Déclaration d’égalité de l’IPFPC
La solidarité syndicale est fondée sur le principe selon lequel tous les membres du syndicat sont égaux et méritent le respect mutuel. Tout comportement qui provoque un conflit nous empêche de travailler à renforcer notre solidarité et le mouvement syndical.
En tant qu’employés professionnels de la fonction publique et syndicalistes, le respect mutuel, la coopération et la compréhension sont nos objectifs. Nous n’encourageons ni ne tolérons un comportement qui porte atteinte à la dignité ou à l’estime de soi d’une personne ou qui génère un milieu intimidant, hostile ou offensant.
Un discours ou une conduite discriminatoire qui est raciste, sexiste, transphobe ou homophobe nous blesse et nous divise, tout comme la discrimination fondée sur l’invalidité, l’âge, la classe, la religion, la langue et l’origine ethnique.
Parfois, la discrimination prend la forme du harcèlement. Par harcèlement, on entend l’utilisation d’un pouvoir réel ou perçu pour abuser d’une personne, la dévaloriser ou l’humilier. Le harcèlement, c’est sérieux. Le malaise et le ressentiment qui en découlent ne favorisent pas le renforcement de la solidarité.
La discrimination et le harcèlement mettent l’accent sur les caractéristiques qui nous différencient, plutôt que sur les éléments qui nous rapprochent. Ils réduisent notre capacité à travailler ensemble pour et avec nos membres dans le but d’obtenir de meilleures conventions, des conditions de travail sans danger et la justice au travail comme dans les autres sphères de la société.
Les politiques et les pratiques de l’Institut, de même que les valeurs qu’il a toujours défendues, reflètent notre engagement envers l’égalité. Ce Conseil régional est une zone libre de harcèlement qui assure le respect de la dignité et de l’égalité de nos membres.