L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Diffusion immédiate

Ottawa, le 22 mars 2017 – Le gouvernement fédéral a annoncé qu’il investira 529,9 millions de dollars de plus dans la lutte à l’évasion et l’évitement fiscaux en engageant de nouveaux vérificateurs. C’est une bonne nouvelle, mais les investissements stratégiques nécessaires dans le personnel scientifique font défaut dans ce budget « Innovation », tant attendu, selon l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC). Qui plus est, le gouvernement continue d’être lent à réduire les milliards de dollars actuellement dépensés en services sous-traités et n’investit rien de plus dans le règlement des problèmes du système de paie Phénix, malgré les demandes pressantes des syndicats à ce sujet.

« Les nouveaux investissements aideront l’Agence du revenu du Canada (ARC) à s’assurer que les milliardaires et les grandes sociétés paient leur juste part d’impôt, déclare la présidente de l’IPFPC, Debi Daviau. Mais après des années de réduction d’emplois et de programmes sous le gouvernement Harper, il reste encore au moins 1500 emplois de scientifiques à rétablir pour maintenir des niveaux de service adéquats et restaurer l’importante expertise fédérale. »

« Réduire les dépenses annuelles en sous-traitance de services publics (environ 12 milliards de dollars actuellement) renforcerait également les services publics tout en réduisant les profits d’entreprises réalisés au détriment des contribuables. Le gouvernement avait promis de réduire les dépenses en consultants externes à leurs niveaux de 2005 2006 d’ici 10 ans. Nous estimons qu’il pourrait – et devrait – le faire pendant son mandat. »

« Nous sommes bien sûr déçus que le gouvernement choisisse de ne pas consacrer plus de fonds pour corriger une fois pour toutes le fiasco Phénix, certainement l’un des chapitres les plus sombres – et les plus longs – en matière de mauvaise gestion de la fonction publique fédérale, conclut Mme Daviau. À cet égard, son silence est assourdissant. »

L’IPFPC représente près de 55 000 scientifiques et professionnels du secteur public fédéral dans l’ensemble du pays.

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Renseignements : Johanne Fillion (613) 228-6310 poste 2303 (bureau) ou (613) 883-4900 (cellulaire)
courriel.

Ottawa, le 23 février 2017 – En ce premier anniversaire de Phénix, les trois plus importants syndicats du secteur public fédéral pressent le gouvernement de prévoir un fonds de réserve de 75 millions de dollars dans son prochain budget.

Selon l’Alliance de la Fonction publique du Canada (AFPC), l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) et l’Association canadienne des employés professionnels (ACEP), le fonds est essentiel pour veiller à ce que les fonctionnaires soient payés correctement et à temps.

« Nos membres sont de plus en plus frustrés par la situation. Si les ministères n’ont pas les ressources adéquates, ils ne pourront jamais régler les problèmes », déclare Chris Aylward, vice-président exécutif national de l’AFPC. « Les solutions au fiasco Phénix sont de tous ordres, pas uniquement technologiques. Avec ce fonds, les ministères pourront mieux s’attaquer aux difficultés causées par le nouveau système de paye. »

Les syndicats collaborent avec le gouvernement pour aider à résoudre les nombreux problèmes de Phénix. Or, il apparaît clairement qu’il faut affecter plus de personnel et le former convenablement pour que les agences et les ministères fédéraux puissent reprendre le dessus. Le fonds de réserve de 75 millions de dollars leur donnera les ressources dont ils ont besoin.

« De toute évidence, Phénix n’a pas généré l’efficacité et les économies prévues à l’origine », ajoute Debi Daviau, présidente de l’IPFPC. « Injecter plus de fonds pour corriger les ratés du système, c’est bien la moindre des choses après un an d’embûches avec ce système. Il faut arranger Phénix, tant pour nos membres que la population canadienne. »

« Nos membres ont fait preuve d’une patience remarquable à l’égard des problèmes de paye ; ça montre à quel point ils ont à cœur le travail qu’ils font au nom des Canadiens », dit André Picotte, le président intérimaire de l’ACEP. « En tant que syndicat, nous avons guidé nos membres vers des solutions, mais au bout du compte, seul le gouvernement peut régler le problème une fois pour toutes. »

Les syndicats incitent également leurs membres à souligner ce premier anniversaire par différents moyens d’action, par exemple en contactant leur député et en écrivant au premier ministre.

Renseignements :

Véronique Breton, AFPC, 343-560-8882 ou bretonv@psac.com

Johanne Fillion, IPFPC, 613-883-4900 ou jfillion@pipsc.ca

Ben René, ACEP, 613-406-5962 ou brene@acep-cape.ca

Pour diffusion immédiate

Ottawa, le 21 février 2017 – L’Alliance de la fonction publique du Canada, l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) et l’Association canadienne des employés professionnels tiendront conjointement une conférence de presse pour souligner le premier anniversaire du système Phénix et pour procéder à une annonce.

Ce jeudi 23 février 2017
À 13 h (HNE)

Conférence de presse avec Chris Aylward, le vice-président exécutif national de l’AFPC, Debi Daviau, la présidente de l’IPFPC et un représentant de l’ACEP.

Salle Charles Lynch, 130S, Édifice du Centre
Chambre des communes

L’AFPC, l’IPFPC et l’ACEP représentent plus de 240 000 personnes à l’emploi du gouvernement fédéral.

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Source :
Véronique Breton, AFPC, (343) 540-8882 (cell), BretonV@psac-afpc.com
Johanne Fillion, IPFPC, (613) 883-4900 (cell), jfillion@pipsc.ca

COMMUNIQUÉ DE PRESSE Diffusion immédiate

OTTAWA, le 12 janvier 2017 – L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) demande au gouvernement du Canada de mettre en place un système de paye séparé qui réglerait les problèmes de paye les plus graves de Phénix, et de s’assurer ainsi que ses employés sont payés comme il se doit.

« Nos membres attendent depuis bien trop longtemps et nous avons entendu beaucoup trop d’histoires d’horreur, déclare la présidente de l’IPFPC, Debi Daviau. Les employés qui éprouvent des difficultés financières parce que leur paye est considérablement réduite ou même réduite à néant devraient être payés par un système de paye parallèle en attendant que les problèmes de Phénix soient réglés et qu’ils puissent de nouveau être payés par ce système.

On nous avait promis que les lacunes touchant la paye d’urgence seraient comblées et que les employés insuffisamment payés pourraient recevoir des avances de salaire, ajoute Mme Daviau. En ce moment, ils n’ont rien. Cela fait presque un an que le fiasco Phénix a été imposé à nos membres. Les appels à la patience du gouvernement sont maintenant déraisonnables ».

L’IPFPC représente près de 55 000 scientifiques et professionnels du secteur public dans l’ensemble du pays, pour la plupart employés par le gouvernement fédéral.

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Renseignements :
Johanne Fillion,
613-228-6310, poste 4953 (bureau)
ou (613) 883-4900 (cell.),
jfillion@pipsc.ca

AVIS DE CONVOCATION : Pour diffusion immédiate

OTTAWA, le 11 janvier 2017 – La présidente de l'Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC), Debi Daviau, va tenir une conférence de presse demain sur la Colline du Parlement à propos des problèmes récurrents du système de paye Phénix et exposera une exigence principale à l'égard du gouvernement.

Quand: Le 12 janvier 2017, 11h 30
Lieu: Salle Charles Lynch, 130S, Bloc du centre

L’IPFPC représente près de 55 000 scientifiques et professionnels du secteur public dans l'ensemble du pays, pour la plupart employés par le gouvernement fédéral.

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Aux directeurs de l’information / affectation

AVIS AUX MÉDIAS (séance de photo)

POUR DIFFUSION IMMÉDIATE

OTTAWA, le 28 octobre 2016 – Comme ce lundi 31 octobre représente la date butoir que le gouvernement s’est fixée pour résoudre tous les problèmes affligeant son système de paye Phénix, les employés de la fonction publique membres de l’Alliance de la fonction publique du Canada (APFC), de l’Association canadienne des employés professionnels (ACEP) et de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) tiendront en rassemblement au centre-ville d’Ottawa pour faire pression sur les dirigeants pour que le système soit réparé une fois pour toutes.

« Le gouvernement s’est lui-même fixé l’objectif de régler au 31 octobre 2016 tous les cas de l’arriéré signalés avant le 1er juin; pourtant nous ne savons toujours pas si les fonctionnaires doivent s’attendre à des ‘friandises’ ou des ‘bêtises’ en ce 31 octobre. Notre patience a ses limites », s’inquiète la présidente de l’IPFPC, Debi Daviau.

« C’est un problème qui devrait déjà moisir dans sa tombe », de déclarer Jessica Squires, la présidente du Comité de mobilisation de l’ACEP. « Il est inacceptable que des personnes à l’emploi du gouvernement ne reçoivent toujours pas le salaire qui leur est dû pour le travail important qu’ils accomplissent pour et au nom des Canadiennes et Canadiens. »

La présidente de l’IPFPC, Debi Daviau, la présidente de l’AFPC, Robyn Benson et la présidente du Comité de mobilisation de l’ACEP, Jessica Squires, seront présentes; elles prendront la parole devant les manifestants et seront disponibles pour répondre aux questions des médias qui désireront faire le point sur les ratés incessants du système de paye Phénix

Activité : Rassemblement d’Halloween – Hantés par Phénix!

Lieu : Au coin des rues Elgin et Wellington (devant le bureau du premier ministre)

Date : Lundi 31 octobre 2016

Heure : 12 h (midi)

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Source :
Pierre Lebel, Communications, ACEP, (613) 236-9181 (cell.) ou (613) 889-1027,
plebel@acep-cape.ca
Alroy Fonseca, Communications, AFPC RCN, (613) 262-3658
fonseca@psac.com
Johanne Fillion, IPFPC, (613) 228-6310 ext 4953 (bureau) ou (613) 883-4900 (cell.),
jfillion@pipsc.ca

Pour diffusion immédiate

OTTAWA, le 4 août 2016 — Le syndicat des professionnels de la fonction publique offre son aide aux étudiants de la fonction publique fédérale qui sont touchés par les problèmes du système de paye Phénix.

« Les étudiants de la fonction publique fédérale comptent parmi les victimes les plus vulnérables du système Phénix, affirme Debi Daviau, présidente de l’Institut professionnel. En général, ils ont des prêts étudiants, peu d’économies et un accès limité aux marges de crédit. Pis encore, comme ils ne sont pas syndiqués, ils n’ont pas beaucoup de soutien pour faire face aux répercussions des problèmes de ce système. »

Le syndicat leur offrira des conseils sur la façon de régler leur situation. Il signalera les cas critiques au gouvernement pour qu’ils soient réglés en priorité.

Les étudiants qui sont aux prises avec des problèmes de paye sont invités à prendre contact avec le syndicat par le biais d’une plateforme Web.

« Alors même que le gouvernement fédéral devrait attirer une nouvelle génération de professionnels dans la fonction publique, Phénix leur fait vivre une expérience terrible qui pose problème », d’ajouter Mme Daviau. « Nous espérons alléger une partie des torts causés par Phénix. »

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OTTAWA, le 28 juillet 2016 — Debi Daviau, présidente de l’IPFPC, assistera à la réunion du Comité d’urgence sur Phénix qui aura lieu à 14 h aujourd’hui même sur la Colline du Parlement.

« Les professionnels de la fonction publique s’attendent à ce qu’une date limite soit fixée pour le règlement des problèmes causés par Phénix », a déclaré Mme Daviau. « Les gens ont de la difficulté à joindre les deux bouts. Ils s’endettent. Ils ne peuvent plus payer leur hypothèque. Leur cote de solvabilité en prend un coup. Ils doivent savoir quand ils pourront enfin laisser ce problème derrière eux. »

Mme Daviau exhorte le Comité à trouver des réponses aux questions suivantes :

  • Pourquoi la paye d’urgence n’est-elle pas traitée plus rapidement?
  • Comment un produit soi-disant « clé en main » a-t-il été approuvé sans faire l’objet de tests adéquats?
  • Jusqu’à quel point les tests et la mise en œuvre de cette transition ont-ils été accordés à IBM ou à d’autres entreprises externes?
  • Y avait-il un plan d’urgence en place en cas de défaillance du système Phénix?

Mme Daviau sera disponible pour accorder des entrevues aux médias après la réunion du Comité.

L’IPFPC représente quelque 55 000 scientifiques et professionnels du secteur public dans l'ensemble du pays, pour la plupart employés par le gouvernement fédéral.

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Source : Johanne Fillion, 613-228-6310, poste 4953 (bureau) ou 613-883-4900 (cell.) jfillion@pipsc.ca

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Ottawa, le 6 juillet 2016 – L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) demande au gouvernement fédéral de payer des intérêts sur les payes en retard ou celles qui n’ont pas été versées en entier en raison des problèmes causés par le système de paye Phénix.

« Nous avons des membres qui ont dû puiser dans leurs économies ou utiliser leurs cartes ou marges de crédit pour boucler leur fin de mois, explique la présidente de l’IPFPC, Debi Daviau. Je suis d’accord avec Scott Brison : cette situation est tout à fait inacceptable ».

L’Institut recommande que le gouvernement absorbe les frais d’intérêt encourus par ses employés professionnels à cause des problèmes de paye.

Il demande aussi que le gouvernement contacte immédiatement toutes les grandes institutions bancaires du Canada et les services d’utilité publique et les exhorte à faire preuve de souplesse à l’endroit des travailleurs aux prises avec des problèmes de liquidités causées par Phénix.

« Nos membres ne devraient pas être pénalisés pour des paiements manqués ou une insuffisance de fonds causés par des circonstances qui échappent complètement à leur contrôle, déclare Mme Daviau. Les vaillants professionnels de la fonction publique ne devraient pas écoper pour l’échec du nouveau système de paye ».

L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada représente quelque 55 000 scientifiques et autres professionnels du secteur public du Canada, qui s’attendent tous à être payés à temps et méritent de l’être.

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Renseignements : Pierre Villon 613-228-6310, poste 4928, ou 613-794-9369 (cell.) pvillon@pipsc.ca