L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Cette semaine, du 6 au 12 mai, c’est la Semaine nationale des soins infirmiers. Nous profitons de cette occasion pour célébrer la formidable contribution des infirmières et infirmiers à notre régime public de soins de santé et à nos communautés. Nous remercions les plus de 3000 membres de l’Institut qui assurent des services infirmiers dans divers ministères et établissements canadiens pour leur travail inestimable.

Nous sommes solidaires des infirmières et infirmiers de tout le pays qui militent pour la sécurité au travail et pour la protection de notre indispensable régime public de soins de santé. Prenez un moment pour signer la pétition de la Fédération canadienne des syndicats d’infirmières et infirmiers et demandez de faire cesser la violence dans les établissements de soins de santé.

Nous livrons bataille à la table centrale de négociations pour obtenir des mesures de protection de la paye, améliorer les congés familiaux et raffermir les mesures anti-harcèlement. Nos membres des soins infirmiers ont besoin de ces améliorations pour se protéger au travail et pour assurer un équilibre sain et durable entre leur travail et leur vie personnelle.

Montrez votre appui aux infirmières et infirmiers et signez la pétition Faites donc mieux!  

Je signe

Des femmes du monde entier se sont réunies à New York pour assister à la 63e session de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies. La vice-présidente de l’Institut Norma Domey nous a représentés dans la délégation du Congrès du travail du Canada (CTC).

Norma Domey and the Canadian Labour Congress Delegation

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cette année, la session de la Commission a surtout porté sur les systèmes de protection sociale, l’accès aux services publics et les infrastructures durables au service de l’égalité des sexes et de l’autonomisation des femmes et des filles, tous des thèmes très importants pour les syndicats.

La v.-p. Norma Domey au côté de l’honorable Maryam Monsef, la ministre du Développement international et ministre des Femmes et de l'Égalité des genres.
La v.-p. Norma Domey au côté de l’honorable Maryam Monsef, la ministre du Développement international et ministre des Femmes et de l'Égalité des genres.

La v.-p. Domey a assisté à de nombreuses séances, réunions officielles, formations, comptes rendus d’organisations non gouvernementales et activités de réseautage importantes. Elle a notamment participé à une séance sur le renforcement du rôle des femmes dans le processus de négociation ainsi que dans le rétablissement de la paix et de la sécurité. Le panel d’experts a analysé les pratiques exemplaires et les expériences des femmes, et identifié les points d’entrée, les mécanismes et les recommandations possibles pour enrichir les rôles des femmes.

« Ce fut un honneur de représenter mon syndicat et une source d’inspiration pour moi de m’associer à tant de femmes fortes de partout dans le monde. Il ne fait aucun doute que nous avons encore un long chemin à parcourir. À bien des égards, les temps sont durs, mais nous avons tant de choses à faire », soutient Norma Domey.

À l’appui du mouvement étudiant mondial, la v.-p. Domey nous a également représentés à la Marche pour la justice climatique, dans notre délégation du Congrès du travail du Canada.

Droits et justice pour les autochtones

Le 2 avril dernier, le Congrès du travail du Canada (CTC) a orchestré sur la colline parlementaire sa première journée de lobbying sur les Autochtones, un moment historique pour le mouvement syndical. Cent vingt-neuf militantes et militants provenant de 21 syndicats affiliés au CTC ont rencontré 78 membres de la Chambre des communes et du Sénat du Canada.

Ainsi, des défenseurs et défenseuses des droits des Premières Nations, d’origine autochtone ou non, ont d’une même voix enjoint les parlementaires à mettre l’épaule à la roue pour :

Enjeu 1 : Rendre justice relativement aux meurtres et disparitions des femmes et de filles autochtones

Enjeu 2 : Assurer l’accès à l’eau potable aux communautés des Premières Nations

Enjeu 3 : Favoriser l’éducation aux élèves autochtones et rendre hommage aux enfants des pensionnats autochtones

Enjeu 4 : Journée nationale de la vérité et de la réconciliation

Journée internationale des autochtones

 

Indigenous Lobby - Prep training full room

Nos membres Steve Malenfant, Cheryl Morris, Charlotte Young, Tammy Okemaysim, Jordon Loverock, Greg Scriver, Kimberley Skanes (Directrice, Région de l’Atlantique) et Norma Domey (Vice-présidente) composaient la délégation de l’IPFPC. Nous sommes toujours fiers de souligner l’engagement de nos membres à l’endroit de la vérité et de la réconciliation et de leur passion en matière d’égalité et la justice pour les Premières Nations.
 

Liberal MP with PIPSC Rep Charlotte Young

 

MP Sheri Benson with Tammy Okemaysim

 

MP Eva Nassif Vimy with PIPSC Rep Kimberley_Skanes

 

MP Yves Robillard with Jocelyne Dubois from the CLC and PIPSC Rep Steve Malenfant

 

MP Shaun Chen with PIPSC VP Norma Domey

Nous remercions tout spécialement Greg Scriver, le représentant de l'IPFPC sur le caucus des Premières Nations du CTC, qui a fait office de co-responsable de l’événement, de sa coordination et de son organisation, conjointement avec la directrice de la campagne contre le racime et pour les droits de la personne au CTC, Mojdeh Cox. Ce travail de solidarité est d’importance et continuera tant que justice et égalité ne seront pas reconnues.

 

MP Nathan Cullen with PIPSC Rep Greg Scriver

 

L'islamophobie au travail

Le Congrès du travail du Canada vient de publier un rapport incontournable sur l’islamophobie au travail. L’islamophobie au travail : défis et occasions traite de la montée des attitudes antimusulmanes et de la discrimination à l’égard des personnes musulmanes au Canada. Il comporte des recommandations sur les mesures que peuvent prendre les employeurs, les syndicats et les gouvernements pour mettre un terme à ce phénomène pernicieux.

Le rapport paraît seulement quelques semaines après les attaques terroristes horribles menées dans des mosquées de Christchurch (Nouvelle-Zélande). Ces attaques sont venues brutalement nous rappeler la nécessité de réagir devant l’islamophobie chez nous.

Les crimes haineux contre les communautés musulmanes ne cessent d’augmenter au Canada. Un individu animé par la haine a tué six hommes dans une mosquée de Québec en 2017. Le terroriste de la Nouvelle-Zélande a même cité son nom. 

Le nombre déclaré de crimes haineux ciblant les personnes musulmanes a augmenté de 151 % au pays la même année. C’est alarmant parce qu’un bon nombre ne sont pas signalés par peur de représailles. Entre-temps, des groupes d’extrême-droite continuent de se mobiliser en ligne et hors ligne, organisant des manifestations contre les communautés musulmanes et l’immigration, ce qui a pour effet de diaboliser encore plus ces communautés.

Le rapport traite des répercussions de ce climat néfaste sur les milieux de travail canadiens. On y formule des recommandations précises visant à renforcer la responsabilité des employeurs de sensibiliser la direction et le personnel à leurs obligations juridiques en matière de droits de la personne et d'accommodements religieux. On y encourage en outre les gouvernements à prendre des mesures supplémentaires pour soutenir les campagnes de sensibilisation contre le racisme et à élaborer des stratégies pour éliminer la haine sur Internet. Enfin, le rôle que devraient jouer les syndicats dans la revendication de l’équité et de la justice sociale pour la communauté musulmane du Canada y est aussi souligné.

En tant que champions du Groupe de travail conjoint syndical-patronal sur la diversité et l’inclusion dans la fonction publique, nous avons contribué à la production du rapport Bâtir une fonction publique plus diversifiée et plus inclusive qui comporte des recommandations sur la reconnaissance et l’élimination des obstacles qui empêchent les personnes racialisées d’intégrer la fonction publique et y faire carrière, et de mettre leurs talents au service du Canada. Nous continuons d’encourager le Secrétariat du Conseil du Trésor à mettre rapidement en œuvre toutes ces recommandations.

Au nom de l’Institut, nous nous joignons au mouvement syndical pour dénoncer l’islamophobie et le racisme sous toutes leurs formes. Nous encourageons nos membres à participer aux initiatives contre le harcèlement et pour l’inclusivité dans leur lieu de travail. Nous sommes actuellement à la table de négociations et nous revendiquons des mesures de protection plus strictes contre le harcèlement pour que la fonction publique soit un milieu de travail sûr et sain.

Si vous avez des questions, communiquez avec le Comité des droits de la personne et de la diversité par courriel à : chrd-cdpd@pipsc.ca.

 

Chaque année, le 20 mars, les francophones et francophiles du monde entier soulignent la Journée internationale de la Francophonie. Cette année, sous le thème « En français… s’il vous plaît, c’est 220 millions de francophones à travers le monde, et leurs amis, qui sont invités à célébrer leur langue commune et leur culture, et ce par le bais de concours et jeux de mots, de spectacles, de festivals de films, de rencontres littéraires, de rendez-vous gastronomiques et d’expositions, entre autres.

Cette année, il y a une raison supplémentaire de souligner la Journée internationale de la francophonie puisqu’il y a 50 ans, le Canada se dotait de la Loi sur les langues officielles, loi qui conférait l’égalité de statut du français et de l’anglais. La Loi énonce entre autres les grands principes relativement au respect des langues officielles dans la fonction publique fédérale

Cette loi fondamentale a donné à la population du Canada un modèle de vivre-ensemble qui fait l’envie de nombreux pays. Soyons en fiers ensemble    

Le 11 mars dernier, le gouvernement a lancé un processus important de modernisation de la Loi, et l’Institut entend prendre part aux consultations puisque cela est d’intérêt pour bon nombre de membres.

En effet, dans certaines régions du pays, les employés des institutions fédérales ont le droit de travailler dans la langue officielle de leur choix. Ceci signifie, entre autres, que les fonctionnaires peuvent disposer d’outils de travail, être supervisés, avoir accès à la formation, rédiger des documents ou s’exprimer lors des réunions dans leur langue officielle de préférence. Par ailleurs, la liste de ces régions, énumérées dans une circulaire datant de 1977, ne tient plus compte des réalités qui caractérisent la fonction publique fédérale d’aujourd’hui, comme la pratique du travail à distance et la mise en place d’équipes de travail virtuelles.

Le Groupe de travail sur les langues officielles de l’IPFPC accueillera avec plaisir vos commentaires sur la question, ou sur toute autres question du même ordre. Vous n’avez qu’à transmettre un courriel à   de la promotion du français à l’adresse de courriel suivante : gtlo_tfol@pipsc.ca.

 

La JOURNÉE INTERNATIONALE DES FEMMES est le fruit des mouvements syndicaux d’Amérique du Nord et d’Europe et marque un virage vers la participation égale des femmes dans la société. Les Nations Unies ont proclamé 1975 « Année internationale des femmes » et ont commencé à célébrer la JIF le 8 mars, adoptant par la suite une résolution désignant le 8 mars « Journée internationale des femmes ».

Elle est l’occasion de célébrer les progrès accomplis pour parvenir à l’égalité des sexes et à l’autonomisation des femmes, de faire le point sur les améliorations apportées et de s’efforcer de maintenir cet élan vers l’égalité des sexes dans le monde. C’est l’occasion de mettre en avant les actes remarquables réalisés par les femmes et de s’unir pour faire progresser l’égalité des genres dans le monde.

Le thème de cette année est un appel à l’action visant l’exploitation du pouvoir de la technologie pour créer un monde plus juste. L’innovation et la technologie sont porteuses d’opportunités, mais la fracture numérique entre les sexes se creuse et les femmes sont sous-représentées dans le domaine des sciences, des technologies, de l’ingénierie, des mathématiques et du design (STEM). Cette fracture est un obstacle au développement et à l’influence d’innovations respectueuses des genres et à la réalisation de gains transformatifs. Il est impératif d’éliminer les obstacles auxquels se heurtent les femmes dans le domaine des STIM et de stimuler de nouvelles idées et solutions pour transformer notre société et renforcer notre économie.

L’Institut invite ses membres à célébrer, à reconnaître et à honorer les réalisations des femmes dans leur vie!

#JIF2019 #journéedesfemmes #innoverpourlechangement #BalanceforBetter #WIKI4WOMEN

En anglais : #IWD2019 #WomensDay #InnovateForChange #BalanceforBetter #WIKI4WOMEN

Condition féminine Canada
https://cfc-swc.gc.ca/commemoration/iwd-jif/theme-fr.html

Nations Unies – Journée internationale des femmes
http://www.un.org/fr/events/womensday/index.shtml

UNESCO – Priorité : égalité des genres
https://fr.unesco.org/genderequality

 

Comité des droits de la personne et de la diversité 2019 de l’Institut
Courriel : chrd-cdpd@pipsc.ca

Cette année, pour souligner la Journée internationale des femmes, nous demandons aux membres de nous raconter une anecdote liée aux congés familiaux.

Ces congés vous ont-ils aidé(e) ou nui?

Existaient-ils quand vous en aviez besoin?

Partager votre expérience aide votre équipe de négociation et montre à l’employeur à quel point vous tenez aux congés familiaux et vous en avez besoin.

RACONTEZ VOTRE HISTOIRE

En 2001, la présidente Debi Daviau a dû batailler ferme pour obtenir son droit aux congés parentaux.

Elle était enceinte de son troisième enfant, Jesse, quand son employeur a refusé d’appliquer les nouvelles dispositions législatives sur le prolongement de 6 mois à 12 mois du congé parental payé de sa convention collective.

Malgré son insistance, le conseiller en rémunération refusait toujours d’appliquer cette nouvelle disposition. Finalement, la présidente Daviau a convaincu ses collègues de la Direction de l’assurance-emploi de DRHC d’alors de rédiger une note d’information que sa SMA a utilisée pour lui assurer le versement de 12 mois d’indemnité supplémentaire pour son congé parental ainsi qu’à tout autre parent attendant un enfant au Ministère!

C’est cette lutte qui a fait naître la vocation syndicale de la présidente Daviau.

Personne ne devrait avoir à lutter pour s’occuper de sa famille.

Tout le monde s’attend à ce que le gouvernement fédéral soit un employeur modèle et qu’il aide les fonctionnaires à donner leur maximum au travail et dans leur famille.

Dites à votre employeur « faites donc mieux! ». Vous méritez de meilleurs congés parentaux. Parlez-nous de votre expérience.

Pour en savoir plus sur la ronde de négociations en cours et la campagne Faites donc mieux :
https://www.ipfpc.ca/faitesdoncmieux

Les résultats du Sondage auprès des fonctionnaires fédéraux (SAFF) de 2018 ont été publiés. Tout comme pour le sondage de 2017, les données recueillies donnent matière à réflexion sur les progrès (ou l’absence de progrès) réalisés par le gouvernement à l’égard de certains des dossiers les plus préoccupants pour les membres de l’Institut.

Harcèlement en milieu de travail

Lors des sondages précédents, 18 % et 19 % des répondants en 2017 et en 2014 respectivement avaient déclaré être victimes de harcèlement. En 2018, seulement 15 % disent subir le même sort. Toutefois, comme la période visée par le plus récent sondage est passée de deux ans à un an, ces résultats ne sont pas comparables.

Ce qui est sans doute plus révélateur encore est que seulement 48 % des fonctionnaires ayant répondu au sondage sont satisfaits de la manière dont les ministères prennent en charge les cas de harcèlement.

Les résultats du sondage montrent en outre des différences notables selon le genre. Les femmes qui ont répondu avoir subi du harcèlement au travail au cours de la dernière année sont 3 % plus nombreuses que les hommes. Parmi les répondants de diverses identités de genre, 30 % déclarent être victimes de harcèlement, comparativement à 13 % des hommes et à 16 % des femmes.

Les fonctionnaires de la catégorie scientifique et professionnelle (la majeure partie des membres de l’Institut) qui déclarent subir du harcèlement sont un peu moins nombreux (2 % en 2018) que les autres fonctionnaires. Il en va quelque peu de même pour le taux de satisfaction qui est 1 % de moins chez ces mêmes fonctionnaires pour ce qui est des mécanismes de prise en charge des cas de harcèlement dans les ministères.

Par conséquent, les données recueillies lors du dernier sondage justifient encore plus l’urgence de faire valoir que nos membres méritent une meilleure protection contre le harcèlement. Bref, disons au gouvernement : Faites donc mieux.

Bien-être psychologique

Les données sur le mieux-être psychologique laissent par contre entrevoir des signes d’amélioration. Par comparaison avec 2017 où seulement 56 % des répondants avaient décrit la fonction publique comme un milieu de travail psychologiquement sain, 59 % sont maintenant de cet avis.

De plus, en ce qui a trait à la sensibilisation à la santé mentale en milieu de travail, 71 % des répondants estiment que leur ministère prend les bons moyens, comparativement à 67 % l’an dernier.

Il est encore trop tôt pour dire si c’est grâce ou non à la Stratégie en santé mentale mise en place en 2017.

Phénix

Il n’est pas surprenant de constater que le système de paye Phénix est toujours un grave problème. Parmi les répondants au SAFF, 70 % disent en avoir subi les contrecoups au cours de la dernière année, ce qui représente une augmentation de 3 % par rapport à 2017. Chez le personnel professionnel et scientifique, l’augmentation est pire encore, le pourcentage à ce chapitre étant passé de 62 % en 2017 à 67 % en 2018.

Le taux de satisfaction lié à la manière dont les ministères et le centre de paye traitent les problèmes causés par Phénix demeure inchangé, c’est-à-dire très faible. Dans l’ensemble, seulement 36 % des répondants se disent satisfaits de l’aide reçue de leur ministère ou agence pour résoudre leurs problèmes de paye.

Le nombre de chèques de paye manquants demeure le même, soit 10 % des fonctionnaires de la catégorie scientifique et professionnelle qui signalent ne pas avoir reçu tous leurs chèques de paye en 2017 et en 2018.

Malgré les améliorations, il semble absurde de crier victoire dans une année où 29 % du personnel professionnel et scientifique ont été sous-payés et où 30 % ont reçu un chèque de paye comportant des erreurs liées à leur rémunération d’intérim ou d’heures supplémentaires.

Plus tôt nous obtiendrons un nouveau système de paye efficace, mieux ce sera.

Journée du chandail rose

Le 27 février 2019, nous encourageons les membres de l’IPFPC à prendre position contre l’intimidation en portant du rose. L’intimidation implique habituellement des incidents répétés ou un comportement visant à intimider, offenser, dégrader ou humilier une personne ou un groupe de personnes en particulier et peut entraîner de graves problèmes émotionnels, y compris l’anxiété, une faible estime de soi ou la dépression, en plus de traumatismes mentaux et physiques possibles.

Luttez contre l’intimidation sous toutes ses formes et aidez à protéger votre milieu de travail tous les jours en faisant la promotion du respect, de la civilité, de la diversité et de l’inclusion.

Apprenez des stratégies pour vous protéger contre l’intimidation. L’Institut a élaboré un guide pratique sur l’intimidation et la violence en milieu de travail.

Si vous êtes victime ou témoin d’intimidation en milieu de travail, veuillez le signaler en communiquant avec à votre délégué syndical.

Votre délégué syndical est votre première ligne de défense. Veuillez consulter le site web pour trouver votre délégué syndical et en savoir plus sur ce qu'il peut faire pour vous.

En toute solidarité,

Debi Daviau, Présidente
Waheed Khan, Champion équité en matière d’emploi, de diversité et d’inclusion

 

 

Director Jennie Esnard

La directrice Esnard est la première femme noire élue au Conseil d’administration de l’Institut. L’égalité, la représentation et le pouvoir de l’Institut lui tiennent beaucoup à cœur. C’est cette détermination à améliorer la représentation au sein de notre syndicat qui l’a motivée à se présenter aux élections de l’Institut de 2018 et à gagner.

L’inclusion de groupes sous-représentés dans la structure dirigeante de l’Institut permet de tenir compte des besoins de tous les membres dans les décisions, les stratégies, les projets et les initiatives de mobilisation des membres.

Une meilleure représentation ne peut que renforcer notre syndicat.

Il est indéniable que son expérience avec des organismes caritatifs, sa formation et son travail d’actrice au cinéma et à Broadway nous aideront grandement à réaliser nos objectifs. Elle a démontré son engagement à défendre les droits des membres dans son travail de déléguée syndicale et de vice-présidente du groupe NUREG.

Nous célébrons son élection dans le cadre du Mois de l’histoire des Noirs afin d’attirer l’attention sur l’apport des Noirs à l’Institut et de signaler clairement que le syndicat apprécie à leur juste valeur les contributions de tous ses membres et qu’il continuera à mieux représenter la diversité aux postes de sa direction. Parce que nous sommes bien mieux ensemble!