L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Nous avons tous été consterné·es par l’effusion de sang dont nous avons été témoins au cours des trois dernières semaines.

Le conflit au Moyen-Orient a entraîné des répercussions personnelles sur les membres de l’Institut ayant un lien direct avec cette région. Certains de nos membres ont perdu des proches dans les attaques du Hamas le 7 octobre. D’autres en ont perdu dans la riposte israélienne. D’autres encore s’inquiètent pour la sécurité de leurs proches dans toute la région. En outre, des membres sont confrontés à la montée de l’islamophobie, de l’antisémitisme et du racisme anti-palestinien dans nos propres communautés.

Nous leur adressons nos plus sincères condoléances et notre solidarité. Nous sommes en contact avec le Réseau des employés fédéraux musulmans et le Réseau des fonctionnaires juifs et juives pour suivre l’expérience de nos membres sur leur lieu de travail et dans la collectivité. Nous faisons front commun contre toute expression de haine. Nous aidons nos membres à créer des espaces de dialogue, d’engagement et de solidarité exempts de haine en cette période de deuil et de division.

L’Institut a ajouté son soutien à une liste croissante d’organisations syndicales et d’organismes de la société civile dans en faveur d’un cessez-le-feu et d’une aide humanitaire. Les Palestiniens, les Israéliens et tous les habitants de cette partie du monde méritent de vivre dans la paix, la sécurité et la justice pour tous.

Nous invitons nos membres à prendre contact avec leurs collègues du syndicat qui sont directement touchés par cette guerre. L’heure est à la solidarité et à la mobilisation. C’est aussi l’occasion de rejeter la haine sous toutes ses formes. En tant que fonctionnaire, vous pouvez participer à des rassemblements, à des pétitions, à des lettres et à d’autres actions politiques qui n’encouragent pas la violence et la haine, mais vous devez le faire dans vos temps libres (en dehors des heures de travail, pendant les congés payés, etc.). Si vous avez d’autres questions ou préoccupations, nous vous encourageons à contacter votre délégué·e syndical·e.

 

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L’Institut a publié un guide détaillé du Régime des soins de santé de la fonction publique (RSSFP) afin de vous aider à comprendre les changements les plus complexes et d'expliquer les procédures d'appel en cas de refus d'une réclamation.  Nous encourageons les membres à consulter ce document avant de s'adresser à Canada Vie, qui continue de faire face à des délais importants et inacceptables dans le centre de service à la clientèle.  Les membres qui souhaitent obtenir des renseignements généraux sur leur régime peuvent se référer au guide pour y trouver les réponses aux questions les plus courantes et FAQ.  Un webinaire est également disponible pour expliquer le mis à jour.


En ce moment, Canada-Vie donne la priorité aux demandes urgentes, comme la couverture des médicaments coûteux.  Les erreurs mineures d'administration et de couverture seront traitées au fur et à mesure de l'augmentation de la capacité - veuillez-vous attendre à un délai important.  Si votre réclamation est rejetée ou si vous êtes incapable de joindre un représentant de Canada-Vie pour une question exceptionnellement urgente et importante - telle que la couverture de traitements coûteux, l'IPFPC peut tenter d'intervenir pour demander que votre demande soit traitée en priorité.  Veuillez noter que l'IPFPC n'a pas accès à votre compte.

L'Institut, les autres agents négociateurs et l'Association des retraités continuent de mettre pression sur le Conseil du Trésor pour mieux attendre de Canada-Vie.  Ce n'est pas le niveau de service auquel nous nous attendions ou qui nous a été promis.  Nous remercions nos membres pour leur patience tout au long de cette transition frustrante et nous prenons des mesures pour protéger vos intérêts.

Nous rappelons à tous nos membres (y compris ceux qui n'ont pas le RSSFP) que, grâce au ServicePlus, ils peuvent bénéficier d'une couverture de 90% sur les médicaments prescrits lorsqu'ils sont délivrés par notre partenaire pharmaceutique Mednow.  En raison de la réglementation provinciale, cette offre ne s'applique pas aux médicaments expédiés au Québec.


Le régime de soins de santé de la fonction publique couvre la plupart des membres de l'IPFPC et les personnes à leur charge, y compris les retraités, qui travaillent dans l'administration publique centrale et chez de nombreux employeurs distincts.

 

 

Les membres en règle pourront accéder à une diffusion en direct du Congrès 2023 de l'IPFPC, y compris de l'assemblée générale annuelle. La diffusion en direct ne concernera que la plénière principale et les affaires de l'AGA.

Si vous souhaitez accéder à la diffusion en direct, vous devez vous inscrire avant le 21 novembre en utilisant le lien suivant : LES INSCRIPTIONS SONT MAINTENANT FERMÉES

Le 8 juillet 2023, le Comité des postes isolés et des logements de l’État (le Comité) a finalisé sa méthodologie révisée qui s’applique au calcul de l’indemnité de frais de logement (IFL) prévue par la Directive sur les postes isolés et les logements de l’État (DPILE)

Depuis 2013, la méthodologie du Comité consiste à régler le taux de l’IFL annuellement, proportionnellement aux augmentations de l’indice des prix à la consommation (IPC) du territoire concerné.

L’objectif de l’IFL est de verser une indemnité aux employés qui se trouvent dans un poste isolé où le coût de la location d’un logement privé ou d’un logement de l’État est plus élevé que le seuil moyen national. Toutefois, la méthodologie révisée pour le calcul de l’IFL est entrée en vigueur le 1er août 2023. 

Qu’est-ce que cela signifie pour vous?

Il y a maintenant 20 lieux admissibles au lieu de cinq et la même méthodologie a été appliquée à tous les endroits. Une fois qu’un lieu est jugé admissible, le taux est ajusté annuellement en fonction de l’indice des prix à la consommation (IPC) provincial ou territorial, selon l’application, jusqu’à ce que les résultats du prochain recensement soient connus. 

Des dispositions transitoires ont été mises en place pour les employés qui travaillent dans des localités où le taux de l’IFL diminue (Inuvik, Iqaluit et Yellowknife) ou qui n’y seront plus admissibles (Norman Wells). 

Les employés qui recevaient l’IFL à un endroit qui n’est plus admissible ou qui voient leur taux diminuer, continueront à recevoir le montant du 1er août 2022 jusqu’au 1er décembre 2023.  Le 1er décembre, le montant baissera à 50 % du montant de la diminution et le 1er septembre 2024, le montant baissera des 50 % restants. 

En cas de modification de votre indemnité, l’employeur doit vous en informer par écrit. Ceci est conforme à la sous-section 2.13.2 de la Directive sur les postes isolés et les logements de l’État (DPILE).

Puis-je déposer un grief? 

Étant donné que le calcul de l’IFL et les autres changements apportés à la DPILE sont approuvés par le Conseil national mixte, les changements ne peuvent faire l’objet d’un grief tant qu’ils respectent la Directive. 

Avez-vous des questions? Voulez-vous plus d’information?

Pour toute autre question, nous vous invitons à consulter la FAQ ci-dessous ainsi que les liens suivants : Nouvelle méthode de calcul de l’indemnité de frais de logement (IFL) — Principaux changements — DPILE — 1er août 2023

Méthodologie révisée pour l’indemnité de frais de logement (IFL) — FAQ — 1er août 2023

Nous vous encourageons également à consulter la FAQ ci-dessous.

Les membres peuvent également contacter leur délégué syndical local de l’Institut s’ils ont des questions.

FAQ:

Comment sera-t-il déterminé si j’ai droit à l’IFL?

Le Comité examine d’abord le loyer moyen d’un logement de trois chambres à coucher au point de départ. Conformément à la Directive, le point de départ désigne « Vancouver, Edmonton, Calgary, Saskatoon, Winnipeg, Toronto, Ottawa, Montréal, Québec, Moncton, Halifax ou St. John’s, selon l’endroit le plus proche du lieu d’affectation de l’employé par l’itinéraire et les moyens de transport les plus pratiques ». 

Les salariés n’ont droit à l’IFL que si le loyer mensuel moyen d’un logement de trois chambres à coucher dans le poste isolé est supérieur au seuil moyen national, qui correspond au coût moyen d’un logement de trois chambres à coucher au point de départ du salarié, majoré de 15 % (sur la base des recensements de 2021).

Je suis propriétaire et non locataire; quelle incidence ces changements auront-ils sur moi?

Le 8 novembre 2023, le CNM a confirmé que les locataires et les propriétaires continueraient à
bénéficier de l’IFL. Le fait d’être locataire ou propriétaire n’est pas un facteur pris en compte
dans le calcul de l’IFL. En cas de modification de votre indemnité sur la seule base de votre
statut de propriétaire ou de locataire, veuillez consulter votre délégué·e syndical·e local·e de
l’IPFPC.

Comment saurai-je si mon IFL sera réduite?

En cas de modification de votre indemnité, l’employeur doit vous en informer par écrit. Ceci est conforme à la sous-section 2.13.2 de la Directive sur les postes isolés et les logements de l’État (DPILE). Toute réduction sera effectuée progressivement au cours d’une période de transition débutant le 1er décembre 2023.

Pourquoi ne puis-je pas déposer un grief?

Les modifications ont été apportées par le biais d’une consultation au sein du Conseil national mixte (à parts égales entre l’employeur et l’unité de négociation, y compris l’IPFPC). Les représentants des agents négociateurs (dont nous et l’AFPC) ont approuvé à l’unanimité la nouvelle méthodologie, et les calculs doivent être effectués conformément à celle-ci. Ce résultat a été obtenu grâce à des données qui ont permis d’ouvrir des droits dans 14 localités supplémentaires. Par conséquent, si les changements qui vous touchent résultent de l’application de la nouvelle directive, il est peu probable qu’ils puissent faire l’objet d’un grief.  

Lorsque le changement prendra pleinement effet le 1er décembre 2023, examinez attentivement votre rémunération. Si vous pensez que les calculs sont incorrects ou appliqués de manière imprécise, veuillez consulter votre délégué syndical local de l’Institut. Ceci est applicable autant aux locataires et aux propriétaires.

Où puis-je trouver les indemnités prévues par la DPILE?

Steven Raphael est membre de l’IPFPC et travaille pour la First Nation Health Authority (FNHA) depuis 2011. Il fait partie de la communauté syndicale de l’IPFPC depuis quatre ans et travaille avec des infirmier·ère·s, des gestionnaires de santé et des assistant·e·s de bureau de médecin pour les mettre en relation avec les réseaux de soins dont ils et elles ont besoin.

« Parfois, les infirmier·ère·s qui essaient d’accéder à des dossiers médicaux vivent beaucoup de stress, alors lorsque je les aide à résoudre un problème dans notre système d’archivage, j’essaie d’utiliser un langage positif pour qu’ils et elles aient le sentiment d’avoir remporté une victoire dans leur journée », explique-t-il.

Le travail de Steven consiste à améliorer l’accès aux systèmes électroniques de documentation clinique comme Panorama, des systèmes qui permettent aux Britanno-Colombien·ne·s de recevoir les soins dont ils et elles ont besoin. Panorama donne aux infirmier·ère·s de la Colombie-Britannique un accès direct aux dossiers de santé publique des individus. Le travail de Steven est important, car il veille à ce que les prestataires de soins de santé obtiennent en temps utile un accès à des données correctes sur les soins de santé des individus dont ils et elles s’occupent.


Steven est fier des relations qu’il a développées avec les infirmier·ère·s et les prestataires de soins de santé de différentes organisations des Premières nations. Les relations sont le moteur des changements les plus positifs, dans les collectivités avec lesquelles Steven travaille. Il est également fier des liens qu’il a tissés avec les intervenant·e·s de la FNHA et avec ses partenaires provinciaux. Sans ces relations solides, Steven affirme qu’il serait impossible de développer de meilleurs systèmes de santé pour les Premières nations.

« Travailler directement avec des infirmier·ère·s, des gestionnaires de santé et des assistant·e·s de bureau de médecin, cela signifie entretenir des relations avec ces personnes. Sans ces relations, vous n’obtenez pas d’approbation et elles n’obtiennent pas cette aide; c’est donc important. »

En tant que membre de la collectivité, père et fonctionnaire, Steven sait que la collectivité est au cœur des bons soins de santé.

« Il s’agit du cercle de soins. Le/la patient·e se trouve au milieu de ce cercle, et les prestataires de soins de santé se concentrent sur cette zone du cercle, le/la patient·e. J’ai la chance d’en faire partie », dit-il.

Un soutien syndical fort est un élément important, pour faire fonctionner le cercle des soins de santé. Les syndicats s’assurent que les travailleurs comme Steven sont aptes à obtenir l’aide dont ils ont besoin pour fournir des services importants qui ont des incidences sur les soins aux patient·e·s. Pendant la pandémie, une grande partie de ce travail consistait à s’assurer que Steven et ses collègues disposaient de ce dont ils et elles avaient besoin pour travailler et pour aider les prestataires de soins de santé depuis leur domicile.

« Si l’on me proposait le même emploi, si je devais faire exactement le même travail pour le même salaire, mais sans bénéficier du régime d’avantages syndicaux, je ne le ferais pas. Ce syndicat m’a aidé, mais il a aussi aidé mon employeur, dit-il. Je suis fier d’être membre de l’IPFPC, car j’ai fait l’expérience directe de leur soutien. »

En 2013, un cancer a été diagnostiqué chez la femme de Steven. C’est pourquoi son employeur et son syndicat ont uni leurs efforts pour s’assurer qu’il avait tout ce dont il avait besoin pour continuer à travailler tout en s’occupant de sa femme et de ses quatre filles.

« C’est grâce au congé pour soutien familial de l’IPFPC que j’ai pu aider ma famille pendant cette lutte contre le cancer », affirme-t-il.

Rochelle, la femme de Steven, est décédée en 2019 après avoir lutté courageusement contre le cancer pendant six ans.

« Sans le syndicat, le centre de soins palliatifs et d’autres formes d’aide de la part de la famille, nous n’aurions probablement pas pu rester ensemble, ajoute-t-il. Le syndicat m’a vraiment aidé à modifier mes horaires de travail, m’a laissé le temps d’emmener mes enfants à l’école, de marcher avec mon plus jeune et d’aider mes enfants à faire le deuil de leur mère. »

Steven a connu le système de santé de l’intérieur et de l’extérieur, et il sait combien de travail et de dévouement sont nécessaires pour créer un système qui aide et soutient les familles qui sont dans le besoin.

Son objectif principal est de veiller à ce que des services de santé continuent d’être développés par les Premières Nations pour les Premières Nations, et à titre de syndicat, nous le soutenons. L’IPFPC sera là pour aider les fonctionnaires importants comme Steven, qui font une différence tous les jours dans la vie des gens.

Le CTC recherche des représentant·es de l’Institut qui siégeront à ses comités consultatifs ou groupes de travail. Ces comités et groupes de travail jouent un rôle consultatif auprès des dirigeant·es du CTC et, par leur intermédiaire, du Conseil canadien.

Nous recherchons des bénévoles de l’Institut qui sont passionné·es par le mouvement syndical canadien et prêt·es à s’engager au nom de l’Institut pendant un mandat de trois ans.

Consultez la liste des comités et groupes de travail, puis posez votre candidature en remplissant le formulaire ci-dessous. La date limite pour poser votre candidature est le vendredi 29 septembre 2023.

Comités du CTC

Comité consultatif sur la formation

  • Le/la candidat·e doit avoir de l’expérience au sein du Comité d’apprentissage, de formation et de mentorat de l’Institut. Il/elle doit être membre ou ami·e du Comité et être choisi·e par le Comité.

Comité consultatif sur l’environnement

  • Le/la candidat·e doit être titulaire d’un baccalauréat ès sciences et être employé·e par un ministère ou un organisme qui œuvre dans le domaine des sciences environnementales.
  • Il/elle doit être membre ou ami·e du Comité consultatif des sciences et être choisi·e par le Comité.

Comité consultatif sur les droits de la personne

  • Le/la candidat·e doit être membre d’un groupe en quête d’équité reconnu.
  • Il/elle doit être membre ou ami·e du Comité des droits de la personne et de la diversité de l’Institut et être choisi·e par le Comité.

Comité consultatif des jeunes travailleurs et travailleuses

  • Le/la candidat·e doit être âgé·e de moins de 40 ans. Le CTC exige d’être âgé·e de moins de 30 ans, mais reconnaît que l’Institut exige d’être âgé·e de moins de 40 ans.
  • Le/la candidat·e doit avoir une expérience à titre de membre du comité national ou régional des jeunes.

Femmes

  • Le/la candidat·e doit s’identifier comme étant une femme.
  • Une expérience au sein d’un comité de femmes constitue un atout.

Groupes de travail

Groupe de travail sur les droits des personnes handicapées

  • Le/la candidat·e doit s’identifier comme étant une personne handicapée.
  • Une expérience au sein d’un comité de personnes handicapées constitue un atout.
  • Le/la candidat·e doit être membre ou ami·e du Comité des droits de la personne et de la diversité de l’Institut et être choisi·e par le Comité.

Groupe de travail des personnes de couleur

  • Le/la candidat·e doit être membre d’un groupe racisé.
  • Une expérience au sein d’un comité de travailleurs et de travailleuses de couleur constitue un atout.
  • Le/la candidat·e doit être membre ou ami·e du Comité des droits de la personne et de la diversité de l’Institut et être choisi·e par le Comité.

Groupe de travail sur les droits des peuples autochtones

  • Le/la candidat·e doit être membre d’une nation autochtone reconnue.
  • Une expérience au sein d’un comité de travailleurs et de travailleuses autochtones constitue un atout.
  • Le/la candidat·e doit être membre ou ami·e du Comité des droits de la personne et de la diversité de l’Institut et être choisi·e par le Comité.

Groupe de travail sur la solidarité et la fierté

  • Le/la candidat·e doit être membre de la communauté 2SLGBTQ+.
  • Une expérience au sein d’un comité sur la fierté constitue un atout.
  • Le/la candidat·e doit être membre ou ami·e du Comité des droits de la personne et de la diversité de l’Institut et être choisi·e par le Comité.

It is with great sadness that we announce the passing of Glenn Schur on Tuesday, August 22, 2023. He is survived by his wife Regina, his two children Rebecca (Adam) and Sarah, his siblings Gary (Judy), Dale, and Bonnie, his step-sibling Jo Ann (Keith), and many other family members, friends, and loved ones. He is predeceased by his mother Evelyn (1961), his father Walter (1989), his step-brother David (2015), and his step-mother Isabel (2021).

Glenn was actively involved in his work unions and several associations during his retirement years. At different points, he was President of the Manitoba Seniors Golf Association, Acting President of the PIPSC Retired Members Guild for Winnipeg and Southern Manitoba, and Director for the National Association of Federal Retirees

Our deepest condolences to Glenn's family and friends as they go through this very difficult time.

William « Bill » Giggie
4 août 1942 — 10 septembre 2023

Après une vaillante bataille pour la santé, Bill nous a laissés retrouver dans le ciel avec sa mère bien-aimée, Isabel, et son père, Robert Giggie. Sa sœur Rosalie Blackmore (feu Robert) de la Miramichi, sa cousine Dawn Goodridge à Ottawa et sa famille élargie, très aimées, sont en deuil. Il manquera beaucoup à son meilleur ami, Tom Simpson. 

Bill a été programmeur informatique à long terme à Postes Canada et est resté actif au sein du Syndicat fédéral des retraités pendant de nombreuses années. Bill a également offert son temps et ses talents à de nombreuses organisations, en tant que fier membre de la filiale d'Eastview de la Légion canadienne, de la Loge maçonnique d'Ottawa, des Shriners de Tunis, de l'Église unie Dominion Chalmers et a siégé pendant de nombreuses années au conseil d'administration du Château Vanier. Après sa retraite, il a fait du bénévolat dans divers organismes de bienfaisance. 

Bill avait une foi chrétienne profonde qui embrassait tout le monde. Il avait un rire de ventre incroyable et profond et une perspective unique sur la vie, mais qui respectait les autres points de vue. Il manquera à tant de gens, 

Une célébration de la vie de Bill a eu lieu aux Maisons funéraires Tubman, Garden Chapel, Ottawa. L'inhumation se fera à Miramichi, au Nouveau-Brunswick. Des dons à l'Église Unie du Canada seraient appréciés.

En 1993, Bill Giggie était déjà une légende de l'Institut, ayant servi comme intendant depuis 1972. Il a reçu le Prix de service de l'Institut en 1989 et le Prix d'adhésion à vie de l'IPFPC en 1993.   Bill a commencé son intendance en tant qu'employé de Postes Canada (qui, en 1981, est devenue une société d'État).

Avant 1981, Bill a présidé le groupe CS et l'équipe de négociation CS à trois reprises.  Entre 1981 et 1993, il a été président du groupe CPC-CS et de l'équipe de négociation.

Bill pourrait bien se démarquer en tant que membre le plus ancien du conseil d'administration de l'Institut, ayant siégé de 1977 à 2001, ce qui a inclus le poste de vice-président de 1981 à 1988. 

Au cours de ses décennies de dévouement à l'Institut et à ses membres, Bill a présidé la plupart des comités nationaux de l'Institut, y compris le Comité consultatif de groupe (5 ans de 1985 à 1990), les règlements administratifs (2 ans), les finances (2 ans) et les services aux membres.

Il est membre de la Guilde des membres retraités depuis sa création.  Bill a également siégé à l'exécutif de RMG depuis 2003, passant de trésorier à président en 2006.  

Parmi de nombreuses autres questions, Bill continue de consacrer son énergie à la défense de nos pensions, à la promotion de l'amélioration de la santé et des soins dentaires et au soutien des membres de l'Institut qui font face à des défis formidables et continus en milieu de travail. 

Le départ à la retraite de la fonction publique n'a jamais ralenti Bill.  Militant syndical dévoué depuis des décennies, toujours un gentleman mais dur au besoin, Bill a été à l'avant-garde du mouvement de l'Institut, luttant sans crainte contre le bon combat et défendant les droits et les intérêts des membres et des retraités, depuis quelque 46 ans.

Le gouvernement fédéral actuel a été réélu en 2021 sur la promesse de mettre en œuvre l’interdiction de recourir à des briseurs·euses de grève, et il a réitéré cet engagement dans son entente de coopération avec le NPD en promettant de promulguer cette loi d'ici la fin de 2023. Et pourtant, rien n'a été encore fait, et le temps presse pour faire adopter une loi.  

Nous devons demander des comptes aux député·es et exhorter le gouvernement à adopter un moyen concret d’interdire l'utilisation temporaire de briseurs·euses de grève. Une telle interdiction toucherait 22 000 employeurs et 1 million d’employé·es dans les secteurs sous réglementation fédérale, y compris beaucoup de membres de l'IPFPC. Votre appui et votre présence sont importants.

Venez à notre rassemblement mardi prochain. Une délégation de l’IPFPC se réunira à 11 h en face de la station de train léger du Parlement et commencera à marcher jusqu'à la Colline du Parlement à 11 h 15 précises.

N’oubliez pas que votre participation est volontaire et doit se faire dans vos temps libres (par exemple, pendant votre pause dîner non payée).