L'Institut professionnel de la fonction publique du Canada

Bulletin de juillet 2018 du groupe AR/ACR

du CNRC de l’IPFPC

Membres de l’Exécutif du groupe Agents de recherche et Agents du Conseil de recherches (2018)

Présidente
Cathy Cheung
Ottawa

Vice-président
Devanand Pinto
Halifax

Secrétaire
Mary Zborowski
Ottawa

Trésorier
Keith Yeung
Victoria

Délégué syndical en chef
Stephan Grosse
Montréal

Membre actif
Daniel Durand
Victoria

Membre active
Patricia Loder
Goose Bay

Membre actif
Suwas Nikumb
London

Membre actif
Carsen Banister
Ottawa

Membre actif
Craig Bihun
Ottawa

Membre actif
Feng Ni
Montréal

Nous vous invitons à imprimer le présent bulletin et à l’afficher sur le babillard du syndicat de votre lieu de travail. S’il n’y a pas de babillard syndical ou si vous ne savez pas où celui-ci se trouve, dites-le-nous à rorco@pipsc.ca. Les bulletins précédents et les autres mises à jour du Groupe se trouvent sur notre site Web :

http://www.pipsc.ca/fr/groupes/cnrc-ar-arc ou http://www.pipsc.ca/groups/nrc-ro-rco


Rapport de la présidente du groupe AR/ACR du CNRC, Cathy Cheung

Enfin l’été!

Nouvelles de la négociation collective

J’ai le plaisir d’annoncer que la dernière ronde de négociations s’est clôturée avec la signature de la convention collective le 9 août 2018. À partir de cette date, le CNRC a 120 jours pour mettre en place les changements, y compris la rétroactivité et la mise à jour des taux de rémunération. Un grand MERCI à l’équipe de négociation qui a travaillé d’arrache-pied pour conclure cette entente (Susan O’Donnell, Daniel Durand, Jeff Zidichouski, Craig Bihun, Cathy Cheung et le négociateur Nick Pernal).

Avec les élections fédérales qui semblent s’annoncer pour l’automne 2019, nous mettrons en œuvre la planification et l’organisation de la prochaine ronde de négociations. Nous espérons être capables d’en arriver à une entente de principe avant les élections. Le Conseil du Trésor, le CNRC et l’Institut se sont entendus sur cet objectif.

Au cours des prochains mois, nous ferons parvenir un sondage sur la négociation à l’ensemble des membres. Nous voulons connaître votre opinion sur certaines questions afin de nous aider à déterminer la série de priorités et de suggestions à inclure dans la prochaine ronde. Par conséquent, je vous demande de mettre vos coordonnées de l’Institut à jour (p. ex., adresse électronique autre que celle du CNRC) pour que vous puissiez avoir accès au sondage en dehors du CNRC et sur un poste informatique n’appartenant pas au CNRC. Veuillez noter que, même si vous avez fourni votre adresse électronique personnelle lors de réunions locales du groupe AR/ACR, le personnel de l’Institut n’a peut-être pas cette adresse à moins que vous ne l’ayez donnée en soumettant un formulaire de changement d’adresse (http://www.pipsc.ca/fr/outils-des-membres/changement-addresse ou en anglais http://www.pipsc.ca/member-tools/change-of-address). Consultez souvent le site Web du Groupe pour connaître les dernières annonces et nouvelles (http://www.pipsc.ca/fr/groupes/cnrc-ar-acr ou http://www.pipsc.ca/groups/nrc-ro-rco).

Compte rendu de certaines activités du groupe AR/ACR

Nous avons organisé deux des quatre dîners d’information prévus cette année avec les membres. Le premier a eu lieu à Saskatoon le 11 mai 2018, en présence de 25 membres environ. Le deuxième s’est tenu au M36 d’Ottawa le 14 juin 2018, en présence de 71 membres. Notre prochaine visite nous emmènera à Charlottetown, le 14 septembre 2018. La dernière coïncidera avec l’AGA du Groupe qui aura lieu à Ottawa, le 7 décembre 2018. Inscrivez ces dates à votre agenda. Ne manquez pas nos rencontres! 

Le nouveau libellé des critères de promotion des chercheurs est entré en vigueur en février 2018 en vue de la ronde de juillet 2018. Il s’agit de changements substantiels à la fois dans les catégories (respecter deux des trois) et le format (p. ex., curriculum vitae). Ne soyez pas pris au dépourvu. Si vous devez défendre une affaire D3 ou D4 sous peu, étudiez les critères et le format suffisamment longtemps d’avance pour pouvoir commencer à réunir l’information et les documents utiles. Vous pouvez lire les détails concernant les critères et le format dans MyZone.

À marquer d’un signet dans MyZone

Passez un bel été!

Cathy Cheung
rorco@pipsc.ca

Exécutif du groupe AR/ACR 2018

Exécutif du groupe AR/ACR 2018

De gauche à droite (rangée du fond) Dev Pinto, Stephan Grosse, Mary Zborowski, Pat Loder, Feng Ni, Daniel Durand, Suwas Nikumb et Keith Yeung; (première rangée) Carsen Banister, Cathy Cheung et Craig Bihun

 

Le point sur les critères de promotion

Un comité dirigé par Emily Harrison (VP des RH par intérim) et composé de membres des ressources humaines (RH) et de la direction et de deux membres de l’Exécutif AR/ACR (Pat Loder et Dev Pinto) se penche actuellement sur les critères de promotion du groupe AR/ACR. Les critères se rapportant aux membres dont les principales fonctions sont la recherche ont été approuvés par le Comité de la haute direction et introduits pour la première fois en juillet. Nous nous préparons à participer à la prochaine étape, c’est-à-dire la révision des critères pour les membres des domaines autres que la recherche, par exemple PARI et Soutien à la gestion des affaires. Les RH dirigent le processus, et le groupe AR/ACR participe à titre consultatif. Par conséquent, bien que nous n’ayons aucun pouvoir d’approbation de la politique, nous pouvons formuler des recommandations et veiller à ce que les critères et le processus d’évaluation soient justes, raisonnables et équitables.

En plus de travailler aux critères comme tels, nous sollicitons les commentaires des membres ayant soumis un dossier soit au Comité de promotion des ressources humaines (CPRH), soit à la direction de leur centre de recherche, dans le cas des échelons de niveau 1. Si vous avez des commentaires ou si vous voulez discuter du processus, veuillez communiquer avec Dev Pinto (Devanand.pinto@gmail.com) ou bien Stephan Grosse (StephanGrosse@pipsc.ca).

Santé mentale au travail : comment votre syndicat peut-il vous aider?

Dans la norme nationale du Canada pour la santé et la sécurité psychologiques (2013) de la Commission de la santé mentale du Canada et une page Web du Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail (https://www.cchst.ca/topics/wellness/mentalhealth/index.html), on mentionne que « La santé mentale est un état de mieux-être dans lequel une personne comprend ses propres capacités, peut surmonter les tensions normales de la vie, peut accomplir un travail productif et fructueux, et peut contribuer à la vie dans sa collectivité. » Pourtant il semble de plus en plus difficile de maintenir un tel état de mieux-être. Ainsi, dans le Guide de ressources en santé mentale de l’IPFPC paru il y a quelques années, on rapporte que les troubles de santé mentale « touchent le plus grand nombre de personnes au milieu de leur vie active, ce qui diminue la productivité de la main-d’œuvre » (http://pipsc.ca/fr/nouvelles-et-enjeux/annonces/linstitut-lance-un-guide-des-ressources-en-sante-mentale). Un sondage mené plus récemment (décembre 2017) auprès des fonctionnaires fédéraux vient ajouter de l’ombre à ce tableau déjà sombre. En effet, des études menées par Statistique Canada montraient déjà que « 47 % des travailleurs canadiens estiment que leur travail est l’élément le plus stressant de leur quotidien ». Une enquête similaire menée au Conseil national de recherches du Canada a révélé que la santé mentale et la surcharge de travail arrivent aux premiers rangs des préoccupations des esprits les plus brillants du pays.

Que peut faire notre syndicat et que pouvons-nous faire nous-mêmes – en tant que membres – pour la santé mentale au travail et prévenir ou à tout le moins contenir les problèmes « qui prennent […] des proportions épidémiques » (source : http://pipsc.ca/fr/nouvelles-et-enjeux/annonces/linstitut-lance-un-guide-des-ressources-en-sante-mentale)? Voilà une question qui a fait systématiquement l’objet de débats aux séances ou aux téléconférences de l’Exécutif du groupe AR/ACR du CNRC de l’Institut depuis le début de 2018. Nous décrivons brièvement ci-dessous les bribes d’information pertinente que nous avons recueillies à propos de la santé mentale. Nous y ajoutons une liste de ressources qui pourrait se révéler utile pour les membres qui s’intéressent au sujet. Nous expliquons un peu plus en détail les ressources et les initiatives créées ces dernières années sur la gestion du stress, la conciliation travail-vie personnelle, la réduction du harcèlement et la gestion des considérations technologiques comme la dépendance numérique et ses effets sur les aptitudes mentales.

Une position élargie en matière de santé mentaleEn 2013, dans sa norme nationale du Canada pour la santé et la sécurité psychologiques, la Commission de la santé mentale du Canada définissait la portée de la santé mentale en soulignant que « La santé et la sécurité psychologiques [mentales] sous-tendent les interactions quotidiennes et font partie intégrante de la façon dont les conditions de travail et les pratiques de gestion sont structurées et dont les décisions sont prises et communiquées. »  Les auteurs expliquent dans le document l’importance de protéger la santé mentale : « Les milieux de travail qui adoptent une approche positive en matière de santé et de sécurité psychologiques sont en meilleure position pour recruter et conserver des employés talentueux. Dans ces
milieux, on voit s’accroître l’engagement des employés, de même que leur productivité, leur créativité et leur capacité d’innover, ainsi que les profits. »

Le gouvernement a adopté ce type de modèle de continuum de santé mentale en lançant un atelier de formation en août 2014 intitulé « Santé mentale au travail : favoriser la santé psychologique et la sécurité ». La demande des ministères et organismes fédéraux est aussi forte aujourd’hui pour cet atelier qui se donne encore en boucle. Cette position élargie devrait soulever des préoccupations en ce qui concerne non seulement les diagnostics de maladie mentale et de troubles mentaux, mais aussi la promotion des aptitudes mentales.

« Évitez de vous noyer dans un verre d’eau » : La Semaine de sensibilisation aux maladies mentales coïncide avec la Journée mondiale de la santé mentale qui a toujours lieu durant la première semaine d’octobre. Santé Canada a lancé sa campagne LifeSpeak en 2017 par l’entremise des Services d’aide à l’emploi, le plus important fournisseur du Programme d’aide aux employés au Canada qui fournit des services à la fonction publique fédérale du pays. Les fonctionnaires peuvent parcourir le site Web « canada.lifespeak.com » et créer un compte personnel (à l’aide de l’identifiant « canada »). La connexion donne accès à une série de vidéos en ligne sur diverses dimensions de la santé mentale, y compris l’importance de verbaliser, la communication efficace et l’équilibre travail-vie personnelle.

La Direction des ressources humaines du CNRC a des divisions dans tous les lieux de travail du pays. Le personnel peut y obtenir de l’aide en passant ou non par le Programme d’aide aux employés officiel. En fait, la plupart des membres du personnel des RH (p. ex., Montréal-avenue Royalmount) a reçu depuis 2016 une formation en premiers soins en santé mentale. On peut s’exprimer et discuter sur ce qui arrive avec un peu d’aide, et « il est possible de ramener les problèmes sérieux à de justes proportions ».

Civisme dans les communications : Le sondage mené récemment auprès des fonctionnaires fédéraux du CNRC a mis au jour quelques manquements à l’efficacité des communications. Des répondants de certains lieux de travail ont en effet rapporté une montée de la violence autour d’eux, particulièrement chez leurs collègues et les membres de leur équipe. Il est normal de voir les émotions et les tensions s’exacerber durant les grandes périodes de changement et d’incertitude. Selon le personnel des RH qui a suivi la formation en premiers soins en santé mentale, il faut que le civisme s’imprègne davantage dans notre style et nos habitudes de communication. Il importe notamment de prendre le temps de discuter des choses, ce qui se révèle de plus en plus difficile en cette ère de connectivité numérique (voir ci-dessous).

Initiatives de santé mentale au CNRC : L’action communautaire (sous l’impulsion de divers lieux ou centres de recherche) se développe depuis quelques années au CNRC pour promouvoir la santé mentale (et physique) au travail. Il y a eu par exemple la construction d’une salle de méditation au Centre de recherche en thérapeutique en santé humaine (anciennement appelé portefeuille TSH) à l’emplacement de Montréal-avenue Royalmount. Des activités physiques sont aussi offertes le midi. Le personnel peut suivre des cours de yoga, d’essentrics, de metafit et de metaPWR. Le même Centre a mis sur pied un club de lecture du populaire livre Connectez-vous à vous-même qui traite de la méditation et de la pleine conscience dans le contexte des entreprises privées (et de la vie en général) (https://www.mindful.org/search-inside-yourself; en anglais). Voici d’autres exemples :

  • ATS a mis sur pied un comité du mieux-être chargé d’organiser les activités de la SNASST dans tous les lieux de travail d’ATS; 
  • à Boucherville, quelqu’un finit toujours par organiser des séances de yoga;
  • M50 a formé un comité du mieux-être qui met sur pied des activités comme l’atelier « Gestion du stress grâce à la méditation pleine conscience » qui avait fait boule de neige en 2016 et qui avait été télévisé partout au CNRC.

Le CNRC encourage son personnel à participer aux comités du mieux-être (ou à en former un) et à organiser des séances, des ateliers ou de la formation connexe. Comme ce sont des lieux de travail individuels qui pilotent les initiatives de santé mentale au pays, la direction du CNRC est à clarifier les modalités de gestion du temps pris pour en faire la promotion et y participer. À Montréal-avenue Royalmount, par exemple, des membres de la direction ont accepté que des activités aient lieu durant les heures de travail pourvu que la moitié des heures prises soient couvertes par les heures supplémentaires la même journée ou une autre journée. Le personnel est libre de participer à plusieurs des autres activités qui devraient toutefois avoir lieu après les heures de travail normales.

Gestion de la « dépendance numérique » : Le Guide de ressources en santé mentale de l’IPFPC fait également ressortir les « considérations technologiques » comme étant à la source de certains problèmes de santé mentale au travail. Les trois autres sont le stress lié à l’emploi, l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée et la violence (intimidation et harcèlement). Certains de ces points ont déjà été abordés plus haut.

Quant aux considérations technologiques, l’une des problématiques de l’heure se rapporte à l’accoutumance à l’écran (d’ordinateur) ou à la dépendance numérique en cette ère de connectivité instantanée. De récentes études menées en psychologie et en sciences sociales montrent que l’architecture neuronale de l’être humain a évolué en raison du contact rapproché et direct quasi permanent avec les autres et que la diminution ou le retrait d’intrants clés dans le système risquerait d’en provoquer la déstabilisation (réf. 7). La constatation la plus troublante concerne l’augmentation des problèmes de santé mentale observée en 2010, puis en 2015. Il appert en effet que les adolescents qui consacraient plus de temps aux nouveaux médias (y compris les médias sociaux et les appareils électroniques comme les téléphones intelligents) étaient les plus susceptibles de déclarer souffrir de troubles mentaux. D’un autre côté, les adolescents qui consacraient plus de temps à des activités autres qu’à l’écran (interaction sociale ou activités sportives ou physiques en personne) l’étaient beaucoup moins (réf. 7).

Au sein d’un organisme axé sur la haute technologie comme le CNRC, la majorité du personnel passe sa journée de travail à l’ordinateur (à l’écran) pour collecter et traiter des données, recueillir et analyser de l’information (dans la documentation), écrire des rapports et communiquer les résultats de recherche. Il en découle à l’évidence un stress, puisqu’il a été démontré que les personnes constamment branchées (à leur ordinateur ou à leur téléphone intelligent) présentent plus souvent des troubles mentaux. Les moyens recommandés par l’Institut pour protéger ses aptitudes mentales sont ainsi d’une sagesse incontestable (réf. 3) : passe-temps, exercice, journal personnel, moments d’humour avec collègues et amis et optimisme – à l’écart des écrans et des téléphones intelligents, espérons-le!

Principales références bibliographiques :

(1) Norme nationale du Canada sur la santé et la sécurité psychologiques (2013) : www.mentalhealthcommission.ca/Francais.

(2) Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail (CCHST) : www.cchst.ca/topics/wellness/mentalhealth/index.html.

(3) Guide de ressources en santé mentale de l’IPFPC : http://pipsc.ca/fr/nouvelles-et-enjeux/annonces/linstitut-lance-un-guide-des-ressources-en-sante-mentale.

(4) Atelier « Favoriser la santé psychologique et la sécurité » du Programme d’apprentissage mixte : http://www.jlp-pam.ca/mentalhealthintheworkplace-santementaleenmilieudetravail-fra.

(5) Services d’aide aux employés LifeSpeak : canada.lifespeak.com.

(6) Search Inside Yourself (en anglais) : www.mindful.org/search-inside-yourself.

(7) Dépendance numérique et valeur des rapports humains: Jean M. Twenge, Thomas E. Joiner, Megan L. Rogers, et Gabrielle N. Martin. (2018). Clinical Psychological Science. Vol. 6, no 1, p. 3 à 17.

Rédaction : Feng Ni, Ph. D, délégué syndical de l’Institut et membre de l’Exécutif du groupe AR/ACR du CNRS de l’Institut.

Déclaration des heures de travail

À titre d’Exécutif, nous vous rappelons l’importance d’enregistrer toutes vos heures de travail dans le système Sigma de SAP. Nous le savons : un grand nombre d’entre vous trouve la tâche agaçante. Sachez toutefois que les données précises sur les heures travaillées sont d’une grande utilité au moment de négocier les conventions collectives. Les données recueillies dans Sigma servent à comprendre les conditions de travail des membres et à orienter les négociations en matière de paye, de vacances et d’autres avantages sociaux. En fait, il est difficile pour nos négociateurs de faire valoir que nos membres travaillent plus de 1950 heures par année si les heures dépassant le nombre d’heures minimum requis ne figurent pas dans le système. L’exactitude des heures travaillées déclarées permet en outre au CNRC de déterminer avec précision le coût d’un projet.

Pour les membres ayant un horaire de travail correspondant à 1950 heures par année, inscrivez le nombre d’heures exact sous le code de temps « 1000 » pour les journées travaillées du lundi au vendredi. Indiquez les heures travaillées le week-end ou un jour férié sous le code de temps « 1040 ». Pour les membres ayant un horaire de travail de 37,5 heures par semaine, inscrivez les heures travaillées au-delà des heures habituelles (code « 1000 ») sous le code de temps « 1010 ».

Aide financière du groupe AR/ACR de l’IPFPC pour les activités

Pour soumettre une demande d’aide financière pour une activité, indiquez la date ainsi que votre immeuble, portefeuille ou chapitre et le nombre de participants. L’Exécutif du groupe AR/ACR se fera un plaisir de vous aider financièrement pour vos activités. Le montant dépend du nombre de participants. Par exemple, nous allouons 200 $ pour 20 participants et 400 $ pour 40 participants. 

 Directives pour une demande d’aide financière :

  • Votre invitation à une activité sociale devrait parvenir à l’ensemble des membres AR/ACR travaillant dans votre immeuble, portefeuille, ou chapitre.
  • Le groupe finance une demande par année et par immeuble, portefeuille ou chapitre.
  • Toute demande doit parvenir à rorco@pipsc.ca ainsi qu’au trésorier du Comité exécutif du groupe AR/ACR (voir http://www.pipsc.ca/portal/page/portal/website/groups/nrc-ro-rco/exec).
  • Les fonds sont accordés en fonction du nombre réel de membres AR/ACR présents à l’activité.
  • Formule mathématique pour calculer le montant du financement :
    • 20 membres ou moins : 20 $ par membre, pour un maximum de 200 $;
    • 20 membres additionnels (de 21 à 40), 5 $ par membre, pour un maximum de 100 $;
    •  20 membres additionnels (de 41 à 60), 5 $ par membre, pour un maximum de 100 $.
  • Il faut informer les membres qui assistent à l’activité que celle-ci est financée par le groupe CNRC-AR/ACR de l’IPFPC et que le Groupe est à la recherche de plus de délégués syndicaux pour représenter ses membres.
  • Une photo de l’activité, la feuille de présence et tout reçu utile doivent être joints à la demande de remboursement à transmettre à rorco@pipsc.ca ainsi qu’au trésorier du Comité exécutif du groupe AR/ACR.
  • Le remboursement correspond au montant le moins élevé des deux suivants : le montant total figurant sur le ou les reçus ou bien le montant calculé à l’aide de la formule mathématique.

Nous avons hâte d’avoir de vos nouvelles!

Recherche permanente de représentants locaux

Le groupe AR/ACR du CNRC est à la recherche de bénévoles qui agiront à titre de représentants locaux du Groupe dans leur centre de recherche et leur division respectivement. Il y a généralement un représentant par centre de recherche ou division. Lorsqu’un centre de recherche dispose de plusieurs lieux de travail, il est bon d’avoir un représentant à chaque endroit.

Souhaitez-vous consacrer un peu de votre temps au travail de représentant local? N’hésitez pas à nous le faire savoir par courriel à : rorco@pipsc.ca.

Réunions du Comité exécutif du groupe AR/ACR : Comme le CNRC compte de nombreux lieux de travail d’un bout à l’autre du pays, les visites de l’Exécutif se font normalement tous les six ou sept ans dans les régions et tous les ans à Ottawa, où se trouve environ la moitié de nos membres. Toutefois, si vous avez un besoin pressant que l’Exécutif se rende à votre lieu de travail, veuillez en faire la demande par courriel à rorco@pipsc.ca.

Les plus récentes informations sur le groupe AR/ACR sont publiées sur le site Web de l’IPFPC, à la section « Groupes » :
http://www.pipsc.ca/groups/nrc-ro-rco

Le principal site Web de l’IPFPC peut être consulté au http://www.ipfpc.ca/

Une équipe dévouée d’agents des relations du travail (ART) à temps plein travaillent à l’Institut pour vous offrir des conseils et des services de représentation en matière de relations de travail quand vous en avez besoin. Veuillez prendre note qu’il y a eu récemment quelques changements dans les provinces des Prairies quant au soutien fourni par les ART.

Les agents des relations du travail de l’IPFPC pour tous les groupes du CNRC à Ottawa (RCN) sont les suivants :

Pour les membres du Conseil national de recherches qui font partie des Services professionnels et d’affaires, du Soutien à la gestion des affaires, des Services de gestion intégrés et de la Direction financière, de la Division des technologies émergentes et du Bureau du président, votre ART locale est Christine Poirier. Son bureau est situé au Bureau national de l’IPFPC au 250, chemin Tremblay, Ottawa, et on peut la joindre par courriel à cpoirier@pipsc.ca, ou par téléphone au 613-228-6310 ou au 1-800 267-0446, poste 4763. 

Pour les membres de la Division du génie ou de la Divison des sciences de la vie du Conseil national de recherches, votre ART est Bruno Hamel. Son bureau est également situé au 250, chemin Tremblay, Ottawa, et on peut le joindre par courriel à bhamel@pipsc.ca ou par téléphone au 613-228-6310 ou au 1-800 267-0446.

Les ART de l’ensemble du CNRC dans les autres régions sont les suivants : Atlantique — Max Way mway@pipsc.ca, Québec — Robert Melone rmelone@pipsc.ca, ONTARIO à l’extérieur de la RCN — Sara Guillaumant-Fitzgerald sguillaumantfitz@pipsc.ca, Manitoba et Saskatchewan — Jeffrey Ryder jryder@pipsc.ca, Alberta — Kris Hawkins khawkins@pipsc.ca et pour C.-B et Yukon — Dulce Cuenca dcuenca@pipsc.ca.

Pour obtenir toutes les coordonnées d’un ART régional, suivez le lien ci-dessous et cliquez sur son nom dans la liste : http://www.pipsc.ca/fr/a-propos/contactez-nous/repertoire-du-personnel.

Courriel — recevez la correspondance de l’IPFPC par courriel. Un lien Web sécurisé est à votre disposition pour remplir un formulaire.

https://www.pipsc.ca/portal/page/portal/website/memberservices/membership/email_addresss_notification

Vous pouvez utiliser l’adresse de courriel de votre choix. Les messages sont très courts, car ils ne contiennent généralement pas d’information. Ils vous orientent plutôt vers un article particulier du site Web de l’IPFPC.

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