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Candidat au poste de Directeur·trice, Région de la Capitale Nationale – Matthew MacLeod

Les points de vue exprimés dans cette note biographique sont ceux du candidat et ne représentent pas nécessairement ceux de l’IPFPC.

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Candidat au poste de Directeur·trice, Région de la Capitale Nationale

Matthew MacLeod

(Membre titulaire)

 

Je pense avoir la bonne combinaison de compétences interpersonnelles, en relations du travail, financières et scientifiques pour bien vous servir à titre de membre du Conseil d’administration de l’IPFPC.

Lorsque j’étais président du groupe RE (Recherche) (de 2015 à 2023), j’ai eu le plaisir d’encadrer l’exécutif dans une période où nous avons mis de côté les derniers vestiges de conflits entre les membres du groupe, et travaillé ensemble ainsi qu’avec d’autres groupes pour atteindre des objectifs communs majeurs tels que l’enchâssement de l’intégrité scientifique et du droit de parole dans nos conventions collectives.

À titre de délégué syndical (depuis 2008), j’ai aidé des membres à obtenir des résultats, sur le plan individuel, au moyen de la procédure de règlement des griefs régulière et de celle du Conseil national mixte, et sur le plan collectif, au moyen de consultations avec la haute direction, tant au niveau local que national. Je suis particulièrement fier de mon rôle dans la rédaction du modèle de Politique sur l’intégrité scientifique (2018), qui était le fruit de délicates discussions tripartites entre l’IPFPC, le Conseil du Trésor et le Bureau de la Conseillère scientifique en chef, où le succès était loin d’être garanti.

À titre de membre de l’exécutif du groupe RE (depuis 2009), j’ai toujours exercé un contrôle financier responsable sur la manière dont vos cotisations sont dépensées. Dans le cadre de mon travail pour le gouvernement, j’ai été un chef de projet responsable d’un projet pluriannuel de plusieurs millions de dollars, rassemblant les contributions de chercheur·ses, d’ingénieur·es et de spécialistes des systèmes informatiques de tout le pays.

Bien que le fait de siéger au Conseil d’administration ne soit pas intrinsèquement lié à la science ou à la recherche, je pense que le fait d’avoir des directeur·rices capables de communiquer avec force l’importance de la science et de la recherche menées au niveau fédéral et provincial est crucial pour le succès à long terme de notre organisation et de ses membres. Les organismes de recherche publics n’emploient pas que des scientifiques et des chercheur·ses; ils ont besoin de spécialistes des systèmes informatiques pour construire et entretenir des ordinateurs et des réseaux à haute performance, d’ingénieur·es pour concevoir et gérer des projets innovants, et de spécialistes du commerce et des achats pour planifier et gérer des accords de coopération complexes. Si les gouvernements laissent la recherche être menée principalement par les universités et l’industrie sans maintenir une forte capacité interne, de nombreux emplois de haute qualité disparaîtront de l’IPFPC. Sans parler de la perte pour la population canadienne d’une expertise interne de grande qualité pour répondre à certaines de nos préoccupations les plus pressantes, des pandémies aux changements climatiques en passant par les menaces pour la sécurité nationale.

Enfin, en tant qu’aîné de la génération Y, je pense être bien placé pour aider l’IPFPC à traverser une période de changement générationnel, puisque je sais comment communiquer avec des membres de tous âges. J’ai hâte d’être à votre service.

(Traduit de l’anglais)