L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

NOUVELLES DU BSF DE TORONTO DU GROUPE VÉRIFICATION, FINANCES ET SCIENCES (VFS)

          

Message du président et de la vice-présidente

Enfin, après près de deux ans et demi de pandémie, nous pouvons maintenant retrouver nos vies en nous adaptant prudemment à notre nouvelle normalité. Nous invitons nos membres à s’entraider et à se faire plus compréhensifs, car la pandémie a nuit à la santé mentale de différentes façons, selon les personnes. Je peux vous assurer que notre section locale continuera de travailler fort en votre nom. N’hésitez pas à contacter votre délégué·e syndical·e ou notre exécutif VFS pour toute question.

Restez informés et portez-vous bien!

Prenez le temps de vous amuser, de créer des souvenirs et de passer un merveilleux été!   

KC, président , et Satie Narain-Simon, vice-présidente

https://pipsc.ca/fr/groupes/vfs/sous-groupes/vfs-toronto-centre      


Mot de la rédaction, Satie Narain-Simon 

Voici votre infolettre du groupe VFS!  Nous espérons que ce numéro vous plaira et vous invitons à nous faire part de vos commentaires et suggestions pour les prochains numéros.  Je tiens à remercier Renee Monize pour ses contributions constantes. Cette infolettre comprend des articles sur les messages de notre nouvelle présidente nationale aux membres, sur les dîners-conférences et sur le PAE.  À la fin de l’infolettre, vous trouverez les coordonnées de votre exécutif VFS.

Des nouvelles!  Nous avons une nouvelle présidente nationale!  Par Satie Narain-Simon

Nous avons une nouvelle présidente nationale, Jennifer Carr!  Voici quelques informations sur Jenn, tirées du site Web de l’Institut.

Jennifer Carr a été élue présidente de l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) le 6 novembre 2021.

Elle a travaillé dans la fonction publique fédérale pendant près de 20 ans, à divers titres. Jusqu’à son élection à la présidence, elle était ingénieure en environnement au ministère de la Défense nationale (MDN), où elle a contribué à assurer la qualité de l’air dans les sous-marins canadiens. Sa carrière dans la fonction publique fédérale lui a offert de nombreuses expériences, notamment à la base des Forces canadiennes de Cold Lake, en Alberta.

Les priorités de Jennifer à la présidence consistent à accroître la participation des membres aux activités syndicales et à renforcer les services de représentation.

Mère de trois enfants, elle habite à Aylmer, au Québec.

Ce que l’IPFPC fait pour vous, par Satie Narain-Simon 

J’inclus ce segment une fois de plus dans notre infolettre en raison de son importance pour nous, les membres, et surtout pour les nouveaux membres. C’est de l’information importante, car ça vaut la peine de connaître ce que votre syndicat, l’IPFPC, fait pour vous.  Voici un extrait de la page Web de l’Institut sur ce que l’IPFPC fait pour vous :

  1. Le succès d’un syndicat se mesure à sa capacité de conclure des conventions collectives justes!

Pour assurer que votre équipe de négociation obtient les meilleurs résultats, l’Institut fournit à votre groupe des négociateurs(-trices), des agent·e·s de recherche et des analystes de grande compétence.

  1. Avez-vous des problèmes avec votre employeur ou un·e collègue au travail?

À un moment ou à un autre de votre carrière, vous pourriez être impliqué·e dans un grief individuel ou collectif. Les délégué·e·s syndicaux et le personnel de l’Institut s’assureront que vos droits sont pleinement protégés. Vous serez bien représenté·e à toutes les étapes du processus.

  1. Votre salaire et vos tâches correspondent-ils à votre contribution réelle au milieu de travail?

Nous pouvons donner des opinions d’experts sur les descriptions de travail et la classification afin de corriger les inégalités.

  1. Avez-vous peur de perdre votre emploi en raison des compressions du gouvernement?

Nous conseillons et protégeons les membres dont les postes sont menacés par le réaménagement des effectifs (RE) ou d’autres initiatives mises en place par l’employeur.

  1. Craignez-vous de ne pas être entendu·e au Parlement?

Nous travaillons avec des politicien·ne·s fédéraux de tous les partis (l’Institut est une organisation sans allégeance politique) afin de cerner et de régler des problèmes importants pour les membres.

  1. Les Canadiens savent-ils ce que vous faites?

Nous élaborons des campagnes médiatiques pour sensibiliser les Canadien·ne·s au rôle essentiel que joue la fonction publique dans la protection de leur sécurité et de leur bien-être.

  1. L’union fait-elle vraiment la force?

Absolument. L’Institut collabore avec d’autres syndicats et groupes d’intérêt pour protéger les droits des membres et les services dont la population canadienne a besoin et auxquels elle a droit.

 

Pourquoi est-il important d’utiliser ses congés annuels? Par Renee Monize

Depuis mars 2020, les travailleuses et travailleurs du monde entier ont raccourci, reporté ou annulé leurs vacances. Ces deux dernières années et demie, il est devenu plus facile de voyager dans le monde entier, de nombreux pays ayant assoupli les conditions d’entrée et de sortie liées à la Covid-19. Un nouveau problème rendant les voyages difficiles et souvent un véritable cauchemar est attribuable au fait que les activités du personnel navigant et du personnel des aéroports ne sont pas revenues à la normale. De plus, le coût des voyages a considérablement augmenté ces deux dernières années et demie. 

Ne pas pouvoir voyager n’est cependant pas une raison pour ne pas prendre de congé annuel. Je suis sûre que beaucoup d’entre vous sont comme moi, fatigués d’entendre la direction vous dire que votre solde de congés annuels est supérieur à 262,5 heures et vous demander quand vous allez planifier vos vacances parce qu’il n’y a pas d’encaissement des congés annuels cette année.

Que vous puissiez voyager ou non, il est important que tout le monde prenne ses vacances annuelles. Prendre congé permet de se reposer et d’être un·e employé·e plus productif(-ive).  Selon un article publié par l’Université McMaster, les employé·e·s devraient prendre des vacances pour les raisons suivantes :

  • Se reposer, se détendre et recharger sa batterie;
  • Éviter l’épuisement professionnel et améliorer son bien-être mental et physique;
  • Améliorer sa productivité et sa capacité de concentration;
  • Réduire son stress. Et c’est bon pour :
  • L’inspiration;
  • Le développement des relations interpersonnelles;
  • L’esprit d’équipe;
  • La capacité à vivre dans le moment présent.

Le même article donne également quelques idées d’activités que vous pouvez faire avec votre congé annuel à part voyager. Voici des exemples.

  • Bougez - Essayez une nouvelle activité physique.
  • Profitez de vos temps libres - Allez dehors. Prenez congé des médias sociaux et débranchez-vous de la technologie.
  • Travaillez sur des projets à la maison - Jardinage, peinture d’une pièce de votre maison ou création d’un nouvel espace dans votre maison.
  • Commencez à planifier ou à rêver - Organisez une fête ou des vacances de rêve ou faites quelque chose dont vous rêvez depuis longtemps.
  • Voyagez sans quitter votre domicile - Faites des visites virtuelles, apprenez une nouvelle langue ou allez voir un spectacle.
  • Socialisez - Organisez une soirée de jeux virtuels, racontez-vous vos meilleurs souvenirs ou faites une bonne action au hasard.

Cet article fournit d’excellentes suggestions. Profitez de vos congés bien mérités pour vous reposer et vous ressourcer avant le 31 mars 2023.

Source : Pourquoi les vacances sont importantes - Ressources humaines (en anglais seulement; mcmaster.ca)

Dîner d’information, par Renee Monize

Le texte suivant est extrait (publié le 15 juillet) du site Web de l’IPFPC :

Rencontre positive avec la présidente du Conseil du Trésor (CT), Mona Fortier, au sujet du retour au bureau

La présidente de l’IPFPC, Jennifer Carr, a rencontré la présidente du Conseil du Trésor, Mona Fortier, pour discuter des principales préoccupations des membres, dont le retour au bureau et l’examen stratégique des services publics annoncé par le gouvernement dans son budget 2022.  

Retour au bureau

Jennifer a plaidé pour que l’employeur fasse preuve de souplesse face à l’adoption du modèle « hybride » dans la fonction publique.

Tout au long de la pandémie, nos membres ont démontré leur capacité à répondre aux besoins des Canadien·ne·s tout en travaillant à distance. Grâce aux nouvelles technologies, nous n’avons plus besoin de toujours devoir travailler au bureau.

La majorité de nos membres ont dit préféré faire du télétravail au moins une partie du temps. Cela crée un meilleur équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée, sans perte de productivité ou d’efficacité.

L’employeur doit donner accès à des modalités de travail hybride et de télétravail qui sont :

  • équitables;
  • adaptées aux préférences individuelles;
  • approuvées sans parti pris ni critères déraisonnables.

Il doit aussi approuver le droit à la déconnexion et favoriser l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée.

Nous ne tolérerons pas non plus que la sécurité des membres qui ne peuvent pas ou ne souhaitent pas travailler à domicile soit compromise. La qualité de l’air, la ventilation et la sécurité des immeubles doivent être au centre de tout plan de retour au bureau. Tous les ministères et organismes gouvernementaux doivent faire preuve de transparence et collaborer avec nos représentant·e·s pour « rouvrir » les lieux de travail. Ils doivent respecter les conventions collectives et toutes les lois applicables.

Le CT souhaite que cette importante conversation ait lieu au Conseil national mixte, où les représentant·e·s des agents négociateurs fédéraux et de l’employeur se rencontrent régulièrement pour discuter de questions cruciales. 

Examen stratégique de la fonction publique

La présidente Carr a souligné que l’examen stratégique ne doit pas être un examen où tout le monde entre dans le même moule, comme celui effectué sous le gouvernement Harper. Nos membres et la population canadienne qu’ils servent ressentent encore l’impact de ces compressions vieilles de plus de 10 ans. 

La présidente Fortier a réitéré la volonté du gouvernement d’avoir une fonction publique « plus efficace et non plus petite ». Elle cherche à économiser et à faire preuve de responsabilité fiscale en offrant des programmes plus efficaces tout en maintenant les niveaux de service. 

Programme d’aide aux employés (PAE), par Satie Narain-Simon:
 

J’ai trouvé l’article suivant de « Happify » très intéressant et j’ai pensé le partager avec nos membres:

Saviez-vous que la voix que vous écoutez le plus dans votre vie n’est probablement pas celle de votre partenaire, de votre enfant ou même de votre chanteur préféré, mais bien la vôtre, votre voix intérieure, celle qui se trouve dans votre tête? Selon Ethan Kross, professeur de psychologie à l’Université du Michigan et auteur du très remarqué nouveau livre Chatter (« Bavardage »), on passe entre la moitié et le tiers de notre vie à dériver dans notre esprit au lieu de se concentrer sur le présent. Et la plupart du temps, on se parle à soi-même.

Lorsque ce discours intérieur crée un cycle négatif d’inquiétude, de rumination et de catastrophisme, il peut nous empêcher d’avancer : c’est ce que Kross appelle le bavardage. « Mais le monologue intérieur peut également être un outil extraordinaire pour l’esprit, explique Kross. Nous pouvons utiliser des paroles silencieuses, dans notre tête, pour nous aider à naviguer dans le monde. Ce monologue intérieur peut nous aider à conserver des informations actives dans notre tête, à nous entraîner à résoudre des problèmes et à nous raconter notre vie, et ce sont autant d’éléments qui nous aident à façonner l’impression que nous avons de nous-mêmes ».

Appelez-vous par votre nom

Kross souligne qu’il est beaucoup plus facile pour la plupart d’entre nous de donner des conseils aux autres que d’écouter les conseils de notre propre voix intérieure. « En utilisant votre nom et les pronoms de la deuxième personne pour vous parler à vous-même, cela change la perspective et vous aide à vous parler comme si vous étiez en relation avec quelqu’un d’autre », explique-t-il. Il appelle cette stratégie le monologue intérieur distancié. 

Faites un retour vers le futur

À l’aide d’une stratégie appelée distanciation temporelle, Kross nous suggère de faire un saut dans le futur et de se demander « Que vais-je ressentir à ce sujet dans six semaines ou six mois? » au lieu de nous perdre dans le bavardage ». Vous pouvez même faire un saut dans le passé pour relativiser vos inquiétudes. « Cela nous donne de l’espoir, et l’espoir est un outil puissant pour faire taire le bavardage ».

Faites un retour à la nature

Des années de recherche ont montré les bienfaits sur la santé mentale de la marche dans un espace vert sécuritaire, selon Kross. « Lorsqu’on est attentif aux belles choses, on ne fait pas attention à son bavardage, et cela nous permet de lever le pied. Cela nous aide à nous rétablir, et une fois cette marche terminée, il est plus facile de se servir d’autres stratégies pour se concentrer sur le travail ou sur tout ce qu’on veut faire ». 

Formez votre comité de conseillers en bavardage

Parler de vos problèmes avec un·e ami·e peut vous aider à vous sentir validé et moins seul - mais si cet·te ami·e se contente d’écouter et de compatir, cela ne vous aidera pas nécessairement à ignorer le bavardage, explique Kross. « Il faut parler à quelqu’un qui, à un certain moment de la conversation, nous incitera à regarder la situation dans son ensemble et nous poussera à sortir de la vision en tunnel souvent créé par le bavardage ». 

Aidez les autres sans en avoir l’air

Lorsque vous voyez un·e ami·e ou un·e membre de votre famille coincée dans le bavardage, vous pouvez l’aider sans que la personne s’en rende compte, dit M. Kross. « N’essayez pas de les aider sans qu’on vous le demande, car cela peut se retourner contre vous », conseille-t-il. Vous pouvez plutôt essayer de lui faciliter la vie en proposant de préparer le dîner ou de faire la lessive, sans mentionner ses problèmes. Si vous voyez quelqu’un en difficulté au travail, au lieu de lui parler et de souligner ses faiblesses, envoyez un courriel à toute l’équipe pour suggérer un livre sur le stress qui lui serait utile », dit-il.

Faites une bonne action au hasard, par Satie Narain-Simon, présidente du PAE

La bonté est partout autour de nous. Oui, même en 2022 dans la ville de millions d’habitants!

Il y a quelques semaines, lors d’une promenade matinale, j’ai remarqué deux jeunes, un homme et une femme, qui essayaient de prendre une photo sur l’un des monuments de Toronto, celui  de Jack Layton.  Je me suis arrêtée et je leur ai demandé s’ils voulaient que je prenne leur photo. J’ai également mentionné que le personnage à bicyclette du monument a été un maire de Toronto. Quand le jeune homme, que nous appellerons Toby, a dit qu’il souhaitait que le monument lui porte chance, j’ai immédiatement senti que quelque chose n’allait pas.  J’ai dit avec empressement « Croyez que de bonnes choses vont vous arriver, mais la question, c’est y croyez-vous vraiment? ».  La jeune femme, que nous appellerons Marie, a éclaté en sanglots.  Ils m’ont alors raconté qu’ils étaient amis, qu’ils traversaient tous deux une période difficile et qu’ils avaient décidé sur un coup de tête d’acheter des billets pour un concert donné la veille au Scotiabank Centre. Ils venaient tous les deux d’une petite ville près de Woodstock. Ils ne connaissaient pas Toronto et ont juste garé leur camionnette quelque part, dans le premier stationnement qu’ils ont vu, puis ils ont posé le ticket sur le pare-brise et sont partis. Après le concert, ils ne savaient plus où ils avaient laissé la camionnette et ils ont marché toute la nuit à sa recherche. Les larmes coulaient et je sentais leur frustration, la fatigue, le manque d’espoir, la peur, etc. Je leur ai expliqué comment se rendre au Groupe maritime, non loin, en pensant qu’on pourrait les y aider mieux que moi. Après leur départ, j’ai décidé d’aller au Groupe maritime pour m’assurer qu’ils étaient là, j’ai donné quelques détails à la police, j’ai donné de l’argent aux infortunés visiteurs pour leur déjeuner ainsi que mes coordonnées et je suis partie après leur avoir demandé de me tenir au courant. Ils ont commencé à esquisser un sourire et à avoir de l’espoir.  

Ils m’ont appelée un peu plus tard, mais le Groupe ne leur a pas apporté beaucoup d’aide, si ce n’est de leur donner le numéro des « objets perdus ». Je leur ai dit de ne pas perdre espoir, de venir chez moi, en ajoutant qu’ensemble nous retrouverons leur véhicule. Je leur ai donné des brosses à dents, etc., pour se rafraîchir et j’ai fait quelques discours motivants sur la vie; ils étaient heureux, se sentaient à l’aise et nous sommes partis afin de poursuivre les recherches. Nous sommes revenus sur nos pas depuis le Scotiabank Center jusqu’aux stationnements environnants, et juste au moment où je commençais à douter, j’ai décidé de traverser le nouveau stationnement de l’immeuble de la CIBC. Il n’y avait aucune affiche de stationnement public, mais sur un coup de tête, j’ai donné au responsable du stationnement des détails sur le problème. Au même moment, un préposé terminait son service de 12 heures et a dit qu’il se joindrait à nous pour chercher. Il nous a emmenés sur un stationnement auquel je n’aurais pas pensé, et voilà! La camionnette était là! Nous nous sommes pris dans nos bras, les jeunes ayant appris de nombreuses leçons de vie, dont le pouvoir des bonnes actions, l’amour entre étrangers dans une grande ville, etc.

Alors que nous nous dirigions vers la sortie, Marie a expliqué au superviseur du stationnement ce qui leur était arrivé et il les a laissés partir sans payer. Et la bonté intervenait encore... Je suis retournée au stationnement pour informer le superviseur de la suite des événements, et de son rôle dans la « machine à bonnes actions ». Nous nous sentions tous tellement reconnaissants, tellement reconnus par une force supérieure pour des raisons que nous ne comprenons peut-être pas... Ce que je sais, c’est que cette histoire a changé la vie de Toby et de Marie de façon positive. Toby a poursuivi en racontant sa leçon sur le « pouvoir de croire ». Il a dit que tout a commencé quand il a donné quelques cigarettes à un sans-abri, puis je suis arrivée et nous connaissons le reste.

À 21 h, ce soir-là, Marie m’a envoyé un texto : « Je suis à la maison, en sécurité, avec mes deux bébés couchés dans leur lit. Que Dieu vous bénisse pour tout ce que vous avez fait pour nous ».                   

Courriels personnels

En période de négociation, c’est important d’avoir l’adresse de courriel et le numéro de téléphone personnels de nos membres. C’est ce qui nous permet de vous communiquer d’importantes informations sur les négociations. De plus, si nous commençons à faire des moyens de pression, nous devons pouvoir vous contacter en dehors du bureau. Envoyez ces renseignements à Satie Narain-Simon, Roland Bastair-Williams ou KC Tiow (leurs courriels figurent au bas de l’infolettre).

IMPLIQUEZ-VOUS

C’est facile!

  • Lisez vos infolettres de l’IPFPC et du groupe VFS.
  • Répondez aux sondages de l’IPFPC.
  • Posez des questions à vos délégué·e·s syndicaux.
  • Participez aux réunions syndicales.
  • Envoyez vos commentaires à vos délégué·e·s syndicaux.

Si vous avez lu cette infolettre, vous avez déjà franchi le premier niveau d’engagement. Bravo!

Contactez-nous

Liste des délégué·e·s syndicaux de Toronto-Centre:

Président                      KC Tiow                          kctiow2@gmail.com  

Vice-présidente            Satie Narain-Simon         sssimon.afstc@gmail.com  

Trésorier                       Rajan Tharmarajah                                                                              

Secrétaire                     Roland Bastair-Williams   rbastairwilliams@pipsc.ca      

Membre active             Renee Monize                       

Membre active             Nesia Cameron                       

Membre actif               Amin Lalji                                      

Membre active            Julia Bullough                                    

Membre actif               Arun Sharma                               

Délégué syndical        David Darling                    

Délégué syndical        Steve Kyskira                            

Délégué syndical         Kidane Afeworki                       

Délégué syndical         Bawa Goraya                              

Délégué syndical         Shelton Chu 

Délégué syndical         Shiping Zhang      

 

                                                                                    

Personnes-ressources de l’Institut

Toronto BSF ART