L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

12 Octobre 2017, Ottawa — Aujourd’hui, des centaines de fonctionnaires fédéraux se rendront devant les bureaux de Justin Trudeau à 12 h 30 pour envoyer un message on ne peut plus clair aux libéraux : ça suffit!

Le gouvernement s’était lui-même donné jusqu’en octobre 2016 pour résoudre la majorité des dossiers liés à Phénix. Or, un an plus tard, les problèmes sont loin d’être réglés. L’heure est venue de réparer Phénix une fois pour toutes et d’indemniser les milliers de fonctionnaires qui ont subi les conséquences de ne pas être payés correctement, voire pas du tout.

Le lancement prématuré et mal planifié du système de paye Phénix a eu de graves conséquences, malgré les quelque 750 millions de dollars dépensés à ce jour :

●  Des problèmes de paye ont plongé près de la moitié des fonctionnaires fédéraux ainsi que leurs familles dans le désarroi.

●  À cause de Phénix, il y a eu 11 atteintes à la sécurité des renseignements personnels des fonctionnaires à l’échelle du gouvernement.

●  Le nombre de dossiers problématiques ne cesse d’augmenter.

« Cette comédie a assez duré, affirme Greg McGillis, vice-président exécutif régional de l’Alliance de la Fonction publique du Canada pour la région de la capitale nationale. Nous exigeons du gouvernement qu’il indemnise les fonctionnaires lésés par l’incroyable fiasco qu’est Phénix. »

« Arranger Phénix, ça veut dire mettre fin à l’habitude déplorable du gouvernement de trop compter sur IBM et d’autres sous-traitants, explique Debi Daviau, présidente de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada. Le secrétaire parlementaire, Steven MacKinnon, a promis la semaine dernière que le gouvernement réglerait ce problème à la satisfaction de tous en recourant aux compétences des employés de la fonction publique et nous prévoyons lui faire tenir sa promesse ». 

Information:

Alroy Fonseca                                                                       

Agent de communication et action politique  

AFPC Région de la capitale nationale                                   

613-262-3658 | fonseca@psac-afpc.com  

Johanne Fillion

Agente de communication

IPFPC

613-883-4900 | jfillion@pipsc.ca

11 Octobre 2017, Ottawa — Demain, les fonctionnaires fédéraux se rendront devant les bureaux de Justin Trudeau pour dire au gouvernement libéral qu’ils en ont assez. Il faut réparer Phénix maintenant et indemniser les travailleurs!

Quand : le 12 octobre 2017 à 12 h 30

Où : angle des rues Wellington et Elgin

Quoi :

  • Manifestation pour protester contre le système de paye Phénix
  • Photos
    • Foule avec affiches
  • Entrevues
    • Greg McGillis, vice-président exécutif régional de l’Alliance de la Fonction publique du Canada pour la région de la capitale nationale
    • Debi Daviau, présidente, Institut professionnel de la fonction publique du Canada
    • Sean McKenny, président, Conseil du travail d’Ottawa et du district

Information:

Alroy Fonseca
Agent de communication et action politique
AFPC Région de la capitale nationale
613-262-3658 | fonseca@psac-afpc.com

Johanne Fillion
Agente de communication
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Ottawa, le 27 septembre 2017 – L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC), qui représente environ 15 000 scientifiques, ingénieurs et chercheurs fédéraux, se félicite de l’annonce de la nomination de Mona Nemer en tant que conseillère scientifique en chef.

« Nous espérons que le milieu de la science fédérale pourra compter sur Mme Nemer pour qu’elle augmente le financement des activités scientifiques du gouvernement et pour qu’elle s’oppose fermement au musellement , a déclaré Debi Daviau, présidente de l’IPFPC. Nous nous réjouissons à l’idée de collaborer étroitement avec elle. »

Sous l’égide du gouvernement Harper, les ministères et organismes fédéraux à vocation scientifique ont subi de graves compressions, et beaucoup de scientifiques ont été muselés. L’IPFPC a lutté avec ardeur contre les deux, pour éventuellement réussir à faire enchâsser dans les conventions collectives le droit des scientifiques de s’exprimer librement sur leurs recherches et sur la science.

« Le réinvestissement dans la science fédérale demeure également une priorité pour nos membres » d’ajouter Mme Daviau. « De nombreux scientifiques fédéraux se réjouiront des premiers commentaires de Mme Nemer, qui a déclaré être favorable au financement accru de la science. Non seulement le Canada a-t-il besoin de plus de science, mais il lui faut également plus de scientifiques. »

L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada représente 55 000 professionnels des secteurs publics fédéral et provinciaux.

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Les professionnels des TI de l’Université d’Ottawa (PTIUO) envisagent de prendre des moyens de pression cette semaine

Ottawa, le 11 septembre 2017 – Les professionnels des technologies de l’information de l’Université d’Ottawa (PTIUO), représentés par l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC), exploreront leurs options cette semaine, alors qu’un médiateur tente de dénouer une impasse vieille de plusieurs semaines à la table de négociations.

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Fête du Travail 2017 : notre travail continue pour arranger Phénix

Ottawa, le 1er septembre 2017 – L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC), qui défile pour la fête du Travail de cette année, va inciter le public et le mouvement syndical à se montrer solidaires des fonctionnaires lésés par le système de paye Phénix. Avec le slogan « En action pour arranger Phénix », ce système de paye qui cause beaucoup de problèmes aux fonctionnaires depuis son lancement au début de 2016, l’IPFPC va inviter la foule à réclamer que le gouvernement corrige les ratés de Phénix.

« À cause de toutes les payes en retard, erronées ou même inexistantes, on comprendra que nos membres n’ont pas le cœur à la fête. Un employé fédéral sur deux est touché et aucune solution permanente n’est encore en vue, déplore la présidente de l’IPFPC, Debi Daviau. Les fonctionnaires ne savent jamais à quoi s’attendre avec Phénix. Ils méritent de savoir quand ce gâchis sera réparé une fois pour toutes ».

Le gouvernement fait des efforts pour améliorer la situation, notamment en mettant sur pied une « équipe d’analyse interministérielle », qui comprendra des représentants de divers ministères, du Conseil du Trésor, des fournisseurs et des syndicats. Et les améliorations apportées aux centres d’appel arrivent à point nommé. Mais ces efforts restent insuffisants, vu les problèmes qui continuent de se multiplier. Avec les anomalies récentes touchant la paye rétroactive et les relevés annuels des pensions et des avantages sociaux, comment croire que nous sommes au bout de nos peines?

« Nous reconnaissons ces efforts, mais la lumière au bout du tunnel est encore bien loin et le gouvernement doit redoubler d’ardeur pour régler les problèmes une fois pour toutes, sans attendre. Récemment, on a présenté notre fonction publique comme la meilleure du monde. Elle doit le rester. Et un bon moyen de garder le cap, c’est d’arranger Phénix », conclut Mme Daviau.

L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada représente 55 000 professionnels des secteurs publics fédéral et provinciaux.

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(*) Le défilé commence à l’Hôtel de Ville d’Ottawa (au coin d’Elgin et de Lisgar), à 12 h, et se termine au parc McNabb (au coin de Gladstone et de Bronson), où des activités, des divertissements, de la nourriture et bien d’autres choses attendront les participants entre 13 h et 16 h.

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Le plan de modernisation des services de l’ARC dans la RGT : une mauvaise idée selon l’IPFPC

Ottawa, le 2 août 2017 – Le projet de spécialisation de l’expertise des bureaux de l’Agence du revenu du Canada de la Région du Grand Toronto (RGT) dans quatre lieux différents pourrait nuire aux services aux contribuables ainsi qu’au recrutement et à la rétention, selon l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC).

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Ottawa, le 1er mai 2017 – Après que le gouvernement a annoncé au début de l’année que les membres civils de la Gendarmerie Royale du Canada (GRC) seront réputés être nommés en vertu de la Loi sur l’emploi fonction publique (LEFP) au mois d’avril 2018, l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) a présenté une demande à la Commission des relations de travail et de l’emploi dans la fonction publique (CRTEFP) pour devenir l’agent négociateur de près de 1360 employés, dont les principales fonctions sont comprises dans les unités de négociation de l’Institut, qui est leur agent négociateur accrédité.

Cela permettrait à ces employés de la GRC de bénéficier de la protection d’un syndicat et d’avoir des représentants officiels à leur service dès que possible.

Même si les conditions de travail des membres civils diffèrent à certains égards de celles de leurs collègues de la fonction publique fédérale, l’Institut a pris les mesures nécessaires pour protéger les droits et les conditions de travail des futurs membres durant la période transitoire de leur intégration dans la fonction publique.

« Nous sommes heureux d’accueillir ces nouveaux membres dans notre communauté de professionnels qui se dévouent tous les jours pour les Canadiens. Nous sommes persuadés que nous serons plus forts ensemble », déclare la présidente de l’IPFPC, Debi Daviau. « Nous voulons maintenir les conditions d’emploi actuelles des membres civils et faire en sorte que le processus déterminatif se déroule le plus harmonieusement possible pour faciliter l’intégration de ces membres aux groupes professionnels représentés par l’Institut ».

L’IPFPC représente quelque 55 000 professionnels des secteurs publics fédéraux et provinciaux du Canada.

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Communiqué de presse

Ottawa, le 28 avril 2017 – Des représentants de plusieurs syndicats de la fonction publique fédérale ont réagi avec prudence à l’annonce hier de la création d’un groupe de travail gouvernemental afin de régler les problèmes du système de paye Phénix.

Le « Groupe de travail des ministres chargés d'atteindre la stabilité du système de paye », sera présidé par Ralph Goodale, ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile et comprend plusieurs ministres, dont ceux des Finances, du Conseil du Trésor et des Services publics.

La présidente de l’Alliance de la Fonction publique du Canada, Robyn Benson, a indiqué que « l’APFC salue toute annonce du gouvernement qui vise à réparer Phénix. Nous constatons que le gouvernement prend finalement ces problèmes au sérieux, mais nous avons besoin de voir des gestes concrets. » Elle a ajouté que les fonctionnaires ont besoin d’un système qui les paient, les paient à temps et qui verse toutes les sommes dues. « Nous attendons encore un échéancier qui prévoira ceci. »

« Cette annonce est le résultat d’un lobbying constant des syndicats de la fonction publique au nom de leurs membres, a ajouté Debi Daviau de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada. Dans son dernier budget, le gouvernement fédéral n’avait pas répondu à notre demande de consacrer 75 millions de dollars pour régler Phénix. L’annonce ne fait pas état d’argent frais, mais les 70 $ millions par année qui seront consacrés à Phénix au cours des deux prochaines années sont bienvenus. On va s’assurer que ces sommes sont bel et bien consacrées à réparer Phénix. »

Des représentants syndicaux vont travailler étroitement avec le groupe de travail ministériel sur Phénix et vont rappeler au gouvernement qu’il doit compenser les employés ayant souffert des ratés de Phénix, et les compenser pour les intérêts perdus en raison des délais à obtenir les sommes qui leur sont dues.

Selon André Picotte, président par intérim de l’Association canadienne des employés professionnels, « le fiasco de Phénix s’explique par le mise en œuvre d’un plan qui n’a pas tenu compte des intérêts des employés de la fonction publique. »

De son côté, Jason Godin le président du Syndicat des agents correctionnels du Canada – CSN, a déclaré : « Nous voulons accueillir l’annonce positivement et croire que cette nouvelle tentative de réparer Phénix sera la bonne, mais nous demeurons prudent. De nouveaux cas problématiques font surface à toutes les deux semaines, alors il est difficile d’afficher un grand enthousiasme à ce moment. »

Finalement, les syndicats de la fonction publique vont également demander que le gouvernement s’engage à trois choses : qu’il embauche plus de personnel ayant plein accès à Phénix afin de répondre aux requêtes des employés; qu’il embauche du personnel permanent, et non temporaire, dans les centres d’appel, du personnel qui a la formation et les compétences pour aider les employés et; qu’il garde les centres satellites de paye ouverts tant que tous les problèmes de Phénix n’auront pas été réglés.

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Les 18 syndicats agent négociateurs de la fonction publique fédérale sont :

  • Alliance de la Fonction publique du Canada
  • Association canadienne des agents financiers
  • Association canadienne des employés professionnels
  • Association canadienne du contrôle du trafic aérien, section locale 5454
  • Association des employés du Conseil de recherches
  • Association des juristes de Justice
  • Association des métiers des chantiers maritimes du gouvernement fédéral
  • Association des pilotes fédéraux du Canada
  • Association des professeurs des collèges militaires canadiens
  • Association professionnelle des agents du service extérieur
  • Conseil des métiers et du travail des chantiers maritimes du gouvernement fédéral (est)
  • Conseil des métiers et du travail des chantiers maritimes du gouvernement fédéral (ouest)
  • Fraternité internationale des ouvriers en électricité, section locale 2228
  • Guilde de la marine marchande du Canada
  • Institut professionnel de la fonction publique du Canada
  • Syndicat des agents correctionnels du Canada – CSN
  • Syndicat des agents de communications de la Garde côtière, section locale 2182
  • Unifor, section locale 588-G

Renseignements :

Pierre Lebel, ACEP
plebel@acep-cape.ca
613-236-9181, poste 263 ou 613-889-1027

Jonathan Choquette, AFPC
choquej@psac-afpc.com
819-773-2511

Johanne Fillion, IPFPC
jfillion@pipsc.ca
613-228-6310, poste 4953 ou 613-883-4900

Katerine Desgroseilliers, CSN
Katerine.Desgroseilliers@csn.qc.ca
514-598-2163 ou 514-265-4250

Pour diffusion immédiate

OTTAWA, le 27 avril 2017 - Le gouvernement fédéral a annoncé aujourd’hui qu’il engagera 140 M$ sur deux ans pour s’assurer que les employés fédéraux touchés par les problèmes du système de paye Phénix sont payés correctement. Cet engagement du gouvernement à arranger Phénix une fois pour toutes s’est longtemps fait attendre, mais l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) se réjouit de cette annonce.

« Comme nous préconisions la création d’un fonds de réserve spécial de 75 M$ dans le budget de cette année, cette annonce montre que le gouvernement prend finalement au sérieux la gravité des problèmes de nos membres, déclare la présidente de l’IPFPC, Debi Daviau.

« Nous sommes aussi très heureux de voir que le gouvernement accepte de rembourser les services de conseils fiscaux intérêts et les honoraires que nos membres ont dû payer en raison des problèmes de Phénix. Après tout, c’est une question de justice », poursuit Mme Daviau.

Cependant, on peut se demander si le gouvernement saura efficacement contrôler les erreurs de paye dans l’avenir, ajoute-t-elle. Nous soutenons depuis longtemps que la dépendance excessive à l’égard d’IBM et des services sous traités – dont la mise en œuvre du logiciel de lancement du logiciel de paye Phénix –programment les fonctions gouvernementales pour l’échec. Nous espérons que le groupe de travail du gouvernement dont on a annoncé la création aujourd’hui prendra ces préoccupations au sérieux ».

L’IPFPC représente quelque 55 000 scientifiques et professionnels du secteur public fédéral dans l’ensemble du pays, pour la plupart employés par le gouvernement fédéral.

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Source :

Johanne Fillion : tél. 613 228 6310, poste 2303 (bureau) ou 613-883-4900 (cell.), jfillion@pipsc.ca.