L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Les communautés LGBTQ2+ et leurs organismes alliés ont commencé à organiser des événements en ligne pour marquer la Fierté 2020 – et nous voulons élever vos voix.

Les célébrations de la Fierté dans tout le pays ont été déplacées de nos rues vers l’internet, mais nous sommes toujours aussi fiers. Et lorsque le moment sera venu, nous nous retrouverons tous ensemble, côte à côte, pour lutter en faveur de communautés inclusives et sûres.

Partagez vos photos avec nous en utilisant notre mot-clic #FierteIPFPC sur Facebook et Twitter ou envoyez-nous un courriel à bienmieuxensemble@ipfpc.ca d'ici le 25 juin.

Nous les partagerons de nouveau pour élever votre voix, diffuser votre message ou faire connaître votre activité de la Fierté! 

Le nom d'une personne qui aura partagé ses photos sera tiré au sort pour gagner une œuvre d’art d’un(e) artiste LGBTQ2+ du Canada.

Avec autant de réunions se déroulant maintenant en ligne, vous pouvez afficher votre fierté et votre solidarité en utilisant notre arrière-plan numérique de la fierté ou notre affiche de la fierté. Nous avons également créé des pages à colorier de la Fierté pour toute la famille.

Nous vous recommandons également de jeter un coup d’œil sur ce que fait le Congrès du travail du Canada pour les communautés LGBTQ2+.

Cliquez ici pour en savoir plus sur notre Comité des droits de la personne et de la diversité.

Nous ne sommes pas pressés de voir nos membres retourner à leur lieu de travail tant que toutes les précautions n’auront pas été prises et que les autorités sanitaires n’auront pas donné leur aval.

Depuis plusieurs semaines, l’IPFPC est en discussion avec le Secrétariat du Conseil du Trésor concernant les lignes directrices qui régiront le retour au travail de ses membres. La date de ce retour n’a toujours pas été fixée.

Nous ne voyons pas de raison de jeter la prudence aux orties et de renvoyer les gens dans leurs lieux de travail alors qu’ils ont été si productifs à domicile. Nous vivons dans un monde virtuel et les fonctionnaires ont prouvé leur capacité à demeurer productifs tout en travaillant à distance.

En aucune circonstance n’allons-nous permettre que votre sécurité soit compromise; il faudra donc peut-être attendre encore quelque temps avant de retourner à votre lieu de travail. Les ministères doivent faire preuve de transparence et collaborer avec nos représentants pour mener à bien leurs projets de réouverture des lieux de travail.

Nous ne sommes pas encore convaincus que des mesures de santé et de sécurité adéquates ont été mises en place, notamment pour assurer la distanciation des employés et l’assainissement des espaces communs tels que les salles de bain et les cuisines, ou même la sûreté des systèmes de ventilation et de la circulation d’air dans les espaces de travail.

Nous allons maintenir la pression pour que ceux et celles qui ont continué de travailler en première ligne dans leurs lieux de travail habituels reçoivent de l’équipement de protection individuelle (EPI) adéquat et puissent refuser de travailler si leur sécurité est compromise.

Pour les parents, l’équilibre entre le travail et la garde des enfants est une source énorme de stress. Pour alléger le fardeau des familles, le code de congé 699 doit leur être accessible lorsque les garderies et les écoles sont fermées, à participation volontaire ou ouvertes à un nombre limité d’enfants.

Là où les écoles et les garderies ont rouvert leurs portes, les familles qui ne sont pas à l’aise d’y envoyer leurs enfants devraient continuer de bénéficier de ce congé. Nous demandons que les fonctionnaires puissent utiliser le code de congé 699 jusqu’au début de la prochaine année scolaire afin de faciliter toutes les négociations requises.

Nous nous battrons pour que le congé dont vous avez besoin soit mis à votre disposition. Vous ne devriez pas avoir à choisir entre un chèque de paye et vous occuper de vos enfants!

Il va sans dire que l’employeur doit respecter les conventions collectives et toutes les lois applicables. Nous allons également déterminer les mesures temporaires qui pourraient être nécessaires, en plus des dispositions des conventions collectives actuelles, pour nous adapter à la nouvelle réalité de la COVID-19.

Il faudra peut-être trouver des occasions de mettre à l’essai des solutions novatrices d’assouplissement des horaires de travail. Il se peut qu’il n’y ait pas de solution unique pour tous à l’avenir. Une solution appropriée à un endroit peut ne pas convenir à toutes les situations, car les exigences en matière d’installations varient grandement selon les régions, les professions et les lieux de travail. Quelle que soit votre situation, nous serons là pour vous aider!

Le Caucus des employés fédéraux noirs (CEFN) souhaite répondre aux préoccupations des fonctionnaires concernant le racisme anti-Noir et le manque d’avancement professionnel. L’IPFPC a participé aux activités du Caucus et aux efforts de sensibilisation pour cerner et supprimer les obstacles qui empêchent tout fonctionnaire de s’investir pleinement dans son travail et d’atteindre ses objectifs.

Le Caucus a décidé de mener un sondage pour mieux comprendre les expériences des fonctionnaires noirs. Il s'inspirera des résultats pour éclairer ses travaux visant à accroître la diversité et l’inclusion sur le plan de l’avancement professionnel dans les lieux de travail fédéraux. Norma Domey, BSc, MSc, DTM, et vice-présidente nationale de l'IPFPC, représente nos membres de par ses fonctions avec le comité-conseil syndical du CEFN.

C’est la première fois qu’un sondage s’adresse exclusivement aux employés de la diaspora noire et africaine au sein de la fonction publique fédérale canadienne.

Si vous êtes un fonctionnaire fédéral noir ou issu de la diaspora africaine, nous vous encourageons à y répondre.

RÉPONDRE AU SONDAGE

Vous avez jusqu’au 30 juin 2020 pour le remplir.

Vos réponses demeureront anonymes et tous les renseignements recueillis seront strictement confidentiels.

Si vous avez des questions, adressez-les à members@fbec-cefn.ca.

 

Nous sommes à la fois surpris et déçus par la  décision (en anglais seulement) du gouvernement Ford de ne pas élargir l’accès à la prime de pandémie versée aux fonctionnaires considérés comme admissibles. Cette décision contredit complètement la déclaration faite le 14 mai 2020 par Christine Elliott, ministre de la Santé, lorsqu’elle a dit aux Ontariens que le ministère s’appliquait à dresser la liste complète des personnes admissibles pour s’assurer que « tous ceux et celles qui devraient toucher la prime de pandémie la recevront ».

Nous sommes très fiers de nos radiothérapeutes qui travaillent en première ligne pendant cette crise. Vous êtes soumis aux mêmes exigences de l’état d’urgence de l’Ontario que les autres travailleurs de la santé considérés comme admissibles à la prime de pandémie. En tant que travailleurs essentiels, vous ne pouvez pas refuser de traiter des patients soupçonnés d’avoir contracté la COVID-19. Vous prenez toutes les précautions possibles, triez les patients et portez un équipement de protection individuelle (EPI). À l'instar des autres travailleurs de la santé, les radiothérapeutes sont exposés à la COVID-19 au travail.

À la suite de l’annonce de la prime de pandémie, Debi Daviau, présidente de l’IPFPC, a (seulement en anglais) écrit à Doug Ford, premier ministre de l’Ontario, à Christine Elliott, sa ministre de la Santé, et à Peter Bethlenfalvy, président du Conseil du Trésor. Des appels ont également été passés à leurs bureaux et à des responsables clés du gouvernement.

Nous avons également pris contact avec d’autres groupes et syndicats représentant des travailleurs hospitaliers de l’Ontario qui n’ont pas été sélectionnés pour recevoir la prime, notamment le Syndicat des employés de la fonction publique de l’Ontario (SEFPO) et l’Ontario Association of Medical Radiation Sciences (OAMRS).

Le 6 mai 2020, l’IPFPC a lancé une campagne d'envoi de courriels au premier ministre (en anglais seulement). Les membres ont été invités à écrire au premier ministre et aux principaux ministres de son cabinet afin d'exprimer leurs préoccupations quant au fait qu'ils sont exclus du programme de versement de la prime. Merci à tous ceux et celles qui l'ont fait.

De nombreux présidents d’hôpitaux, directeurs généraux et organisations d’employeurs se sont aussi prononcés en faveur de l’octroi de la prime de pandémie aux radiothérapeutes et à d’autres travailleurs de la santé :

  • Jean Bartkowiak, président et directeur général du Centre régional des sciences de la santé de Thunder Bay, a écrit au premier ministre (en anglais seulement) pour lui demander d'élargir le versement de la prime de pandémie à tous les employés des hôpitaux, à l’exception des directeurs généraux.
  • David Musyj, président et directeur général de l’hôpital régional de Windsor, a lui aussi écrit au premier ministre et s’est prononcé publiquement (en anglais seulement) en faveur du versement de la prime de pandémie à tous les travailleurs de la santé de première ligne.
  • Les huit directeurs généraux des hôpitaux de Hamilton, Niagara, Haldimand, Brant et Burlington ont publié une lettre publique (en anglais seulement) pour que la prime « s’applique à tous les employés des hôpitaux afin d’assurer une reconnaissance équitable de leur travail ».

L’Association des hôpitaux de l’Ontario et plusieurs organisations œuvrant dans le domaine de la santé ont envoyé une lettre publique (en anglais seulement) au premier ministre, avec copie à la ministre de la Santé, au président du Conseil du Trésor et aux responsables clés, pour exhorter la province à accélérer et élargir le versement de la prime de pandémie à tout le personnel de première ligne qui n’exerce pas de fonctions de gestion « pour reconnaître les services essentiels fournis et l’effort collectif requis dans la lutte contre la COVID-19 ».

Malgré tous les soutiens en faveur de l’élargissement de la prime de pandémie, les demandes adressées au gouvernement Ford sont restées lettre morte.

Cette décision est plus que décevante — elle est carrément bouleversante pour nos membres qui ont fait un travail d’une grande importance dans les centres de cancérologie de l’Ontario tout au long de cette crise. Vous méritez la même reconnaissance que les autres professionnels qui touchent cette prime dans votre hôpital. Nous ferons tout pour faire valoir nos arguments à cet égard dans le cadre des prochaines négociations collectives.

Depuis la mi-mars, l’équipe de l’IPFPC travaille d’arrache-pied pour défendre les intérêts de tous les membres à la lumière des changements brusques provoqués par la COVID-19.

Dans cette vidéo, Debi Daviau, présidente de l’IPFPC, informe les membres de la fonction publique fédérale de tout ce que nous avons fait pour défendre leurs intérêts à ce jour.

Elle explique également comment l’IPFPC s’est adapté pour servir ses membres à distance, en plus de faire brièvement le point sur les activités syndicales.

Nous tenons à remercier nos membres de tout le travail remarquable qu’ils ont accompli au nom des Canadiens dans ces circonstances extraordinaires.

Activez les sous-titres en français à l'aide des réglages. 

 

Cette semaine, nous avons été témoins de l’effet dévastateur du racisme anti-Noir.

Trop de personnes et de communautés au Canada demeurent aux prises avec le racisme et l’injustice. Notre Comité des droits de la personne et de la diversité (CDPD) s’efforce de régler les problèmes de la communauté noire dans la fonction publique.

L’IPFPC doit être un lieu sûr et propice à l’inclusion. Cela ne peut se produire que si nous prenons individuellement et collectivement des mesures nécessaires pour perturber et démanteler les systèmes qui perpétuent le racisme et l’oppression.

L’IPFPC et le CDPD sont déterminés à mener à bien cette entreprise et à s’investir activement dans l’écoute, l’apprentissage et la collaboration nécessaires pour tracer ensemble une meilleure voie vers l’avenir.

« Les membres noirs de l’IPFPC m’ont contacté pour me faire part de leur expérience du racisme, tant au travail que dans notre syndicat. Ils ont été choqués quand je leur ai fait part de toutes les années où j’ai dû faire face au racisme anti-Noir. Nous devons nous épauler mutuellement et savoir que nous ne sommes pas responsables de cette injustice », a déclaré Jennie Esnard, présidente du CDPD. « Nous sommes une communauté compatissante et nous ne devons pas oublier qu’il est important de se tendre la main et de se soutenir mutuellement; nous devons reconnaître que la situation actuelle est inacceptable et nous engager à dénoncer le racisme sous toutes ses formes. »

Nous sommes tous très attachés à l’équité et à l’inclusion. Nous reconnaissons que nous avons du travail à faire au sein de notre système. Nous nous sommes engagés à relever le défi d’examiner les privilèges et de déterminer comment susciter des changements qui permettront d’éliminer le racisme dans notre organisation. Nous nous sommes engagés à créer des milieux de travail où chacun a la possibilité d’apprendre et de travailler dans le respect et d’avoir un sentiment d’appartenance. 

Votre syndicat célèbre son 100e anniversaire! Bien que ce ne soit pas le centenaire que nous avions imaginé, nous profitons de l’occasion pour laisser notre marque dans la communauté.

Dès que la sûreté de tous sera assurée et que la pandémie sera chose du passé, le Conseil d’administration, de concert avec les organismes constituants, détermina où et quand la centaine d’arbres seront plantés pour commémorer 100 ans de progrès.

Afin de bonifier cette campagne, vous êtes invités à faire un don à Conservation de la nature Canada ou à Arbres Canada, deux œuvres de bienfaisance qui mènent de grands projets visant à planter de nouveaux arbres et à protéger notre biodiversité. Les dons faits à l’un ou l’autre de ces organismes peuvent donner droit à un reçu fiscal.

DON À CONSERVATION DE LA NATURE CANADA

La Société canadienne de conservation de la nature s’emploie à protéger les lieux naturels les plus précieux de notre pays. Fièrement canadienne, elle donne aux citoyens les moyens de sauvegarder les terres et les eaux qui soutiennent la vie.

DON À LA FONDATION CANADIENNE DE L’ARBRE

La Fondation canadienne de l’arbre est fière de se consacrer à la plantation et à la culture des arbres. Depuis 25 ans, elle engage les communautés, les gouvernements, les entreprises et les particuliers dans la poursuite d’un environnement de vie plus vert et plus sain pour les Canadiens.

Faites un don dès maintenant pour changer les choses! Nous sommes fiers de redonner à la collectivité pour notre 100e anniversaire afin de faire la promotion de la gestion de l’environnement, qui est plus importante que jamais alors que nous tentons de surmonter la crise climatique en réduisant notre empreinte carbone.

Le Régime de soins de santé de la fonction publique (RSSFP) est un régime de soins de santé volontaire destiné aux employés de la fonction publique fédérale et à leur famille. Tous les cinq ans, le Conseil du Trésor procède à un examen du Régime.  Les avantages accordés aux fonctionnaires ne sont pas négociables en vertu de la loi; c’est pourquoi l’IPFPC prend au sérieux son rôle consultatif dans le cadre de cet examen en faisant part de vos suggestions et de vos préoccupations.

Avec d’autres syndicats de la fonction publique, nous avons mené un sondage auprès de nos membres en 2018 et organisé des consultations pour déterminer vos priorités.

Vous avez demandé un régime qui :

  • encourage la santé et le bien-être grâce à une bonne conception et à des soins médicaux fondés sur des données probantes;
  • offre une couverture complète de soins aux membres qui se trouvent dans des situations difficiles;
  • innove en mettant au point des outils numériques, des partenariats industriels, de nouvelles technologies et des soins préventifs;
  • adopte une vision à long terme fondée sur des soins de santé durables, efficaces et abordables qui offrent une valeur optimale aux membres actuels, aux membres retraités et à toute la population canadienne.

Notre équipe chargée des pensions et des avantages sociaux a analysé vos réactions, l’évolution d’autres grands régimes ainsi que les tendances du secteur.  Avec d’autres syndicats de la fonction publique, nous avons cerné diverses améliorations à apporter à la couverture, comme l’amélioration des soins de la vue, l’accès aux travailleurs sociaux et aux psychothérapeutes et la mise en œuvre de la facturation directe.

Nous présenterons notre proposition à l’employeur dans les mois à venir et vous tiendrons informés de l’évolution des choses.

Le gouvernement de l’Ontario a annoncé que les travailleurs de la santé de première ligne toucheront une prime de pandémie. Ces travailleurs sont essentiels aux efforts en cours pour protéger les Ontariens et réduire l’incidence de la COVID-19. Leurs sacrifices et leur dévouement au service sont remarquables.

Le programme publié donne des exemples de travailleurs qui recevront une rémunération pandémique, mais n’en dresse pas une liste exhaustive.

La liste n’est toujours pas disponible.

Nous avons écrit aux présidents et aux directeurs généraux des hôpitaux où travaillent nos membres en les implorant d’écrire au gouvernement Ford au nom de leurs travailleurs. Plus tôt ce mois-ci, nous avons écrit au premier ministre Ford pour lui demander de confirmer que nos membres qui travaillent en première ligne recevront bel et bien une prime de pandémie. Le bureau du premier ministre ne nous a toujours pas répondu.

Lisez la lettre (en anglais) que nous avons envoyée aux présidents et aux directeurs généraux.

Jean Bartkowiak, président et directeur général du Centre régional des sciences de la santé de Thunder Bay, a écrit au premier ministre et au ministre de la Santé pour leur demander de verser la prime de pandémie à tous les employés des hôpitaux, à l’exception des directeurs généraux.

David Musyj, président et directeur général de l’hôpital régional de Windsor, a écrit au premier ministre et s’est prononcé publiquement en faveur du versement de la prime de pandémie à tous les travailleurs de la santé de première ligne.

Rob MacIsaac, président et directeur général de Hamilton Health Sciences, a répondu à notre appel et s’est engagé à écrire au premier ministre.

Nos radiothérapeutes font un travail d’une grande importance. Ils sont soumis aux dispositions de l’état d’urgence de l’Ontario et sont considérés comme des travailleurs essentiels qui ne peuvent pas refuser un travail dangereux.

Il est temps que le gouvernement Ford reconnaisse vos contributions en cette période sans précédent.

Nous vous enverrons d'autres nouvelles dès que nous en saurons plus.

Le 14 mai dernier, le Conseil d’administration de l’Institut s’est réuni pour discuter et planifier les prochaines activités en personne de l’IPFPC à la lumière des restrictions imposées aux grands rassemblements en personne par suite de la COVID-19.

Les instances de l’Institut ont pris les décisions suivantes concernant les activités en personne prévues en 2020.

Assemblée générale annuelle 2020

  • Le personnel de l’IPFPC étudie diverses possibilités pour tenir une AGA virtuelle. Le nombre de délégués restera inchangé.
  • Cette AGA virtuelle se tiendra le 5 décembre. Cette date est un mois plus tard que prévu afin de permettre l’organisation de l’assemblée virtuelle et l’inscription des délégués.
  • La période d’inscription aura lieu du 1er septembre au 16 octobre.
  • Le premier point à l’ordre du jour suivant le discours de la présidente concernera les obligations légales de l’Institut (approbation des états financiers vérifiés et nomination des vérificateurs).
  • Les motions seront limitées à celles qui sont parrainées par le Conseil d’administration, les exécutifs de groupe, les exécutifs régionaux et la Guilde des membres retraités.
  • Les allocutions seront transmises par voie électronique avant l’AGA, à l’exception du discours de la présidente.

Conseils régionaux et conseils de délégués syndicaux

  • Les conseils régionaux et les conseils de délégués syndicaux prévus en 2020 sont annulés. Dans la mesure du possible, les Régions organiseront des activités en ligne pour les membres et les délégués syndicaux afin de remplacer certaines parties des conseils.

Autres réunions en personne, y compris les assemblées générales annuelles des groupes

  • Toutes les réunions en personne sont suspendues jusqu’au 31 août 2020.
  • Les activités regroupant plus de 50 personnes sont suspendues jusqu’au 31 décembre 2020. Les exécutifs d’organismes constituants sont encouragés à tenir ces réunions en ligne, notamment par l’intermédiaire de Zoom.
  • Le Conseil se réunira avant le 31 août pour évaluer les conditions applicables à la tenue de réunions et d’activités en personne réunissant moins de 50 participants pour le reste de l’année 2020. Il est impossible de faire des réservations pour ces réunions avant que le Conseil n’ait donné ses instructions.

Nous avons également discuté de la pertinence d’acheter des équipements de protection individuelle (ÉPI) portant le logo de l’IPFPC, comme des masques, du désinfectant pour les mains ou d’autres accessoires relatifs à la pandémie en tant qu’articles de visibilité pour les membres. La présidente a déterminé que les membres souhaitant utiliser les fonds de l’IPFPC pour acheter de tels articles de visibilité devront soumettre une analyse de rentabilité au Bureau de la présidente (president@pipsc.ca) en indiquant comment ces achats sont conformes aux politiques de l’IPFPC, comment les articles seraient distribués sans exposer davantage les membres ou les représentants au risque, et comment l’achat et la distribution de ces articles pourraient accroître la visibilité de l’IPFPC au travail.