IPFPC — VOTRE BULLETIN RÉGIONAL DE L’ATLANTIQUE l’hiver 2021

 

Joyeuses fêtes! Si quelqu’un m’avait dit l’an dernier qu’en 2020, nous ne pourrions pas nous voir en personne et que notre vie personnelle et professionnelle graviterait autour d’un monde virtuel, j’aurais répondu que je ne pensais pas que cela arriverait de mon vivant. Combien j’aurais eu tort! La dernière année nous a tous confrontés à de nombreux défis. Malgré tout, nous avons trouvé des moyens de nous adapter et de continuer à travailler, en faisant le nécessaire pour protéger la santé des autres, comme la nôtre. Les communications virtuelles ont remplacé les contacts personnels et sont devenues la nouvelle norme.

Dans le présent bulletin, d’autres profils de l’exécutif régional vous seront présentés, une pratique que nous poursuivrons à mesure que de nouveaux membres seront élus au sein de cet organisme constituant. Tous les ans, l’exécutif régional tâche de trouver des moyens de mieux mobiliser les membres. Cette année, nous avons dû repenser nos méthodes traditionnelles et trouver des idées pour nous retrouver virtuellement. Faute de conseils régionaux et de conseils des délégués syndicaux, nous avons mené des séances virtuelles pour les délégués syndicaux et les délégués en attente : deux « contrôles » des délégués syndicaux; la COVID-19 sur le lieu de travail; La résilience dans un monde virtuel avec Paul Huschilt; et une séance avec Jennie Esnard. L’intérêt pour ces événements augmente constamment et, dans l’ensemble, à en juger par les réactions et la participation, ces séances se sont bien déroulées. En janvier, nous avons « Jurisprudence et tendances », toujours un sujet populaire, avec les agents des relations de travail Max Way et Elissa McCarron. L’exécutif entend planifier d’autres événements virtuels et recevra avec plaisir toute suggestion de sujet ou toute idée qui permettrait une meilleure participation des membres en l’absence de réunions en personne.

À I'aube de 2021, qui sait avec quelles restrictions nous devrons composer. Certains défis seront les mêmes et d’autres seront nouveaux et imprévus. L’Institut lancera diverses initiatives au fil du temps, comme la formation virtuelle. N’oubliez pas que l’exécutif régional est toujours là pour vous — tendez la main si vous avez besoin d’aide ou de quelqu’un à qui parler. Il est important de prendre contact avec ses collègues et sa famille pendant cette période. Dire simplement bonjour (virtuellement) peut faire toute la différence dans la journée de quelqu’un.

J’adresse à tous les membres mes meilleurs vœux de santé et de bonheur pour la nouvelle année.

Kimberley Skanes Directrice, Région de l’Atlantique

Rapport du chapitre du MDN de Halifax

Avant 1988, il n’y avait qu’un seul chapitre pour tous les membres travaillant à Halifax. Certains de nos membres travaillant au MDN estimaient que le fait de travailler avec des militaires posait des difficultés qui ne s’appliquaient pas dans un ministère entièrement civil. L’IPFPC a approuvé la création d’un chapitre distinct.

La première AGA de ce chapitre a eu lieu le 23 septembre 1988. Voici son tout premier exécutif :

• • Président : Gordon Grant
  • Vice-présidente : Nancy Witherspoon
  • Secrétaire-trésorier : Mounah Zrein
  • Membres actifs : Mike Jessome, Simon Sagar et Paul Smith

Et son exécutif actuel :

• • Président : Everett Scott
  • Vice-présidente : Jennifer Cantwell
  • Trésorier : Kevin Jack
  • Secrétaire : Paul Smith
  • Membres actifs : Mounah Zrein,
  • Christine Dugal, Joe Rossiter, Eric Thornhill, Joe Williams, Don Eldershaw et George Turner.

Comme vous pouvez le voir, Mounah et Paul se sont impliqués dès le début. Mounah était trésorier jusqu’à tout récemment. Paul a été secrétaire pendant la majeure partie de notre existence, mais il va bientôt prendre sa retraite et nous cherchons donc un remplaçant.

Au départ, nous étions environ 200 membres et nous en sommes maintenant à près de 400.

Le Chapitre a représenté nos membres aux conseils régionaux, aux AGA nationales et à d’autres événements. Nous avons régulièrement organisé des activités sociales et des dîners d’information jusqu’à récemment. Nous avons placé une couronne pour la Journée du Souvenir au nom des membres. Comme nous travaillons aux côtés des militaires, nous estimons qu’il est approprié de montrer du respect pour leurs sacrifices.

Nous avons veillé à ce que nos membres soient représentés dans les consultations avec la base des Forces canadiennes de Halifax et plusieurs unités de la base. Nous avons aidé les membres sur plusieurs fronts : le stationnement payant, le code vestimentaire (il n’y en a pas), la réorganisation des unités, la rémunération supplémentaire des travailleurs de quarts les jours fériés, l’orientation des nouveaux employés, l’interprétation de la Directive sur les voyages du CNM et, bien sûr, les récents changements liés à la pandémie.

Nous avons aussi recruté des délégués syndicaux appartenant à des unités et des classifications qui n’en avaient pas auparavant.

Activités virtuelles des délégués syndicaux de la Région de l’Atlantique

L’année en cours a été différente pour tout le monde. Malheureusement, la pandémie nous a forcés à annuler toutes nos activités en personne en 2020. L’exécutif et le Comité de formation de la Région de l’Atlantique ont organisé plusieurs séances virtuelles pour les délégués syndicaux depuis six mois.

 

La première de ces séances a eu lieu le 24 juin et réunissait les délégués syndicaux, le directeur régional, l’exécutif régional et Max Way, ART. Il y avait de nombreux participants. Depuis lors, il y a eu deux autres séances virtuelles : Le 20 octobre, en présence du directeur régional, de l’exécutif régional et d’Elissa McCarron (ART). Le 16 décembre, en présence du directeur régional, de l’exécutif régional, d’Elissa McCarron (ART), et de la conférencière Jennie Esnard, présidente du Comité des droits de la personne et de la diversité du Conseil d’administration. Ces séances ont permis aux délégués syndicaux de traiter des problèmes et des préoccupations avec d’autres délégués syndicaux de différents coins de la région et de poser des questions aux intervenants.

 

 

L’exécutif régional a également organisé deux séances sur la pandémie le 4 novembre (le matin et l’après-midi), animées par Paul Hartigan et Max Way, deux ART. Nos délégués syndicaux ont pu se renseigner sur le code de congé 699, sur la SST sur le lieu de travail et à domicile et sur d’autres sujets pertinents liés à la COVID-19. Une fois de plus, les délégués syndicaux ont eu l’occasion d’interroger les ART concernant la pandémie.

 

Le soir du 24 novembre, Paul Huschilt, conférencier, a animé une séance teintée d’humour sur la résilience dans un monde virtuel. Il a donné des conseils sur la façon de gérer le quotidien pendant la pandémie.

Chaque nouvelle séance virtuelle attire plus de délégués syndicaux que la précédente. Surveillez votre boîte de courriels pour savoir quand auront lieu les prochaines séances! Si vous connaissez des sujets qui pourraient intéresser nos délégués syndicaux, veuillez vous adresser à l’exécutif ou au Comité de formation de l’Atlantique.

101e AGA de l’IPFPC

La 101e assemblée générale annuelle de l’IPFPC, qui a eu lieu le samedi 5 décembre, a été la toute première à se dérouler virtuellement. Les délégués de l’Atlantique ont assisté à un caucus virtuel jeudi soir, avant l’AGA, pour lire les motions qui seraient proposées.

L’AGA a été convoquée samedi à 11 heures (heure de l’Est). Debi Daviau, présidente de l’Institut, a donné le coup d’envoi en prononçant un discours suivi d’une courte période de questions et réponses. Après le discours, les délégués ont entamé la partie administrative de l’AGA en débattant des motions présentées, à commencer par les motions budgétaires. Les délégués ont approuvé le budget 2021. En fin de journée, on a proposé et adopté le renvoi des autres motions au Conseil d’administration. Une autre motion visant à suspendre les travaux pendant quelques heures a été proposée et débattue. Enfin, une motion visant la suspension de l’AGA jusqu’à une date ultérieure déterminée par l’Institut a été proposée, débattue et adoptée. Après le vote sur la motion de suspension, Debi a fait quelques remarques finales. Au moment de la rédaction de cet article, la date de la reprise de l’AGA n’a pas encore été annoncée.

Présentation de votre exécutif régional

À propos de moi: Bonjour, je m’appelle Jennifer Cantwell et je suis originaire de Little Bras d’Or, en Nouvelle-Écosse. J’ai quitté le Cap-Breton pour étudier à l’université Dalhousie, en 1997, et depuis je vis à Halifax avec mon mari Martin et ma fille Cassidy. Nous avons un grand Labradoodle gris appelé Kili (nom inspiré bien sûr par le Kilimandjaro). Je travaille comme physiothérapeute depuis 17 ans : les cinq premières années dans un cabinet privé et les 12 dernières au MDN.

Ce que je fais pour le plaisir, en un mot? J’aime presque tous les sports! Je joue à l’ultimate frisbee au niveau compétitif depuis 15 ans et au squash depuis 12 ans. J’ai subi ma part de blessures, et c’est pourquoi je me suis mise à pratiquer le yoga. Je me considère maintenant comme une yogi dévouée et j’aspire à devenir instructrice. En dehors du sport, je fais de la randonnée avec ma famille, je lis un bon livre ou je me lance dans une nouvelle recette.

Pourquoi suis-je devenu délégué syndical? Après mon embauche au MDN comme contractuelle et après avoir vu ce que le syndicat pouvait faire pour ses membres, je me suis beaucoup intéressée à l’IPFPC. Lorsque je suis enfin devenue employée de la fonction publique, je me suis rapidement mise à faire du bénévolat pour l’Institut. J’ai commencé par aider à l’organisation d’événements et en suis arrivée à jouer le rôle de déléguée syndicale et à devenir membre de mon chapitre, groupe et exécutif régional. En tant que déléguée syndicale, je peux informer les membres de leurs droits et de la manière de s’y retrouver dans tout processus syndical. J’aime rendre service à mes collègues. La COVID-19 a des répercussions sur nous tous à de nombreux niveaux. Il est donc important que les délégués syndicaux soient toujours prêts à aider nos membres. Je n’ai pas oublié mes années dans la pratique privée ou contractuelle, et je tiens à faire ma part pour assurer la force et la pérennité de notre syndicat.

À propos de moi: Bonjour, je m’appelle Gerald Paul Ira Hill — eh oui, mes parents m’aimaient tellement qu’ils m’ont donné quatre noms! Je suis originaire de Summerside, à l’Île-du-Prince-Édouard, et je suis né et j’ai grandi sur l’île. En fait, j’ai grandi dans une petite communauté appelée Mayfield, un endroit magnifique dont la plupart des gens n’ont jamais entendu parler, mais qui se trouve à environ une minute de Cavendish! L’été, c’est un endroit idéal pour grandir, comme vous pouvez l’imaginer et comme beaucoup en ont fait l’expérience, mais l’hiver, c’est toujours une surprise de voir un chasse-neige! Brrr! Je travaille dans le domaine des TI depuis 24 ans, dont les 12 premières au service de la province de l’Î.-P.-É. et les 12 dernières, à ACC et à SPC. À SPC, je suis un CS chargé de la recherche et du développement en infonuagique.

Ce que je fais pour le plaisir, en un mot? J’aime jouer au billard, surtout au jeu du 8, mais aussi un peu aux jeux du 9 et du 10. J’ai fait le tour du Canada et je suis allé trois fois aux championnats mondiaux à Las Vegas. J’adore voyager, non seulement dans les endroits chauds et tropicaux, mais aussi dans les Maritimes et un peu partout au Canada. Je suis convaincu que nous vivons dans l’un des plus beaux pays du monde! Mes vacances préférées sont les croisières vers différentes îles tropicales. J’aime aussi jouer au golf, mais mon jeu est tout juste bon, sans plus! J’adore traîner à mon chalet avec mes amis et ma famille et profiter de la plage, des jeux de cartes, de la pêche aux palourdes et des feux de joie.

J’ai deux belles adolescentes actives et athlétiques de 16 et 17 ans et une charmante épouse — si je vous disais son âge, je ne pourrais plus jamais participer à une réunion syndicale! Nous nous amusons beaucoup en famille et je serai triste de voir mon aînée partir à l’université en septembre.

 

Pourquoi suis-je devenu délégué syndical? J’ai toujours été impliqué dans les activités syndicales, et ce, tout au long de ma carrière dans les fonctions publiques provinciale et fédérale. J’aime mobiliser les membres et mettre en lumière les avantages que le syndicat leur apporte. Je suis très heureux de défendre les droits de nos membres et de veiller à ce qu’ils soient bien informés. Je vous remercie tous de me donner la chance de servir en tant que membre de l’exécutif régional de l’Atlantique.

À propos de moi: Bonjour tout le monde, Je m’appelle Carolyn Hynes (alias C, Cee Low ou Jackie O). J’ai le privilège de vivre dans la plus vieille ville d’Amérique du Nord, St. John’s, T.-N.-L. (da Rock). Je suis une mère extrêmement fière de quatre enfants adultes (3 garçons, 1 fille); belle-mère de deux filles adultes; meemaw d’une petite fille de huit ans, intelligente, pleine d’esprit et de créativité, nommée Chloe. Je suis également la « mère » de deux chiens boxers adorés, Cassius et Max, et du chat Gerti the Great, ainsi que la « grand-mère » des chiens Herbert et Annie et des chats Keith, Jack et Olive.

J’ai travaillé comme infirmière autorisée dans diverses cliniques ainsi que comme infirmière enseignante avant de joindre EDSC en novembre 2002 en tant qu’évaluatrice médicale. Je travaille actuellement à distance avec l’Administration centrale en tant qu’évaluatrice médicale experte.

Ce que je fais pour le plaisir, en un mot? de la randonnée (avec mes chiots et ma perche à autophoto)! Je passe la plus grande partie de mon temps libre à faire de la randonnée sur la magnifique East Coast Trail, qui est située littéralement dans mon jardin. Cette année, j’ai eu le privilège de faire de nombreuses randonnées spectaculaires dans ma province et en Nouvelle-Écosse. J’aime me retrouver en pleine nature, même quand je rencontre un ours... PAS VRAI, lol. Quand je ne fais pas de randonnée, on me trouve généralement en train de courir, de marcher, de pratiquer l’ultimate frisbee, d’apprendre le yoga ou de me détendre avec un bon livre, un film et un petit verre de Vino tinto.

Pourquoi suis-je devenu délégué syndical? Mon grand-père aimait à dire que j’étais née déléguée syndicale et que l’IPFPC m’avait trouvée, lol. J’ai toujours été une personne curieuse, déterminée et en quête de justice. Comme j’ai occupé de nombreux postes non syndiqués dans ma jeunesse, je comprenais bien les inégalités entre employeurs et employés. Ce sont ces inégalités qui ont éveillé mon intérêt pour les droits de la personne et les syndicats.

L’Institut m’a donné l’occasion de défendre et de soutenir les membres, de continuer à m’épanouir en tant que déléguée syndicale et leader dans le cadre de ses excellentes séances de formation, et de nouer de solides amitiés qui se poursuivront bien au-delà de ma carrière. En passant, j’en profite pour dire un mot à Mike, mon ami du syndicat : « tu n’as pas inventé les frites de navet! Être déléguée syndicale de l’IPFPC est un réel privilège.

À propos de moi: Je m’appelle Marcel Journeay. Je travaille comme spécialiste des systèmes d’ordinateurs (CS) pour le ministère de la Défense nationale depuis maintenant près de 30 ans. J’ai beaucoup de chance d’avoir un travail que j’aime et qui me passionne. Cela peut sembler bizarre, mais j’ai souvent hâte au lundi matin pour retourner au travail et reprendre là où j’en étais la semaine précédente!

Pourquoi suis-je devenu délégué syndical? Je suis délégué syndical de I'Institut depuis presque de 20 ans. Au cours de toutes ces années, j’ai siégé à l’un ou l’autre des exécutifs de chapitre et de sous-groupe à Halifax et à Greenwood, ainsi qu’à l’exécutif de la Région de l’Atlantique et à l’exécutif national du groupe CS. J’ai par ailleurs passé la moitié de ces années en tant que membre d’une équipe de négociation. J’ai été membre et président de comités du Conseil et je me trouve maintenant pleinement engagé dans la consultation. Ce que j’aime vraiment, c’est défendre nos membres dans le milieu de travail, se battre pour les membres qui pensent ne pas avoir leur mot à dire. J’ai vécu les bouleversements que peut créer un intimidateur sur le lieu de travail et cela a fait de moi un délégué syndical beaucoup plus fort.

Je suis un grand partisan et défenseur de la Région de l’Atlantique. Je crois fermement que nous avons certains des meilleurs délégués syndicaux du pays, des délégués qui accordent toujours la priorité aux besoins des membres. Je suis fier de servir en tant que vice-président de cette grande région.

À propos de moi: Bonjour! Je m’appelle Kimberley (Kim) Skanes. Je suis vérificatrice des dossiers d’entreprises à l’Agence du revenu du Canada. Je suis au service de l’Agence depuis février 1990, les quatre premières années comme employée occasionnelle. Je suis devenue membre de l’IPFPC en mai 2000 et déléguée syndicale de l’IPFPC en 2006. J’ai été élue pour la première fois à l’exécutif régional en mai 2012 et par la suite comme directrice régionale en 2016.

Ce que je fais pour le plaisir, en un mot? Cela impliquerait que j’ai du temps pour m’amuser, lol... Deux de mes passe-temps favoris sont la lecture et les casse-têtes, ce à quoi j’ai pu consacrer beaucoup de temps cette dernière année. Avec mon compagnon, Greg, j’ai aussi recommencé à faire du vélo l’année dernière, ce que je ne faisais plus depuis plus de 20 ans! Mais comme l’hiver approche à grands pas, nous avons remisé avec regrets nos vélos, et cette activité qui était devenue quotidienne me manque déjà. Alors je crois que l’adage est vrai, on n’oublie jamais comment faire quelque chose, car c’est comme faire du vélo, lol...

Pourquoi suis-je devenu délégué syndical? Pendant mes études universitaires, j’ai suivi de nombreux cours sur les relations du travail et ceux-ci m’ont toujours intéressé. Comment cela a fonctionné et le rôle que les syndicats ont joué. C’est bien des années après l’université que j’ai commencé à m’impliquer. Mon défunt mari, Gerry, était un membre actif du Syndicat des employé-e-s de l’Impôt. C’est lui qui m’a encouragée à m’impliquer et qui m’a convaincue de proposer ma candidature pour un poste au sein du sous-groupe local et de devenir déléguée syndicale. C’était en 2006 et j’ai continué à foncer sans aucun regret. Être déléguée syndicale est souvent considéré comme un travail ingrat, mais ce qui lui donne toute sa valeur, c’est la satisfaction personnelle d’être là pour une personne qui en a besoin et de se rendre utile, pour cette personne et pour les autres, sur le lieu de travail.

Votre exécutif régional

Your Regional Executive