À tous les membres VFS,
Votre équipe de négociation a rencontré l’employeur du 24 au 26 avril derniers pour poursuivre les négociations visant à renouveler notre convention collective.
Pendant nos heures de dîner, nous avons rejoint nos collègues de l’AFPC et du SEI sur leurs piquets de grève pour leur témoigner notre soutien. L’obtention d’augmentations économiques équitables est dans l’intérêt évident de nos membres, et c’est la bonne chose à faire.
Chers membres de VFS
L'AFPC a conclu un accord de principe pour les groupes du Conseil du Trésor en grève.
Nos collègues du SEI restent en grève alors qu'ils s'efforcent de régler leur contrat.
La direction et les dirigeants de l'AFPC ont pris note de notre soutien à l'AFPC, y compris à nos collègues du SEI. Je l'ai entendu directement. Notre soutien est apprécié et nous nous en souviendrons.
Merci d'avoir apporté des fournitures et d'avoir soutenu nos collègues en grève.
Les élections des président·es TI des zones régionales du groupe VFS viennent de se terminer. L’exécutif du groupe VFS a le plaisir d’annoncer que les personnes suivantes ont été élues pour un mandat de trois (3) ans :
Atlantique : Mike Hefford
Québec : Michel Tobal
Ontario : Meghan Urwin
Prairies et T. N.-O. : Joshua Fidelak
Colombie-Britannique et Yukon : Darcey Dueck
Rapport des élections présenté par :
Mary Lycett
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE (AGA) 2023 DU GROUPE VÉRIFICATION, FINANCES ET SCIENCES (VFS)
L’AGA du groupe VFS aura lieu le samedi 10 juin 2023 au Hilton Lac-Leamy à Gatineau au Québec (en personne et virtuellement). Les statuts du groupe VFS prévoient la participation de 82 déléguées et délégués, y compris les 11 membres de l’exécutif du Groupe. Les 71 délégué·es officiel·les sont réparti·es en fonction des effectifs par région et choisi·es par les représentantes régionales et les représentants régionaux.
Du 7 au 9 mars, l’équipe de négociation du groupe VFS a rencontré l’employeur afin de poursuivre les négociations en vue du renouvellement de la convention collective du groupe.
La semaine a commencé par une bonne nouvelle : l’employeur a accepté de fournir à l’Institut des informations plus complètes sur les membres, ce qui l’aidera à garder le contact avec eux/elles. Des progrès ont également été réalisés dans quelques domaines, et l’équipe de négociation du groupe VFS continue de négocier de bonne foi.
À la demande du Comité des élections du groupe VFS et conformément à l’article 17.3.2.1 des statuts de l’IPFPC, le Comité national des élections de l’IPFPC assure la conduite des élections 2022 de l’exécutif national du groupe VFS.
Conformément à l’article 7.5.2 des statuts du Groupe, « l’année qui suit une année divisible par trois (3) », des élections ont lieu pour les postes suivants pour des mandats de trois ans :
Représentant·e régional·e de l’administration centrale
Du 17 au 19 janvier, notre équipe de négociation VFS a rencontré l’employeur afin de poursuivre les négociations pour le renouvellement de notre convention collective.
C’était notre première séance de négociation depuis que l’Agence a décrété le retour au bureau en décembre.
Notre employeur s’attend à ce que la quasi-totalité de ses employé·es fasse du télétravail jusqu’à trois jours par semaine, au lieu de continuer à en faire pratiquement à temps plein depuis mars 2020.
Ottawa, le 7 février 2023 — L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada, au nom de ses membres du groupe Vérification, finances et sciences (VFS), a déposé une plainte pour négociation de mauvaise foi contre l’Agence du revenu du Canada. La plainte concerne la récente décision de l’Agence d’imposer un décret de retour au bureau « universel » plutôt que de continuer à négocier le télétravail à la table de négociation.
Les membres de l’Institut et l’ARC sont en négociation depuis octobre 2022, mois où le télétravail a été établi comme une priorité absolue pour les membres du groupe VFS, et où l’Institut et l’employeur ont échangé des propositions sur la question. Pourtant, lors des séances de négociation ayant eu lieu du 17 au 19 janvier 2023, l’ARC a déclaré qu’elle n’avait plus l’intention d’inclure une quelconque clause de télétravail dans la convention collective.
« Vous ne pouvez pas simplement retirer de la table une question essentielle qui a été établie comme une priorité absolue pour les membres, et ne pas qualifier cette manœuvre comme étant de mauvaise foi », déclare la présidente de l’Institut, Jennifer Carr. « La volte-face de l’ARC vient saboter ce qui a déjà été accompli à la table et retarde, voire empêche, la conclusion d’un accord. N’oubliez pas qu’il s’agit du même gouvernement qui a promis une nouvelle ère de collaboration avec les membres de la fonction publique, mais qui a choisi une nouvelle fois de fermer la porte à la négociation, en faveur de l’imposition d’un décret extrêmement impopulaire. »
L’ARC s’attend à ce que tous ses employés retournent au bureau deux jours par semaine, au lieu de continuer à télétravailler la plupart du temps à temps plein, comme les membres du groupe VFS le font de manière sûre et productive depuis mars 2020.
« Compte tenu de notre dévouement manifeste envers la population et la prestation de services publics, il serait raisonnable de supposer que l’ARC est disposée à reconnaître notre droit de voir nos demandes de télétravail étudiées équitablement », affirme Doug Mason, président de l’équipe de négociation du Groupe.
Le décret de l’ARC imite la directive que le Conseil du Trésor a publié décembre — une approche « universelle » du télétravail à laquelle l’Institut s’oppose depuis son annonce.
« Depuis le début, nous avons été clairs sur le fait que l’adoption au bulldozer d’une directive comme celle-ci en plein milieu des négociations n’est pas de bon augure pour des négociations de bonne foi, et qu’elle causera plus de problèmes qu’elle n’en résoudra », poursuit Mme Carr. « Les faits parlent d’eux-mêmes. Nous attendons du gouvernement qu’il cesse de s’engager dans une confrontation inutile et qu’il remette cette question sur la table, comme il se doit. »
« La pandémie a obligé les gouvernements à moderniser les pratiques de travail, et ces pratiques doivent être intégrées dans les contrats des employés. Elles protègent tout le monde. Ce sont tout simplement de bonnes pratiques. »
L’IPFPC représente plus de 70 000 membres un peu partout au Canada, et plus de 14 000 membres du groupe VFS employés à l’ARC.
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Pour plus d’information : Johanne Fillion, 613-883-4900 (cellulaire), jfillion@pipsc.ca
Du 29 novembre au 1 er décembre, nous avons repris les négociations avec l’employeur
pour le renouvellement de notre convention collective. Afin de faire de la place pour
pouvoir nous concentrer sur les principales priorités des membres du groupe VFS, nous
y avons apporté plus de vingt modifications de style, le matin de notre premier jour.
Cela étant dit, nous avons quand même discuté des enjeux qui sont chers aux
membres et aux délégué·es syndicaux·les. Le passage à des rapports virtuels sans
Nous avons le plaisir de vous faire part de nos premières revendications non pécuniaires ainsi que des revendications de notre employeur.