L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Le 12 août, le Conseil d’administration de l’Institut a tenu une réunion extraordinaire pour traiter de la reprise des réunions en personne des membres de l’IPFPC. Après une longue discussion, nous avons décidé que toutes les réunions en personne des membres seront suspendues jusqu’à la fin de 2020.

Le Conseil reconnaît le rôle crucial des réunions en personne dans la vie de notre syndicat et sait que chacun souhaite les reprendre le plus tôt possible. Toutefois, il a aussi indiqué que la santé et la sécurité des membres et du personnel sont sa priorité absolue.

La page Web intitulée Situations des réunions des membres a été mise à jour en conséquence.

Il suit donc la situation en permanence tout en préparant la reprise éventuelle des réunions en personne; il réexaminera la situation avant l’assemblée générale annuelle du 5 décembre 2020.

Dans l’intervalle, les organismes constituants sont encouragés à continuer de mener leurs activités de manière virtuelle en utilisant Zoom ou d’autres moyens de visioconférence ou de téléconférence.

Malgré la crise de la COVID-19, les fonctionnaires travaillent fort pour les gens du pays. Nous avons préparé la Prestation canadienne d’urgence (PCU) en un temps record. Nous avons travaillé sans relâche pour ramener des voyageurs canadiens chez eux et nous continuons à faire pression pour qu’un vaccin soit élaboré.

Nous nous sommes également occupés de nos enfants. Nous sommes nombreux à avoir travaillé tard le soir ou très tôt le matin, pendant que nos enfants dormaient. Et nous sommes nombreux à nous être portés volontaires pour faire du travail qui ne fait pas partie de nos fonctions habituelles pour aider les autres le plus possible.

75% des fonctionnaires peuvent travailler à pleine capacité malgré la COVID-19

« Les fonctionnaires font plus que le nécessaire dans les circonstances, selon Debi Daviau, présidente de l’IPFPC. Les parents qui travaillent doivent s’occuper de leurs enfants à temps plein tout en s’acquittant de leur charge de travail. Il est évident qu’une saine économie repose sur l’accès à des services de garde d’enfants sécuritaires et abordables ».

Dans tout le pays, les parents qui travaillent - et surtout les femmes - sont forcés de choisir entre leur carrière et la prise en charge de leurs enfants. Depuis le début de la pandémie, la participation des femmes à la population active a reculé de près de 30 ans. Des places en garderie sécuritaire et fiable, maintenant et tout au long de la crise sanitaire, ainsi que des écoles publiques ouvertes en toute sécurité sont la solution évidente.

Les secteurs public et privé doivent élaborer des politiques de congé flexibles pour aider les parents qui travaillent à gérer équitablement les exigences de la garde d’enfants. L’IPFPC demande lui aussi que tous les Canadiens aient accès à de meilleurs programmes de garde d’enfants et à des garanties de revenu de base. Nos membres ont mis sur pied la PCU et d’autres programmes d’urgence, et nous savons le bien qu’ils peuvent faire.

Seuls 25 % des fonctionnaires ont occasionnellement eu besoin d’un congé payé inscrit au code 699 pour s’occuper de leurs enfants, pour être en quarantaine, pour guérir de la COVID-19 ou pour des problèmes techniques. Dans certains cas, le code a été utilisé parce que des projets ont été reportés ou parce qu’un travail particulier exigeait une auto-isolation entre deux quarts de travail.

Selon le Conseil du Trésor, 76 804 employés ont utilisé le code 699 entre le 15 mars et le 31 mai. Ces congés représentent environ 5 % des dépenses salariales habituelles pour cette même période, soit environ 439 M$.

Ces fonctionnaires travaillaient et prenaient parfois un congé inscrit au code 699. S’ils avaient complètement arrêté de travailler et reçu la PCU, comme ils en avaient le droit, il en aurait tout de même coûté 384 M$ aux contribuables. Les économies auraient été minimes, puisque le gouvernement doit quand même assurer les services aux Canadiens et payer le salaire des remplaçants. Les répercussions négatives à long terme sur les services publics et l’économie auraient été considérables.

En cette période de crise sans précédent, il est logique que le gouvernement fédéral mette l’accent sur le maintien d’une fonction publique performante. L’IPFPC collabore avec l’employeur pour que ces processus soient raisonnables et équitables. Tant que des services de garde d’enfants sécuritaires et fiables ne seront pas disponibles et que les écoles ne sont pas rouvertes, l’employeur doit faire preuve de souplesse pour que le travail soit fait.

Le jeudi 9 juillet dernier, la présidente Debi Daviau a animé une assemblée téléphonique pour les membres de l’Institut qui travaillent pour un employeur provincial ou distinct. Elle a expliqué les conséquences de la COVID-19 sur leur vie professionnelle, ce que l’Institut fait pour atténuer les impacts de cette crise et ce que nous ferons ensuite.

Les membres ont obtenu réponse à leurs questions sur la santé, la sécurité et d’autres sujets liés à la pandémie au cours de l’appel.

Les personnes qui n’ont pas pu se joindre à nous peuvent écouter l’assemblée en rediffusion dans la langue de leur choix :

En français

En anglais

La présidente de l’Institut, Debi Daviau, a animé une assemblée téléphonique pour les fonctionnaires fédéraux le jeudi 18 juin dernier. Elle y a discuté des conséquences de la COVID-19 sur la vie professionnelle des fonctionnaires fédéraux, de ce que l’Institut a fait pour pallier cette crise et comment le syndicat compte poursuivre ses efforts en ce sens.

Les membres ont obtenu réponse à leurs questions sur le retour dans les lieux de travail ainsi que sur la santé, la prévention et d’autres sujets liés à la pandémie, et ce, en direct au téléphone.

Les personnes qui n’ont pas pu se joindre à nous peuvent écouter l’une des trois séances en rediffusion :

En français

En anglais (Est du Canada)

En anglais (Ouest du Canada)

La présidente Debi Daviau animera une assemblée téléphonique pour les membres de l’Institut qui travaillent pour un employeur provincial ou distinct le jeudi 9 juillet prochain. Elle y expliquera les conséquences de la COVID-19 sur votre vie professionnelle, ce que l’Institut a fait pour pallier cette crise et comment il compte poursuivre ses efforts en ce sens.

Nous répondrons à vos questions sur la santé, la prévention et d’autres sujets liés à la pandémie, et ce, en direct au téléphone.

Participez à l’une des assemblées suivantes :

Assemblée en français

Date : Jeudi 9 juillet
Heure : 15 h (HAA) / 14 h (HAE) / 13 h (HAC) / 12 h (HAR) / 11 h (HAP)

Assemblée téléphonique en anglais

Date : Jeudi 9 juillet
Heure : 16 h 30 (HAA) / 15 h 30 (HAE) / 14 h 30 (HAC) / 13 h 30 (HAR) / 12 h 30 (HAP)

Comment participer :

1. Nous vous appellerons juste avant le début de l’assemblée en fonction de votre région et de la langue de votre choix. Répondez au téléphone et restez en ligne.

2. Composez le numéro indiqué.
Français : 1-877-255-5810
Anglais : 1-877-229-8493
Code à entrer : 112851

3. Suivez la diffusion en ligne : https://video.teleforumonline.com/video/streaming.php?client=12851

À bientôt!

La présidente Debi Daviau animera une assemblée téléphonique pour les fonctionnaires fédéraux le jeudi 18 juin prochain. Elle y expliquera toute l’incidence de la COVID-19 sur notre travail en tant que fonctionnaires fédéraux, les mesures préconisées par l’IPFPC ainsi que la suite des choses.

Nous allons répondre à vos questions concernant les plans de retour au travail, la santé, la sécurité et d’autres questions liées à la pandémie.

Participez à l’une des assemblées suivantes :

Assemblée en français

Date : Jeudi 18 juin
Heure : 19 h 30 HAA / 18 h 30 HAE / 17 h 30 HAC / 16 h 30 HAR / 15 h 30 HAP

Assemblée en anglais (Est)

Date : Jeudi 18 juin
Heure : 18 h HAA / 17 h HAE / 16 h HAC / 15 h HAR / 14 h HAP

Assemblée en anglais (Ouest)

Date : Jeudi 18 juin
Heure : 22 h HAA / 21 h HAE / 20 h HAC / 19 h HAR / 18 h HAP

Accéder à l’assemblée

1. Nous vous appellerons juste avant le début de l’assemblée en fonction de votre région et de la langue de votre choix. Répondez au téléphone et restez en ligne.

2. Composez le numéro indiqué.
Français : 1-877-255-5810
Anglais : 1-877-229-8493
Code à entrer : 112851

3. Suivez la diffusion en ligne : https://video.teleforumonline.com/video/streaming.php?client=12851

À bientôt!

Nous ne sommes pas pressés de voir nos membres retourner à leur lieu de travail tant que toutes les précautions n’auront pas été prises et que les autorités sanitaires n’auront pas donné leur aval.

Depuis plusieurs semaines, l’IPFPC est en discussion avec le Secrétariat du Conseil du Trésor concernant les lignes directrices qui régiront le retour au travail de ses membres. La date de ce retour n’a toujours pas été fixée.

Nous ne voyons pas de raison de jeter la prudence aux orties et de renvoyer les gens dans leurs lieux de travail alors qu’ils ont été si productifs à domicile. Nous vivons dans un monde virtuel et les fonctionnaires ont prouvé leur capacité à demeurer productifs tout en travaillant à distance.

En aucune circonstance n’allons-nous permettre que votre sécurité soit compromise; il faudra donc peut-être attendre encore quelque temps avant de retourner à votre lieu de travail. Les ministères doivent faire preuve de transparence et collaborer avec nos représentants pour mener à bien leurs projets de réouverture des lieux de travail.

Nous ne sommes pas encore convaincus que des mesures de santé et de sécurité adéquates ont été mises en place, notamment pour assurer la distanciation des employés et l’assainissement des espaces communs tels que les salles de bain et les cuisines, ou même la sûreté des systèmes de ventilation et de la circulation d’air dans les espaces de travail.

Nous allons maintenir la pression pour que ceux et celles qui ont continué de travailler en première ligne dans leurs lieux de travail habituels reçoivent de l’équipement de protection individuelle (EPI) adéquat et puissent refuser de travailler si leur sécurité est compromise.

Pour les parents, l’équilibre entre le travail et la garde des enfants est une source énorme de stress. Pour alléger le fardeau des familles, le code de congé 699 doit leur être accessible lorsque les garderies et les écoles sont fermées, à participation volontaire ou ouvertes à un nombre limité d’enfants.

Là où les écoles et les garderies ont rouvert leurs portes, les familles qui ne sont pas à l’aise d’y envoyer leurs enfants devraient continuer de bénéficier de ce congé. Nous demandons que les fonctionnaires puissent utiliser le code de congé 699 jusqu’au début de la prochaine année scolaire afin de faciliter toutes les négociations requises.

Nous nous battrons pour que le congé dont vous avez besoin soit mis à votre disposition. Vous ne devriez pas avoir à choisir entre un chèque de paye et vous occuper de vos enfants!

Il va sans dire que l’employeur doit respecter les conventions collectives et toutes les lois applicables. Nous allons également déterminer les mesures temporaires qui pourraient être nécessaires, en plus des dispositions des conventions collectives actuelles, pour nous adapter à la nouvelle réalité de la COVID-19.

Il faudra peut-être trouver des occasions de mettre à l’essai des solutions novatrices d’assouplissement des horaires de travail. Il se peut qu’il n’y ait pas de solution unique pour tous à l’avenir. Une solution appropriée à un endroit peut ne pas convenir à toutes les situations, car les exigences en matière d’installations varient grandement selon les régions, les professions et les lieux de travail. Quelle que soit votre situation, nous serons là pour vous aider!

Nous sommes à la fois surpris et déçus par la  décision (en anglais seulement) du gouvernement Ford de ne pas élargir l’accès à la prime de pandémie versée aux fonctionnaires considérés comme admissibles. Cette décision contredit complètement la déclaration faite le 14 mai 2020 par Christine Elliott, ministre de la Santé, lorsqu’elle a dit aux Ontariens que le ministère s’appliquait à dresser la liste complète des personnes admissibles pour s’assurer que « tous ceux et celles qui devraient toucher la prime de pandémie la recevront ».

Nous sommes très fiers de nos radiothérapeutes qui travaillent en première ligne pendant cette crise. Vous êtes soumis aux mêmes exigences de l’état d’urgence de l’Ontario que les autres travailleurs de la santé considérés comme admissibles à la prime de pandémie. En tant que travailleurs essentiels, vous ne pouvez pas refuser de traiter des patients soupçonnés d’avoir contracté la COVID-19. Vous prenez toutes les précautions possibles, triez les patients et portez un équipement de protection individuelle (EPI). À l'instar des autres travailleurs de la santé, les radiothérapeutes sont exposés à la COVID-19 au travail.

À la suite de l’annonce de la prime de pandémie, Debi Daviau, présidente de l’IPFPC, a (seulement en anglais) écrit à Doug Ford, premier ministre de l’Ontario, à Christine Elliott, sa ministre de la Santé, et à Peter Bethlenfalvy, président du Conseil du Trésor. Des appels ont également été passés à leurs bureaux et à des responsables clés du gouvernement.

Nous avons également pris contact avec d’autres groupes et syndicats représentant des travailleurs hospitaliers de l’Ontario qui n’ont pas été sélectionnés pour recevoir la prime, notamment le Syndicat des employés de la fonction publique de l’Ontario (SEFPO) et l’Ontario Association of Medical Radiation Sciences (OAMRS).

Le 6 mai 2020, l’IPFPC a lancé une campagne d'envoi de courriels au premier ministre (en anglais seulement). Les membres ont été invités à écrire au premier ministre et aux principaux ministres de son cabinet afin d'exprimer leurs préoccupations quant au fait qu'ils sont exclus du programme de versement de la prime. Merci à tous ceux et celles qui l'ont fait.

De nombreux présidents d’hôpitaux, directeurs généraux et organisations d’employeurs se sont aussi prononcés en faveur de l’octroi de la prime de pandémie aux radiothérapeutes et à d’autres travailleurs de la santé :

  • Jean Bartkowiak, président et directeur général du Centre régional des sciences de la santé de Thunder Bay, a écrit au premier ministre (en anglais seulement) pour lui demander d'élargir le versement de la prime de pandémie à tous les employés des hôpitaux, à l’exception des directeurs généraux.
  • David Musyj, président et directeur général de l’hôpital régional de Windsor, a lui aussi écrit au premier ministre et s’est prononcé publiquement (en anglais seulement) en faveur du versement de la prime de pandémie à tous les travailleurs de la santé de première ligne.
  • Les huit directeurs généraux des hôpitaux de Hamilton, Niagara, Haldimand, Brant et Burlington ont publié une lettre publique (en anglais seulement) pour que la prime « s’applique à tous les employés des hôpitaux afin d’assurer une reconnaissance équitable de leur travail ».

L’Association des hôpitaux de l’Ontario et plusieurs organisations œuvrant dans le domaine de la santé ont envoyé une lettre publique (en anglais seulement) au premier ministre, avec copie à la ministre de la Santé, au président du Conseil du Trésor et aux responsables clés, pour exhorter la province à accélérer et élargir le versement de la prime de pandémie à tout le personnel de première ligne qui n’exerce pas de fonctions de gestion « pour reconnaître les services essentiels fournis et l’effort collectif requis dans la lutte contre la COVID-19 ».

Malgré tous les soutiens en faveur de l’élargissement de la prime de pandémie, les demandes adressées au gouvernement Ford sont restées lettre morte.

Cette décision est plus que décevante — elle est carrément bouleversante pour nos membres qui ont fait un travail d’une grande importance dans les centres de cancérologie de l’Ontario tout au long de cette crise. Vous méritez la même reconnaissance que les autres professionnels qui touchent cette prime dans votre hôpital. Nous ferons tout pour faire valoir nos arguments à cet égard dans le cadre des prochaines négociations collectives.

Le gouvernement de l’Ontario a annoncé que les travailleurs de la santé de première ligne toucheront une prime de pandémie. Ces travailleurs sont essentiels aux efforts en cours pour protéger les Ontariens et réduire l’incidence de la COVID-19. Leurs sacrifices et leur dévouement au service sont remarquables.

Le programme publié donne des exemples de travailleurs qui recevront une rémunération pandémique, mais n’en dresse pas une liste exhaustive.

La liste n’est toujours pas disponible.

Nous avons écrit aux présidents et aux directeurs généraux des hôpitaux où travaillent nos membres en les implorant d’écrire au gouvernement Ford au nom de leurs travailleurs. Plus tôt ce mois-ci, nous avons écrit au premier ministre Ford pour lui demander de confirmer que nos membres qui travaillent en première ligne recevront bel et bien une prime de pandémie. Le bureau du premier ministre ne nous a toujours pas répondu.

Lisez la lettre (en anglais) que nous avons envoyée aux présidents et aux directeurs généraux.

Jean Bartkowiak, président et directeur général du Centre régional des sciences de la santé de Thunder Bay, a écrit au premier ministre et au ministre de la Santé pour leur demander de verser la prime de pandémie à tous les employés des hôpitaux, à l’exception des directeurs généraux.

David Musyj, président et directeur général de l’hôpital régional de Windsor, a écrit au premier ministre et s’est prononcé publiquement en faveur du versement de la prime de pandémie à tous les travailleurs de la santé de première ligne.

Rob MacIsaac, président et directeur général de Hamilton Health Sciences, a répondu à notre appel et s’est engagé à écrire au premier ministre.

Nos radiothérapeutes font un travail d’une grande importance. Ils sont soumis aux dispositions de l’état d’urgence de l’Ontario et sont considérés comme des travailleurs essentiels qui ne peuvent pas refuser un travail dangereux.

Il est temps que le gouvernement Ford reconnaisse vos contributions en cette période sans précédent.

Nous vous enverrons d'autres nouvelles dès que nous en saurons plus.

Le 14 mai dernier, le Conseil d’administration de l’Institut s’est réuni pour discuter et planifier les prochaines activités en personne de l’IPFPC à la lumière des restrictions imposées aux grands rassemblements en personne par suite de la COVID-19.

Les instances de l’Institut ont pris les décisions suivantes concernant les activités en personne prévues en 2020.

Assemblée générale annuelle 2020

  • Le personnel de l’IPFPC étudie diverses possibilités pour tenir une AGA virtuelle. Le nombre de délégués restera inchangé.
  • Cette AGA virtuelle se tiendra le 5 décembre. Cette date est un mois plus tard que prévu afin de permettre l’organisation de l’assemblée virtuelle et l’inscription des délégués.
  • La période d’inscription aura lieu du 1er septembre au 16 octobre.
  • Le premier point à l’ordre du jour suivant le discours de la présidente concernera les obligations légales de l’Institut (approbation des états financiers vérifiés et nomination des vérificateurs).
  • Les motions seront limitées à celles qui sont parrainées par le Conseil d’administration, les exécutifs de groupe, les exécutifs régionaux et la Guilde des membres retraités.
  • Les allocutions seront transmises par voie électronique avant l’AGA, à l’exception du discours de la présidente.

Conseils régionaux et conseils de délégués syndicaux

  • Les conseils régionaux et les conseils de délégués syndicaux prévus en 2020 sont annulés. Dans la mesure du possible, les Régions organiseront des activités en ligne pour les membres et les délégués syndicaux afin de remplacer certaines parties des conseils.

Autres réunions en personne, y compris les assemblées générales annuelles des groupes

  • Toutes les réunions en personne sont suspendues jusqu’au 31 août 2020.
  • Les activités regroupant plus de 50 personnes sont suspendues jusqu’au 31 décembre 2020. Les exécutifs d’organismes constituants sont encouragés à tenir ces réunions en ligne, notamment par l’intermédiaire de Zoom.
  • Le Conseil se réunira avant le 31 août pour évaluer les conditions applicables à la tenue de réunions et d’activités en personne réunissant moins de 50 participants pour le reste de l’année 2020. Il est impossible de faire des réservations pour ces réunions avant que le Conseil n’ait donné ses instructions.

Nous avons également discuté de la pertinence d’acheter des équipements de protection individuelle (ÉPI) portant le logo de l’IPFPC, comme des masques, du désinfectant pour les mains ou d’autres accessoires relatifs à la pandémie en tant qu’articles de visibilité pour les membres. La présidente a déterminé que les membres souhaitant utiliser les fonds de l’IPFPC pour acheter de tels articles de visibilité devront soumettre une analyse de rentabilité au Bureau de la présidente (president@pipsc.ca) en indiquant comment ces achats sont conformes aux politiques de l’IPFPC, comment les articles seraient distribués sans exposer davantage les membres ou les représentants au risque, et comment l’achat et la distribution de ces articles pourraient accroître la visibilité de l’IPFPC au travail.