performants de l’indice S&P 500. Dix ans avant l’invasion de l’Ukraine, le secteur de l’énergie était généralement à la traîne du marché. Le secteur n’a été en tête du marché que deux années sur dix, tandis que sept années durant, il s’est classé dernier ou presque. 

Source : Institute for Energy Economics and Financial Analysis. (Août 2023). Le point sur le secteur du pétrole et du gaz alors que la transition vers la finance durable se poursuit à un rythme soutenu.

SCM : Pas de commentaire

Présentées à la 104 assemblée générale annuelle de l’IPFPC

F-6 —  Politique sur la garde et les soins de personnes à charge (A)

Auteur : groupe RE | Décision : Adoptée telle que modifiée

Attendu que le/la conjoint·e ou partenaire d’un·e membre n’est peut-être pas toujours capable physiquement ou mentalement d’avoir l’entière responsabilité d’une ou de plusieurs personnes à charge;

Attendu que l’entrée en vigueur de la Prestation parentale partagée d’assurance-emploi accroîtra la probabilité qu’un·e membre soit en congé parental au même moment que son/sa conjoint·e;

Et attendu que dans sa forme actuelle, la Politique de garde familiale ne tient pas compte du

fait que, même si l’autre personne chargée de la garde d’enfant est à la maison, c’est peut-être le/la membre qui prodigue des soins essentiels;

Il est proposé d’ajouter la clause suivante à la section « Admissibilité » de la Politique sur la garde et les soins de personnes à charge :  « Si le/la conjoint·e ou partenaire est dans l’incapacité d’assurer la garde ou les soins de personnes à charge, et que le/la membre est en congé autorisé par l’employeur pour s’occuper de son/sa conjoint·e ainsi que d’une ou de plusieurs personnes à charge, le/la membre peut présenter une demande de remboursement des dépenses qui en découlent et qu’il/elle n’engage habituellement pas. »

Commentaire des Finances :  Conformément à la Politique sur la garde et les soins de personnes à charge, paragraphe 4

  1. 80 $ par période de 24 heures pour le/la premier·ère membre de la famille;
  2. 55 $ pour chaque période de 24 heures pour chaque membre additionnel·le de la famille.

F-7 — Politique sur le financement des AGA de groupe (A)

Auteur : groupe RE| Décision : Irrecevable

Attendu que l’AGA d’un organisme constituant a pour objet d’assurer la gouvernance de l’organisme constituant;

Attendu que les membres titulaires d’un groupe devraient pouvoir influencer et modifier l’orientation de l’exécutif de leur groupe;

Attendu que sans égard aux coûts de participation des délégués, les frais fixes liés à la tenue d’une AGA de groupe sont considérables;

Et attendu que la taille de l’exécutif d’un groupe est liée au besoin de représenter la diversité ministérielle et régionale, qui s’applique aussi aux délégué·es à l’AGA de ce groupe; 

Il est proposé de modifier l’énoncé de la politique de l’Institut sur les paramètres des groupes pour le financement de réunions accordé par l’IPFPC en plus de l’allocation des organismes constituants comme suit : 

 « dans le cas des réunions rassemblant des délégué·es, le nombre de délégué·es accrédité·es correspond au nombre de membres de l’exécutif du groupe plus, soit un·e délégué·e pour chaque tranche de deux cents (200) membres du groupe, soit un·e de plus que le nombre de membres de l’exécutif du groupe calculé en fonction du paragraphe 10.1.5 des statuts, le plus élevé des deux nombres étant retenu. »

SCM : Le sous-comité recommande que le président d’assemblée déclare la motion irrecevable, car il n'y a pas de politique sur le financement des AGA de groupe.

F-8 — Formule de calcul des cotisations à l’Institut (A)

Auteur : groupe RE | Décision : Irrecevable

Attendu que l’IPFPC est un syndicat composé de membres percevant un large éventail de salaires et de membres à la retraite;

Attendu que les cotisations nominales fixes des membres titulaires et des cotisant·es Rand représentent une fraction variable du revenu des membres et que leur pouvoir d’achat s’érode, parfois rapidement, à cause de l’inflation;

Attendu qu’avoir des cotisations nominales fixes entraîne également de longues périodes de gel des cotisations suivies d’augmentations importantes;

Attendu que le système actuel oblige l’assemblée générale annuelle de l’Institut à s’engager périodiquement dans des débats pour que les salaires puissent simplement suivre l’augmentation des coûts liée à l’inflation;

Et attendu que nombre de nos collègues syndicalistes ont réussi à mettre en place des cotisations en fonction du revenu dans divers régimes de rémunération, y compris ceux du gouvernement du Canada;

Il est proposé que l’IPFPC modifie les cotisations des membres titulaires et des cotisant·es Rand à compter du 1er avril 2024 afin de les faire correspondre à un pourcentage fixe du salaire maximum du groupe et du niveau de chaque membre, et à un montant calculé au prorata dans le cas des fonctionnaires à temps partiel;

Il est proposé de fixer le taux de pourcentage unique applicable aux membres titulaires et aux cotisant·es Rand de manière à ce que le montant des cotisations perçues demeure identique à celui du 1er janvier 2017, compte tenu de ce pourcentage et des cotisations mensuelles de 72,56 $ établis à l'époque.

Et il est proposé que le taux de cotisation des membres retraité·es soit indexé en même temps et de la même manière que le Régime de pensions du Canada, en appliquant tous les rajustements faits depuis 2018 au taux de cotisation que ces membres payaient au 1er janvier 2017. Le nouveau taux calculé à partir de cette indexation s’appliquerait le 1er avril 2024 sans modification rétroactive des sommes dues.

Commentaire des Finances : En raison de la complexité de cette motion, les Finances ne sont pas en mesure de fournir une estimation financière de son impact sur le budget ou du coût de sa mise en œuvre et de son administration. 

SCM : L'application de cette politique serait difficile, car le personnel de l'IPFPC serait chargé de fournir les montants à l'employeur.  La motion est difficile à interpréter.  Le vote requiert une majorité simple des délégué·es.

F-9 — Voyages et hébergement pour les écoles de formation (A)

Auteur : CR de l’Atlantique | Décision : Rejetée

Attendu que la Politique de l’Institut sur l’équilibre entre les activités syndicales et la vie privée exclut les écoles régionales des dispositions concernant les voyages et l’hébergement pour la famille; 

Et attendu que ces écoles ont la même incidence sur l’équilibre entre les activités syndicales et la vie privée que les réunions visées par les dispositions concernant les voyages et l’hébergement pour la famille; 

Il est proposé que la Politique de l’Institut sur l’équilibre entre les activités syndicales et la vie privée soit modifiée pour inclure les écoles régionales dans les dispositions concernant les voyages et l’hébergement pour la famille, comme suit : 

Les membres,

  • qui demandent à être hébergé·es le vendredi précédant la tenue d’un conseil régional, d’un conseil régional des délégué·es syndicaux·ales, d’écoles syndicales régionales, du Conseil consultatif, d’une assemblée générale annuelle de groupe ou de l’assemblée générale annuelle de l’Institut ayant lieu à l’extérieur de leur zone d’affectation, 
  • qui sont accompagné·es d’un·e conjoint ou partenaire (ou d’autres membres de leur proche famille) et qui n’auraient autrement pas droit à l’hébergement le samedi soir, conformément à la Politique sur les voyages.

Commentaire des Finances : Pour chaque membre qui y aurait droit, un impact budgétaire de 425 $ par personne en découlerait.  

SCM : Différents termes sont employés dans différentes régions pour désigner des «formations». L'expression «écoles syndicales régionales» peut donc désigner différents types de formation selon la région.

F-10  Financement des comités de jeunes professionnels (A)

Auteur : exécutif du groupe TI | Décision : Rejetée

Attendu que les comités des jeunes professionnels (CJP) sont une nécessité pour que l’Institut puisse mieux intégrer ses nouveaux·elles membres;

Attendu que le soutien actuellement offert par le Conseil d’administration est destiné aux comités régionaux;

Attendu que les groupes mettent en place des CPJ afin de répertorier et de traiter les questions relatives aux jeunes professionnel·les en leur sein;

Attendu que ni les CPJ régionaux ni les CPJ de groupe ne sont inscrits dans les politiques de l’Institut;


Il est proposé que l’Institut adopte une nouvelle politique pour établir les budgets des CJP comme suit :

 

Politique sur le financement des comités de jeunes professionnels

Date d’entrée en vigueur : 29 novembre 2023

 

  1. But et portée

Cette politique vise à garantir que le financement de l’Institut est accordé de manière cohérente aux comités de jeunes professionnel·les des Régions et des groupes. Elle clarifie les exigences que ces comités doivent satisfaire devant le Comité des finances pour obtenir un financement pour leur travail. 

  1. Définitions

Jeune professionnel·le : Membre en règle âgé·e de 40 ans ou moins.

Comité régional des jeunes professionnels : Comité placé sous la direction du/de la directeur·rice régional·e et/ou de l’exécutif régional.

Comité des jeunes professionnels de groupe : Comité placé sous la direction du/de la président·e de groupe et/ou de l’exécutif régional.

  1. Exigences

Les exécutifs des groupes et des Régions dotés d’un comité de jeunes professionnels doivent préparer et soumettre annuellement un budget au Comité des finances. 

Le Comité des finances enverra chaque année un rappel écrit aux exécutifs des groupes et des Régions, y compris le format et la date limite de présentation du budget.

 

SCM : Il n'y a pas de règles ou de clarté en ce qui concerne le nombre de comités de jeunes ou de leurs réunions.  L'intention semble être de créer plusieurs comités de jeunes.

Commentaire des Finances : Le coût actuel est de 102 523 $ pour un comité. Comme on compte six (6) régions et cinquante (50) groupes, l’impact budgétaire maximum serait de 5,74 millions de dollars, plus les coûts de traduction.

B-7 — Composition du CSPI (A)

Auteure : Région de la Colombie-Britannique et du Yukon | Décision 

Attendu que le mandat du Comité des services et projets informatiques va comme suit : « Le Comité des services et projets informatiques conseille et fait des recommandations au Conseil sur les questions liées aux services et projets informatiques qui lui sont soumises ».

Attendu que toutes les parties prenantes sont appelées à contribuer aux meilleures pratiques en matière de conception et de développement de systèmes;

Attendu que les parties prenantes de l’Institut comprennent l’ensemble des membres;

Et attendu que les membres appartiennent à tous les groupes professionnels, qui ont des besoins différents en services fournis par l’Institut;

Il est proposé de modifier comme suit l’article 17.11.1 des statuts :

17.11.1 Composition — Le comité du Conseil appelé Comité des services et projets informatiques est formé de cinq (5) à sept (7) membres. Sa composition est normalement représentative des professionnel(le)s de la GI-TI de l’IPFPC.

SCM : Pas de commentaire

B-8 — Représentation des groupes au Conseil d’administration (A)

Auteur : exécutif du groupe TI | Décision : Irrecevable

Attendu qu’un syndicat s’occupe de ses membres, les représente et les défend, en plus de négocier leurs conditions de travail. L’Institut est organisé pour représenter les membres devant l’employeur par groupe de négociation, au nombre de 46.

Attendu qu’en plus des cinq administrateurs·rices élu·es au palier national, le Conseil d’administration est composé de directeurs·rices représentant les régions, ce qui peut donner l’impression d’un parti pris régional dans les décisions prises par le Conseil. Il y a dix (10) ans, un·e directeur·rice représentant le Conseil consultatif a été ajouté·e pour tenter de mieux répondre aux questions soulevées par les groupes et les équipes de consultation, avec des résultats mitigés.

Attendu que la composition actuelle du Conseil d’administration ne tient pas directement compte des particularités de nos groupes et communautés de professions. Au fil des ans, des inquiétudes ont été exprimées quant au manque de compréhension et de soutien de la part du Conseil d’administration en ce qui concerne les négociations et les considérations clés des groupes. Certaines décisions ont même fini par nuire à la représentation et à la négociation.

Attendu que parmi nos groupes, nous en avons trois grands qui comptent plus de 9000 membres, et (nous pensons que) leurs intérêts devraient être mieux représentés au Conseil d’administration; il s’agit du groupe TI (20 000 membres), du groupe VFS (13 400 membres) et du groupe SP (9900 membres). À titre de comparaison, la RCN, qui compte 37 000 membres, a quatre directeurs·rices, ce qui donne un taux de représentation de 1 pour 9000.

Attendu qu’en général, les groupes n’ont pas de voix au Conseil d’administration. Les président·es des trois groupes ont pour rôle de défendre les groupes, de les représenter et de présenter toutes les questions qui leur sont liées au Conseil d’administration.

Il est proposé que les articles 15 et 21 des statuts soient modifiés comme suit, afin de mieux servir les intérêts particuliers des groupes au niveau du Conseil d’administration;

Les changements proposés doivent être adoptés pour l’AGA 2024 de l’Institut.

Commentaire du groupe TI : L’ajout de deux membres au Conseil d’administration augmentera les coûts annuels de 60 000 $, soit 8 réunions x 2 jours x (900 $ de salaire + 1500 $ de frais de déplacement).

*******

ARTICLE 15 CONSEIL D’ADMINISTRATION

15.1 Composition : Le Conseil d’administration est composé des cinq (5) administrateurs(-trices) et des treize (13) directeurs(-trices) de la corporation    du (de la) président(e), de quatre (4) vice-président(e)s et des dix (10) directeurs(-trices).

ARTICLE 21 DIRECTEURS(-TRICES) DE LA CORPORATION

21.2 Répartition : Le Conseil compte quatre (4) directeurs(-trices) élu(e)s de la Région de la capitale nationale, un(e) (1) directeur(-trice) élu(e) pour chacune des régions à l’extérieur de la Région de la capitale nationale et un(e) (1) directeur(-trice) élu(e) par le Conseil consultatif.

21.1 Composition : Un(e) (1) directeur(-trice) régional(e) pour chacune des régions; trois (3) directeurs(-trices) régionaux(-ales) supplémentaires pour la Région de la capitale nationale; trois (3) président(e)s de groupe agissant à titre de directeur(-trice) de la corporation choisi(e)s parmi les trois (3) groupes comptant le plus grand nombre de membres, et un(e) (1) président(e) de groupe agissant à titre de directeur(-trice) de la corporation, élu(e) parmi les plus petits groupes et les employeurs distincts.

21.2.1 Un(e) directeur(-trice) régional(e) ne doit pas être membre de l’exécutif d’un groupe, d’un sous-groupe, d’un chapitre, de la Guilde ou d’une section locale de la Guilde.

21.1.1 Les administrateurs(-trices) de la corporation peuvent être des membres exécutifs(-ives) d'organismes constituants ou consultatifs, mais doivent fortement envisager de limiter leur implication dans plusieurs structures, afin d'éviter les conflits et l'accaparement des rôles.

21.1 2 Mandat : Les directeurs(-trices) sont élu(e)s pour un mandat de trois (3) ans.

21.2.1 Les directeurs(-trices) régionaux(-ales) sont élu(e)s lors de l'assemblée générale annuelle de l'Institut conformément aux statuts.

21.2.2 Les représentant(e)s des grands groupes sont leurs président(e)s, et sont élu(e)s conformément aux statuts de leur groupe.

21.2.3 Le (la) représentant(e) des autres petits groupes et des employeurs distincts sera élu(e) par l’ensemble des président(e)s de groupe autour de la même date que l'AGA de l'Institut. À la fin de leur mandat de président(e), une nouvelle élection a lieu pour identifier un(e) nouveau(-elle) représentant(e).

Commentaire du CSR : Le sous-comité recommande que le président d'assemblée déclare cette motion irrecevable en vertu de l'article 17.3.2 des statuts de l'association. Le Comité national des élections...

L'article des Statuts en question indique 15 directeurs. Il faudrait une motion extraordinaire qui nécessiterait deux-tiers des votes dans les statuts de prorogation ainsi qu'un vote des deux-tiers pour chaque région.  

Cette motion va également à l'encontre de l'article 7.1 sur les droits des membres.

Commentaire des Finances : L'impact sur le budget se chiffre à 60 469 $ au plus.

P-2 Politique sur l’allocation des organismes constituants (A)

Auteurs : le CR de la RCN et le CR de l’Atlantique | Décision : Retirée 

Attendu que les montants (indiqués au point 7 de la Politique) que les organismes constituants peuvent dépenser pour des rencontres sociales, des réceptions ou des activités de réseautage, de reconnaissance, de formation ou de visibilité n’ont pas été corrigés en fonction de l’inflation depuis le 26 avril 2012; 

Attendu que ces dernières années, la hausse considérable des coûts a rendu ces montants insuffisants pour permettre aux organismes constituants d’organiser des activités de façon convenable; 

Et attendu que la modification proposée permettrait simplement aux organismes constituants de continuer à organiser des activités positives semblables à celles tenues dans le passé;

Il est proposé que la Politique sur l’allocation des organismes constituants soit modifiée comme suit :

  1. Limites liées à l’utilisation acceptable des fonds de l’Institut

(AGA 2018)

Le montant remboursé pour une dépense couverte par la présente politique correspond au montant le moins élevé entre la dépense réelle et le montant suivant qui aura été approuvé :

Catégorie de dépenses admissibles

Montant approuvé en dollars

 

RÉCEPTION

40 $ 25 $ par personne par occasion

FLEURS OU DONS COMMÉMORATIFS

100 $ par occasion

ACTIVITÉS DE RÉSEAUTAGE, ACTIVITÉS DE RECONNAISSANCE OU RENCONTRES SOCIALES

40 $ 25 $ par personne par occasion

ACTIVITÉS DE FORMATION OU DE VISIBILITÉ

40 $ 25 $ par personne par occasion

… 

 

 

COMMENTAIRE : Augmentation des coûts pour l’IPFPC – Sans objet – La Politique sur l’allocation des organismes constituants ne changerait pas les coûts pour l’IPFPC d’après les limites définies au point 4 (Formule de financement) de cette Politique.

Lors de sa réunion de septembre, le Conseil d'administration a augmenté ces limites à 50 dollars.  

SCM : Le sous-comité recommande le retrait de cette motion.

P-3 — Président·es des caucus sur l’équité (A)

Auteur : groupe TI | Décision

Attendu que les membres de l'IPFPC reflètent la diversité;

Attendu que le Comité des droits de la personne et de la diversité (CDPD) a stipulé dans les statuts que la composition du comité doit représenter la diversité de ses membres;

Attendu que le CDPD a mis en place des caucus pour représenter les différents groupes d’équité;

Attendu que ces caucus devraient être dirigés par un membre légitime de chacun des groupes d’équité;

Il est proposé que l'Institut veille, dans la mesure du possible, à ce que les caucus pour chaque groupe d'équité soient dirigés par un membre de ce groupe d'équité.

SCM : Pas de commentaire

P-4 — Politique sur la libération syndicale (F)

Auteur : groupe TI | Décision : Rejetée

Attendu que le renouvellement, le recrutement et le rajeunissement de l’effectif des déléguées syndicales et des délégués syndicaux à l’IPFPC est un enjeu crucial sur lequel nous devons nous pencher sérieusement;

Attendu que la charge de travail varie d’un délégué syndical à l’autre selon les mandats occupés (par exemple, exécutifs de groupe/région, équipe de consultation/de négociation, comités, etc.);

Attendu que certains membres ont des obligations professionnelles qui requièrent un remplacement pour chaque période d’absence du travail;

Attendu que l'employeur invoque parfois des obligations professionnelles pour empêcher l'octroi de congés pour activités syndicales;

Attendu que l'Institut n'a pas de politique d'octroi de congés pour activités syndicales;

Et attendu que l'application uniforme et équitable du congé pour activités syndicales profitera à tous nos délégués syndicaux;

Il est proposé de créer un comité national spécial sur les congés pour activités syndicales, dont le mandat respecte les lignes directrices suivantes :

  • La durée du mandat du comité spécial sera de 1 an.

  • Le comité spécial sera composé de 9 personnes :

    • Un (1) délégué syndical par région,

    • Le délégué syndical national en chef,

    • Un membre du personnel de l'IPFPC pour soutenir les membres du comité,

    • Et un agent de liaison du conseil d'administration.

  • Le Conseil d'administration déterminera la composition du comité après avoir établi des critères clairs dans un appel à tous les délégués syndicaux de l'Institut, en veillant à une représentation équitable des délégués syndicaux les plus touchés, c'est-à-dire les jeunes et les femmes.

  • Le comité spécial devra évaluer les besoins des délégués syndicaux en termes de congés pour activités syndicales en les consultant par le biais d'une enquête.

  • Le comité spécial devra élaborer cette enquête, la diffuser, puis recueillir et analyser les réponses.

  • Le comité spécial devra apporter des pistes de solutions aux écueils identifiés par les délégués syndicaux concernant leur congé pour activités syndicales.

  • Pour limiter les coûts, le comité spécial se réunira jusqu'à 6 fois en personne, et autant de fois que nécessaire virtuellement.

  • Le comité spécial s'engage à produire les résultats suivants :

    • un rapport sur ses activités et actions à l'AGA TI nationale,

    • une politique en matière de congés pour activités syndicales.

Commentaires des Finances : Le coût maximum budgétisé pour la participation des membres au comité est de 86 376 $.  En outre, les coûts d'interprétation pour six (6) réunions pourraient s'élever à 72 000 dollars supplémentaires, soit un coût total de 158 376 dollars.

SCM : Pas de commentaire

P-5 — Auto-identification des groupes d'équité (A)

Auteur : groupe RE | Décision

Attendu que l’Institut souscrit au principe d’équité en matière d’emploi;

Attendu qu’actuellement, nous ne disposons d’aucun mécanisme quantitatif pour évaluer la participation des groupes en quête d’équité à nos postes de bénévoles;;

Et attendu que la collecte de données par le biais de l’auto-identification pourrait permettre à l’Institut de mieux comprendre à la fois l’état actuel de la participation des groupes en quête d’équité et les tendances en la matière au fil du temps;

Il est proposé que l’Institut mette en place une procédure d’auto-identification volontaire pour les délégué·es syndicaux·les et les membres d’exécutifs afin que ces personnes s’identifient comme appartenant aux groupes en quête d’équité qui sont définis par la Loi sur l’équité en matière d’emploi, et que l’Institut ajoute une option de genre non binaire, le groupe d’âge, les personnes à charge et l’identité LGBTQ2+;

Il est également proposé d’appliquer comme il se doit les techniques de protection de la confidentialité des petits groupes de personnes. 

SCM : Pas de commentaire

P-6 —Rapport sur l'action contre le changement climatique (A)

Auteur : groupe RE | Décision

Attendu que le Rapport sur le climat changeant du Canada présente des preuves accablantes de la nécessité de réduire les émissions de CO2, ce qui implique qu’il faut cesser de privilégier l’utilisation de véhicules pour un seul occupant, sauf dans des cas exceptionnels;

Attendu que les pressions et le travail réalisés par l’IPFPC depuis une décennie ont permis de bien faire avancer la cause contre le musellement des scientifiques et le sabotage de leur travail; 

Et attendu que les membres ne disposent pas tous et toutes d’un moyen de transport personnel, ou n’y ont pas tous et toutes accès, et qu’ils/elles ont besoin d’un accès suffisant au transport en commun pour se rendre au travail; 

Il est proposé que l’Institut encourage ses membres à diffuser les conclusions du Rapport dans leur milieu de travail et à promouvoir les changements qui y sont recommandés, notamment que les employeurs offrent de meilleures options pour inciter les gens à ne plus se rendre au travail seuls à bord de leur véhicule pour se rendre au bureau, et que le travail à domicile soit permis lorsque le/la membre le préfère et qu’aucune raison évidente ne justifie qu’il/elle doive se rendre sur un lieu de travail gouvernemental.

Il est de plus proposé que l’Institut, par l’entremise de ses équipes de consultation et d’autres discussions avec l’employeur, préconise des changements connexes, notamment pour que les employeurs offrent de meilleures solutions de rechange afin d’encourager leurs employé·es à ne pas se rendre au travail seul·es en voiture (notamment en procurant un transport en commun adéquat ainsi que des places en garderie sur le lieu de travail, en favorisant le travail à domicile lorsque cela est souhaitable, et en choisissant des bâtiments situés dans un endroit central, pour y installer les bureaux).

SCM : Pas de commentaire

P-7 — Cotisant·es Rand (A)

Auteur : CR de l’Atlantique | Décision

Attendu qu’avoir un trop grand nombre de cotisant·es Rand est préjudiciable à un syndicat;

Attendu que l’IPFPC possède les adresses de courriel des cotisant·es Rand;

Et attendu que l’IPFPC compte un personnel rémunéré capable de soutenir ses membres;

Il est proposé qu’à compter du 1er janvier 2024, l’IPFPC envoie par courriel à chaque cotisant·e Rand l’information concernant les avantages de l’adhésion au syndicat ainsi que le lien vers le formulaire d’adhésion.

SCM : Pas de commentaire

P-8 — Activités sportives et culturelles (A) 

Auteur : CR de l’Atlantique | Décision : Retirée

Attendu que l’IPFPC dispose d’une Politique sur l’allocation des organismes constituants;

Attendu que cette politique ne tient pas compte des différences régionales;

Et attendu que les chapitres et les sous-groupes sont les mieux placés pour savoir comment mobiliser leurs membres;

Il est proposé que la Politique sur l’allocation des organismes constituants soit modifiée de façon à permettre l’achat de billets pour des activités sportives et culturelles dont le prix est inférieur ou égal à 50 dollars.

SCM : Pas de commentaire

Le SCM recommande le retrait de la motion puisque le CA a mis à jour la politique lors de sa réunion de septembre.

P-9 — Définition de « nouveaux projets » (A)

Auteure : Région de l’Ontario  | Décision 

Attendu que la motion suivante a été adoptée à l’AGA 2020 de l’IPFPC :

P-7 Dépenses majeures de l’IPFPC aux fins de nouveaux projets — auteur : exécutif régional de l’Ontario (anglais)

Attendu qu’il arrive parfois que l’IPFPC engage des dépenses majeures aux fins de nouveaux projets;

Attendu que par le passé, l’Institut avait pour habitude de soumettre ce type de dépense à l’approbation de l’AGA;

Attendu que l’achat de l’immeuble, l’adhésion au CTC et l’autorisation du travail lié à Professionnels Canada sont des exemples de cette pratique;

Et attendu qu’il serait indiqué d’officialiser cette pratique en la faisant approuver par l’AGA;

Il est proposé que les dépenses de plus de 500 000 dollars aux fins de nouveaux projets soient approuvées par l’assemblée générale annuelle de l’IPFPC.

Attendu que le terme « nouveaux projets » n’a pas été défini; 

Attendu qu’il est judicieux de définir de nouveaux projets et d’en donner des exemples;

Il est proposé que le Conseil d’administration définisse dans une politique les nouveaux projets de plus de 500 000 $ qui doivent être approuvés par l’AGA de l’IPFPC et qu’il soumette cette définition à l’approbation de l’AGA 2024.

SCM : Pas de commentaire

P-10 — Réunions des comités du Conseil d'administration (A)

Auteur : CR des Prairies/T.N.-O. | Décision : Adoptée

Attendu que la Politique sur les comités du Conseil d’administration encourage les organismes constituants à utiliser des moyens électroniques pour tenir leurs réunions, mais qu’aucune disposition de la Politique ne porte sur les réunions virtuelles;

Et attendu que d'autres politiques font référence à la durée des réunions, la Politique sur les comités du Conseil d'administration ne précise pas cette durée;

Il est proposé que la Politique sur les comités du Conseil d’administration soit modifiée comme suit :

6. Réunions des comités du Conseil

Le nombre, les dates et le lieu des réunions des comités sont établis en fonction du budget approuvé par l’AGA. Les budgets des comités seront calculés en fonction de la tenue de six (6) réunions en personne. Une réunion prévue au calendrier ne se tient que s’il y a suffisamment de points à traiter. Les comités

 se réunissent 4 fois en personne et tiennent autant de réunions virtuelles que leur budget leur permet au moins six (6) fois par année. Dans la mesure du possible, les réunions se tiennent dans les locaux de l’Institut.

Les réunions en personne durent normalement une journée et ont lieu le vendredi, le samedi ou le lundi, à l’endroit le plus économique. Les réunions virtuelles peuvent avoir lieu n'importe quel jour de la semaine. Pour favoriser l’équilibre entre les activités syndicales et la vie familiale, on tient compte de la disponibilité des membres et du calendrier du Conseil quand on établit le calendrier des réunions des comités. Les comités devraient s’efforcer d’utiliser des moyens électroniques (comme les courriels, les téléconférences et les vidéoconférences) pour mener leurs affaires afin d’alléger le fardeau des frais de voyage des membres de comités.

(…)

SCM : Pas de commentaire

Commentaire des Finances : Les frais de participation des membres des comités à une journée entière de réunion en personne sont budgétisés à 17 087 dollars par réunion.  Les coûts d’une réunion virtuelle d’une journée entière des membres des comités sont budgétisés à 8 844 dollars.  Les coûts associés à l’interprétation, à l’enregistrement et au support audiovisuel pour les réunions en personne ou virtuelles s’élèvent à environ 6 200 dollars.  Ces montants ne sont pas inclus dans le coût de la participation des membres.  

Les frais de participation des membres de comités à une réunion virtuelle d’une demi-journée (4 heures) sont budgétisés à 6 467 dollars.  Les coûts liés à l’interprétation, à l’enregistrement et au support audiovisuel pour une réunion virtuelle d’une demi-journée sont budgétisés à hauteur de 4 300 dollars.  

Sur la base des projections, le nombre maximum de réunions virtuelles d’une demi-journée pour que le budget n’entraîne pas de coûts, en reportant deux (2) réunions en personne, serait de quatre (4). NOTE — Le coût des comités est évalué à six (6) réunions en personne, mais le budget global de l’Institut reflète une moyenne de quatre (4) réunions en personne pour l’ensemble des comités.  La motion peut entraîner une augmentation potentielle du budget des comités de 184 545 dollars si chaque comité utilise son allocation budgétaire virtuelle supplémentaire.

P-11 —  Politique sur l’accès aux fonds généraux de l’IPFPC (A)

Auteur : CR des Prairies et des T. N.-O. | Décision : Rejetée 

Attendu que la Politique d’accès aux fonds généraux de l’IPFPC encourage les organismes constituants à utiliser des moyens électroniques pour tenir leurs réunions, mais qu’aucune disposition de la Politique ne porte sur les réunions virtuelles;

Attendu que, n’étant pas dispersés géographiquement, la plupart des petits groupes et des employeurs distincts ne se déplacent pas pour leurs AGA et que, par conséquent, ils ne devraient pas être obligés de tenir une réunion de leur exécutif qui coïncide avec leur AGA;

Attendu que l’obligation pour les groupes de tenir une réunion de leur exécutif conjointement avec l’AGA de l’IPFPC devrait être supprimée, car elle impose un fardeau administratif au personnel, augmente le nombre de jours de déplacement à partir du domicile lorsque l’AGA dure plus de deux jours et ne s’applique pas aux petits groupes et aux employeurs distincts, puisque la majorité d’entre eux ne se trouvent pas dans la RCN et que les membres de leur exécutif ne bénéficient pas d’un siège de délégué·e à l’AGA de l’IPFPC; 

Et attendu que certain·es membres des exécutifs régionaux ne sont pas des délégué·es syndicaux·ales et ne devraient par conséquent pas être tenu·es de faire coïncider la réunion de leur exécutif régional avec celle du Conseil des délégués syndicaux;

Il est proposé de modifier comme suit la Politique sur l’accès aux fonds généraux de l’IPFPC :

Annexe A de la Politique sur l’accès aux fonds généraux de l’IPFPC :

Exigences relatives au  financement de réunions
accordé en plus de l’allocation des organismes constituants

accordé en plus de l’allocation des organismes constituants

Type de réunion

Durée

maximale

Moment

Financement maximum 

Autres contraintes

Réunions d’exécutif de groupe

(AGA 2018)

(CA – avril 2019)

1 jour

En personne :

 Ven., sam. et lun. 

Virtuellement : n’importe quel jour de la semaine  

6 par année

4 réunions en personne et autant de réunions virtuelles que les six (6) réunions en personne prévues au budget.

  • Une des réunions doit peut coïncider avec l’AGA du groupe; une autre doit être rattachée à l’AGA de l’IPFPC.
  • Une séance de planification stratégique par année (qui ne dépasse pas deux jours) compte pour une réunion de l’exécutif, et toute différence de coût est assumée par le groupe. 
  • Les réunions ne durent normalement pas plus qu’une (1) journée.
  • Une réunion par année peut avoir lieu ailleurs qu’à l’endroit le plus économique, sans pour autant dépasser les limites du budget annuel du groupe, avec à l’appui une analyse de rentabilisation comprenant une analyse des coûts et des détails sur la sensibilisation et la mobilisation des membres. Un rapport est remis au CA après cette réunion. 

CA – avril 2019

AGA de groupe

(AGA 2014)

1 jour

Ven., sam. et lun.

1 par année

Délégué·es = L’exécutif du groupe plus une personne déléguée par 200 membres.

N.B. Un groupe peut financer la participation de délégué·es supplémentaires à son AGA à même son allocation annuelle.  

Réunions annuelles des président·es de sous-groupe

de 1 à 1,5 jour

Samedi ou au moment de l’AGA de groupe

1 par année à l’échelle nationale ou 1 par année par région

  • Réunion indépendante : 1 jour, un samedi;
  • Au moment de l’AGA de groupe : 1,5 jour. 

Participation des membres d’exécutif de groupe aux AGA de sous-groupes

   

1 par année par sous-groupe

  • Un·e représentant·e régional·e désigné·e peut être remboursé·e pour sa participation à toutes les AGA de sa région.
  • En outre, le/la président·e ou le/la vice-président·e d’un exécutif de groupe ou la personne qui le/la remplace peut se faire rembourser les dépenses admissibles de sa participation à au plus un tiers des AGA de sous-groupe. 

Réunions d’exécutif de sous-groupe

 

En dehors des heures de travail

6 par année

  • Pour les sous-groupes qui couvrent un grand secteur géographique, seulement une réunion par an en personne, au moment de l’AGA du sous-groupe.

Réunions d’exécutif régional

1 jour

En personne : 

Ven., sam. et lun. 

Virtuellement : n’importe quel jour de la semaine  

6 par année

4 réunions en personne et autant de réunions virtuelles que les six (6) réunions en personne prévues au budget.

  • Une réunion doit coïncider avec le Conseil régional et une autre, avec le Conseil des délégué(e)s syndicaux(-ales).
  • Les réunions doivent avoir lieu dans les limites géographiques de la Région.
  • Une séance de planification stratégique par année (qui ne dépasse pas deux jours) compte pour une réunion de l’exécutif, et toute différence de coût est assumée par la Région.

Réunions du Comité de formation régional

½ journée

Normalement au moment de la réunion de l’exécutif

3 par année, sauf 6 par année dans la RCN

  • Dans les régions qui comptent au moins dix mille (10 000) membres, le Comité de formation peut avoir jusqu’à six (6) membres, dont deux (2) ou moins qui n’appartiennent pas à l’exécutif régional. 
  • Dans les régions qui comptent moins de dix mille (10 000) membres, le Comité de formation peut avoir jusqu’à cinq (5) membres, dont deux (2) ou moins qui n’appartiennent pas à l’exécutif régional.


SCM : Pas de commentaire

Commentaire des Finances

Groupes : Les frais de participation des membres d’exécutifs de groupe à une journée entière de réunion en personne sont budgétisés à 16 259 dollars par réunion. Les coûts d’une réunion virtuelle d’une journée entière des membres d’exécutifs de groupe sont budgétisés à 6 161 dollars. Les coûts associés à l’interprétation, à l’enregistrement et au support audiovisuel pour les réunions en personne ou virtuelles s’élèvent à environ 6 200 dollars. Ces montants ne sont pas inclus dans le coût de la participation des membres.

Les frais de participation des membres d’exécutifs de groupe à une réunion virtuelle d’une demi-journée (4 heures) sont budgétisés à 3 236 dollars. Les coûts liés à l’interprétation, à l’enregistrement et au support audiovisuel pour une réunion virtuelle d’une demi-journée sont budgétisés à hauteur de 4 300 dollars. Sur la base des projections, le nombre maximum de réunions virtuelles d’une demi-journée pour que le budget n’entraîne pas de coûts, en reportant deux (2) réunions en personne, serait de quatre (4). REMARQUE : Les coûts des exécutifs de groupe sont calculés sur la base de six (6) réunions en personne et la plupart des groupes ont droit à treize (13) membres au sein de leur exécutif. Certains petits groupes n’ont droit qu’à trois (3) membres de l’exécutif. Cette motion n’autoriserait qu’une (1) réunion virtuelle au lieu des deux (2) réunions en personne afin d’assurer la neutralité des coûts et d’éliminer effectivement une réunion pour les organismes constituants de moindre envergure.

Exécutif régional : Les frais de participation des membres des comités à une journée entière de réunion en personne sont budgétisés à 17 266 dollars par réunion. Les coûts des membres des comités pour une réunion virtuelle d’une journée entière sont budgétisés à 5 213 dollars. Les coûts associés à l’interprétation, à l’enregistrement et au support audiovisuel pour les réunions en personne ou virtuelles s’élèvent à environ 6 200 dollars. Ces montants ne sont pas inclus dans le coût de la participation des membres.

Les frais de participation des membres de comités à une réunion virtuelle d’une demi-journée (4 heures) sont budgétisés à 2 738 dollars. Les coûts liés à l’interprétation, à l’enregistrement et au soutien audiovisuel pour une réunion virtuelle d’une demi-journée sont budgétisés à hauteur de 4 300 dollars.

Sur la base des projections, le nombre maximum de réunions virtuelles d’une demi-journée pour que le budget n’entraîne pas de coûts, en reportant deux (2) réunions en personne, serait de quatre (4).

Les membres en règle pourront accéder à une diffusion en direct du Congrès 2023 de l'IPFPC, y compris de l'assemblée générale annuelle. La diffusion en direct ne concernera que la plénière principale et les affaires de l'AGA.

Si vous souhaitez accéder à la diffusion en direct, vous devez vous inscrire avant le 21 novembre en utilisant le lien suivant : LES INSCRIPTIONS SONT MAINTENANT FERMÉES

Date et heure

Le Congrès 2023 de l’Institut, qui comprend l’Assemblée générale annuelle (AGA) de l’organisation, débutera par un déjeuner à 7 heures, suivi des réunions des caucus de délégués à 8 h 30 et des cérémonies d’ouverture à 10 h 30 (heure de l’Est) le dimanche 26 novembre. La séance sera levée le mercredi 29 novembre à 14 h 30 (heure de l’Est).

L’ordre du jour et le calendrier de l’AGA sont inclus dans votre courriel de confirmation d’inscription et seront affichés sur le site Web de l’Institut dès qu’ils seront disponibles.

Lieu

Montréal (Québec)

Hôtel / Lieu du Congrès

Hôtel Le Centre Sheraton Montréal — 1201, boul. René-Lévesque Ouest, Montréal (Québec) H3B 2L7

L’accueil au Centre Sheraton Montréal se fera selon le principe du premier arrivé, premier servi. Nous nous efforcerons d’accueillir les délégués en premier, puis le personnel.

Les délégués s’inscriront au bureau d’inscription du Congrès. Pour toute question d’ordre général, vous pouvez vous rendre au bureau d’information.

Les bureaux d’inscription et d’information du Congrès seront situés au 4e étage.

Heures d’ouverture
Samedi 25 novembre, de 15 h à 20 h
Dimanche 26 novembre, de 7 h à 16 h
Lundi 27 novembre, de 8 h à 16 h
Mardi 28 novembre, de 8 h à 16 h
Mercredi 29 novembre, de 8 h à 12 h

Appareils d’interprétation simultanée

Une fois inscrit·e·s, les délégué·e·s peuvent emprunter un appareil d’interprétation simultanée, au besoin.
 
Les appareils perdus ou endommagés seront facturés à l’emprunteur·rice au coût de 50 $ par appareil.

Dossiers du Congrès

Puisque nos dossiers sans papier demeurent très populaires, nous n’offrirons pas de copies imprimées cette année encore. Si vous avez demandé à emprunter une tablette dans votre formulaire d’inscription, vous en recevrez une; elle contiendra l’application Attendee Hub de Cvent. Toute l’information générale nécessaire sera disponible dans le dossier virtuel inclus dans l’application.
 
Les tablettes perdues ou endommagées seront facturées à l’emprunteur·rice au coût de 350 $ par tablette.

Séance d’orientation

Les séances d’orientation du Congrès 2023 de l’Institut se dérouleront virtuellement via Zoom plusieurs semaines avant l’événement. Ces séances visent à donner aux nouveaux délégués une vue d’ensemble de ce qui les attend au Congrès et à leur présenter les règles de procédure afin qu’ils ou elles puissent y participer pleinement. Vous recevrez une invitation à vous inscrire cet automne, alors gardez l’œil ouvert.

Garde d’enfants

Nous avons le plaisir de proposer des services de garde d’enfants lors du Congrès. Des services de garde d’enfants seront disponibles pendant le Congrès, ainsi que pendant le gala « Prêt·es à inspirer ». Les besoins supplémentaires de garde en soirée sont à la charge des parents. Vous devez vous inscrire au préalable pour que le prestataire de services de garde d’enfants puisse répondre au mieux à vos besoins. Veuillez indiquer si vous avez besoin de ces services lors de votre inscription.

Heures d’ouverture

Dimanche 26 novembre, de 7 h 30 à 16 h 30

Lundi 27 novembre, de 7 h 30 à 16 h 30

Lundi 27 novembre, Gala Prêt·es à inspirer, de 17 h 30 à minuit

Mardi 28 novembre, de 7 h 30 à 18 h*

*Les services de garde d’enfants seront prolongés si les travaux de l’AGA s’éternisent.

 Mercredi 29 novembre, de 7 h 30 à 3 h

Ateliers et discussions entre experts

Le Congrès de cette année proposera de nombreux ateliers interactifs et des discussions entre experts avec des animateur·rices et des conférencier·ères passionnant·es. Comme les séances se dérouleront simultanément, vous devrez sélectionner votre parcours, y compris vos séances préférées, lors de l’inscription. L’interprétation simultanée sera offerte lors de toutes les séances. Certaines seront présentées en français.

Activités

Soirée karaoké en famille

Préparez votre voix et votre enthousiasme pour une soirée karaoké familiale et conviviale! Des collations et des boissons non alcoolisées seront servies. Dimanche 26 novembre de 19 h à 23 h

Gala Prêt·es à inspirer

Joignez-vous à nous pour un souper et une soirée de danse. Cet événement inspirant sera l’occasion rêvée pour célébrer les exploits réalisés par nos membres au cours de l’année écoulée. Nous vous accueillerons au magnifique Centre Bell, au cœur de Montréal, où vous pourrez profiter de la meilleure cuisine et des meilleurs divertissements que cette ville a à offrir.

Lundi 27 novembre de 18 h à minuit. 
Veuillez noter que les délégué·es au Congrès qui décident de ne pas participer au gala n’ont pas droit à l’indemnité journalière pour le souper.

La Fondation Héritage et les Masochistes du soleil levant

Levez-vous et brillez comme des soleils! Nous sommes de retour! Cette année, devenez un masochiste du soleil levant pour aider la Fondation Héritage de l’IPFPC. Nous nous lèverons tôt mardi matin pour aller ensemble au belvédère Kondiaronk du mont Royal, d’où nous aurons une vue spectaculaire de la ville. La marche dure environ 30 minutes (1,8 km) dans chaque sens et comprend des escaliers une fois que nous arrivons au mont Royal. Mardi 28 novembre de 6 h à 7 h 30

Indemnités de repas

Les repas suivants seront offerts et ne peuvent donc pas faire l’objet d’un remboursement :
Dimanche 26 novembre — Déjeuner et dîner
Lundi 27 novembre — Déjeuner, dîner et souper au gala « Prêt·es à inspirer ». Veuillez noter que les délégué·es au Congrès qui décident de ne pas participer au gala n’ont pas droit à l’indemnité journalière pour le souper.
Mardi 28 novembre — Déjeuner et dîner
Mercredi 29 novembre — Déjeuner et dîner

Voyage et hébergement

Les réservations d’hôtel doivent être effectuées au moyen du système d’inscription à l’AGA. Les réservations de vol doivent être effectuées au moyen de Concur Travel à l’aide du lien figurant sur la page de confirmation de votre inscription.
Veuillez ne pas faire vos réservations directement auprès de l’hôtel.
 
Si vous avez besoin de louer une voiture ou de prendre le train, veuillez appeler BCD au 1-866-768-7624 et dire le nom, la date et le lieu de la réunion précisés dans votre courriel d’invitation.

 Lorsque vous ferez vos réservations de voyage, sachez que BCD Travel utilisera d’abord vos crédits de vol, le cas échéant.

Transport

Stationnement : Un nombre limité de places de stationnement est disponible à l’hôtel. Nous ne pouvons pas garantir que vous en aurez une si vous prenez votre véhicule. Veuillez consulter les parcs de stationnement ci-dessous pour connaître les possibilités en la matière.

Aéroport : Il n’y aura pas de service de navette vers et depuis l’aéroport. Le voyage en taxi dure généralement de 14 à 27 minutes et coûte environ 45 $.

Train : La gare Centrale de Montréal se trouve à six minutes de marche de l’hôtel.

Stationnement

Le stationnement est inclus pour les client·e·s qui séjournent à l’hôtel Centre Sheraton Montréal, et ce, en fonction des places disponibles dans le parc. Les membres peuvent demander les tarifs de stationnement à l’hôtel, si elles ou s’ils ne sont pas des client·e·s qui passent la nuit à l’hôtel et qui stationnent leur véhicule dans l’un des parcs de stationnement indiqués ci-dessous.

Stationnement à proximité de l’hôtel si le stationnement de l’hôtel Sheraton Montréal est plein :

Stationnement Supérieur ltée
1245, rue Stanley, Montréal (Québec)  H3B 2T1
514-861-9936

Safeway
1155, boulevard René-Lévesque O., Montréal (Québec)  H3B 3X7
 514-845-2447
 safeway-parking.com

 

Stationnement Indigo Montréal
1100, boulevard René-Lévesque Ouest, Montréal  H3B 5H5
514-937-5911
westpark.com

Stationnement E M
1201, rue de la Montagne, Montréal (Québec)  H3G 1Z2
514-879-1079

Coordonnées

Équipe centrale de l’AGA
aga-agm@pipsc.ca

Le présent code reflète les commentaires formulés par les délégués lors de l’AGA de l’Institut 2018, le Conseil consultatif et le Conseil d’administration. À l’AGA, les délégués et les observateurs doivent respecter les principes de respect dans leurs échanges avec les membres et le personnel de l’Institut. De notre côté, à titre de dirigeants de l’institut, nous avons le devoir de montrer l’exemple.

Nous sommes des individus, et voyons la vie différemment. Nos points de vue sont donc propres à chacun de nous. Nous devons essayer de comprendre la perspective de l’autre, d’examiner les problèmes de leurs points de vue et de nous détacher de nos idées préconçues.

En gardant l’esprit ouvert, nous pouvons montrer plus d’empathie pour la personne qui exprime sa pensée. Si elle a des propos avec lesquels nous ne sommes pas d’accord, nous devons alors bâtir un contre-argumentaire tout en gardant l’esprit ouvert aux opinions et aux perspectives d’autrui. Il ne faut jamais en faire une question personnelle.

Règles d’engagement :

  1. Nous veillerons à parler chacun notre tour et à ne pas nous interrompre les uns les autres.
  2. Nous convenons de nous concentrer sur la question débattue, et non pas sur la personne qui exprime son point de vue.
  3. Nous nous engageons à ne jamais blâmer, diminuer ou attaquer les autres.
  4. Nous nous engageons à écouter les autres avec respect et sincérité afin de bien comprendre ce qui nous est présenté.
  5. Nous veillerons à nous documenter avant d’aborder un point.
  6. Nous reconnaissons que, même si nous ne sommes pas d’accord avec les autres, tout le monde a droit à son opinion personnelle.
  7. Nous ne nous attarderons pas aux failles du passé, mais nous concentrerons sur l’avenir à bâtir.
  8. Nous acceptons de mettre de côté nos besoins personnels pour plutôt exprimer ce qui conviendrait le mieux à l’Institut.
  9. Nous nous engageons à ne pas abuser des règles de procédure et à n’employer aucune tactique dilatoire durant les délibérations.
  10. Tout défaut de nous conformer au Code de respect sera traité conformément aux règles de procédures. En respectant nos règles d’engagement, nous faisons en sorte que l’AGA de l’Institut se déroule dans les règles de l’art, et d’obtenir des résultats fructueux.

INTRODUCTION

Les règles de procédure visent à faciliter le déroulement de l’assemblée, pas à y faire obstruction. On doit user du bon sens pour l’application des règles. Les personnes déléguées qui se servent des règles pour entraver la conduite de l’assemblée n’ont pas droit de cité.

Les présentes règles de procédure ont été mises en place pour aider la personne qui préside l’assemblée (« la personne qui préside ») et la personne conseillère de l’assemblée dans l’exécution de leurs fonctions et pour offrir aux personnes déléguées un guide courant des règles de délibération.

« L’IPFPC n’est pas un club de discussion ni une entreprise à but lucratif. Pour assurer la bonne conduite de l’assemblée, la personne qui préside applique ces règles avec discrétion et se base sur les principes qui les sous-tendent plutôt que de les faire respecter à la lettre. Les personnes déléguées doivent se familiariser avec les règles de manière à pouvoir collaborer avec la personne qui préside en vue d’assurer le déroulement ordonné des délibérations et d’expédier les affaires de l’assemblée.

Le déroulement de l’assemblée devrait pouvoir se faire sans qu’on s’en remette à un guide de délibérations parlementaires. Les présentes règles s’appliquent à toutes les questions de procédure qui ne sont pas prévues dans les statuts de l’Institut. L’assemblée peut s’en remettre à la dernière version du Standard Code of Parliamentary Procedure du American Institute of Parliamentarians lorsque, et seulement lorsque les présentes règles de procédure ne prévoient pas de dispositions adéquates.

Les règles de procédure parlementaire constituent un code de règles et d’éthique régissant le travail en groupe et permettant de traduire les croyances et les idées en des démarches efficaces. Essentiellement, il s’agit du bon sens utilisé de manière bienveillante. Les principes de base à retenir sont les suivants :

1) Être courtois(e) et juste envers toutes les personnes

2) Ne discuter que d’une chose à la fois

3) La minorité a le droit de se faire entendre

4) La majorité l’emporte

5) Offrir la possibilité de discuter à fond et librement de toute proposition

6) Toutes les personnes déléguées ont des obligations, des droits et des privilèges égaux

7) Chaque personne déléguée a le droit de connaître le sens et l’incidence éventuelle des motions proposées

Les règles de procédure ont pour but :

  1. D’assurer la conduite ordonnée de l’assemblée
  2. De permettre d’énoncer clairement les arguments
  3. De parvenir à des conclusions
  4. De traiter les points soulevés jusqu’à leur fin

PRINCIPALES RÈGLES RÉGISSANT LES MOTIONS

a) Un délégué peut prendre la parole lorsqu’il se rend à un microphone et obtient l’autorisation du président. Le membre donne son nom et celui du groupe qu’il représente, puis il limite ses observations au sujet à l’étude.

b) La personne déléguée présente sa motion à l'assemblée en déclarant « Je propose … ».  Une autre personne déléguée appuie la motion, ce qui ouvre le débat.

c) La personne qui préside dirige le débat et demande ensuite le vote. Une fois le vote commencé, il ne peut y avoir d’interruption. Elle annonce les résultats en disant que la motion est adoptée ou qu’elle est rejetée.

d) Si une personne déléguée est en désaccord avec la décision de la personne qui préside, elle peut exiger un décompte. Une telle demande est irrecevable si le vote a été effectué et comptabilisé électroniquement.

PRINCIPALES RÈGLES DE DÉLIBÉRATION

a) Chaque personne déléguée a le droit de prendre la parole une fois sur chaque sujet. À la discrétion de la personne qui préside, une personne déléguée peut prendre la parole plus d’une fois, mais seulement lorsque toutes les personnes qui souhaitent se faire entendre ont eu la chance de parler.

b) La personne qui préside s’efforce d’équilibrer le débat plutôt que de permettre plusieurs interventions consécutives défendant le même point de vue.

c) Les interventions durent trois (3) minutes au maximum. Cette règle ne s’applique pas au (à la) porte-parole d’un comité qui discute d’une motion au nom du comité. La personne qui préside peut permettre de prolonger le débat.

d) La personne qui propose une motion a le privilège d’ouvrir et de clore la discussion sur cette motion.

e) Une personne déléguée qui fait l’objet d’un rappel au règlement durant son intervention rend le microphone jusqu’à ce que le point soulevé ait été réglé.

f) Les personnes déléguées ne s’adonnent pas à des échanges à caractère personnel et évitent les références à d’autres personnes par leur nom.

g) Les personnes déléguées s’adressent toujours à l’assemblée par l’intermédiaire de la personne qui préside. Si elles souhaitent poser une question, elles doivent passer par la personne qui préside. Elles ne doivent pas contourner la personne qui préside et la liste des intervenant(e)s pour débattre d’une question directement avec une autre personne déléguée.

h) La personne qui préside demeure strictement impartiale et délègue sa place à un(e) remplaçant(e) lorsqu’elle désire prendre part au débat. Elle ne reprend pas sa place avant que la question à l’étude n’ait été mise aux voix.

FONCTIONS DE LA PERSONNE QUI PRÉSIDE L’ASSEMBLÉE

a) Faire respecter toutes les règles en vue du bon fonctionnement de l’assemblée.

b) Faire preuve de jugement et de tact en tout temps.

c) Donner à chaque personne déléguée présente et autorisée une chance raisonnable de s’exprimer sur la question soumise à l’assemblée. La personne qui préside a le pouvoir discrétionnaire de reconnaître un(e) observateur(-trice) et de permettre à cette personne de prendre la parole. La personne ainsi reconnue comme observateur(-trice) est tenue de respecter les règles élémentaires du débat.

d) Refuser à toute personne déléguée le droit de discuter de politique ou de religion, sauf lorsque ces sujets se rapportent directement à la question à l’étude.

e) Assurer l’ordre et, au besoin, demander à toute personne qui perturbe l’assemblée de se retirer. La personne qui préside suspend le déroulement de l’assemblée tant que cette consigne n’a pas été respectée.

f) Éviter que le bon déroulement de l’assemblée soit entravé par la présentation d’une motion manifestement frivole ou dilatoire. En pareils cas, la personne qui préside refuse d’accueillir la motion.

g) S’assurer que chaque motion est clairement énoncée lorsqu’elle est présentée devant l’assemblée. Si une motion doit être appuyée, elle ne l’énonce pas tant que la motion n’a pas été appuyée.

h) Soumettre chaque motion au vote lorsque le débat est terminé, et déclarer que la motion est adoptée ou rejetée.

i) Assurer le déroulement efficace des débats dans le respect des droits des personnes déléguées.

j) Remplir d’autres fonctions selon les exigences de l’assemblée ou des règles de procédure.

k) Éviter d’exprimer son opinion personnelle sur tout sujet en délibération, sauf lorsqu’il s’agit d’un rappel au règlement.

l) Avoir en main l’ordre du jour de l’assemblée.

m) S’assurer qu’il y a quorum au début de l’assemblée.

n) Ouvrir la séance au début de l’assemblée et la lever lorsque les travaux prennent fin ou lorsque pour une raison quelconque, il est impossible d’avancer.

MODES DE SCRUTIN

a) Vote électronique

Si le vote est effectué par voie électronique, le scrutin est considéré comme étant un vote comptabilisé et les résultats du scrutin sont consignés au procès-verbal.

Les personnes déléguées doivent tenir les identifiants de vote qui leur a été attribué confidentiels en tout temps.  Seuls ces identifiants peuvent être utilisés pour voter. L’utilisation d’autres identifiants leur fait perdre leur droit de vote.

b) Vote par appel nominal

Les personnes déléguées sont appelées par leur nom et le résultat du vote est consigné au compte rendu. Ce mode de scrutin prend du temps et n’est utilisé que si une motion pour procéder ainsi est adoptée par l’assemblée. Cette motion doit être proposée avant que la personne qui préside ne procède au vote, et doit être traitée immédiatement.

La personne qui préside ne peut voter qu’une seule fois.

En cas d’égalité, la personne qui préside peut exprimer son vote, si ce n’est déjà fait. Si la personne qui préside ne vote pas, la motion est rejetée, n’ayant pas obtenu une majorité de votes en faveur.

La personne qui préside ne peut être contrainte de voter sur une question, quelle qu’elle soit.

Les personnes déléguées qui ne votent pas acceptent que la volonté de l’organisation soit exprimée par celles qui votent. Leur nombre n’est pas pris en compte dans les suffrages exigeant la majorité des voix ou une majorité des deux tiers (2/3).

MOTIONS

1) Nouvelles propositions

La motion principale est une proposition indépendante énonçant clairement la mesure à prendre et formulée de manière à ce qu’une décision puisse être prise à l’assemblée. Les énoncés « Attendu que » ne font pas partie de la motion de sorte qu’une motion doit être comprise sans les « Attendu que ». Elle n’a préséance sur aucune autre motion.

Les règles suivantes s’appliquent : la motion doit être appuyée; elle peut être débattue; elle peut être amendée; elle nécessite un vote majoritaire; elle peut être réexaminée; elle ne peut interrompre un(e) intervenant(e).

2) Motion d’amendement

Un amendement principal est un amendement à une motion; un sous-amendement est un amendement à l’amendement principal. La personne qui préside ne peut autoriser un amendement à un sous-amendement; elle peut cependant permettre une substitution qui, une fois acceptée, le cas échéant, devient un sous-amendement. Un amendement doit se rapporter à la motion qu’il modifie. Les amendements sont soumis au vote dans l’ordre inverse qu’ils ont été proposés. Si un amendement ou un sous-amendement est rejeté, on peut en proposer un autre. Lorsque tous les amendements auront été traités, la motion principale, telle que modifiée par les amendements adoptés, est soumise au vote.

Un amendement doit être pertinent et se rapporter directement au sujet de la motion à l’étude.

Un amendement peut être antagonique; c’est-à-dire qu’il peut s’opposer à l’esprit de la motion principale. Un amendement qui remplace simplement une proposition affirmative par une proposition négative n’est pas recevable. Par exemple : une motion proposant d’« appuyer Jean Tremblay » peut être modifiée pour « appuyer Catherine Morin », mais ne peut être modifiée pour proposer de « NE PAS appuyer Jean Tremblay ».

Amendement de reformulation

Cet amendement est utilisé lorsqu’il vaut mieux reformuler la motion plutôt que de proposer plusieurs amendements. Un amendement de reformulation peut être modifié (un sous-amendement). Lorsqu’un amendement de reformulation d’une motion principale est adopté, il faut quand même soumettre la motion amendée au vote, car la motion reformulée devient la motion principale.

Les règles suivantes s’appliquent : la motion d’amendement doit être appuyée; elle peut être débattue; elle peut être amendée, mais un sous-amendement ne peut pas l’être; elle nécessite un vote majoritaire; elle peut être réexaminée, mais seulement jusqu’au moment où la motion qu’elle amende est soumise au vote par la personne qui préside; elle ne peut interrompre un(e) intervenant(e).

Motions

Tous les amendements de motions devront être soumis par courriel aux membres du Sous-comité des motions à l'adresse affichée à l'écran. Les membres du Sous-comité des motions aideront à clarifier la formulation et l’intention de l'amendement.

Les amendements sont ensuite transmis à l'équipe de traduction. Une fois traduites, les motions amendées sont projetées sur les écrans et font l’objet d’un débat. On peut poursuivre le débat sur la motion originale, ou l’ajourner si nécessaire, afin de laisser assez de temps pour afficher l'amendement sur les écrans.

3) Rappel au règlement

Une personne déléguée peut interrompre le débat à n’importe quel moment en s’adressant à la personne qui préside et en déclarant vouloir faire un rappel au règlement. Cette intervention n’a pour but que d’assurer la bonne marche des délibérations.

Un rappel au règlement peut porter notamment sur une entorse ou une contravention aux règles de procédure ou aux statuts. On peut l’invoquer lorsqu’un(e) intervenant(e) ne limite pas ses observations à la motion soumise à l’assemblée.

On ne doit pas se servir d’un rappel au règlement pour interrompre un(e) intervenant(e) dont les propos déplaisent, ou encore parce qu’on n’aime pas la personne qui parle. Il ne doit pas servir non plus de prétexte pour conseiller la personne qui préside. Lorsque la personne qui préside examine un rappel au règlement, on ne peut l’interrompre avec un autre rappel au règlement que si elle s’écarte de l’objet du premier rappel.

Les règles suivantes s’appliquent : il n’est pas nécessaire que le rappel soit appuyé; il ne peut être débattu; il ne peut être amendé; il ne peut être soumis au vote; il ne peut être réexaminé; il peut interrompre un(e) intervenant(e).

4) Demande du vote (clôture du débat)

Cette motion a pour but de procéder immédiatement au vote de la ou des motions à l’étude et met donc fin au débat, si la motion est adoptée.

À moins que la motion de clôture du débat ne soit qualifiée, elle s’applique uniquement à la motion à l’étude. Si une motion, un amendement et un sous-amendement sont à l’étude, seul le sous-amendement est visé sauf lorsque les autres sont mentionnés dans la motion pour clore le débat.

Demander le vote sans avoir été autorisé(e) à prendre la parole contrevient au règlement lorsque cette demande interrompt un(e) intervenant(e) ou lorsque d’autres souhaitent prendre la parole.

La personne qui préside a le droit de ne pas donner suite à la demande du vote lorsque les deux parties n’ont pas été entendues. Inversement, si la personne qui préside l’assemblée estime que les deux parties ont été entendues, elle peut demander aux personnes déléguées de lui faire savoir si elles sont prêtes à voter.

Les règles suivantes s’appliquent : la motion doit être appuyée; elle ne peut être débattue; elle ne peut être amendée; elle nécessite une majorité des deux tiers (2/3) des voix; elle ne peut interrompre un(e) intervenant(e).

5) Motion de renvoi

Cette motion a pour but de renvoyer une motion à l’étude par un comité ou par un particulier, avec ou sans instructions. Elle doit indiquer à quel moment le comité ou le particulier doit faire rapport à l’assemblée générale. Le renvoi de la motion principale inclut aussi tout amendement et sous-amendement.

Les règles suivantes s’appliquent : la motion doit être appuyée; elle peut être débattue pourvu que la motion principale s’y prête; elle peut être amendée; elle nécessite un vote majoritaire; elle peut être réexaminée si l’on n’a pas commencé à débattre la motion; elle ne peut interrompre un(e) intervenant(e) lorsqu’un débat a été entamé. Les amendements et discussions se limitent au choix, à la composition ou aux fonctions du comité, ou aux instructions destinées au comité ou au particulier.

6) Motion de report (sans vote direct)

Cette motion a pour but de reporter le débat sur toutes les motions à l’étude (la motion principale et les amendements). On peut reprendre le débat par suite d’une motion lors de la même assemblée pourvu qu’aucune autre question ne soit à l’étude lorsqu’on en fait la proposition.

Les règles suivantes s’appliquent : la motion doit être appuyée; elle ne peut être débattue; elle ne peut être amendée; elle nécessite un vote majoritaire; elle ne peut être réexaminée; elle ne peut interrompre un(e) intervenant(e).

Elle nécessite une majorité des deux tiers (2/3) des voix lorsqu’elle a pour effet de supprimer une motion sans plus ample débat.

7. Motion de report (remise du débat à un moment déterminé)

Cette motion a pour but de reporter le débat ou la poursuite du débat de toutes les motions à l’étude (la motion principale ou les amendements) ou sur le point d’être débattues, et de fixer à un moment précis de l’assemblée pour y revenir. Lorsque ce moment est venu, la motion reportée a préséance sur toutes les autres motions sauf les motions privilégiées. À un moment déterminé signifie à une heure précise ou un point particulier de l’assemblée en cours ou d’une autre assemblée déjà prévue. Par exemple : « Il est proposé de reporter le débat à 14 h » OU « Il est proposé de reporter le débat après que les motions P-3 et P-4 auront été traitées ».

La motion ne peut être reportée à une assemblée qui n’a pas déjà été prévue ou à une date qui rendrait la motion irréalisable parce que trop éloignée.

Les règles suivantes s’appliquent : la motion doit être appuyée; le débat se limite à une courte discussion sur les motifs de la proposition ou le moment de la reprise du débat; les amendements ne portent que sur le moment du report du débat; elle nécessite un vote majoritaire; elle ne peut interrompre un(e) intervenant(e).

8) Motion de reprise du débat

Cette motion a pour but de demander la reprise du débat sur les motions reportées durant l’assemblée en cours.

Les règles suivantes s’appliquent : la motion doit être appuyée; elle ne peut être débattue; elle ne peut être amendée; elle nécessite un vote majoritaire; elle ne peut être réexaminée; elle ne peut interrompre un(e) intervenant(e).

9) Retrait d’une motion

On peut demander la permission de retirer sa motion selon les modalités suivantes :

L’auteur(e) d’une motion peut demander le retrait de sa motion sans le consentement de qui que ce soit, pourvu que personne d’autre n’ait commencé à la débattre; il (elle) peut également demander la permission de la retirer même si le débat a commencé, mais avant qu’elle ne soit soumise au vote, pourvu qu’aucune personne déléguée ne s’y oppose.

En cas d’objection, une personne déléguée peut proposer une motion accordant la permission de retirer la motion et, dans ces circonstances, les règles suivantes s’appliquent : la motion doit être appuyée; elle ne peut être débattue; elle ne peut être amendée; elle nécessite un vote majoritaire; elle peut interrompre un(e) intervenant(e).

10) Division de la motion

Cette motion a pour but de diviser une motion qui est composée de deux parties indépendantes ou plus en des motions individuelles pouvant être étudiées et soumises au vote séparément.

Chaque partie indépendante doit être bien formulée et compréhensible en soi. Cela ne veut pas dire que la seconde partie ne peut pas être redondante ou irrecevable si la première n’est pas adoptée.

Les règles suivantes s’appliquent : il n’est pas nécessaire que la motion soit appuyée; elle ne peut être débattue; il n’est pas nécessaire de la soumettre au vote; elle ne peut interrompre un(e) intervenant(e).

11) Appel de la décision de la personne qui préside

Si une personne déléguée s’oppose à une décision de la personne qui préside, elle peut en interjeter appel. On ne peut interjeter appel lorsqu’un autre appel est en instance, mais il faut y procéder aussitôt que possible après l’annonce par la personne qui préside de sa décision et avant la reprise de la discussion sur la motion à l’étude. Si les travaux de l’assemblée ont repris, aucun appel ne peut être reçu.

Pour en appeler de la décision de la personne qui préside, il faut s’adresser à elle comme suit : « J’en appelle de la décision de la personne qui préside ». On peut interjeter appel sans attendre que la personne qui préside accorde le droit de parole. La personne qui préside demande ensuite si l’appel est appuyé par une autre personne déléguée. Si l’appel est appuyé par au moins une autre personne déléguée, la personne qui préside énonce la motion plus ou moins dans les termes suivants : « Un appel de la décision de la personne qui préside a été interjeté ». La personne déléguée qui interjette l’appel peut alors expliquer, si elle le désire, les motifs de son appel. La personne qui préside peut ensuite exposer, si elle le désire, les motifs de sa décision. Elle soumet ensuite la question au vote : « Ceux qui sont en faveur de la décision du président. » Il poursuit ensuite : « Ceux qui sont contre la décision du président. »

Les règles suivantes s’appliquent : un appel doit être appuyé; il peut être débattu; il ne peut être amendé, il se remporte à la majorité des voix contre pour renverser la décision du président; il ne peut être réexaminé; il est recevable lorsqu’un autre intervenant a la parole, mais pas après que le débat a repris ou qu’on a entamé une autre question.

12) Demande d’information procédurale

Cette demande sert à poser à la personne qui préside une question de procédure concernant la motion à l’étude ou une motion que la personne déléguée souhaiterait proposer immédiatement à l’assemblée, ou de poser une question dans le but d’obtenir de l’information sur la signification ou l’effet de la question à l’étude.

Cette intervention ne doit pas servir à donner de l’information.

Une demande d’information peut interrompre l’intervenant(e) seulement si une réponse immédiate est nécessaire. Une personne déléguée ne peut interrompre un(e) intervenant(e) pour obtenir un renseignement si sa demande peut attendre raisonnablement que l’intervenant(e) ait fini de parler.

Une demande d’information s’adresse toujours à la personne qui préside qui est seule à pouvoir y répondre. Lorsqu’on interrompt un(e) intervenant(e) et que la personne qui préside estime que la réponse peut attendre, elle invite l’intervenant(e) à poursuivre son propos et répond à la question lorsque l’intervention est terminée.

La personne qui préside ne doit jamais permettre qu’on se serve d’une demande d’information pour déranger un(e) intervenant(e) et doit refuser d’entendre toute demande de la part d’une personne déléguée qui s’en sert comme tactique dilatoire ou de harcèlement.

Les règles suivantes s’appliquent : une demande d’information peut interrompre le débat si une réponse immédiate est nécessaire; il n’est pas nécessaire qu’elle soit appuyée; elle ne peut être débattue; elle ne peut être amendée; il n’est pas nécessaire de la soumettre au vote.

13) Motion de levée de la séance

Les règles suivantes s’appliquent : la motion doit être appuyée; elle ne peut être débattue; elle ne peut être amendée; elle nécessite un vote majoritaire; elle ne peut être réexaminée; elle ne peut interrompre un(e) intervenant(e). L’adoption de cette motion entraînera les actions suivantes : L’adoption de cette motion entraîne les actions suivantes : mot de la fin de la personne qui préside l’assemblée; mot de la fin du (de la) président(e) de l’Institut; annonce des résultats de l’élection, s’il y a lieu; levée de la séance.

14) Motion de suspension des travaux

Une motion de suspension des travaux suspend l’assemblée jusqu’à une heure ultérieure. Cette motion est différente de la motion de levée de la séance qui met fin à l’assemblée. Après une suspension des travaux, l’assemblée reprend là où elle en était avant la suspension.

Les règles suivantes s’appliquent : la motion doit être appuyée; la discussion est courte et ne porte que sur le moment, la durée ou la nécessité de la suspension; les amendements ne portent que sur le moment ou la durée de la suspension; elle nécessite un vote majoritaire; elle ne peut interrompre un(e) intervenant(e).

15) Question de privilège

L’assemblée en tant que telle tout comme chaque personne déléguée présente ont certains droits en ce qui concerne la sécurité, le confort, la dignité, la réputation et la quiétude. Soulever une question de privilège est un moyen par lequel une personne déléguée attire l’attention de l’assemblée sur une situation qui porte atteinte à l’un ou l’autre des droits précités.

Les règles suivantes s’appliquent : il n’est pas nécessaire de l’appuyer; elle ne peut être débattue; elle ne peut être amendée; elle ne peut être soumise à un vote; elle ne peut être réexaminée; elle peut interrompre un(e) intervenant(e).

16) Motion de limite ou de prolongation du débat

Cette motion a pour but de limiter ou de prolonger la période réservée à la discussion d’une motion en instance ou de modifier ou de lever les restrictions préalables s’appliquant aux discussions, par exemple : limiter chaque intervenant(e) à une (1) minute; limiter le débat sur la question à une (1) heure; prolonger de cinq (5) minutes le temps de parole de l’intervenant(e) ou limiter la discussion à trois (3) autres intervenant(e)s.

Les règles suivantes s’appliquent : la motion doit être appuyée; le débat se limite au type et à la durée des restrictions; elle nécessite une majorité des deux tiers (2/3) des voix; elle ne peut interrompre un(e) intervenant(e).

17) Motion de réexamen

Cette motion a pour but de permettre à l’assemblée de ne pas tenir compte d’un vote sur une motion principale ayant eu lieu lors de la même assemblée et de réexaminer la motion comme si elle n’avait pas été soumise au vote.

Une motion de réexamen ne peut être proposée si la motion qu’elle vise a déjà été mise à exécution. Elle ne peut s’appliquer à un appel au vote, à la levée de la séance ou à toute autre motion subsidiaire. Une motion de réexamen est irrecevable si une motion similaire a déjà été proposée sur la motion principale. La motion de réexamen doit être proposée à la même assemblée que la motion originale.

Les règles suivantes s’appliquent : la motion doit être appuyée; elle peut être débattue; elle ne peut être amendée; elle nécessite une majorité des deux tiers (2/3) des voix; elle ne peut interrompre un(e) intervenant(e).

18. Motion d’abrogation

Cette motion sert à abroger, annuler ou révoquer une motion adoptée préalablement. Elle peut être proposée à n’importe quelle assemblée. Si la motion préalablement adoptée a déjà été mise à exécution, la motion d’abrogation est irrecevable. Une motion d’abrogation vise habituellement des motions traitées à des assemblées antérieures, alors qu’une motion de réexamen s’applique aux motions traitées lors de l’assemblée en cours.

Les règles suivantes s’appliquent : la motion doit être appuyée; elle peut être débattue; elle ne peut être amendée; elle nécessite un vote majoritaire; elle ne peut interrompre un(e) intervenant(e).

19) Suspension des règles

Il peut parfois être nécessaire de suspendre les règles, en cas d’urgence, afin de permettre d’accueillir une motion particulière. Il ne faut toutefois pas encourager cette procédure. Une motion de suspension des règles peut être proposée en tout temps, lorsqu’aucune motion n’est à l’étude ou lorsqu’elle est directement reliée à la motion.

Les règles suivantes s’appliquent : la motion doit être appuyée; elle ne peut être débattue; elle ne peut être amendée; elle nécessite une majorité des deux tiers (2/3) des voix; elle ne peut être réexaminée; elle ne peut interrompre un(e) intervenant(e).

20) Motion d’examen informel d’une question

Dans certains cas, il est souhaitable de discuter d’un problème avant qu’une motion ne soit proposée afin de parvenir à une entente sur le type et le libellé de la motion. Il peut parfois aussi être sage de mettre de côté les règles officielles régissant les délibérations et débats. On peut réaliser ces deux objectifs au moyen d’une motion d’examen informel d’une question.

Les règles suivantes s’appliquent : la motion doit être appuyée; elle ne peut être débattue; elle ne peut être amendée; elle nécessite un vote majoritaire; elle ne peut interrompre un(e) intervenant(e).

21) Séance à huis clos

Cette motion a pour but de restreindre les personnes autorisées à assister et à participer au débat sur une ou plusieurs motions. Elle est habituellement utilisée lorsque le sujet de discussion est confidentiel.

À moins que la motion ne dise le contraire, seules les personnes déléguées et les personnes indispensables au déroulement de la séance (secrétaire de séance, interprètes, etc.) peuvent rester au huis clos.

Seules les motions adoptées seront inscrites au procès-verbal. Les discussions n’y seront pas consignées. La diffusion du procès-verbal d’une séance à huis clos peut être restreinte.

Les règles suivantes s’appliquent : la motion doit être appuyée; elle ne peut être débattue; elle ne peut être amendée; elle nécessite un vote majoritaire; elle peut interrompre un(e) intervenant(e).

Une séance à huis clos se termine lorsqu’une motion est proposée à cet effet.

CLASSIFICATION DES MOTIONS

Motions privilégiées

Une motion privilégiée est une proposition qui, bien que n’ayant aucun rapport avec la question à l’étude, revêt un caractère si urgent ou important qu’elle a préséance sur toutes les autres motions.

– Levée de la séance

– Suspension de l’assemblée

– Question de privilège

b) Motions subsidiaires

Une motion subsidiaire est une proposition qui peut s’appliquer à la motion principale ainsi qu’à d’autres motions, et qui vise à les amender, à en retarder l’exécution ou à y donner suite de quelque autre façon.

– Motion de report (sans vote direct)

– Demande du vote

– Limite/prolongation du débat

– Report (à un moment déterminé)

– Renvoi

– Amendement

c) Motion principale

Une motion principale est une proposition qui permet de saisir l’assemblée d’un sujet particulier à des fins de discussion. Elle ne peut être proposée alors qu’une autre est à l’étude.

– Présentation d’une nouvelle proposition

d) Motions principales particulières

Cette catégorie comprend les motions suivantes :

– Reprise du débat

– Réexamen

– Abrogation

e) Motions incidentes

Une motion incidente est une proposition qui découle d’une autre question à l’étude ou qui vient d’être étudiée. On la traite avant la question à l’étude, ou avant d’entreprendre toute autre question. Les motions incidentes n’ont pas d’ordre de priorité fixe, mais elles ont préséance sur les questions dont elles découlent, peu importe qu’il s’agisse de motions principales, privilégiées, subsidiaires ou autres.

Appel de la décision de la personne qui préside

Examen informel

Séance à huis clos

Suspension des règles

Rappel au règlement

Division de la motion

Demande d’information

Retrait d’une motion

MOTIONS IRRECEVABLES

Les motions suivantes sont considérées comme irrecevables et ne seront pas acceptées :

Report du débat à un moment indéterminé – une motion de report permet d’accomplir essentiellement la même chose.

2) Question de renseignement – cette motion est utilisée à tort pour donner de l’information. On peut informer simplement en discutant de la motion. Une demande d’information est une motion de toute autre nature.

RÉSOLUTIONS ET MOTIONS

Aux fins des présentes procédures, une « motion » est une proposition soumise à l’assemblée. Les statuts stipulent qu’une motion doit être soumise par écrit.

Une motion peut être soumise en séance et débattue immédiatement si les deux tiers (2/3) des personnes déléguées conviennent qu’il s’agit d’une question urgente.

PRINCIPALES RÈGLES RÉGISSANT LES MOTIONS

ORDRE DE PRIORITÉ

PEUT INTERROMPRE?


DOIT ÊTRE APPUYÉE?

PEUT ËTRE DÉBATTUE?

PEUT ËTRE AMENDÉE?

VOTE POUR L’ADOPTION?

S’APPLIQUE-À
D’AUTRES MOTIONS?

D’AUTRES MOTIONS
PEUVENT S’Y APPLIQUER?

MOTIONS PRIVILÉGIÉES

- Levée de la séance

NON

OUI

NON

NON

Majorité

Aucune

Aucune

- Suspension des travaux

NON

OUI

OUI+

OUI+

Majorité

Aucune

Amendement+

- Question de privilège

OUI

NON

NON

NON

Non

Aucune

Aucune

ORDRE DE PRIORITÉ

PEUT INTERROMPRE?


DOIT ÊTRE APPUYÉE?

PEUT ËTRE DÉBATTUE?

PEUT ËTRE AMENDÉE?

VOTE POUR L’ADOPTION?

S’APPLIQUE À
D’AUTRES MOTIONS?

D’AUTRES MOTIONS
PEUVENT S’Y APPLIQUER?

MOTIONS SUBSIDIAIRES

- Report (moment indéterminé)

NON

OUI

NON

NON

Majorité*

Motions principales

Aucune

- Demande du vote

NON

OUI

NON

NON

Majorité des 2/3

Motions qui peuvent être débattues

Aucune

- Limite/ prolongation du débat

NON

OUI

OUI+

OUI+

Majorité des 2/3

Motions qui peuvent être débattues

Amendement+, Demande du vote

- Report (moment déterminé)

NON

OUI

OUI+

OUI+

Majorité*

Motions principales

Amendement, Limite du débat, Demande du vote

- Renvoi

NON

OUI

OUI+

OUI+

Majorité

Motions principales

Amendement, Limite du débat, Demande du vote

- Amendement

NON

OUI

OUI

OUI

Majorité

Sujette à reformulation

Amendement, Limite du débat, Demande du vote

               

 

ORDRE DE PRIORITÉ

PEUT INTERROMPRE?


DOIT ÊTRE APPUYÉE?

PEUT ËTRE DÉBATTUE?

PEUT ËTRE AMENDÉE?

VOTE POUR L’ADOPTION?

S’APPLIQUE-À
D’AUTRES MOTIONS?

D’AUTRES MOTIONS
PEUVENT S’Y APPLIQUER?

MOTIONS PRINCIPALES

- Nouvelle proposition

NON

OUI

OUI

OUI

Majorité

Aucune

Motions subsidiaires

- Reprise du débat

NON

OUI

NON

NON

Majorité

Motions principales

Aucune

- Réexamen

NON

OUI

OUI+

NON

Majorité des 2/3

Motions principales

Limite du débat, Demande du vote

- Abrogation

NON

OUI

OUI

NON

Majorité

Motions principales

Limite du débat, Demande du vote

 

MOTIONS INCIDENTES

SANS ORDRE DE PRIORITÉ

PEUT INTERROMPRE?


DOIT ÊTRE APPUYÉE?

PEUT ËTRE DÉBATTUE?

PEUT ËTRE AMENDÉE?

VOTE POUR L’ADOPTION?

S’APPLIQUE-À
D’AUTRES MOTIONS?

D’AUTRES MOTIONS
PEUVENT S’Y APPLIQUER?

MOTIONS

- Appel de la décision

OUI

OUI

OUI

NON

Majorité**

Décision de la personne qui préside

Limite du débat, Demande du vote

- Examen informel

NON

OUI

NON

NON

Majorité

Motions principales 

Aucune

- Séance à huis clos

OUI

OUI

NON

NON

Majorité

Motions principales

Aucune

- Suspension des règles

NON

OUI

NON

NON

Majorité des 2/3

Règles de procédure

Aucune

DEMANDES

- Rappel au règlement

OUI

NON

NON

NON

Aucune

Erreur de procédure

Aucune

- Division de la motion

NON

NON

NON

NON

Aucune

Motions principales

Aucune

- Demande d’information

OUI+

NON

NON

NON

Aucune

Toutes les motions

Aucune

- Retrait d’une motion

OUI

OUI++

NON

NON

Majorité

Toutes les motions

Aucune

+ Restriction

++ Seulement s’il y a objection et si une deuxième personne a pris la parole  

* Exige 2/3 si cela empêche le débat d’avoir lieu

** Une égalité des voix ou un vote majoritaire confirme la décision de la personne qui préside, une majorité des voix contre renverse sa décision.

 

Quand le Congrès 2023 de l’IPFPC aura-t-il lieu?

Le Congrès 2023 de l’IPFPC, qui comprend l’assemblée générale annuelle (AGA), commencera le dimanche 26 novembre à 10 h 30 (HE) et se terminera le mercredi 29 novembre à 14 h 30 (HE).

Où se tiendra le Congrès 2023 de l’IPFPC?

Le Congrès 2023 de l’IPFPC aura lieu à l’Hôtel Le Centre Sheraton Montréal au 1201, boul. René-Lévesque Ouest, Montréal (Québec) H3B 2L7.

Où vais-je trouver l’ordre du jour et le calendrier des activités du Congrès 2023 de l’IPFPC?

L’ordre du jour et le calendrier se trouvent dans le courriel de confirmation que vous avez reçu après votre inscription. Vous trouverez plus de détails sur le Congrès 2023 de l’IPFPC sur le site Web de l’Institut. Veuillez noter que l’ordre du jour et le calendrier sont susceptibles d’être modifiés.

Le congrès aura-t-il lieu en présentiel?

Le Congrès 2023 de l’IPFPC aura lieu en format hybride. Les délégué·es peuvent s’inscrire pour participer en personne ou virtuellement. Les autres membres peuvent regarder l’événement en direct. Cependant, la diffusion en direct n’est pas interactive, alors vous ne pourrez pas intervenir ou voter.

Comment s’inscrire en tant que délégué·e?

Vous avez reçu une invitation à vous inscrire le 17 juillet. Si vous avez été choisi·e comme délégué·e et que vous n’avez pas reçu d’invitation par courriel, veuillez nous contacter à aga-agm@pipsc.ca.

Comment s’inscrire à une séance ou à une réunion du congrès? (par exemple, réunion du caucus des délégué·es, atelier ou table ronde)

Vous pouvez vous inscrire au moyen du système d’inscription à l’AGM, dont le lien est inclus dans votre courriel d’invitation à vous inscrire.

Puis-je emmener une personne supplémentaire au gala Prêt·es à inspirer? 

Pour des questions de place, les lauréat·es sont les seules personnes à pouvoir venir accompagnées.

Comment réserver un voyage?

Les réservations d’hôtel doivent être effectuées au moyen du système d’inscription à l’AGA. Les réservations de vol doivent être effectuées au moyen de Concur Travel à l’aide du lien figurant sur la page de confirmation de votre inscription.

Si vous avez besoin de louer une voiture ou de prendre le train, veuillez appeler BCD au 1-866-768-7624 et dire le nom, la date et le lieu de la réunion précisés dans votre courriel d’invitation.

Lorsque vous ferez vos réservations de voyage, sachez que BCD Travel utilisera d’abord vos crédits de vol, le cas échéant.

C’est la première fois que vous utilisez Concur Travel? Consultez les vidéos, le guide pratique et la FAQ de la page Web de l’IPFPC sur les voyages.

Quels sont les frais de voyage pris en charge si je participe au Congrès en personne en tant que délégué·e?

Le vol, l’hôtel, les indemnités journalières (à l’exception du déjeuner et du dîner du dimanche au mercredi et du souper de gala du lundi) et les frais de voyage applicables (taxi, stationnement, kilométrage, etc.) sont pris en charge.

Comment puis-je présenter une motion tardive ou la modification d’une motion?

Envoyez votre proposition de modification au Sous-comité des statuts et politiques à motions@ipfpc.ca. Si votre modification nécessite des éclaircissements, nous vous en demanderons par courriel.

J’ai des questions sur l’inscription, le voyage ou des questions générales concernant le Congrès 2023 de l’IPFPC. À qui dois-je les adresser?

Veuillez écrire à aga-agm@pipsc.ca et nous nous ferons un plaisir de vous aider.