Les membres du groupe Employés professionnels de Chalk River (GEPCR) ont voté en faveur de la ratification de leur entente de principe avec les Laboratoires Nucléaires Canadiens (LNC), mettant ainsi un terme à leur conflit de travail historique.
Dossiers chauds

Vous êtes nouvelle ou nouveau à l’IPFPC? Commencez ici
Bienvenue à l'IPFPC, le plus grand syndicat multiprofessionnel du Canada. Vous êtes un nouveau membre? Il y a beaucoup à apprendre, et nous vous aiderons à tout comprendre.

Retour sur le lieu de travail
L’IPFPC veille à ce que tous les plans de retour de ses membres sur leur lieu de travail reposent sur les principes fondamentaux de la sécurité, de la flexibilité, de l’équité et de la clarté.

Défendre la science publique
Lisez notre Équité de genre dans le travail sur le terrain : Guide à l’intention des employé·es et des gestionnaires. Les conclusions du rapport montrent que la plupart des ministères et organismes à vocation scientifique ne disposent pas de politiques ni de lignes directrices claires pour protéger…
Nouvelles
Le Conseil d’administration de l’Institut a récemment voté en vue de redéfinir les limites des régions du Québec et de l’Ontario. Une partie du territoire du Nunavut située à l’est du 80e méridien se joindra désormais à la région de l’Ontario. Nous vous invitons à lire les détails concernant ce changement et ses implications pour les membres.
L’IPFPC soutient la vision du Congrès du travail du Canada, lequel considère le projet de loi C-5 comme un catalyseur pour le commerce intérieur et les projets d’édification de la nation qui créent des emplois syndiqués durables et bien rémunérés dans l’ensemble du Canada. Cependant, nous sommes également préoccupés par les répercussions sur les employé·es du secteur public, la consultation insuffisante des autochtones, les considérations environnementales et la responsabilité à l’égard du public. Lire notre lettre concernant le projet de loi C-5.
Les 12 et 13 décembre 2025, au Sheraton Centre Hotel, à Toronto (Ontario).
Cinq ans après que la pandémie de la COVID-19 a normalisé le concept de travail à distance, des leaders d’opinion universitaire et syndical conviennent qu’il n’existe aucune preuve justifiant les mandats de retour au bureau.