La Journée des droits de l’homme est célébrée dans le monde entier le 10 décembre pour célébrer l’adoption de la proclamation de la Déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH) par l’Assemblée générale des Nations Unies à Paris, le 10 décembre 1948.
La DUDH marque un tournant dans l’histoire des droits de la personne. Rédigée par des représentants de divers horizons juridiques et culturels de toutes les régions du monde, elle est l’idéal universel à atteindre pour tous les peuples et toutes les nations.
C’est le premier document qui reconnaît les droits inaliénables de chaque être humain, sans égard à sa race, sa couleur, son sexe, sa langue, sa religion, son opinion politique ou toute autre opinion, son origine nationale ou sociale, sa fortune, sa naissance ou toute autre situation.
Les femmes ont façonné la Déclaration
Eleanor Roosevelt, première dame des États-Unis, a été la première présidente de la Commission des droits de l’homme des Nations Unies et a joué un rôle déterminant dans la rédaction de la DUDH. Beaucoup d’autres femmes ont également joué un rôle important, dont Begum Shaista Ikramullah (Pakistan), Bodil Begtrup (Danemark), Evdokia Uralova (République socialiste soviétique biélorusse), Marie-Hélène Lefaucheux (France), Minerva Bernardino (République dominicaine), Hansa Mehta et Lakshmi Menon (Inde).
Les jeunes, défenseurs des droits de la personne
Cette année, nous sommes appelés à «Défendre les droits de l’homme» et à souligner la capacité des jeunes à être des agents de changement, à amplifier leur voix et à faire participer toutes sortes de publics mondiaux à la promotion et à la protection des droits de la personne. La campagne de cette année vise à encourager et à galvaniser les jeunes du monde entier ainsi qu’à montrer comment ils défendent leurs droits et font échec au racisme, aux discours haineux, à l’intimidation, à la discrimination et au changement climatique.
Comité des droits de la personne et de la diversité
L’Institut participe activement à la protection et à la promotion des droits de la personne de ses membres et a mis sur pied un Comité des droits de la personne et de la diversité pour conseiller le Conseil d’administration en matière de droits de la personne, d’équité en matière d’emploi, de diversité et d’inclusion. Plus de détails sur leur travail dans le Comité des droits de la personne et de la diversité.
« La DUDH nous rend tous plus forts. Ses principes sont plus pertinents que jamais. Nous devons défendre nos droits et ceux des autres tous les jours. Je vous encourage à défendre les droits de la personne au travail », nous dit Waheed Khan, président du Comité des droits de la personne et de la diversité.
Lisez le Guide de poche sur les Droits de la personne de l’IPFPC et soyez un champion des droits de la personne dans votre milieu de travail. Participez en ligne en utilisant #HumanRights et #StandUp4HumanRights dans les médias sociaux.
Les syndicats canadiens se mobilisent pour demander un programme national de garderies.
Nous voulons que le fédéral offre à toutes les familles canadiennes un programme de qualité en matière d’apprentissage et de garde de jeunes enfants. Les grands gagnants? L’économie, l’égalité entre les genres, la participation des femmes au marché du travail et le bien-être des enfants.
Au Canada, il nous faut dès maintenant un programme national de garderies qui a fait ses preuves.
Les enfants – quels que soient l’endroit où ils vivent, leurs moyens, leur situation familiale ou leur culture – méritent des services de garde abordables et de qualité.
Les garderies du Canada sont sous-financées, trop chères et difficiles à trouver. On ne peut ignorer l’important fardeau financier sur les familles ni les pertes substantielles pour l’économie – il faut des garderies pour tout le monde, tout de suite!
Je passe à l’action.
J’ENVOIE LE COURRIEL
Le ministère de l’Emploi et du Développement social envisage de modifier le Code du travail afin d’y inclure la gratuité des produits d’hygiène menstruelle dans les lieux de travail fédéraux. Cette mesure profiterait à environ 480 000 fonctionnaires fédéraux.
Actuellement, en vertu de la partie II du Code canadien du travail, l’employeur est tenu de fournir du papier hygiénique, du savon, de l’eau chaude et un moyen de se sécher les mains. Cette modification proposée ajouterait des serviettes hygiéniques et des tampons à cette liste.
Les produits d’hygiène menstruelle sont une nécessité de base et sont essentiels à la santé des femmes et des personnes qui ont leurs règles. Nous avons répondu à l’avis d’intention du gouvernement fédéral et fait savoir clairement que nous appuyons la gratuité de divers produits d’hygiène menstruelle dans les milieux de travail fédéraux et ceux qui sont sous réglementation fédérale.
LISEZ NOS OBSERVATIONS
Nous convenons que les produits d’hygiène menstruelle comme les serviettes hygiéniques et les tampons sont essentiels à la santé des Canadiennes et leur permettent de participer pleinement à la vie professionnelle et sociale. L’inclusion des produits d’hygiène menstruelle au travail est une mesure concrète que le gouvernement fédéral peut prendre pour faire progresser l’équité entre les genres. La gratuité de ces produits dans les toilettes réduira le tabou des menstruations, omniprésent dans notre société, et favorisera la santé.
Comme il faudra 18 à 24 mois pour terminer le processus réglementaire visant à modifier le Code canadien du travail, ceci sera terminé bien après les élections fédérales, prévues en octobre. Cette décision sera prise par le prochain Parlement.
Le 18 juin 2019, la présidente de l’Institut, Debi Daviau, a eu l’honneur de s’adresser aux membres du Caucus des employés fédéraux noirs (CEFN), un organisme ayant pour vocation de lutter contre les obstacles à la carrière dans la fonction publique, tels le racisme, le harcèlement et la sous-représentation.
Les employés noirs et ceux des autres minorités visibles continuent de se heurter à des obstacles après avoir été embauchés dans la fonction publique, même si le niveau de scolarité des membres des minorités visibles est souvent supérieur à celui de la population moyenne.
C’est pourquoi l’Institut est fier que des candidates exceptionnelles issues de minorités visibles aient été élues à son Conseil d’administration récemment. Plus particulièrement, nous célébrons l’élection de la première femme noire au Conseil d’administration, la directrice régionale de la RCN Jennie Esnard, et celle de la première femme noire à l’exécutif de l’Institut, Norma Domey, en presque 100 ans.
L’inclusion de groupes sous-représentés dans sa structure dirigeante permet à l’Institut de tenir compte des besoins de tous ses membres dans les décisions, les stratégies, les projets et les initiatives de mobilisation des membres.
L’Institut embrasse la diversité de la population canadienne ainsi que les talents et les forces uniques inhérents à un effectif diversifié. La diversité renforce notre syndicat et nous continuerons de mieux représenter les membres des minorités visibles et de les aider à s’impliquer activement comme dirigeants de l’Institut. Si nous ne sommes pas le reflet de la diversité de nos milieux de travail et de nos collectivités, nous ne survivrons pas en tant que syndicat.
Nous nous engageons à collaborer avec nos employeurs pour créer des milieux de travail inclusifs et exempts d’obstacles. En tant que syndicat, l’Institut a un rôle actif à jouer dans la détection et l’élimination des obstacles qui empêchent les membres de participer pleinement à toutes les activités en milieu de travail et de réaliser leurs aspirations personnelles et professionnelles.
Pour atteindre ces objectifs, l’Institut avait principalement pour stratégie de participer activement au Groupe de travail mixte patronal-syndical sur la diversité et l’inclusion, qui a consulté plus de 12 000 fonctionnaires et investi plus d’un an dans la rédaction de son rapport. Le directeur régional de la RCN, Waheed Khan, était coprésident de son comité technique.
Le Groupe de travail a formulé 44 recommandations pour promouvoir la diversité et l’inclusion dans la fonction publique. Nous devons toutefois veiller à ce que cet important rapport ne tombe pas dans l’oubli. Nous suivons de près l’évolution de la situation à cet égard, et l’Institut s’est réjoui de l’annonce par le gouvernement de la création d’un Centre pour la diversité, l’inclusion et le mieux-être, qui ressemble au Centre d’excellence que le Groupe de travail recommandait. Il sera heureux de collaborer avec le Conseil du Trésor pour que le Centre proposé soit axé sur l’action et que tous les employés, en particulier les employés noirs, en retirent des avantages concrets.
Par ailleurs, l’Institut appuie les principales demandes du CEFN.
Nous convenons qu’il faut combler les lacunes relatives aux données et créer un réseau de soutien pour permettre aux membres de la communauté noire d’atteindre leurs objectifs professionnels, c’est-à-dire décrocher des postes supérieurs au gouvernement.
Nous croyons aussi que le gouvernement fédéral devrait nommer des champions dans chacun de ses ministères.
Et il faudrait bien sûr que le gouvernement fédéral manifeste du respect pour la Décennie internationale des personnes d’ascendance africaine.
Nous avons communiqué notre appui aux objectifs du Caucus dans une lettre adressée à la présidente du Conseil du Trésor, Joyce Murray.
L’adoption récente au Québec du projet de loi 21, qui vise manifestement à imposer la « laïcité » aux fonctionnaires de la province et aux personnes recevant leurs services, est une honte et une violation flagrante des libertés individuelles et des droits de la personne les plus élémentaires. Cette loi devrait être abrogée immédiatement.
Même si les employés en poste peuvent se prévaloir de certaines exemptions, la loi interdit aux nouveaux fonctionnaires occupant des postes « d’autorité », comme les enseignants et les policiers, de porter des symboles religieux.
En plus de créer deux catégories de fonctionnaires, cette loi viole les conventions collectives des travailleurs syndiqués en permettant la discrimination fondée sur des motifs illicites. Pire encore, elle ne peut qu’isoler et marginaliser davantage les minorités visibles dans la province.
Les Canadiens savent que la protection juridique ne légitime pas la discrimination systémique des minorités sous un prétexte ou sous un autre. C’est pourquoi le Canada a reconnu les épisodes sombres de son histoire et s’est excusé pour les pensionnats autochtones (XIXe siècle jusqu'à la fin du XXe siècle), la taxe d’entrée imposée aux immigrants chinois en vertu de la Loi concernant l’immigration chinoise et visant à la restreindre (1885), le renvoi du Komagata Maru avec 376 Sud-Asiatiques à son bord en 1914 et l’internement des Canadiens d’origine japonaise dans les années 1940. Au XXIe siècle, le Canada peut difficilement se permettre d’adopter et d’appliquer une loi régressive et discriminatoire comme la loi 21, qui cible les Canadiens de confession juive, musulmane et sikhe, à qui la Charte canadienne des droits et libertés garantit la liberté de pratiquer leur religion et leur culture.
En tant que fervent défenseur de l’égalité, de la diversité et de l’inclusion (EDI), l’IPFPC appuie sans réserve la campagne dirigée par les organisations progressistes et les syndicats qui refusent que des milliers de personnes, de plusieurs cultures et religions, se fassent traiter comme des citoyens de seconde zone.
Les syndicats canadiens sont solidaires des personnes qui militent en faveur des droits liés à la procréation aux États-Unis.
Le Congrès du travail du Canada (CTC) s’engage à sauvegarder les progrès réalisés au prix de grands efforts et à améliorer l’accès aux services de santé et aux droits liés à la sexualité et à la procréation au Canada, y compris le droit à l’avortement.
Le droit à l’avortement ne peut pas être tenu pour acquis au Canada. Il y sévit un nombre alarmant de groupes anti-choix amplement financés voués à faire élire des personnes favorables à la restriction des services et des droits en matière de santé de la procréation. Comme membres du CTC, nous résisterons à toute tentative de faire reculer les droits et nous appuyons l’amélioration de l’accès à ces services.
Les syndicats du Canada sont fermement engagés depuis longtemps à l’égard de la santé et des droits en matière de sexualité et de procréation. Les syndicats et les militants syndicaux se sont unis pour réclamer la décriminalisation de la contraception et de l’avortement dans les années 1960 et 1970. Depuis le jugement rendu en 1988 sur l’affaire Morgentaler, le mouvement syndical collabore avec des organisations féministes et d’autres alliés pour résister à toute nouvelle tentative de limitation du droit et de l’accès à l’avortement.
Les syndicats du Canada réclament depuis longtemps une couverture publique des actes médicaux et des produits pharmaceutiques permettant aux gens de choisir d’avoir ou non des enfants et de décider à quel moment en avoir, ce qui favorise la santé des mères, permet aux personnes d’affirmer leur identité de genre et répond à d’autres besoins en services de santé liés à la sexualité et à la procréation. Ils réclament également un meilleur accès à l’avortement dans les régions où il est encore difficile d’obtenir de tels services. Et les syndicats continuent d’appuyer l’éducation complète à la sexualité, l’accès aux soins de santé pour personnes trans et la protection des personnes enceintes dans des conditions de travail dangereuses.
L’accès à l’avortement demeure difficile (lien en anglais seulement), surtout dans les communautés rurales, éloignées et autochtones et pour les jeunes et les personnes dont le statut d’immigration est précaire ou qui n’ont pas de moyen de transport. Dans certaines provinces, comme le Nouveau-Brunswick et l’Île-du-Prince-Édouard (lien en anglais seulement), ces services de santé sont pratiquement inexistants à cause des politiques provinciales, qui en restreignent l’accès ou le financement. L’accès difficile aux services et aux droits en matière de santé de la sexualité et de la procréation nuit démesurément aux personnes marginalisées, comme les femmes autochtones, noires et racialisées, les femmes ayant un handicap, les personnes trans et non binaires, et les femmes immigrantes, migrantes et réfugiées.
Les syndicats du Canada ne toléreront aucune tentative de restriction du droit à l’avortement.
Le Mois national de l’histoire autochtone marque la publication du rapport Réclamer notre pouvoir et notre place : Rapport final de l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées.
Pendant trois ans, des séances de consignation de la vérité tenues dans le cadre de l’Enquête nationale ont permis aux familles et aux survivants de partager leurs expériences de la violence, de formuler des recommandations et faire connaître leur art en 1484 témoignages. Les commissaires ont également recueilli de l’information sur la violence institutionnalisée ainsi que des témoignages d’experts, d’aînés et de gardiens du savoir.
Nous, ainsi que le Congrès du travail du Canada, demandons que des mesures soient immédiatement prises pour mettre fin à la violence contre les femmes et les filles autochtones et les personnes bispirituelles.
Nous insistons pour que soient mises en œuvre les recommandations de l`Enquête nationale.
Nous continuons de demander au Parlement du Canada d’adopter le projet de loi C-262 avant la fin de la session en cours et de veiller à ce que les lois canadiennes soient conformes à la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones.
Finalement, nous demandons aux membres de donner suite dès maintenant aux appels à la justice pour tous les Canadiens, d'apprendre la véritable histoire du Canada et de devenir des alliés informés et actifs aux peuples autochtones.
Ressources éducatives suggérées :
- Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées Nos femmes et nos filles sont sacrées : rapport provisoire / l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées
- Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées Leurs voix nous guideront : Guide de mobilisation des étudiants et des jeunes
- Les transcriptions, témoignages et déclarations publiques relatifs au processus de consignation de la vérité sont disponibles au http://www.mmiwg-ffada.ca/transcripts/ (en anglais) et au http://www.mmiwg-ffada.ca/part-ii-and-part-iii-knowledge-keeper-expert-and-institutional-hearing-transcripts/ (en anglais).
- Congrès du travail du Canada (CTC) Guide sur la Journée de lobbying sur les autochtones
Ressources éducatives suggérées aux alliés :
- Réseau pour la stratégie urbaine de la communauté autochtone à Montréal Trousse d’outils pour les alliées aux luttes autochtones
- Amnistie Internationale 10 Ways to Be a Genuine Ally to Indigenous Communities (en anglais)
- Lynn Gehl, PhD Ally Bill of Responsibilities (en anglais)
- Indigenous Perspectives Society How to Be an Ally to Indigenous People (en anglais)
Le Mois national de l’histoire autochtone nous donne l’occasion d’honorer le patrimoine autochtone et de célébrer les contributions des Autochtones et leurs cultures dans tout le pays.
La présidente de l’IPFPC, Debi Daviau; le directeur régional de la C.-B. et du Yukon, Rob MacDonald; et le représentant autochtone du Congrès du travail du Canada (CTC), Greg Scriver, participeront à la Journée nationale des Autochtones, diffusée en direct au Réseau de télévision des peuples autochtones (APTN), le samedi 22 juin 2019.
Ce jour-là, l’APTN organise également des activités à Whitehorse, Winnipeg et Calgary.
Nous encourageons tous les membres à se montrer solidaires des peuples autochtones en faisant ce qui suit :
- En lisant le rapport final de l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées ;
- En écrivant à leur sénateur pour lui demander d’appuyer le projet de loi C-262, Loi visant à assurer l’harmonie des lois fédérales avec la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones (lien externe en anglais seulement) ;
- En s'informant sur les initiatives du milieu syndical pour travailler en tant qu'alliés des peuples autochtones ;
- En s’instruisant sur l’histoire du Canada et s’informant sur ce que nous pouvons faire pour devenir des alliés.
Le mouvement syndical a un rôle important à jouer dans la lutte pour les droits des personnes de la communauté LGBTQ2+. Qu’il s’agisse d'éliminer les politiques discriminatoires sur les dons de sang, d’assurer des soins de santé aux personnes transgenres, d’établir un régime d’assurance-médicaments et de négocier des conventions collectives inclusives, il y a encore du travail à faire.
L’IPFPC défile solidairement avec les communautés LGBTQ2+ du monde entier. Les membres iront défiler à la grandeur du pays pendant tout le mois de la Fierté.
Venez vous joindre à nous à :
- Regina
- Hamilton
- Victoria
- Charlottetown
- Montréal
- Ottawa
- Calgary
Si vous souhaitez organiser la participation d’un groupe de membres de l’IPFPC à une marche dans votre collectivité, veuillez nous en informer. Nous vous aiderons à organiser et à promouvoir votre activité.
J'ORGANISE UNE ACTIVITÉ DE LA FIERTÉ
Saisissez cette occasion, en tant que membres de la communauté LGBTQ2+ ou alliés, de célébrer et de poursuivre le combat!
En savoir plus sur notre Comité des droits de la personne et de la diversité.
Du 26 mai au 1er juin 2019, célébrons la Semaine nationale de l’accessibilité!
L’Institut s’est engagé à collaborer avec ses membres et leurs employeurs pour créer des milieux de travail inclusifs et exempts d’obstacles. En tant que fiers membres de l’Institut, chacun d’entre nous a un rôle à jouer dans la détermination et l’élimination des obstacles qui empêchent les membres de participer pleinement à toutes les activités en milieu de travail et de réaliser leurs aspirations personnelles et professionnelles.
Nous embrassons la diversité de la population canadienne ainsi que les talents et les forces uniques qui sont propres à un effectif diversifié. C’est le moment de s’engager à promouvoir l’accessibilité et l’inclusion dans nos milieux de travail et de célébrer les talents et les contributions de nos membres ayant un handicap.
N’hésitez pas à communiquer avec moi ou avec un membre du Comité des droits de la personne et de la diversité si vous avez des suggestions pour rendre nos milieux de travail plus accessibles et inclusifs!
En toute solidarité,
Waheed Khan
Président du Comité
Directeur de la RCN

