L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

COMMUNIQUÉ DE PRESSE Diffusion immédiate

OTTAWA, le 12 janvier 2017 – L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) demande au gouvernement du Canada de mettre en place un système de paye séparé qui réglerait les problèmes de paye les plus graves de Phénix, et de s’assurer ainsi que ses employés sont payés comme il se doit.

« Nos membres attendent depuis bien trop longtemps et nous avons entendu beaucoup trop d’histoires d’horreur, déclare la présidente de l’IPFPC, Debi Daviau. Les employés qui éprouvent des difficultés financières parce que leur paye est considérablement réduite ou même réduite à néant devraient être payés par un système de paye parallèle en attendant que les problèmes de Phénix soient réglés et qu’ils puissent de nouveau être payés par ce système.

On nous avait promis que les lacunes touchant la paye d’urgence seraient comblées et que les employés insuffisamment payés pourraient recevoir des avances de salaire, ajoute Mme Daviau. En ce moment, ils n’ont rien. Cela fait presque un an que le fiasco Phénix a été imposé à nos membres. Les appels à la patience du gouvernement sont maintenant déraisonnables ».

L’IPFPC représente près de 55 000 scientifiques et professionnels du secteur public dans l’ensemble du pays, pour la plupart employés par le gouvernement fédéral.

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Renseignements :
Johanne Fillion,
613-228-6310, poste 4953 (bureau)
ou (613) 883-4900 (cell.),
jfillion@pipsc.ca

AVIS DE CONVOCATION : Pour diffusion immédiate

OTTAWA, le 11 janvier 2017 – La présidente de l'Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC), Debi Daviau, va tenir une conférence de presse demain sur la Colline du Parlement à propos des problèmes récurrents du système de paye Phénix et exposera une exigence principale à l'égard du gouvernement.

Quand: Le 12 janvier 2017, 11h 30
Lieu: Salle Charles Lynch, 130S, Bloc du centre

L’IPFPC représente près de 55 000 scientifiques et professionnels du secteur public dans l'ensemble du pays, pour la plupart employés par le gouvernement fédéral.

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Aux directeurs de l’information / affectation

AVIS AUX MÉDIAS (séance de photo)

POUR DIFFUSION IMMÉDIATE

OTTAWA, le 28 octobre 2016 – Comme ce lundi 31 octobre représente la date butoir que le gouvernement s’est fixée pour résoudre tous les problèmes affligeant son système de paye Phénix, les employés de la fonction publique membres de l’Alliance de la fonction publique du Canada (APFC), de l’Association canadienne des employés professionnels (ACEP) et de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) tiendront en rassemblement au centre-ville d’Ottawa pour faire pression sur les dirigeants pour que le système soit réparé une fois pour toutes.

« Le gouvernement s’est lui-même fixé l’objectif de régler au 31 octobre 2016 tous les cas de l’arriéré signalés avant le 1er juin; pourtant nous ne savons toujours pas si les fonctionnaires doivent s’attendre à des ‘friandises’ ou des ‘bêtises’ en ce 31 octobre. Notre patience a ses limites », s’inquiète la présidente de l’IPFPC, Debi Daviau.

« C’est un problème qui devrait déjà moisir dans sa tombe », de déclarer Jessica Squires, la présidente du Comité de mobilisation de l’ACEP. « Il est inacceptable que des personnes à l’emploi du gouvernement ne reçoivent toujours pas le salaire qui leur est dû pour le travail important qu’ils accomplissent pour et au nom des Canadiennes et Canadiens. »

La présidente de l’IPFPC, Debi Daviau, la présidente de l’AFPC, Robyn Benson et la présidente du Comité de mobilisation de l’ACEP, Jessica Squires, seront présentes; elles prendront la parole devant les manifestants et seront disponibles pour répondre aux questions des médias qui désireront faire le point sur les ratés incessants du système de paye Phénix

Activité : Rassemblement d’Halloween – Hantés par Phénix!

Lieu : Au coin des rues Elgin et Wellington (devant le bureau du premier ministre)

Date : Lundi 31 octobre 2016

Heure : 12 h (midi)

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Source :
Pierre Lebel, Communications, ACEP, (613) 236-9181 (cell.) ou (613) 889-1027,
plebel@acep-cape.ca
Alroy Fonseca, Communications, AFPC RCN, (613) 262-3658
fonseca@psac.com
Johanne Fillion, IPFPC, (613) 228-6310 ext 4953 (bureau) ou (613) 883-4900 (cell.),
jfillion@pipsc.ca

Pour diffusion immédiate

OTTAWA, le 4 août 2016 — Le syndicat des professionnels de la fonction publique offre son aide aux étudiants de la fonction publique fédérale qui sont touchés par les problèmes du système de paye Phénix.

« Les étudiants de la fonction publique fédérale comptent parmi les victimes les plus vulnérables du système Phénix, affirme Debi Daviau, présidente de l’Institut professionnel. En général, ils ont des prêts étudiants, peu d’économies et un accès limité aux marges de crédit. Pis encore, comme ils ne sont pas syndiqués, ils n’ont pas beaucoup de soutien pour faire face aux répercussions des problèmes de ce système. »

Le syndicat leur offrira des conseils sur la façon de régler leur situation. Il signalera les cas critiques au gouvernement pour qu’ils soient réglés en priorité.

Les étudiants qui sont aux prises avec des problèmes de paye sont invités à prendre contact avec le syndicat par le biais d’une plateforme Web.

« Alors même que le gouvernement fédéral devrait attirer une nouvelle génération de professionnels dans la fonction publique, Phénix leur fait vivre une expérience terrible qui pose problème », d’ajouter Mme Daviau. « Nous espérons alléger une partie des torts causés par Phénix. »

L’IPFPC représente quelque 55 000 scientifiques et professionnels du secteur public dans l'ensemble du pays, pour la plupart employés par le gouvernement fédéral.

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Pour diffusion immédiate

OTTAWA, le 28 juillet 2016 — Debi Daviau, présidente de l’IPFPC, assistera à la réunion du Comité d’urgence sur Phénix qui aura lieu à 14 h aujourd’hui même sur la Colline du Parlement.

« Les professionnels de la fonction publique s’attendent à ce qu’une date limite soit fixée pour le règlement des problèmes causés par Phénix », a déclaré Mme Daviau. « Les gens ont de la difficulté à joindre les deux bouts. Ils s’endettent. Ils ne peuvent plus payer leur hypothèque. Leur cote de solvabilité en prend un coup. Ils doivent savoir quand ils pourront enfin laisser ce problème derrière eux. »

Mme Daviau exhorte le Comité à trouver des réponses aux questions suivantes :

  • Pourquoi la paye d’urgence n’est-elle pas traitée plus rapidement?
  • Comment un produit soi-disant « clé en main » a-t-il été approuvé sans faire l’objet de tests adéquats?
  • Jusqu’à quel point les tests et la mise en œuvre de cette transition ont-ils été accordés à IBM ou à d’autres entreprises externes?
  • Y avait-il un plan d’urgence en place en cas de défaillance du système Phénix?

Mme Daviau sera disponible pour accorder des entrevues aux médias après la réunion du Comité.

L’IPFPC représente quelque 55 000 scientifiques et professionnels du secteur public dans l'ensemble du pays, pour la plupart employés par le gouvernement fédéral.

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Source : Johanne Fillion, 613-228-6310, poste 4953 (bureau) ou 613-883-4900 (cell.) jfillion@pipsc.ca

Diffusion immédiate

Ottawa, le 6 juillet 2016 – L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) demande au gouvernement fédéral de payer des intérêts sur les payes en retard ou celles qui n’ont pas été versées en entier en raison des problèmes causés par le système de paye Phénix.

« Nous avons des membres qui ont dû puiser dans leurs économies ou utiliser leurs cartes ou marges de crédit pour boucler leur fin de mois, explique la présidente de l’IPFPC, Debi Daviau. Je suis d’accord avec Scott Brison : cette situation est tout à fait inacceptable ».

L’Institut recommande que le gouvernement absorbe les frais d’intérêt encourus par ses employés professionnels à cause des problèmes de paye.

Il demande aussi que le gouvernement contacte immédiatement toutes les grandes institutions bancaires du Canada et les services d’utilité publique et les exhorte à faire preuve de souplesse à l’endroit des travailleurs aux prises avec des problèmes de liquidités causées par Phénix.

« Nos membres ne devraient pas être pénalisés pour des paiements manqués ou une insuffisance de fonds causés par des circonstances qui échappent complètement à leur contrôle, déclare Mme Daviau. Les vaillants professionnels de la fonction publique ne devraient pas écoper pour l’échec du nouveau système de paye ».

L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada représente quelque 55 000 scientifiques et autres professionnels du secteur public du Canada, qui s’attendent tous à être payés à temps et méritent de l’être.

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Renseignements : Pierre Villon 613-228-6310, poste 4928, ou 613-794-9369 (cell.) pvillon@pipsc.ca