L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Plusieurs changements ont été effectués dans la composition du conseil d’administration, conformément aux articles des statuts 20.3, 20.4, 21.4, 21.4 et 21.5, en raison d’un congé autorisé et de démissions.

Sean O’Reilly : vice-président intérimaire (à temps plein) en l’absence de Shannon Bittman depuis la fin de 2017.

Nancy McCune : vice-présidente intérimaire (à temps partiel) depuis la démission de Shirley Friesen en juin 2018.

Gordon Bulmer : directeur intérimaire de la Région de la capitale nationale, après la récente démission de Del Dickson.

Brian Hassall : directeur intérimaire de la Région de la capitale nationale, en l’absence de Sean O’Reilly qui est devenu vice-président intérimaire.

Robert Trudeau : directeur intérimaire de la Région des Prairies et des Territoires du Nord-Ouest, en l’absence de Nancy McCune qui est devenue vice-présidente intérimaire (à temps partiel) en juillet 2018.

Nous annonçons avec regret le départ de Del Dickson qui a démissionné à titre de directeur de la RCN et membre du conseil d’administration de l’Institut.

L’IPFPC tient à remercier M. Dickson pour ses cinq années et demie de service à titre de directeur de la RCN ainsi que pour son dévouement à titre de délégué syndical et directeur et champion de la Fondation Héritage.

Nous lui souhaitons bonne chance dans ses projets auxquels il apportera certainement le professionnalisme, le dévouement et l’énergie qu’on lui connaît.

L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) se réjouit de l’annonce faite aujourd’hui selon laquelle le gouvernement fédéral accepte le modèle de politique sur l’intégrité scientifique proposé à l’origine par nos membres et modifié dans le cadre de consultations subséquentes.

La conseillère scientifique en chef du Canada, la Dre Mona Nemer, et la présidente de l'Institut, Debi Daviau, viennent de parapher la politique et s'en réjouissent Ce processus est un exemple de collaboration fructueuse entre le Bureau de la Conseillère scientifique en chef, le Secrétariat du Conseil du Trésor et l’Institut.

Cette annonce est le point culminant de plus de trois ans de travail des scientifiques fédéraux (nos membres) à promouvoir la recherche scientifique et des politiques fondées sur des données probantes au sein du gouvernement.

En adoptant les dispositions du modèle de politique sur l’intégrité scientifique, les ministères et organismes fédéraux qui emploient dix scientifiques ou plus peuvent bientôt s’attendre à des politiques plus précises qui garantissent ce qui suit :

  •  les activités scientifiques fédérales répondent toutes aux normes d’excellence scientifique applicables;
  • les recherches et les résultats scientifiques. Ainsi que les communications à leur égard, sont libres de toute interférence politique et commerciale ou de la part des parties intéressées;
  • la recherche et l’information sont diffusées en temps opportun;
  • les contributions des scientifiques sont fidèlement représentées et reconnues;
  • les conflits d’intérêts sont évités ou, à tout le moins, signalés;
  • les interprétations divergentes de la recherche et des preuves scientifiques sont explicites et représentées avec précision;
  • les contributions significatives des chercheurs et des scientifiques aux programmes, aux politiques, aux règlements et à la prise de décisions du gouvernement sont reconnues;
  • tout non respect de ces principes d’intégrité scientifique est signalé à la direction.

En adoptant le modèle de politique, les scientifiques fédéraux et leurs ministères reconnaissent que l’intégrité scientifique fait partie intégrante de leur travail, qu’elle est essentielle au processus décisionnel de l’administration publique et que garantir cette intégrité est la responsabilité de tous les employés.

Combinée au droit des scientifiques fédéraux de parler librement de la science et de leur recherche — récemment négocié dans le cadre de conventions collectives avec le gouvernement fédéral —, l’adoption du modèle de politique d’intégrité scientifique représente un énorme pas en avant pour la science dans l’intérêt public et pour les scientifiques fédéraux qui en sont chargés.

Vous pouvez lire la politique en entier ici.

Debi Daviau, présidente de l’Institut

 

Frances Goodspeed

 

C’est avec une grande tristesse que nous vous annonçons le décès de Frances Goodspeed, la première femme à prendre la tête de l’Institut (1961-1962) le 27 juin 2018.

Chimiste de renommée internationale, Frances Goodspeed a présidé le comité responsable du plan directeur de 25 ans qui a mené à la construction du premier immeuble de bureaux de l’Institut. C’était au 786, avenue Bronson, à Ottawa.

Mme Goodspeed a travaillé à Énergie, Mines et Ressources pendant une vingtaine d’années, et elle a ouvert les portes de la fonction publique à bien des femmes. En accédant au poste de directrice des opérations à la Commission des relations de travail dans la fonction publique, elle intégrait à l’époque un groupe de seulement 28 femmes hautes fonctionnaires au gouvernement fédéral.

Par la suite, durant ses années de retraite, elle a fait partie du conseil d’administration des Infirmières de l'Ordre de Victoria.

Frances Goodspeed a voyagé partout dans le monde, notamment dans l’Arctique et l’Antarctique. Ses talents de photographe de la faune et de la flore lui ont valu de multiples prix.

L’Institut présente ses condoléances à la famille de Frances Goodspeed et aux nombreux amis et collègues qui ont eu le privilège de la connaître.

Pour des condoléances ou témoignages personnels :

http://ottawacitizen.remembering.ca/obituary/frances-goodspeed-1066831938

 

C’est avec regret que nous annonçons le départ de Shirley Friesen, qui quitte son poste à l’Institut afin d’entreprendre d’autres projets professionnels.
 
L’Institut tient à remercier Mme Friesen pour son travail des cinq dernières années comme vice-présidente et toutes les années qu’elle a consacrées à son travail de déléguée syndicale et de présidente de l’équipe de consultation nationale de Service correctionnel Canada.
 
Nous sommes assurés qu’elle continuera de travailler avec le professionnalisme, le dévouement et l’énergie qu’on lui connaît à ses nouvelles entreprises.
 

La Fondation Héritage vous rappelle que la date limite de présentation des demandes de bourses d'études est le 13 juillet 2018.

En 2018, la Fondation décernera les bourses suivantes :

Série de commanditaires

  • 1 bourse d’études de 5 000 $
  • 15 bourses d’études de 1500 $

Fonds des fondateurs

  • 2 bourses d’études de 1 500 $
  • 2 bourses d’études de 1 000 $
  • 1 bourse d’études de 500 $

Admissibilité

Sont admissibles à une bourse d’études, les enfants et petits-enfants de membres titulaires et retraités de l’Institut qui sont en règle ou étaient en règle au moment de leur décès. Les enfants et petits-enfants de cotisants RAND ne sont pas admissibles.

Les candidats doivent entrer en première année à temps plein d’un programme d’études postsecondaires dans un établissement scolaire qui comprend les cégeps au Canada ou à l’extérieur du Canada.

Critères de selection

Les critères de sélection sont les mêmes pour toutes les bourses. Une seule bourse sera remise à chacun des lauréats.

Un comité de sélection indépendant octroiera les bourses en se fondant sur les critères suivants :

  1. Réalisations académiques (relevé de notes requis).
  2. Déclaration attestant les qualités de meneur et de l’engagement dans la communauté accompagnée d’au moins 2 lettres de référence et autres documents pertinents.
  3. Dissertation de 750 à 1000 mots sur le « professionnalisme ». Le sujet pourrait être « Que signifie être un professionnel dans le cadre de votre carrière? », mais d’autres sujets sur le professionnalisme seront acceptés. Les dissertations seront jugées d’après le contenu, la grammaire, l’orthographe, la structure et la présentation.
  4. Énoncé expliquant pourquoi le candidat pense mériter une bourse et énonçant ses objectifs académiques et son cheminement de carrière éventuel. La lettre sera évaluée d’après son contenu, la grammaire, l’orthographe, la structure et la présentation des objectifs.

Pour obtenir plus d’information et un formulaire officiel de demande, vous pouvez consulter le site web (www.pipsc.ca/legacy) ou communiquez par courriel à bourses@pipsc.ca.

Inscription au programme

Toutes les demandes doivent inclure les documents suivants :

  • formulaire officiel de demande de bourses d’étude (Voir www.pipsc.ca/portal/page/portal/website/legacy/scholarship/app_form)
  • copie du relevé de notes officiel du dernier établissement scolaire fréquenté
  • déclaration expliquant pourquoi vous pensez mériter une bourse et énonçant vos objectifs académiques et votre cheminement de carrière éventuel
  • déclaration attestant vos qualités de meneur et votre engagement dans la communauté accompagnée d'au moins 2 lettres de référence et autres documents pertinents.
  • dissertation de 750 à 1 000 mots sur le professionnalisme

Veuillez envoyer la demande, accompagnée des documents à l’appui, par courriel à bourses@pipsc.ca, ou par la poste, ou télécopieur au :

Jury de sélection
La Fondation Héritage de l’Institut professionnel
250, chemin Tremblay
Ottawa (Ontario) K1G 3J8
Téléphone : 613 228-6310 / 1 800 267-0446
Télécopieur : 613 228-9048 / 1 800 465-7477

Qu’ils soient retenus ou non, les candidats seront informés par le comité de sélection. Les bourses s’appliqueront à l’année scolaire commençant en septembre 2018.

Les lauréats seront avisés à la mi-septembre 2018 au plus tard. Un chèque sera remis à l’heureux candidat sur confirmation de son inscription à un programme offert par un établissement d’enseignement postsecondaire.

La Fondation se réserve le droit d’utiliser les photos et les noms des lauréats dans son matériel promotionnel.

Le jeudi 24 mai 2018, vous avez reçu un courriel de l’équipe de migration des courriels de l’Institut contenant un mot de passe temporaire unique de 6 caractères. Malheureusement, Google exige un mot de passe d’au moins 8 caractères et nous avons donc maintenant ajouté 99 à la fin de chaque mot de passe envoyé antérieurement.
 
Vous pouvez maintenant accéder à votre mot de passe temporaire dans GroupWise ici : https://gw8.pipsc.ca/gw/webacc


Vous pourrez accéder à votre nouveau compte Gmail ici :https://accounts.google.com/signin
 
Nom d'utilisateur : < votre adresse de courriel @pipsc.ca >

Mot de passe temporaire : le mot de passe de 6 caractères déjà envoyé auquel vous devez ajouter 99 à la fin
 
Si vous avez du mal à vous connecter à Gmail, veuillez écrire à l’équipe de soutien de l'Institut à informatics@pipsc.ca ou téléphoner au 1-800-267-0446.  
 
Merci.
 
L’équipe de migration des services de courriel de l’IPFPC

Bonjour,

Les élections qui auront lieu le mois prochain en Ontario revêtent une importance capitale. En tant que professionnels de la fonction publique, il est important de réfléchir pour déterminer quels partis vont accroître les services publics et quels sont ceux qui vont les réduire. Lorsqu’il s’agit d’améliorer la vie des enfants, des aînés, des familles et de nos membres en Ontario, c’est ce qui compte. Parce que la multiplication et l’amélioration des soins de santé publics, des services de garde d’enfants, du système d’éducation et des emplois font la différence entre les communautés fortes, saines et dynamiques... et celles qui ne le sont pas.

Votre vote compte. Vous savez déjà à quel point votre travail peut être important dans la vie des autres. C’est pourquoi je vous exhorte à voter le 7 juin — et à voter pour les services publics.

Vous pouvez vous engager à voter pour les services publics en visitant : https://enaction.ipfpc.ca/votez_pour_les_services_publics. Nous ne manquerons pas de vous rappeler de voter lorsque le jour de l’élection approchera.

Pour en savoir plus et vous assurer d’être inscrit pour voter, rendez-vous sur le site d’Élections Ontario.

Bien mieux ensemble!
Debi Daviau, présidente de l’Institut

Au nom des membres de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC), je souhaite adresser mes plus chaleureuses félicitations à Chris Aylward pour son élection à titre de président national de l’Alliance de la fonction publique du Canada (AFPC). Je suis impatiente de continuer à travailler aux côtés du président Aylward sur les dossiers d’importance commune pour nos membres. Quand nous unissons nos efforts, l’Institut et l’Alliance réussissent à réaliser de grandes choses. Je suis convaincue que nous poursuivrons sur cette même lancée fructueuse avec le président Aylward à la barre.

J’aimerais aussi féliciter Magali Picard, élue vice-présidente exécutive nationale, et Sharon DeSousa, élue vice-présidente exécutive nationale suppléante. Je me réjouis à la perspective de travailler avec ces deux dirigeantes exceptionnelles.

Pour conclure, je voudrais souhaiter à la présidente nationale sortante, Robyn Benson, une bonne retraite! Au nom de l’Institut, je la remercie sincèrement pour son leadership engagé et ses réalisations pour les fonctionnaires fédéraux.

Bien mieux ensemble!
Debi Daviau
Présidente

Bonjour,

Le mois dernier, j’ai eu l’occasion de représenter l’Institut et le mouvement syndical canadien au Sommet du L7 à Ottawa. Il s’agissait d’une rencontre de deux jours organisée par le Congrès du travail du Canada (CTC) en préparation du Sommet du G7, qui aura lieu cet été à Québec. Comme je suis l’une des vice-présidentes du CTC, on m’a invitée à prendre part à ces importantes discussions sur ce que nous pourrions faire pour relever les défis du monde du travail d’aujourd’hui et de demain. Parmi les thèmes à débattre, nous avons étudié les moyens à prendre pour que le programme d’innovation soit inclusif, assure l’égalité des genres et s’adapte à l’évolution technologique.

J’ai eu le privilège de rencontrer des dirigeants d’organisations syndicales des pays du G7 (Canada, France, Allemagne, Italie, Japon, Royaume-Uni et États-Unis) et de discuter de nos enjeux avec le premier ministre Justin Trudeau et quelques membres de son Cabinet. Nous avons pu échanger ouvertement et franchement avec le premier ministre. En plus de cela, nous avons eu la chance d’avoir des discussions productives avec les ministres Patty Hadju (Emploi, Développement de la main-d’œuvre et Travail), Maryam Monsef (Condition féminine) et Chrystia Freeland (Affaires étrangères).

Les deux photos ci-dessous ont été prises au Sommet; on m’y voit en compagnie du premier ministre et d’un impressionnant groupe de femmes, que j’ai eu le privilège de rencontrer.

Bien mieux ensemble!
Debi Daviau

Debi avec des femmes impressionantes

 

Debi avec Trudeau