VOTRE BULLENTIN RÉGIONAL DE ATLANTIQUE - L'été 2024
Le mot du directeur
Je suis chez moi un jeudi après-midi, je prends quelques minutes pour me détendre et je reçois un texto de la secrétaire de l’exécutif régional de l’Atlantique me disant qu’elle a besoin d’un article de ma part pour l’infolettre de l’été. Il n’y a pas de repos pour les méchants, je suppose, alors je ferais mieux de m’y mettre!
Les jours s’allongent et le temps se réchauffe. C’est le moment idéal pour sortir et profiter des magnifiques paysages qu’offre le Canada atlantique.
Nous venons d’achever le 80e Conseil régional de l’Atlantique à Charlottetown, à l’Île-du-Prince-Édouard, et j’ai eu l’honneur de présider cette réunion, qui a été couronnée de succès. Je suis toujours intéressé par les débats et les discussions sur les motions à soumettre à l’assemblée générale annuelle de l’Institut.
Dans mon introduction à l’infolettre de l’été dernier, je parlais des préoccupations qui entourent le retour au bureau. Un an plus tard, ces préoccupations sont encore plus profondes, avec l’annonce du retour au bureau à raison de trois jours par semaine et de l’élimination de la dispense générale dont bénéficiaient certains membres. Alors que l’employeur prétend vouloir faire des économies en effectuant des « dépenses responsables », il choisit d’exiger que des membres qui fournissent, depuis leur domicile, des services essentiels à la population canadienne depuis mars 2020 retournent au bureau trois jours par semaine… Certains employé·es n’ont jamais été au bureau, ayant été embauchés après mars 2020, et beaucoup d’autres n’ont pas été au bureau depuis mars 2020. Comme je le mentionnais l’année dernière, l’Institut comprend que certains travaux doivent être effectués sur place, mais il faut imposer une « présence justifiée » et non une approche universelle.
Au Nouveau-Brunswick, soit nos groupes provinciaux sont à la table des négociations, soit ils se préparent à y aller. Les élections provinciales étant prévues pour le mois d’octobre de cette année, les négociations pourraient être interrompues après le déclenchement des élections. Il sera intéressant de voir si les prochaines élections joueront un rôle à la table des négociations.
Je dois également signaler que le 12 mars, une infirmière praticienne qui travaillait à la clinique du MDN de Gagetown a été agressée avec une arme. Malheureusement, des cas comme celui-ci ne sont pas uniques, ni au MDN de Gagetown ni au sein du MDN, car nos membres du SCC sont confrontés à des problèmes très similaires. Ce n’est pas acceptable. Tout le monde mérite de travailler dans un lieu sûr. Un décès, une blessure ou une agression sur le lieu de travail, ce sont des drames de trop.
Enfin, j’aimerais souhaiter la bienvenue à Tamara Critch, Paul Hubley et Mark Bellefleur au sein de l’exécutif régional de l’Atlantique et remercier sincèrement Yvonne O’Keefe, Jennifer Cantwell et Gerald Hill pour les services qu’ils ont rendus à cet exécutif au cours des dernières années.
Prenez soin de vous et profitez bien de l’été.
Manny Costain
Directeur régional de l’Atlantique
Formation de base des délégué·es syndicaux de février 2024
Simon et Elissa ont animé la formation de base des délégué·es syndicaux de février 2024 au Lord Nelson de Halifax. Carolyn, la présidente du Comité de formation, a fait remarquer que c’était la première fois qu’elle voyait le module d’éducation populaire révisé. Le cours offrait un bel équilibre entre le contenu, les activités de groupe, les activités individuelles et les jeux de rôle. Les commentaires des participant·es ont été positifs : ils/elles ont apprécié la structure et le déroulement du cours, et la quantité de jeux de rôle était juste ce qu’il fallait. L’assistance était nombreuse à Your Father’s Moustache, lors d’une rencontre sociale animée par Manny Costain, le directeur régional, et Carolyn. Nous sommes ravis d’accueillir 20 nouveaux délégué·es syndicaux dans la région de l’Atlantique. Bien joué! – Soumis par la présidente du Comité de formation
École de formation régionale de l’Atlantique
L’école de formation régionale de l’Atlantique s’est tenue du 18 au 20 avril 2024 au Oak Island Resort, en Nouvelle-Écosse. Vingt-cinq nouveaux délégué·es syndicaux ont suivi les modules avancés sur les griefs et la consultation et 25 délégué·es chevronnés ont suivi les nouveaux modules sur la lutte contre l’oppression et l’intervention de témoins. Nous remercions Max Way, Elissa McCarron, Simon Davenport, Cheryl Owens-Carr, Richard Gaboton et Patricia Chong pour leur expertise dans l’animation de ces cours. Les évaluations du matériel et des animateurs et animatrices ont été très positives, et une pluie de louanges s’est abattue sur ces personnes! Les activités sociales comprenaient une rencontre avec les directeurs et directrices ainsi qu’un magicien local. Pendant l’école, des billets ont été vendus et ont permis de récolter 832 $ pour « The Genevieve Francis Memorial Fund », une organisation caritative créée en 2022 pour offrir du soutien, des loisirs et des activités physiques aux femmes et aux filles autochtones du Canada atlantique.
Conseil régional de l’Atlantique
Le 80e Conseil régional de l’Atlantique a eu lieu le vendredi 26 mai en après-midi et le samedi 27 mai au Rodd Charlottetown, à Charlottetown, à l’Île-du-Prince-Édouard. Vendredi après-midi, le délégué Colby Briggs a fait une présentation informative sur les pensions et les avantages sociaux, tandis que la présidente par intérim Eva Henshaw s’est entretenue avec les délégué·es du groupe du Nouveau-Brunswick. Les soumissions de candidatures pour les postes à l’exécutif et les allocutions des candidat·es ont eu lieu avec la présentation du Prix Membre d’exécutif de l’année.
Samedi matin à 9 h, les délégué·es ont commencé à travailler sous la présidence d’Emmanuel Costain. Carolyn Hynes, la présidente du Comité de formation, et Cheryl Owens-Carr, la directrice régionale de l’Atlantique, ont fourni des rapports. Gerald Hill, le trésorier, a présenté les budgets régionaux et les données financières. Les délégué·es ont eu le plaisir de participer à une séance de questions avec Eva Henshaw. Avant le dîner, Christine LeDrew, Lori Rowe et Tony Chubbs ont procédé aux élections. Carolyn Hynes, Mark Bellefleur, Tamara Critch, Paul Hubley et Kimberly Keats ont été élus. Nous remercions les anciens membres de l’exécutif, Yvonne O’Keefe, Jennifer Cantwell et Gerald Hill, pour leur contribution, ainsi que les personnes qui se sont portées candidates.
L’après-midi s’est poursuivi avec le débat sur les motions. Le président du chapitre, Gilles Comeau, et Brooke Casey ont fait une présentation informative sur le chapitre du Nord du Nouveau-Brunswick.
Lors du Conseil régional de l’Atlantique, les recettes du tirage, soit 1 024 $, ont été remises à la banque alimentaire Upper Room Foodbank de Charlottetown, à l’Île-du-Prince-Édouard.
Membre d’exécutif de l’année
Le Prix Membre d’exécutif de l’année vise à souligner les contributions exceptionnelles d’un·e membre de l’Institut de la Région de l’Atlantique qui est membre de l’exécutif d’un organisme constituant de la région. Ce qui rend ce prix spécial, c’est que la nomination vient de vous, les membres. La lauréate de cette année est Selena Glover, et elle a été désignée par la présidente du sous-groupe SH de Halifax.
Le parcours de Selena au sein de l’Institut a commencé lorsqu’elle est devenue déléguée syndicale, en 2011. Elle s’est ensuite fortement investie au niveau local dans le but de résoudre la question des taux de rémunération nationaux au sein du groupe SH. Elle a ensuite poursuivi son travail au niveau national en devenant une membre active du groupe des sciences de la santé, et elle est actuellement membre de l’équipe de négociation. Selena est devenue la présidente du groupe SH de Halifax en 2023 et elle en est actuellement la secrétaire.
Dans ses différents rôles, Selena a fait un excellent travail en menant la révision des statuts du groupe SH et en aidant à la création de nouveaux sous-groupes SH. Elle est entièrement dévouée au bien-être des membres. Elle participe actuellement à l’action menée, au sein du MDN, qui concerne les conditions de travail dangereuses de bon nombre de professionnel·les des soins de santé. En tant que présidente du sous-groupe SH de Halifax, Selena a organisé plusieurs événements qui ont attiré beaucoup de monde. Dans le cadre d’un de ces événements, des membres ont aidé un groupe local qui fournit un repas chaud et une aide de base, à l’église Saint Andrew’s de Halifax tous les dimanches, aux personnes en situation d’insécurité alimentaire.
La chaleur, la force, la résilience, la patience, le sens de l’humour et la détermination de Selena à protéger et à aider les membres de l’Institut sont une véritable source d’inspiration. Elle est une mentore fantastique, car elle est ouvertement disposée à partager ses connaissances, son expérience et ses compétences avec d’autres personnes dans le but d’augmenter le nombre de membres, non seulement au sein du groupe SH et du MDN, mais aussi dans tous les ministères et toutes les provinces. Selena a consacré de nombreuses heures à aider les autres, que ce soit par téléphone, par Zoom, en parcourant de longues distances en avion ou en conduisant avec des personnes qu’elle n’avait jamais rencontrées face à face. Elle est une force. Elle est là pour les membres et pour l’Institut, et elle travaille sans relâche afin de réussir.
Félicitations à Selena, la lauréate du Prix Membre de l’exécutif de l’Atlantique de l’année 2024!
Comité des jeunes professionnel·les de l’Atlantique (CJPA)
L’insécurité alimentaire et son impact sur les jeunes :
L’insécurité alimentaire est l’incapacité d’acquérir ou de consommer des aliments de qualité adéquate ou en quantité suffisante d’une manière socialement acceptable, ou l’incertitude de pouvoir le faire (Gouvernement du Canada, 2020). Selon Statistique Canada (2023), en 2022, 18 % des familles canadiennes ont déclaré avoir connu l’insécurité alimentaire au cours des 12 derniers mois contre 16 %, en 2021. L’Institut reconnaît qu’il s’agit d’un problème que vivent des personnes de tout notre pays, y compris nos jeunes, et afin d’avoir un impact, il fait des dons aux banques alimentaires locales.
Avec l’augmentation du coût des denrées alimentaires, ce problème ne fera que s’aggraver. Si l’on comprend les déterminants sociaux de la santé, il est facile de voir que la nutrition et une alimentation saine font partie intégrante d’une vie saine. Avec ces coûts croissants, personne, pas même les jeunes adultes, n’est à l’abri de l’impact ressenti dans la vie de tous les jours. Les jeunes adultes sont confrontés à un risque accru en raison de dépenses telles que les frais de garde d’enfants, les prêts étudiants, les prêts hypothécaires et les loyers. Ces coûts peuvent conduire les gens à devoir choisir entre payer le loyer ou prévoir des repas sains, ce qui les amène souvent à choisir des aliments sans grande valeur nutritionnelle, en raison de leur faible coût par rapport à des alternatives saines. Cela peut entraîner des problèmes de santé tels que l’obésité, le diabète et les maladies cardiaques, lesquels pèsent lourdement sur le système de santé canadien. Les enfants des jeunes adultes en situation d’insécurité alimentaire risquent d’être en surpoids et de développer des maladies chroniques telles que le diabète, à un âge plus avancé. Notre employeur a la responsabilité de veiller à ce que nos salaires augmentent en fonction du coût de la vie, ce qui est important lors des négociations.
Il n’y a pas de solution simple à ce problème complexe auquel beaucoup de Canadien·nes sont confrontés. Toutefois, certaines mesures peuvent être prises pour atténuer le problème :
- Réduisez le gaspillage alimentaire : 40 % des aliments cultivés ne sont pas consommés. Une intervention est nécessaire pour garantir que des aliments sains ne sont pas perdus ou gaspillés tout au long de la chaîne d’approvisionnement. Nous devons commencer à penser différemment. L’esthétique alimentaire ne devrait pas déterminer si un aliment est consommé ou non. Les excédents alimentaires pourraient être acheminés vers des refuges locaux ou des cuisines sociales.
- Accroissez la connaissance de l’insécurité alimentaire et la sensibilisation à ce problème.
- Écrivez une lettre à votre administration locale pour lui faire part de vos préoccupations.
En tant que jeunes adultes, nous pouvons catalyser le changement, notamment en ce qui concerne la question de la sécurité alimentaire, un fardeau qui pèse sur un grand nombre de Canadien·nes.
Références :
https://www.statcan.gc.ca/en/topics-start/food-price?HPA=1
Canada.ca (article qui donne un aperçu de l’insécurité alimentaire des ménages au Canada)
Écrit par : Kelly Weir et Ashlee McLeod
Calendrier des activités
(Des éléments de ce calendrier pourraient être modifiés.)
12 et 13 juillet 2024 : réunion du CJPA
16 juillet 2024 : prise de contact virtuelle avec les délégué·es syndicaux
6 septembre 2024 : Comité de formation régionale de l’Atlantique
6 et 7 septembre 2024 : Exécutif régional de l’Atlantique
Du 19 au 21 septembre 2024 : formation de base no 2 des délégué·es syndicaux
24 octobre 2024 : Exécutif régional de l’Atlantique
25 octobre 2024 : réunion du CJPA
25 et 26 octobre 2024 : Conseil des délégué·es syndicaux de l’Atlantique
8 et 9 novembre 2024 : AGA nationale de l’IPFPC
15 et 16 novembre 2024 : formation supplémentaire no 3 des délégué·es syndicaux
29 novembre 2024 : activité sociale saisonnière
30 novembre 2024 : Exécutif régional de l’Atlantique
Présentation de votre exécutif régional
À mon sujet :
Bonjour, je m’appelle Tamara Critch et je viens de Grand Falls-Windsor, à Terre-Neuve-et-Labrador. Mais vraiment de Windsor, à T.-N.-L., le côté génial de la voie ferrée.
Mon croisement de bichon maltais et de Westie et moi-même vivons maintenant à Middle Sackville, en Nouvelle-Écosse, une banlieue de Halifax. Nous avons déménagé pendant la pandémie; auparavant, nous vivions à Ottawa, en Ontario. J’ai l’impression d’être sur la côte Est sans vivre sur une île… Le chemin parcouru pour en arriver à travailler ici pour SPC a été sinueux. Depuis le début de ma carrière au MDN à Gander, puis à Halifax, puis à Sécurité publique Canada à Ottawa, puis à SPC à Ottawa, et finalement aujourd’hui ici.
Qu’est-ce que je fais dans mes temps libres?
En plus de câliner et de promener mon bébé poilu, j’ai tendance à faire beaucoup d’artisanat. J’ai commencé à faire de l’artisanat bien avant la pandémie, mais cela s’est intensifié pendant notre isolement forcé. J’ai fait du pliage de feuilles de livres (c’est-à-dire que je plie des feuilles pour qu’apparaisse une image en 3D lorsque le livre est légèrement ouvert), du faux verre de mer, de la peinture et de la couture. Mes tableaux ne sont pas professionnels, mais ils remplissent les espaces vides de mes murs. Je me suis vraiment mise à beaucoup coudre pendant la pandémie, en fabriquant des masques. J’en suis arrivée à produire différentes séries de masques.
Pourquoi suis-je devenu une déléguée syndicale?
Pour être honnête, au début de ma carrière, je n’avais aucune idée de ce qu’était un délégué syndical ou de ce qu’une telle personne pouvait faire pour moi. Je l’ai découvert lorsque j’ai déménagé à Ottawa. Vous voyez ce que je veux dire... Dès le départ, j’avais une idée de ce que couvrait notre convention collective et j’étais ouverte à l’idée de partager mon interprétation de cette convention collective. Mais après avoir assisté à l’AGA d’un sous-groupe, au cours de laquelle l’exécutif nous a exhortés à devenir des délégué·es syndicaux, j’ai décidé de tenter ma chance. J’ai pensé que si je partageais des informations, il était préférable d’obtenir les bonnes informations, pas seulement ma compréhension des choses. Et s’il y a bien une chose que je déteste, c’est l’injustice. En tant que déléguée syndicale, je peux défendre les membres qui se sentent incapables de le faire eux/elles-mêmes. J’ai trouvé cela si utile que j’ai continué de le faire.
À mon sujet :
Bonjour! Je m’appelle Paul Hubley et j’ai l’honneur d’être un nouveau membre de l’exécutif régional de l’Atlantique pour l’Institut. Je suis comptable professionnel agréé et j’ai de l’expérience en matière de comptabilité, de fiscalité et d’audit, et la défense des intérêts des membres me passionne. Ensemble, nous nous efforcerons d’obtenir des conditions de travail et de développement professionnel équitables et de permettre à tout le monde de s’exprimer avec force.
Qu’est-ce que je fais dans mes temps libres?
Lorsque je ne suis pas occupé par des questions syndicales, j’aime passer du temps avec ma famille, partir en vacances, travailler le bois, faire du vélo, faire de la randonnée, lire et regarder des films. Qu’il s’agisse de faire une randonnée le long de la magnifique côte atlantique, de lire un bon livre ou de terminer un projet de menuiserie, je crois au maintien d’un équilibre sain entre la vie professionnelle et la vie privée.
Pourquoi suis-je devenu un délégué syndical?
Devenir un délégué syndical a été une étape naturelle, pour moi. Cela a toujours été important pour moi d’aider mes collègues et de défendre leurs droits. Le fait d’être un délégué syndical me permet de contribuer directement à un changement positif sur notre lieu de travail. Il s’agit de défendre l’équité, de favoriser la solidarité et de veiller à ce que la voix de chacun soit entendue.
À mon sujet :
Bonjour, je m’appelle Mark et je suis originaire de Dieppe, au Nouveau-Brunswick. Je travaille pour Services aux Autochtones Canada (SAC) depuis quatre ans en qualité d’ingénieur dans le groupe NR, et j’ai 22 ans d’expérience en ingénierie. Originaire d’une petite ville du nord-ouest du Nouveau-Brunswick appelée St-Léonard, j’ai étudié le génie à l’Université de Moncton et la technologie du génie civil au Collège communautaire du Nouveau-Brunswick (CCNB). Avant de me joindre à SAC, j’ai passé 18 ans à travailler comme ingénieur à divers postes dans différentes sociétés de conseil privées, notamment Colliers Project Leaders à titre de professionnel de la gestion de projets, Strum Consulting, Genivar et RV Anderson. J’aime plaisanter en disant que j’ai travaillé sur des avions, des trains et des automobiles, car j’ai participé à de nombreux projets de routes et de subdivisions, à la reconstruction des quais de nombreuses gares, à l’extension de 2,4 km de l’Aéroport international Roméo-LeBlanc du Grand Moncton et à bien d’autres types de projets. Je suis marié depuis 25 ans et j’ai une fille qui a obtenu son diplôme de droit et un fils qui n’a plus qu’une année à faire pour obtenir son baccalauréat en cinéma et en télévision.
Qu’est-ce que je fais dans mes temps libres?
Je suis passionné par l’exercice physique, en particulier par l’entraînement quotidien dans ma salle de CrossFit locale, ou dans celle que j’ai aménagée chez moi, et par l’organisation et l’accueil de compétitions de CrossFit réunissant plus de 200 athlètes deux fois l’an. Quand je ne suis pas au gymnase, j’aime voyager, explorer de nouveaux lieux à travers le monde et les cultures chaque fois que je le peux, avec ma femme.
Pourquoi suis-je devenu un délégué syndical?
Ma décision de devenir un délégué syndical découle de mon expérience au travail, où j’ai été confronté à certains aspects négatifs de la direction à l’égard de collègues. Je crois que les syndicats sont plus forts lorsque les membres se mobilisent et je souhaite apporter ma contribution en sensibilisant les gens à nos activités syndicales et en les rendant plus positives.
Votre exécutif régional
Directeur :
Emmanuel (Manny) Costain
ecostain@pipsc.ca
Vice-président :
Michael Pauley
hkystick@gmail.com
Secrétaire :
Christine LeDrew
christineledrew@pipsc.ca
Trésorier :
Paul Hubley
paul.hubley5@gmail.com
Présidente du Comité de formation :
Carolyn Hynes
Carolyn_Hynes@pipsc.ca
Membres actifs :
Scott McConaghy
mscottmcconaghy@gmail.com
Lorraine Rowe
lrowe@pipsc.ca
Kimberley Keats
kkeats@pipsc.ca
Tamara Critch
tcritch@pipsc.ca
Mark Bellefleur
mbellefleur@pipsc.ca
Tony Chubbs
tony.chubbs@forces.gc.ca
Page Facebook des membres de la région de l’Atlantique :