L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

74 CR C.-B/Yukon - Rapport du Comité consultatif des sciences

Représentants de la Région du Pacifique : Karen Hall et Richard Winder (ami)

Le Comité consultatif des sciences a connu une autre année productive et emballante depuis la dernière réunion du Conseil régional. Avec l’appui de l’agent de liaison du Conseil, Robert MacDonald, et du personnel de l’Institut, le Comité a entamé la deuxième année de son Plan stratégique et opérationnel triennal. Le groupe a continué de privilégier six secteurs d’activité :

Voici une liste faisant état d’une partie de nos réalisations et de nos objectifs permanents en fonction de ces principaux secteurs d’activité :

  • Sondage sur la science : Deux rapports sur les résultats des sondages sur la science de 2017 ont été publiés. Le lent dégel de la science publique a donné un aperçu général du chemin parcouru (ou non) depuis le sondage précédent. Le deuxième rapport, qui a été publié à l’occasion de la Journée internationale de la femme, s’intitule Les femmes en sciences dans le secteur public : de l’analyse à l’action.
  • Les femmes en sciences : L’IPFPC a proposé un plan d’action visant à susciter des changements pour les femmes en science de quatre manières : 1) en menant des campagnes de sensibilisation et de lobbyisme pour l’adoption de nouvelles ou meilleures lois pour le milieu du travail; 2) en négociant collectivement de nouveaux ou meilleurs droits pour le milieu du travail; 3) en appuyant les présidents d’équipe de consultation dans le cadre des consultations syndicales patronales afin d’établir de nouvelles ou meilleures politiques en matière de ressources humaines; 4) en élaborant et en menant des campagnes de sensibilisation pour les membres de l’IPFPC.
  • Lobbyisme pour la science : Un travail important a été fait en coulisse pour s’assurer que le nouveau conseiller scientifique en chef soit pleinement conscient de la priorité que nous donnons à l’intégrité scientifique. Nous allons continuer de faire pression sur les paliers de gouvernement appropriés et de collaborer avec des organismes gouvernementaux externes comme Évidence pour la démocratie afin de nous assurer que la science publique continue de faire partie de la conversation. Nous enverrons également une délégation à la Conférence sur les politiques scientifiques canadiennes en 2018 dans le but d’établir des réseaux et de faire du lobbyisme.
  • Intégrité scientifique : L’Institut, le SCT et le Bureau du conseiller scientifique en chef ont élaboré une politique modèle commune qu’ils ont présentée au Conseil d’intégration scientifique. Nous allons tous appuyer les présidents d’équipe de consultation au fur et à mesure que cette question sera abordée à leur table de consultation afin de répondre aux besoins de chaque ministère.
  • Surveillance de l’état de la science au gouvernement : Grâce au travail acharné et aux efforts de notre personnel, nous surveillons les investissements réels dans les ressources et l’infrastructure scientifiques dans de nombreux ministères clés à vocation scientifique.
  • Participation à des conférences : D’autres travaux sont en cours pour suivre les demandes acceptées ou refusées de nos membres qui veulent assister à des conférences. Nous cherchons des outils pour soutenir les membres lorsqu’ils se butent à un refus, conformément à la convention collective.

J’aimerais saluer Richard qui, au cours des derniers mois qu’il a consacrés au Comité avant la fin de son mandat, s’est surpassé et a rédigé un « Manuel du propriétaire » à l’intention des nouveaux membres et des anciens membres du Comité consultatif des sciences. Il s’agit d’un outil remarquable qu’il laisse en héritage et qui montre son attachement indéfectible envers le Comité et la science publique.

Nous sommes heureux de représenter notre Région et nos membres scientifiques à ce comité national, et nous nous ferons un plaisir de répondre à vos questions.

Karen