L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

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Les professionnels des TI de l’Université d’Ottawa (PTIUO) envisagent de prendre des moyens de pression cette semaine

Ottawa, le 11 septembre 2017 – Les professionnels des technologies de l’information de l’Université d’Ottawa (PTIUO), représentés par l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC), exploreront leurs options cette semaine, alors qu’un médiateur tente de dénouer une impasse vieille de plusieurs semaines à la table de négociations.

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Fête du Travail 2017 : notre travail continue pour arranger Phénix

Ottawa, le 1er septembre 2017 – L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC), qui défile pour la fête du Travail de cette année, va inciter le public et le mouvement syndical à se montrer solidaires des fonctionnaires lésés par le système de paye Phénix. Avec le slogan « En action pour arranger Phénix », ce système de paye qui cause beaucoup de problèmes aux fonctionnaires depuis son lancement au début de 2016, l’IPFPC va inviter la foule à réclamer que le gouvernement corrige les ratés de Phénix.

« À cause de toutes les payes en retard, erronées ou même inexistantes, on comprendra que nos membres n’ont pas le cœur à la fête. Un employé fédéral sur deux est touché et aucune solution permanente n’est encore en vue, déplore la présidente de l’IPFPC, Debi Daviau. Les fonctionnaires ne savent jamais à quoi s’attendre avec Phénix. Ils méritent de savoir quand ce gâchis sera réparé une fois pour toutes ».

Le gouvernement fait des efforts pour améliorer la situation, notamment en mettant sur pied une « équipe d’analyse interministérielle », qui comprendra des représentants de divers ministères, du Conseil du Trésor, des fournisseurs et des syndicats. Et les améliorations apportées aux centres d’appel arrivent à point nommé. Mais ces efforts restent insuffisants, vu les problèmes qui continuent de se multiplier. Avec les anomalies récentes touchant la paye rétroactive et les relevés annuels des pensions et des avantages sociaux, comment croire que nous sommes au bout de nos peines?

« Nous reconnaissons ces efforts, mais la lumière au bout du tunnel est encore bien loin et le gouvernement doit redoubler d’ardeur pour régler les problèmes une fois pour toutes, sans attendre. Récemment, on a présenté notre fonction publique comme la meilleure du monde. Elle doit le rester. Et un bon moyen de garder le cap, c’est d’arranger Phénix », conclut Mme Daviau.

L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada représente 55 000 professionnels des secteurs publics fédéral et provinciaux.

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Renseignements :

Pierre Villon
613-228-6310, poste 4928 (bureau)
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(*) Le défilé commence à l’Hôtel de Ville d’Ottawa (au coin d’Elgin et de Lisgar), à 12 h, et se termine au parc McNabb (au coin de Gladstone et de Bronson), où des activités, des divertissements, de la nourriture et bien d’autres choses attendront les participants entre 13 h et 16 h.

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Le plan de modernisation des services de l’ARC dans la RGT : une mauvaise idée selon l’IPFPC

Ottawa, le 2 août 2017 – Le projet de spécialisation de l’expertise des bureaux de l’Agence du revenu du Canada de la Région du Grand Toronto (RGT) dans quatre lieux différents pourrait nuire aux services aux contribuables ainsi qu’au recrutement et à la rétention, selon l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC).

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Ottawa, le 1er mai 2017 – Après que le gouvernement a annoncé au début de l’année que les membres civils de la Gendarmerie Royale du Canada (GRC) seront réputés être nommés en vertu de la Loi sur l’emploi fonction publique (LEFP) au mois d’avril 2018, l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) a présenté une demande à la Commission des relations de travail et de l’emploi dans la fonction publique (CRTEFP) pour devenir l’agent négociateur de près de 1360 employés, dont les principales fonctions sont comprises dans les unités de négociation de l’Institut, qui est leur agent négociateur accrédité.

Cela permettrait à ces employés de la GRC de bénéficier de la protection d’un syndicat et d’avoir des représentants officiels à leur service dès que possible.

Même si les conditions de travail des membres civils diffèrent à certains égards de celles de leurs collègues de la fonction publique fédérale, l’Institut a pris les mesures nécessaires pour protéger les droits et les conditions de travail des futurs membres durant la période transitoire de leur intégration dans la fonction publique.

« Nous sommes heureux d’accueillir ces nouveaux membres dans notre communauté de professionnels qui se dévouent tous les jours pour les Canadiens. Nous sommes persuadés que nous serons plus forts ensemble », déclare la présidente de l’IPFPC, Debi Daviau. « Nous voulons maintenir les conditions d’emploi actuelles des membres civils et faire en sorte que le processus déterminatif se déroule le plus harmonieusement possible pour faciliter l’intégration de ces membres aux groupes professionnels représentés par l’Institut ».

L’IPFPC représente quelque 55 000 professionnels des secteurs publics fédéraux et provinciaux du Canada.

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Communiqué de presse

Ottawa, le 28 avril 2017 – Des représentants de plusieurs syndicats de la fonction publique fédérale ont réagi avec prudence à l’annonce hier de la création d’un groupe de travail gouvernemental afin de régler les problèmes du système de paye Phénix.

Le « Groupe de travail des ministres chargés d'atteindre la stabilité du système de paye », sera présidé par Ralph Goodale, ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile et comprend plusieurs ministres, dont ceux des Finances, du Conseil du Trésor et des Services publics.

La présidente de l’Alliance de la Fonction publique du Canada, Robyn Benson, a indiqué que « l’APFC salue toute annonce du gouvernement qui vise à réparer Phénix. Nous constatons que le gouvernement prend finalement ces problèmes au sérieux, mais nous avons besoin de voir des gestes concrets. » Elle a ajouté que les fonctionnaires ont besoin d’un système qui les paient, les paient à temps et qui verse toutes les sommes dues. « Nous attendons encore un échéancier qui prévoira ceci. »

« Cette annonce est le résultat d’un lobbying constant des syndicats de la fonction publique au nom de leurs membres, a ajouté Debi Daviau de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada. Dans son dernier budget, le gouvernement fédéral n’avait pas répondu à notre demande de consacrer 75 millions de dollars pour régler Phénix. L’annonce ne fait pas état d’argent frais, mais les 70 $ millions par année qui seront consacrés à Phénix au cours des deux prochaines années sont bienvenus. On va s’assurer que ces sommes sont bel et bien consacrées à réparer Phénix. »

Des représentants syndicaux vont travailler étroitement avec le groupe de travail ministériel sur Phénix et vont rappeler au gouvernement qu’il doit compenser les employés ayant souffert des ratés de Phénix, et les compenser pour les intérêts perdus en raison des délais à obtenir les sommes qui leur sont dues.

Selon André Picotte, président par intérim de l’Association canadienne des employés professionnels, « le fiasco de Phénix s’explique par le mise en œuvre d’un plan qui n’a pas tenu compte des intérêts des employés de la fonction publique. »

De son côté, Jason Godin le président du Syndicat des agents correctionnels du Canada – CSN, a déclaré : « Nous voulons accueillir l’annonce positivement et croire que cette nouvelle tentative de réparer Phénix sera la bonne, mais nous demeurons prudent. De nouveaux cas problématiques font surface à toutes les deux semaines, alors il est difficile d’afficher un grand enthousiasme à ce moment. »

Finalement, les syndicats de la fonction publique vont également demander que le gouvernement s’engage à trois choses : qu’il embauche plus de personnel ayant plein accès à Phénix afin de répondre aux requêtes des employés; qu’il embauche du personnel permanent, et non temporaire, dans les centres d’appel, du personnel qui a la formation et les compétences pour aider les employés et; qu’il garde les centres satellites de paye ouverts tant que tous les problèmes de Phénix n’auront pas été réglés.

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Les 18 syndicats agent négociateurs de la fonction publique fédérale sont :

  • Alliance de la Fonction publique du Canada
  • Association canadienne des agents financiers
  • Association canadienne des employés professionnels
  • Association canadienne du contrôle du trafic aérien, section locale 5454
  • Association des employés du Conseil de recherches
  • Association des juristes de Justice
  • Association des métiers des chantiers maritimes du gouvernement fédéral
  • Association des pilotes fédéraux du Canada
  • Association des professeurs des collèges militaires canadiens
  • Association professionnelle des agents du service extérieur
  • Conseil des métiers et du travail des chantiers maritimes du gouvernement fédéral (est)
  • Conseil des métiers et du travail des chantiers maritimes du gouvernement fédéral (ouest)
  • Fraternité internationale des ouvriers en électricité, section locale 2228
  • Guilde de la marine marchande du Canada
  • Institut professionnel de la fonction publique du Canada
  • Syndicat des agents correctionnels du Canada – CSN
  • Syndicat des agents de communications de la Garde côtière, section locale 2182
  • Unifor, section locale 588-G

Renseignements :

Pierre Lebel, ACEP
plebel@acep-cape.ca
613-236-9181, poste 263 ou 613-889-1027

Jonathan Choquette, AFPC
choquej@psac-afpc.com
819-773-2511

Johanne Fillion, IPFPC
jfillion@pipsc.ca
613-228-6310, poste 4953 ou 613-883-4900

Katerine Desgroseilliers, CSN
Katerine.Desgroseilliers@csn.qc.ca
514-598-2163 ou 514-265-4250

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OTTAWA, le 27 avril 2017 - Le gouvernement fédéral a annoncé aujourd’hui qu’il engagera 140 M$ sur deux ans pour s’assurer que les employés fédéraux touchés par les problèmes du système de paye Phénix sont payés correctement. Cet engagement du gouvernement à arranger Phénix une fois pour toutes s’est longtemps fait attendre, mais l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) se réjouit de cette annonce.

« Comme nous préconisions la création d’un fonds de réserve spécial de 75 M$ dans le budget de cette année, cette annonce montre que le gouvernement prend finalement au sérieux la gravité des problèmes de nos membres, déclare la présidente de l’IPFPC, Debi Daviau.

« Nous sommes aussi très heureux de voir que le gouvernement accepte de rembourser les services de conseils fiscaux intérêts et les honoraires que nos membres ont dû payer en raison des problèmes de Phénix. Après tout, c’est une question de justice », poursuit Mme Daviau.

Cependant, on peut se demander si le gouvernement saura efficacement contrôler les erreurs de paye dans l’avenir, ajoute-t-elle. Nous soutenons depuis longtemps que la dépendance excessive à l’égard d’IBM et des services sous traités – dont la mise en œuvre du logiciel de lancement du logiciel de paye Phénix –programment les fonctions gouvernementales pour l’échec. Nous espérons que le groupe de travail du gouvernement dont on a annoncé la création aujourd’hui prendra ces préoccupations au sérieux ».

L’IPFPC représente quelque 55 000 scientifiques et professionnels du secteur public fédéral dans l’ensemble du pays, pour la plupart employés par le gouvernement fédéral.

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Source :

Johanne Fillion : tél. 613 228 6310, poste 2303 (bureau) ou 613-883-4900 (cell.), jfillion@pipsc.ca.

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Ottawa, le 22 mars 2017 – Le gouvernement fédéral a annoncé qu’il investira 529,9 millions de dollars de plus dans la lutte à l’évasion et l’évitement fiscaux en engageant de nouveaux vérificateurs. C’est une bonne nouvelle, mais les investissements stratégiques nécessaires dans le personnel scientifique font défaut dans ce budget « Innovation », tant attendu, selon l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC). Qui plus est, le gouvernement continue d’être lent à réduire les milliards de dollars actuellement dépensés en services sous-traités et n’investit rien de plus dans le règlement des problèmes du système de paie Phénix, malgré les demandes pressantes des syndicats à ce sujet.

« Les nouveaux investissements aideront l’Agence du revenu du Canada (ARC) à s’assurer que les milliardaires et les grandes sociétés paient leur juste part d’impôt, déclare la présidente de l’IPFPC, Debi Daviau. Mais après des années de réduction d’emplois et de programmes sous le gouvernement Harper, il reste encore au moins 1500 emplois de scientifiques à rétablir pour maintenir des niveaux de service adéquats et restaurer l’importante expertise fédérale. »

« Réduire les dépenses annuelles en sous-traitance de services publics (environ 12 milliards de dollars actuellement) renforcerait également les services publics tout en réduisant les profits d’entreprises réalisés au détriment des contribuables. Le gouvernement avait promis de réduire les dépenses en consultants externes à leurs niveaux de 2005 2006 d’ici 10 ans. Nous estimons qu’il pourrait – et devrait – le faire pendant son mandat. »

« Nous sommes bien sûr déçus que le gouvernement choisisse de ne pas consacrer plus de fonds pour corriger une fois pour toutes le fiasco Phénix, certainement l’un des chapitres les plus sombres – et les plus longs – en matière de mauvaise gestion de la fonction publique fédérale, conclut Mme Daviau. À cet égard, son silence est assourdissant. »

L’IPFPC représente près de 55 000 scientifiques et professionnels du secteur public fédéral dans l’ensemble du pays.

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Ottawa, le 23 février 2017 – En ce premier anniversaire de Phénix, les trois plus importants syndicats du secteur public fédéral pressent le gouvernement de prévoir un fonds de réserve de 75 millions de dollars dans son prochain budget.

Selon l’Alliance de la Fonction publique du Canada (AFPC), l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) et l’Association canadienne des employés professionnels (ACEP), le fonds est essentiel pour veiller à ce que les fonctionnaires soient payés correctement et à temps.

« Nos membres sont de plus en plus frustrés par la situation. Si les ministères n’ont pas les ressources adéquates, ils ne pourront jamais régler les problèmes », déclare Chris Aylward, vice-président exécutif national de l’AFPC. « Les solutions au fiasco Phénix sont de tous ordres, pas uniquement technologiques. Avec ce fonds, les ministères pourront mieux s’attaquer aux difficultés causées par le nouveau système de paye. »

Les syndicats collaborent avec le gouvernement pour aider à résoudre les nombreux problèmes de Phénix. Or, il apparaît clairement qu’il faut affecter plus de personnel et le former convenablement pour que les agences et les ministères fédéraux puissent reprendre le dessus. Le fonds de réserve de 75 millions de dollars leur donnera les ressources dont ils ont besoin.

« De toute évidence, Phénix n’a pas généré l’efficacité et les économies prévues à l’origine », ajoute Debi Daviau, présidente de l’IPFPC. « Injecter plus de fonds pour corriger les ratés du système, c’est bien la moindre des choses après un an d’embûches avec ce système. Il faut arranger Phénix, tant pour nos membres que la population canadienne. »

« Nos membres ont fait preuve d’une patience remarquable à l’égard des problèmes de paye ; ça montre à quel point ils ont à cœur le travail qu’ils font au nom des Canadiens », dit André Picotte, le président intérimaire de l’ACEP. « En tant que syndicat, nous avons guidé nos membres vers des solutions, mais au bout du compte, seul le gouvernement peut régler le problème une fois pour toutes. »

Les syndicats incitent également leurs membres à souligner ce premier anniversaire par différents moyens d’action, par exemple en contactant leur député et en écrivant au premier ministre.

Renseignements :

Véronique Breton, AFPC, 343-560-8882 ou bretonv@psac.com

Johanne Fillion, IPFPC, 613-883-4900 ou jfillion@pipsc.ca

Ben René, ACEP, 613-406-5962 ou brene@acep-cape.ca

Pour diffusion immédiate

Ottawa, le 21 février 2017 – L’Alliance de la fonction publique du Canada, l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) et l’Association canadienne des employés professionnels tiendront conjointement une conférence de presse pour souligner le premier anniversaire du système Phénix et pour procéder à une annonce.

Ce jeudi 23 février 2017
À 13 h (HNE)

Conférence de presse avec Chris Aylward, le vice-président exécutif national de l’AFPC, Debi Daviau, la présidente de l’IPFPC et un représentant de l’ACEP.

Salle Charles Lynch, 130S, Édifice du Centre
Chambre des communes

L’AFPC, l’IPFPC et l’ACEP représentent plus de 240 000 personnes à l’emploi du gouvernement fédéral.

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Source :
Véronique Breton, AFPC, (343) 540-8882 (cell), BretonV@psac-afpc.com
Johanne Fillion, IPFPC, (613) 883-4900 (cell), jfillion@pipsc.ca