« La conférence de presse d’aujourd’hui de la sous-ministre Lemay nous montre que le gouvernement ne sait toujours pas prévoir, cette fois-ci la hausse parfaitement prévisible du nombre de rajustements de paye d’employés à effectuer à la suite de la mise en œuvre des nouvelles conventions collectives, se désole Steve Hindle, vice-président de l’Institut. Le gouvernement pensait composer avec cette augmentation et atteindre la fameuse « stabilité » du système avec son personnel existant et de nouveaux employés, mais ces derniers n’ont pour la plupart pas encore été embauchés. Il aurait dû prévoir ce problème il y a des mois, car le nombre de mouvements de paye produits par l’application des nouvelles conventions collectives ne fera qu’augmenter dans les prochains mois ».
Date de publication : 2 juin 2017