L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Le 19 septembre, le gouvernement fédéral a officiellement lancé le processus de remplacement de Phénix et Scott Brison, président du Conseil du Trésor, annonçait le processus d’acquisition (planification, conception et achat) par lequel un nouveau système de paye pourrait être mis en œuvre au printemps 2019.

L’IPFPC presse depuis près d’un an le gouvernement fédéral de remplacer Phénix et depuis juin cherche avec lui un système de paye fiable qui répond aux besoins des fonctionnaires.

« Nous exhortons le gouvernement à en finir avec Phénix et à le remplacer par un système de paye qui marche. Je suis heureuse de voir nos efforts porter fruit et d’apercevoir la lumière au bout du tunnel. Enfin! C’est encourageant d’entendre le ministre Brison parler d’échéances précises pour la sélection d’un nouveau système », déclare la présidente de l'Institut, Debi Daviau. « Bien sûr, rien n’est réglé tant que tout le monde ne sera pas payé sans erreur. Entre‑temps, nous aimerions que le gouvernement envisage toutes les solutions possibles, comme le système SAE de l’Agence du revenu du Canada. Mettre en place ce système permettrait de payer plus rapidement les employés de la fonction publique et d’alléger la pression sur le système actuel ».

Au nom de ses membres, l’IPFPC continue de faire pression auprès du gouvernement pour qu’il remplace de toute urgence Phénix tout en l’aidant à trouver un système de remplacement. La population canadienne est derrière lui.

Pour en savoir plus sur la journée d’acquisition du 19 septembre : https://www.ledevoir.com/politique/canada/537176/de-nouveaux-systemes-de-paye-pour-remplacer-phenix-seront-testes-sous-peu.

Pour apprendre comment vous pouvez participer à la campagne Fini Phénix, visitez la page https://enaction.ipfpc.ca/finiphenix.

Le profil des candidat(e)s aux élections nationales 2018 de l’Institut est disponible!

Vous pourrez voter à ces élections dans un peu moins d'un mois. Profitez-en pour en savoir plus sur nos candidat(e)s talentueux(-euses), qui reflètent la diversité des membres de notre syndicat.

Les membres pourront élire leur président(e), leurs vice‑président(e)s à temps partiel et à temps plein et leurs directeurs(-trices) régionaux(-ales).

L’Institut poursuit son combat contre Phénix et défend les solutions viables proposées par ses membres tout en préparant activement les négociations collectives de 2018. Les membres auront bientôt la chance d’élire le Conseil d’administration de l’Institut, qui formera l’équipe dirigeante de l’Institut chargée de relever les défis des trois prochaines années.

Ne manquez pas de découvrir vos candidat(e)s aux élections nationales 2018 de l’Institut!

Tous les membres recevront un bulletin de vote entre les 12 et 15 octobre et auront jusqu’au 2 novembre à 12 h (HNE) pour voter. Pour plus de détails, visitez la page des élections nationales.

Semaine de sensibilisation aux maladies mentales. Au cours d'une semaine donnée, 500 000 Canadiens sont incapables de travailler à cause d'une maladie mentale.

La Semaine de sensibilisation aux maladies mentales (SSMM) est une campagne nationale annuelle de sensibilisation du public coordonnée par l’Alliance canadienne pour la maladie mentale et la santé mentale (ACMMSM) et conçue pour aider les Canadiennes et les Canadiens à comprendre la réalité de la maladie mentale.

La maladie mentale touche plus de six millions de personnes au Canada, soit plus d’une personne sur cinq. (http://www.camimh.ca/fr/ssmm/a-propos-de-ssmm/) Cette semaine est l’occasion de faire la lumière sur les préjugés défavorables à l’égard de la maladie mentale et de travailler à créer une société où il est facile pour les personnes souffrant de maladie mentale d’obtenir l’aide dont elles ont besoin. La Semaine de sensibilisation aux maladies mentales vise à nous faire prendre conscience du lourd fardeau caché que la maladie mentale représente pour nous tous.Guide re ressources en santé mentale de l'IPFPC, page couverture

Afin d’accroître la sensibilisation et de réduire la stigmatisation, la SSMM présente des Visages des maladies mentales, donnant à des personnes souffrant de maladies mentales l’occasion de partager leur histoire.

Le Guide de ressources en santé mentale de l’IPFPC est disponible en ligne. Il foisonne de conseils pour vous aider à reconnaître les signes de maladie mentale, à entamer des conversations délicates et à trouver les ressources pour obtenir l’aide nécessaire. Nous avons tous un rôle à jouer pour vaincre les préjugés défavorables et créer une société où il est facile pour tous d’obtenir de l’aide en matière de maladie mentale.

Cette semaine, les Canadiennes et les Canadiens soulignent la première Semaine de l’égalité entre les sexes au pays. Le 21 juin 2018, le projet de loi C-309 a été adopté et la quatrième semaine de septembre est devenue la Semaine canadienne de l’égalité entre les sexes.

Le thème de cette année, «L’égalité des sexes, c’est bon pour tout le monde » (#BonPourTLM), rend compte des bienfaits universels de l’égalité des sexes. L’équité, la prospérité économique, la santé, le bonheur, la paix, la sécurité et des possibilités illimitées sont parmi les nombreux avantages de l’égalité des sexes promus par le gouvernement du Canada. Pour en savoir plus, consultez : www.swc-cfc.gc.ca/commemoration/gew-ses/about-apropos-fr.html.

Affiche de la campagne Éliminons la discrimination salariale lancée par le Congrès du travail du Canada avec comme mot-clique #fautqueçabouge. L’affiche présente une jeune femme aux longs cheveux noirs portant un bandana et un anneau nasal avec une forte expression faciale.

 

L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada représente 57 000 professionnels du secteur public canadien, dont plus de 40 % sont des femmes, et dont la vaste majorité oeuvre au centre de la fonction publique fédérale.

Le droit des femmes à un salaire égal pour un travail de valeur égale est renforcé au Canada par la ratification de la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes et d'autres instruments internationaux des droits de la personne ainsi que la Loi canadienne sur les droits de la personne.

Néanmoins, depuis près de 10 ans, il y a des lacunes au niveau de l'équité salariale dans la fonction publique fédérale compte tenu du taux relativement élevé de syndicalisation et de la féminisation croissante des effectifs. Il est donc urgent d'avoir une loi sur l'équité salariale qui nous donnera de vrais moyens proactifs et rapides pour mettre en oeuvre l'équité salariale et tiendra notamment compte des obligations existantes relativement aux droits de la personne, des leçons tirées de l'expérience passée et de la jurisprudence en matière d'équité salariale. L'Institut est d'avis qu'un régime d'équité salariale fédéral proactif constitue une étape cruciale, attendue depuis trop longtemps, pour obtenir un secteur du travail juste et fonctionnel.

Cette année, le Congrès du travail du Canada s’est joint aux organisations de femmes de partout au pays pour réclamer l’élimination de la discrimination salariale au Canada.

« L’un des obstacles les plus persistants à l’égalité entre les sexes au Canada est la discrimination salariale. Les femmes représentent près de la moitié de la main-d’œuvre canadienne, mais dans l’ensemble, elles gagnent 32 % de moins que les hommes. Les femmes de couleur, les femmes autochtones et les femmes handicapées (ou qui ont une combinaison de ces caractéristiques) gagnent encore moins que les femmes blanches et valides. »

Le président du CTC, Hassan Yussuff, le souligne dans un éditorial du Toronto Sun. (https://torontosun.com/opinion/columnists/yussuff-time-for-government-to-walk-the-walk-on-pay-equity) (article en anglais). Le CTC demande au gouvernement fédéral de créer un commissaire autonome axé sur l’équité salariale qui serait dirigé par la Commission de l’équité salariale.

Ce sont les femmes autochtones du Canada qui souffrent de l’écart salarial le plus important. Au Canada, les femmes autochtones gagnent 63 cents pour chaque dollar gagné par un homme non autochtone. (www.canadianwomen.org/fr/) En cette Semaine de l’égalité entre les sexes, l’Association des femmes autochtones du Canada demande l’inclusion des femmes autochtones dans le débat public sur l’égalité des sexes au Canada. 

L’Institut s’associe aux organisations de femmes et au mouvement syndical pour demander une résolution active de l’écart de rémunération entre les hommes et les femmes au Canada. Tout le monde en bénéficie lorsque toutes les femmes reçoivent un salaire égal pour un même travail.

OTTAWA, le 28 septembre 2018 — Alors que le Comité fédéral des finances se prépare aux audiences publiques pancanadiennes sur le budget de l’an prochain, l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) publie une fiche d’information démontrant que 72 % des Canadiens conviennent que « dans le prochain budget fédéral, le financement des programmes scientifiques du gouvernement fédéral devrait être rétabli à ce qu’il était en 2011 ». Cette constatation d’Environics Research est importante étant donné que le financement global pour la science fédérale est en fait plus bas aujourd’hui qu’il ne l’était sous le gouvernement Harper, notamment en recherche et développement (R et D).

Bien que les chiffres de Statistique Canada indiquent que le financement global des activités scientifiques du gouvernement a augmenté de 10,4 milliards de dollars en 2015-2016 à 11,3 milliards de dollars en 2018-2019, les dépenses réelles devraient être inférieures de 112 millions de dollars en 2018-2019 à celles de 2014-2015.

Pire encore, les dépenses en R et D effectuées par les scientifiques du gouvernement ont diminué de 891 millions de dollars par rapport à 2010-2011 sous le gouvernement Harper.

Alors qu’une partie du financement scientifique a été transféré au secteur privé pour encourager l’innovation, la R et D effectuée par les scientifiques fédéraux a fortement diminué.

« La force du réseau de R et D au Canada dépend d’une présence solide du gouvernement fédéral », selon la présidente de l’IPFPC, Debi Daviau. « Nous ne pouvons pas compter seulement sur le secteur privé pour obtenir les innovations nécessaires. Souvent, les innovations dont nous avons le plus besoin, par exemple, de meilleures prévisions météorologiques, des cultures plus résistantes, une meilleure surveillance de la pollution, sont le fruit de la R et D dans des secteurs relevant directement de la responsabilité du gouvernement fédéral, et c’est pourquoi nous demandons un financement accru dans le budget de l’an prochain. »

Les chiffres de StatCan renforcent les constatations d’un sondage de 2017 mené auprès des scientifiques fédéraux, selon lesquelles plus de la moitié (58 %) des scientifiques croient que leur ministère ne dispose pas des ressources suffisantes pour s’acquitter de son mandat. Le problème est particulièrement prononcé à l’Agence spatiale canadienne (79 %), à Ressources naturelles Canada (64 %) et même à Environnement et Changement climatique Canada, où 60 % des scientifiques ne croient pas que leur ministère dispose des ressources suffisantes.

Environics Research a mené son sondage d’opinion publique (commandé par l’IPFPC) par téléphone auprès de 1000 Canadiens entre le 3 et le 8 juillet 2018. Sa marge d’erreur est de ± 3,2 %, 19 fois sur 20.

Une invitation à participer au sondage en ligne préparé par Environics Research et destiné aux scientifiques fédéraux a été envoyée à 16 377 scientifiques, chercheurs et ingénieurs dans plus de 40 ministères et organismes fédéraux. De ce nombre, 3025 (18,5 %) ont répondu entre le 29 mai et le 27 juin 2017. La marge d’erreur des résultats du sondage est de ± 1,8 %, 19 fois sur 20. 

L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada représente 55 000 professionnels du secteur public du Canada, dont quelque 16 000 scientifiques, ingénieurs et chercheurs, la plupart à l’emploi du gouvernement fédéral.

Suivez-nous sur Facebook et Twitter (@pipsc_ipfpc).

Source :

Johanne Fillion, 613-228-6310, poste 4953, ou 613-883-4900 (cell.), jfillion@pipsc.ca

 

 

 

 

 

L’Institut et la Régie de la santé des Premières Nations (RSPN) ont fêté le renouvellement de leur convention collective le 23 juillet 2018. Les négociations ont eu lieu sur les terres des Premières Nations. Les prières, la sagesse et la vision des Aînés ont assuré la bonne marche du processus. La relation privilégiée qui s’est nouée entre les deux parties ne s’arrêtera pas avec la signature de la convention collective qui reflète les approches traditionnelles des Premières Nations en matière de gestion et de résolution des conflits.

« C’est un privilège d’avoir pris part à la reconduction de cette entente historique entre nos membres et la RSPN. À nous deux, nous avons réussi le tour de force inouï d’incorporer les principes et les pratiques autochtones aux négociations », de souligner la présidente Debi Daviau. « Il y avait une véritable volonté d’unir nos efforts. Nous nous sommes laissés guider par nos objectifs respectifs : de bons emplois dans des collectivités en santé, de dire la présidente de l’Institut Debi Daviau. Nous voulons utiliser la même approche pour la ratification de la convention et par la suite. »

La démarche va dans le sens de l’engagement de l’Institut envers la réconciliation avec les peuples autochtones du Canada. La première convention signée en 2015 établissait un précédent dans les relations de travail, car elle traduisait les perspectives, les valeurs et la sensibilité des Premières Nations. Il s’agissait en effet de la première entente de ce genre au Canada.

« Nous voulons remercier notre partenaire, l’IPFPC, de sa collaboration et de son ouverture d’esprit en acceptant de faire appel à nos Aînés pour les négociations et de tenir compte de nos perspectives dans la convention », a déclaré Joe Gallagher, PDG de la RSPN. « Je tiens à saluer les membres des deux équipes qui ont travaillé à l’unisson en ayant à cœur les intérêts des peuples et des organismes des Premières Nations. Nous réussissons toujours bien mieux ensemble. »

La convention collective est en vigueur du 1er avril 2017 au 31 mars 2020.

Le 20 août dernier, le Conseil du Trésor a lancé son sondage auprès des fonctionnaires fédéraux pour obtenir leurs opinions concernant leur mobilisation, leur leadership, l’effectif, le milieu de travail, leur bien-être, etc. À la demande des syndicats, le gouvernement a ajouté quelques questions sur les problèmes de paye causés par Phénix.

2018 Public Service employee survey image bilingual

L'Institut croit fermement que pour changer les choses, il faut des données de qualité; ainsi il encourage donc tous ses membres à participer au SAFF 2018.

Le sondage sera mené du 20 août au 28 septembre 2018 sous la supervision de la firme Advanis pour le compte du Bureau de la dirigeante principale des ressources humaines, Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada. Les réponses seront traitées en toute confidentialité.

 

Pour en savoir plus : https://www.canada.ca/fr/secretariat-conseil-tresor/services/innovation/sondage-fonctionnaires-federaux/2018/2018-propos-sondage-aupres-fonctionnaires.html

Le mémoire de l’IPFPC à l’intention du Comité permanent des finances de la Chambre des communes au sujet des consultations pré-budgétaires 2019-2020 est maintenant disponible.

 

Voici nos propositions qui, nous l’espérons, devraient figurer au prochain budget fédéral:

(1) Investir dans les capacités scientifiques et la recherche et développement à l’interne.

(2) Faire appel à la première conseillère scientifique afin de définir les paramètres plus détaillés permettant de surveiller la capacité scientifique du gouvernement. 

(3) Éliminer complètement le système Phénix; intensifier et accélérer les efforts pour trouver une solution interne permanente.

(4) Consacrer suffisamment de ressources à un nouveau système de paye.

(5)  « Diminuer le recours à des consultants externes pour ramener ces dépenses plus près de leur niveau de 2005-2006 », comme promis en 2015 dans le document Changer ensemble : Croissance pour la classe moyenne – plan financier du Parti libéral et établissement des coûts.   

(6)  Faire une priorité de la formation et du perfectionnement professionnel au sein de la fonction publique.

 (7) Éliminer les échappatoires fiscales, réviser les lois sur la protection de la vie privée et empêcher que les entités étrangères utilisent le Canada pour laver leur argent sale.

 (8) Réénergiser l’Agence de revenue du Canada (ARC).

 

 

Appel de candidatures pour 2019

Comités permanents du Conseil d’administration


Les membres qui souhaitent agir à titre de président, membre ou ami d’un comité permanent du Conseil d’administration en 2019 sont invités à exprimer leur intérêt en remplissant le formulaire prescrit et en l’envoyant à committeevolunteers@pipsc.ca avant la date limite, soit le vendredi 5 octobre 2018.

Comités du Conseil d’administration (CA)

Comité de la rémunération des cadres (voir la note 2)

Comité d’apprentissage et de formation (Président) (voir la note 2)

Note 1 : Article 17.1.3 des Statuts Composition - Tous les comités sont composés de cinq (5) à sept (7) membres et, à moins d’indication contraire, ils comprennent un (1) membre de chaque Région. Lorsqu’un vice-président sert d’agent de liaison à un comité, ce vice-président ne compte pas comme membre du comité.

Note 2 : Un appel de candidatures ne sera pas fait pour le Comité de la rémunération des cadres et le Comité d’apprentissage et de formation car, selon les statuts de l’Institut, les membres de ces comités sont choisis parmi les membres du Conseil d’administration et/ou les personnes désignées par les présidents des comités de formation régionaux. Toutefois, les membres peuvent indiquer leur intérêt pour le poste de président du Comité d’apprentissage et de formation en remplissant le formulaire prescrit .

Note 3 : Seuls les bénévoles qui ont dûment respecté le processus d’appel de candidatures, comme les délais prescrits pour présenter leur candidature, sont des candidats admissibles.

Modalités de participation

Vous pouvez vous porter candidat à un maximum de deux (2) comités, à l’exception du Comité des services aux membres (voir la note 2).

Remplissez dûment le formulaire prescrit comme suit :

  • Nommez clairement le comité par son nom. Si vous souhaitez siéger à deux comités, veuillez préciser votre premier et deuxième choix.
  • Indiquez votre groupe et votre Région.
  • Indiquez si vous visez un poste de président, de membre ou d’ami.

Note 4 : Si vous n’êtes pas désigné président, vous serez considéré comme un membre ou un ami.

Note 5 : Un « Ami » du comité est normalement un membre de l’Institut qui s’intéresse aux activités du comité sans être en mesure d’y participer activement. Il est à noter qu’il n’y a pas d’« amis » au Comité des élections.

  • Indiquez tous les comités du Conseil auxquels vous avez siégé au cours des cinq dernières années.
  • Pour chaque comité auquel vous postulez, vous devez expliquer brièvement (sur le formulaire prescrit) pourquoi vous souhaitez y siéger et ce que vous apporteriez à ce comité.
  • Exprimez votre intérêt avant la date limite à committeevolunteers@pipsc.ca.

Date limite

Les mises en candidatures sont acceptées au plus tard le vendredi 5 octobre 2018.

Renseignements

Veuillez consulter l’information sur le processus et les critères de sélection en suivant les liens suivants :

Comités du Conseil dans les statuts de l’Institut ainsi que dans la Politique sur les comités du Conseil d’administration.

Pour toute question, veuillez nous contacter à committeevolunteers@pipsc.ca.

Nous célébrons aujourd’hui avec les syndicats du monde entier les réalisations et la résistance de tous les travailleurs et travailleuses. En cette journée spéciale, et au vu des problèmes de Phénix qui persistent, l’IPFPC demande vivement au gouvernement d’agir dans ce dossier.

Dans un sondage récent, 46 % des Canadiens ont dit qu’un délai de six mois est un « délai d’attente raisonnable »; et pourtant, les membres de l’IPFPC attendent depuis plus longtemps. Le taux d’impatience grimpe d’un cran à près de 9 personnes sur 10 (88 %) si l’on inclut les personnes qui trouvent qu’un délai raisonnable ne dépasse pas deux ans.

« Nous attendons une solution depuis plus de deux ans déjà, souligne la présidente de l’Institut, Debi Daviau. Maintenant que le gouvernement s’est engagé à trouver un autre système de paye, il doit s’activer. Qu’il ne demande pas à nos membres d’attendre encore deux ans. »

Des dizaines de milliers de fonctionnaires fédéraux ne s’en sortent toujours pas avec les erreurs de Phénix qui leur verse un salaire moindre, excessif, ou trop souvent, pas de salaire du tout. L’IPFPC continue de presser le gouvernement à mettre en place une solution de rechange sans autre délai. « Nous sommes un partenaire actif et capable d’aider le fédéral à trouver une solution rapidement. Nous ferons tout pour que des solutions de rechange soient mises à l’essai le plus rapidement possible », fait valoir la présidente en faisant allusion au partenariat de travail annoncé en juin entre l’Institut et le gouvernement fédéral.

L’IPFPC plaide vivement pour que soit adopté le « Système administratif d’entreprise » (SAE), utilisé actuellement par l’Agence du revenu du Canada et l’Agence des services frontaliers du Canada, un système qui peut être agrandi pour être utilisé partout au gouvernement.

 « Le délai d’adaptation et de mise en ligne du SAE serait plus court que le délai (hypothétique) de mise en place d’un nouveau système proposé par le gouvernement fédéral » renchérit la présidente. Et cette solution permettrait de retrancher du système de paye Phénix au moins 55 000 fonctionnaires de l’ARC et de l’ASFC et de commencer plus tôt à leur verser leur paye au moyen d’un système modernisé et beaucoup plus fiable. Le gouvernement doit s’activer à mettre en place un système viable sans trop tarder. Nos membres n’en peuvent plus d’attendre. »

L’IPFPC presse le gouvernement à commencer à développer une solution de remplacement dès aujourd’hui! 

Aidez-nous dans cette démarche. Cliquez sur ce lien et remplissez le court formulaire qui enverra un courriel au Comité du Cabinet du Conseil du Trésor et au député qui te représente:

https://enaction.ipfpc.ca/on_merite_mieux