L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Services de gestion de l’information (SGI)

Les réunions bilatérales des SGI ont eu lieu le 16 janvier, le 5 novembre et le 17 décembre.

  • Gestion des talents et Répertoire des compétences — nous avons insisté sur l’inclusion du syndicat dans tout travail sur ces questions et sur la nécessité de tenir des consultations complètes.  On a mis du temps à réaliser des progrès auprès de la direction et des discussions ont maintenant cours à la table de la Commissaire.   Nous croyons que d’aider les employés à atteindre leurs objectifs constitue un atout pour l’organisation. Une nouvelle conception de ce programme devrait permettre aux employés et à l’organisation de grandir ensemble.  L’IPFPC croit que les membres devraient être capables de planifier leur carrière, que la direction est là pour les aider, et que c’est profitable pour l’employé comme pour l’organisation.
    Actuellement, ce processus n’est pas transparent — les membres ne peuvent voir l’ensemble du Répertoire des compétences qui existe au sein des SGI et la Gestion des talents n’est pas non plus un processus transparent pour les membres.
  • Norme de classification TI – tous les postes CS doivent être comparés à la nouvelle norme; les descriptions de travail doivent être à jour.  On a donné une présentation et discuté du fait qu’il est nécessaire de procéder toujours à de sérieuses consultations avant que le SCC ne prenne des décisions finales.
  • Descriptions de travail – Une réunion avec l’employeur est prévue en janvier pour en discuter, en fonction du travail effectué en 2018 par le comité de Bob Dobos sur l’amélioration des DT en préparation pour les normes de classification TI (suite des DPI du SCT).  L’IPFPC n’a pas été consulté à cet égard.
  • Formation et perfectionnement professionnel (PP) — nous continuons d’insister pour que l’argent réservé à la formation soit attribué de manière juste et uniforme.  On a insisté sur les changements à la convention des CS qui donnent à tous les employés le droit à au moins une activité de PP par année. 
  • Plafond pour les déplacements – On a soulevé la question avec les SGI et au CNSP avec la Commissaire.  L’IPFPC a mené un sondage qui a démontré que 50 % des CS de SCC se sont vu refuser de la formation en raison de plafonds pour les déplacements ou de limites budgétaires.  Les résultats ont été communiqués à la Commissaire et les pourparlers se poursuivent.
  • Consultants et sous-traitance — nous continuons d’exiger que le travail CS soit confié à des employés dans la mesure du possible et nous attendons à une justification pour tout le travail confié à la sous-traitance.  Nous avons fait savoir à la Commissaire que nous n’approuvons pas le fait que les ministères aient recours à des employés occasionnels pour éviter la sous-traitance.
  • RRS – Nous nous sommes interrogés sur la pertinence de cette application pour le travail non lié aux projets.
  • Outils d’évaluation pour la GPP – Les objectifs nationaux ne reflètent pas la réalité du travail pour tous les CS, surtout ceux qui travaillent dans les unités opérationnelles du SCC.  
  • Programme d’apprentissage mixte (PAM) – L’IPFPC a suggéré plus tôt cette année que les DPI et les cadres supérieurs des SGI participent à une formation en consultation avec les membres de l’équipe de consultation dans le cadre du PAM.  Lors de conversations plus approfondies avec le sous-commissaire principal, on a conclu que c’était une bonne idée.  Nous nous pencherons sur la question en 2020 et croyons que cela va vraiment aider tous les participants à tenir des consultations plus significatives. 
  • Projet UIS : Nous avons présenté nos préoccupations concernant la mise en œuvre du projet d’UIS. L’employeur déclare que le projet d’UIS a été un succès et verra s’il est nécessaire d’en tirer des leçons.  L’IPFPC a déclaré que même si l’expérience a été un succès sur le plan technique — la planification du projet a été gauche et mal orchestrée.   Nous soutenons que c’est parce que les SGI ont confié la gestion de ce projet à des sous-traitants.  Ceux-ci n’avaient aucune connaissance ou compréhension du fonctionnement de SCC et n’ont pu établir un climat de collaboration avec la communauté CS. Ce n’est pas le travail de nos membres de montrer à la direction et aux sous-traitants comment mettre en œuvre un projet à SCC.   Comme ils ont dû le faire, cela a créé d’énormes pressions pour nos membres dans les établissements où de telles unités d’intervention structurée ont été mises en place.
    L’équipe de consultation a demandé officiellement que pour les projets à venir, nos membres se voient confier les affectations nécessaires pour mener à bien les projets.  Autrement, à quoi servent la Gestion des talents et le Répertoire des compétences?  Voir plus haut GT et RC.